Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Lettre d'un ex Militant
C'est la mobilisation générale ? lotrela
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Suite recours contre la Caisse de Prévoyance et de Retraite
Suite recours contre la Caisse de Prévoyance et de Retraite Echange de lettre Ministère Transport-CGT Mars 2009 2009_03_09_cgt_fede_2009.03.06_Tract_Recours_contre_la_CPRP.pdf
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Facilités de Circulation
Facilités de Circulation Bilatérale SNCF-CGT Mars 2009 2009_03_09_cgt_fede_09.03.06_CR_bilat_rale_FC_du_6_mars_Tract.pdf
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Lecture de codes-barre dans les gares
Tout est pointé, fiché, enregistré... manque plus qu'un code barre sur le front de l'agent... Tour de gare... comme dit Marc... Chefs de services escale ou agents commerciaux en tenue ?
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L'accident du Stade de France
RER: un accident "sans précédent" selon Guillaume Pepy AFP 08/03/2009 La mort de deux jeunes supporteurs lillois heurtés samedi soir par un RER après un match de football au Stade de France est un accident "sans précédent", a affirmé dimanche le président de la SNCF Guillaume Pepy. "C'est un accident qui est sans précédent (...) jamais on n'a eu un accident de cette nature", a affirmé M. Pepy au Grand rendez-vous Europe 1/Le Parisien/Aujourd'hui en France, évoquant "un drame épouvantable". "Jamais, jamais, sous aucun prétexte on ne peut marcher sur les voies sans y être vraiment expressément invité par un agent SNCF, c'est extraordinairement dangereux. Et même nous, les cheminots, lorsqu'on le fait on demande dans la plupart des cas l'interruption de la circulation", a-t-il fait valoir. La zone où se trouvaient les supporteurs lorsqu'ils ont été happés par la rame vide de RER, qui "devait rouler à 60 km/h" selon lui, était grillagée et interdite au public, a ajouté le président de la SNCF. Réfléchissant à d'éventuelles nouvelles mesures de sécurité, M. Pepy a évoqué une piste qui "consisterait à surveiller à distance par des caméras ou des caméras infrarouges cette zone autour du Stade de France pour que si jamais quelqu'un franchit le grillage, on puisse couper automatiquement la circulation". Deux jeunes supporteurs lillois de 10 et 17 ans ont été tués et onze autres personnes blessées, dont trois grièvement, percutés par un RER alors qu'ils cheminaient le long d'une voie ferrée pour tenter de regagner leur autocar après le match de football Lille-Lyon samedi soir au Stade de France.
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Souriez, vous êtes filmés.
Souriez, vous êtes filmés. C'est intéressant, impressionnant et inquiétant à la fois. Voici une photo de la cérémonie d'investiture de Barack OBAMA du 20 janvier dernier, dans laquelle on peut distinguer nettement chaque personne dans la foule. Pointez quelque part sur la foule. Utilisez la petite main pour agrandir la photo (ou curseur sur le +). Attendez quelques secondes que la mise au point se fasse. Zoomez à volonté. Cette photo a été prise avec une caméra-robot de 1474 mégapixels. Une seule photo et la possibilité de "ficher" un million de personne. Pour vous faire une idée de cette technologie, cliquez sur le lien : http://gigapan.org/viewGigapanFullscreen.p...6648c2b4b06233c
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Grève générale reconductible en Guadeloupe
Enquête judiciaire après les propos de Domota à Télé-Guadeloupe AFP Le parquet de Pointe-à-Pitre a annoncé samedi avoir ouvert une enquête judiciaire, notamment pour provocation à la haine raciale après les déclarations du leader du LKP, Elie Domota, qui avait affirmé que les entreprises appliqueraient l'accord ou quitteraient la Guadeloupe. "J'ai ouvert une enquête hier (vendredi) que j'ai confiée à la section de recherche de la gendarmerie de Pointe-à-Pitre", a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Pointe-à-Pitre, Jean-Michel Prêtre. "C'est une enquête qui est relative aux propos tenus par M. Elie Domota jeudi soir dans le cadre du journal télévisé du soir sur RFO-Télé Guadeloupe, des propos dont les termes sont de nature à constituer un délit", a ajouté le procureur. Cette enquête vise le chef de "provocation à la discrimination, à la haine et à la violence contre des personnes ou des catégories de personnes en raison de leur origine ou en raison de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion, visant notamment et spécifiquement les personnes désignées par le vocable Béké et les entreprises que ces personnes dirigent", a-t-il précisé. Elle vise également celui, selon lui de "provocation à l'extorsion de signature par contrainte s'agissant des accords dits Jacques Bino". "Soit ils appliqueront l'accord (prévoyant une augmentation salariale mensuelle de 200 euros), soit ils quitteront la Guadeloupe", avait affirmé Elie Domota jeudi soir sur Télé-Guadeloupe au sujet des entreprises bloquées par des piquets de grève ou groupes mobiles de manifestants. "Nous sommes très fermes sur cette question là. Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage", avait-il ajouté. Dans le cadre de cette enquête, les gendarmes ont saisi samedi les enregistrements des propos tenus par M. Domota, a de son côté indiqué à l'AFP le porte-parole du ministère de l'Intérieur Gérard Gachet. "Des consignes fermes et précises" ont selon lui été données aux forces de l'ordre pour que la mise en oeuvre des accords se fasse sans violences ni menaces. ***************************************************************** Elie Domota visé par une enquête pour provocation à la haine raciale AP Une enquête judiciaire pour provocation à la haine raciale a été ouverte à Pointe-à-Pitre vendredi contre Elie Domota, le leader du collectif LKP, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Elle vise les propos tenus lors du journal télévisé de RFO jeudi soir. L'enquête a été confiée aux gendarmes de la section de recherche de Pointe-à-Pitre qui ont saisi les enregistrements de l'émission concernée. Le leader de Liyannaj kont pwofitasyon (Ensemble contre la surexploitation) Elie Domota avait déclaré au cours du JT du soir: "Nous sommes dans une phase de suspension de conflit mais au moment où je vous parle, il y a des grèves qui sont en train de démarrer ou qui ont démarré depuis ce matin dans notamment les entreprises dirigées par les békés (...) où ils refusent d'appliquer l'augmentation de salaire". AP ************************************************************************ Elie Domota: "Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage" Vendredi 6 mars, 11h26 Le Post Qui ? Elie Domota, leader du LKP, mouvement de lutte contre la vie chère, en Guadeloupe. Quand ? Ce jeudi, à Télé Guadeloupe, relate Le Point. Le contexte : Un accord a été signé dans la nuit de mercredi à jeudi qui prévoit notamment la reprise du travail et l'augmentation des plus bas salaires de 200 euros. Mais l'accord n'a pas été signé par les représentants du Medef. Ce qui énerve le syndicaliste. Bonus-tracks : - "Soit ils appliqueront l'accord, soit ils quitteront la Guadeloupe." - "Nous n'arrêterons pas et je l'ai dit ce soir au préfet. Nous sommes très fermes sur cette question-là. Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage." - "Hors de question, aujourd'hui, d'aller faire des courses dans des entreprises qui exploitent des Guadeloupéens, dans les entreprises qui ne donnent pas 200 euros à leurs salariés. (...) Nous demandons aux Guadeloupéens de ne pas aller dans ces entreprises-là, de ne pas aller à Match, Carrefour, Cora, de ne pas faire de courses dans les entreprises qui n'appliquent pas l'accord." ************************************************* Domota: les entreprises appliqueront l'accord ou quitteront la Guadeloupe AFP Le porte-parole et leader du LKP, Elie Domota, a affirmé jeudi soir à propos des manifestations et blocages d'entreprises qui se sont poursuivis durant la journée que "soit ils appliqueront l'accord, soit ils quitteront la Guadeloupe". "Nous n'arrêterons pas et je l'ai dit ce soir au préfet" a déclaré M. Domota, qui s'exprimait jeudi soir sur Télé-Guadeloupe. "Soit ils appliqueront l'accord (prévoyant une augmentation salariale mensuelle de 200 euros), soit ils quitteront la Guadeloupe" a-t-il poursuivi au sujet des entreprises bloquées par piquets de grève ou groupes mobiles de manifestants. Le leader du LKP a souligné: "Nous sommes très fermes sur cette question là. "Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage" a-t-il poursuivi en citant deux opérateurs économiques locaux qu'il a nommés, "et tous les autres". "Il faut qu'ils appliquent l'accord: nous demandons son extension sur le plan juridique mais, sur le terrain, nous n'arrêterons pas tant qu'ils n'appliqueront pas l'accord, singulièrement dans l'hôtellerie", a ajouté M. Domota. Selon lui, il est "hors de question, aujourd'hui d'aller faire des courses dans des entreprises qui exploitent des Guadeloupéens, dans les entreprises qui ne donnent pas 200 euros à leurs salariés". "Nous demandons aux guadeloupéens de ne pas aller dans ces entreprises là, de ne pas aller à Match, Carrefour, Cora, de ne pas faire de courses dans les entreprises qui n'appliquent pas l'accord". Interrogé pour savoir s'il ne craignait pas les conséquences de son appel pour les personnels de ces entreprises, M. Domota a répondu: "Ils trouveront du travail". "De toute façon, quand leurs patrons auront mal, ils feront en sorte d'appliquer l'accord", a-t-il aussitôt ajouté. Durant toute la journée de jeudi, un groupe d'une centaine de manifestants très mobiles a bloqué à plusieurs reprises des carrefours au Gosier (à 6 km de Pointe-à-Pitre), où sont situés de nombreux hôtels de tourisme. Les manifestants se dispersaient sans incidents lors de l'arrivée des forces de l'ordre, avant d'investir la chaussée quelques centaines de mètres plus loin, avait constaté l'AFP. A Baie-Mahault, un centre commercial a du fermer dans le courant de la matinée de jeudi avant que les boutiques qui y sont implantées puissent ouvrir de nouveau, avait-on appris sur place. Les grévistes d'un hypermarché Carrefour et de plusieurs supermarchés spécialisés de ce centre commercial en ont, par contre, interdit les accès durant toute la journée. Jeudi toujours, la fédération patronale du BTP, adhérente du Medef-Guadeloupe, a "adhéré à l'accord" augmentant les salaires de 200 euros, a confirmé à l'AFP son président, José Gaddarkan.
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Mise En Examen
Un conducteur de train SNCF relaxé après la mort d'un passager en 2003 Lundi 2 mars, AFP Un conducteur de train SNCF jugé pour "homicide involontaire" après la mort en 2003 d'un passager traîné sur le quai de la gare de Chelles (Seine-et-Marne), son vêtement coincé dans des portes du train, a été relaxé lundi par le tribunal correctionnel de Meaux. Lors de ses réquisitions, le procureur s'en était remis à "la sagesse du tribunal", estimant l'affaire "bien difficile". Pour le président du tribunal, le conducteur, Pascal Lefebvre, a "respecté toutes les obligations en vigueur à la SNCF", ne commettant "aucune faute de maladresse ou de négligence". La "responsabilité contractuelle" de la SNCF, qui commence "dès la montée dans le train", a été reconnue par le président. La SNCF a donc été condamnée à verser plus de 165.000 euros pour le préjudice à la famille du défunt, Joseph Perez, dont 58.650 euros de préjudice moral pour sa veuve. A la sortie de l'audience, M. Lefebvre s'est dit "soulagé", rappelant qu'il avait "bien appliqué la réglementation" le jour de l'accident. Le 13 octobre 2003, Joseph Perez, 70 ans, après avoir tenté de monter dans un RER à la gare de Chelles au moment où les portes se refermaient, avait été traîné sur 380 mètres, coincé dans les portes, avant d'être projeté sur le ballast. Il était mort 9 jours plus tard, le 22 octobre, à la suite de "problèmes cardiaques accélérés par l'accident", avait expliqué le procureur lors du procès. M. Lefebvre avait déclaré au tribunal "avoir appliqué le règlement de la SNCF: après la fermeture des portes du train, les yeux du chauffeur doivent être braqués sur la voie et non plus sur les écrans de contrôle, c'est ce qu'(il) a fait. Seul le déclenchement d'un signal lumineux alerte le chauffeur mais ce jour-là il n'y a pas eu de signal". La CGT-cheminots s'est "félicitée" du jugement, qui remet en question le développement de l'Equipement agent seul (EAS), c'est-à-dire des trains sans contrôleurs. "La SNCF veut par ce biais réaliser des gains de productivité mais c'est un raisonnement à court terme car l'insécurité augmente, de même que la fraude et les déprédations", a déclaré le secrétaire général Didier Le Reste à l'AFP. Pour Sud-Rail aussi, la SNCF "doit maintenant entendre" les revendications sur "l'équipement en personnel des trains et des gares". ***** Je n'arrive plus à retrouver le fil ouvert à ce sujet, si un modo passe par là il pourra peut être fusionner les deux sujets merci Dom
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Grève générale reconductible en Guadeloupe
Comment l'antisarkozysme progresse LE MONDE | 07.03.09 | L'antisarkozysme est de retour. Ce qui n'était encore qu'une réaction des milieux les plus militants et radicaux aux débuts de la présidence de Nicolas Sarkozy devient un sentiment plus répandu dans l'opinion. Alors qu'il peine à convaincre de la pertinence de son plan anticrise, le chef de l'Etat cristallise un mécontentement croissant. Ce dernier s'exprime dans les grèves ouvrières contre les fermetures d'usines, mais aussi dans des catégories jusqu'ici relativement protégées : magistrats, avocats, médecins, enseignants, étudiants et cadres. "On assiste à une déception incontestable de l'électorat. Elle ne s'est pas encore transformée en désaffection. Mais la crise et la remontée du chômage ne peuvent que générer un mouvement social qui va se traduire par un antisarkozysme plus marqué", analyse Denis Pingaud, vice-président exécutif de l'institut Opinionway. Le refus d'une société mise en fiches, déshumanisée et au service de l'argent roi, s'est élargi. Multiforme, la contestation va des altermondialistes aux Verts, en passant par les militants anti-OGM et les opposants à l'incarcération de Julien Coupat dans l'affaire des sabotages des lignes SNCF. L'"Appel des appels" en est la traduction. Depuis son foyer d'origine (les milieux psychanalytiques), il a su fédérer une multitude de mécontentements via les collectifs "Non au fichier Edvige", "Pas de zéro de conduite pour les enfants de trois ans", "Sauvons l'hôpital public", "Sauvons les Rased" (réseaux d'aides spécialisées aux élèves en difficulté), "Sauvons la recherche", "Sauvons l'université"... L'initiative surfe sur les réformes tous azimuts voulues par M. Sarkozy. "Le temps est venu, de coordonner ces différents mouvements et d'en tirer tout le sens politique", préviennent les signataires de ce manifeste qui a déjà conquis 71 000 personnes. L'un de ses initiateurs, Roland Gori, psychanalyste, souhaite, lors d'une réunion à Paris, le 22 mars, transformer la pétition en "cahier des charges, comme les cahiers de doléances de 1789" et constituer un front uni des protestations. "CONVERGENCE DES LUTTES" D'autres expériences militantes témoignent de ce changement de climat. Leila Chaibi, une des animatrices de "l'Appel et la pioche", collectif de jeunes précaires et salariés proches du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), assure que les actions de réquisition qu'elle organise dans des supermarchés attirent de plus en plus de monde. "Les gens sentent bien que le pouvoir se fout d'eux et qu'on peut repousser les limites de la désobéissance civile", explique-t-elle. Le même écho provient des militants de Génération précaire, qui dénoncent les stages gratuits, ou de Jeudi noir dans le domaine du logement. "Les mauvaises réponses à la crise fédèrent contre Sarkozy, et le ras-le-bol monte", confirme Julien Bayou, qui participe à ces mouvements. Les politologues notent que Nicolas Sarkozy n'a plus le monopole du "mouvement" sur la scène politique, dont il disposait encore à l'automne 2008 malgré une popularité en baisse. L'aggravation de la crise économique et le sentiment que le plan de relance n'est pas à la hauteur ont changé la donne. "La logique du mouvement perpétuel voulue par Sarkozy est arrivée à épuisement. Elle ne marche plus parce que le mouvement social a réussi à faire le lien entre des mobilisations aussi différentes que celle des enseignants-chercheurs, celle contre les licenciements dans l'automobile ou dans le secteur hospitalier", résume Vincent Tiberj, chercheur à l'Institut d'études politiques de Paris. La montée de la contestation sociale, sectorielle, puis nationale avec l'entrée en scène des confédérations syndicales, a, semble-t-il, donné un sens au ressentiment anti-Sarkozy. La grande manifestation interprofessionnelle du 29 janvier en a été, à ce jour, l'expression la plus forte. "L'antisarkozysme fédérait tout", remarque Annick Coupé, porte-parole de Solidaires. "Le 29, s'est exprimé le rejet du mépris ressenti de la part du président. Le slogan "tu l'as vu ma grève ?" en était le symbole", renchérit Jérome Fourquet, directeur de l'IFOP. "C'est l'expression d'un anti-sarkozysme par le bas, d'un nouvel imaginaire politique inscrit dans le mouvement social", assure encore Stéphane Rozès, directeur général de l'institut CSA. Un climat dont profite la gauche radicale, M. Besancenot en tête. La victoire du Collectif LKP en Guadeloupe s'est inscrite dans ce paysage. Le maître mot est désormais la "convergence des luttes". Prochain rendez-vous : le 19 mars, nouvelle journée de mobilisation interprofessionnelle. Marc Dupuis et Sylvia Zappi
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Vers un rapprochement SUD-CGT avant les élections?
Union CGT / SUD : dans la rue... parce que dans les bureaux...
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La FGAAC c'est fini!
Nous sommes bien au cœur d'un remodelage et d'une recomposition syndicale engagé depuis des années. Il y a plusieurs niveaux de lecture : - loi sur la représentativité (lire le document qui vous a été adressé avec votre dernièr bulletin de paie...) - réalité du terrain : baisse du nombre d'adhérents et de militants donc moyens ... (15% de syndiqués à la SNCF, 6% au plan national...) - évolution du monde du travail et des réalités économiques et sociales etc... Notons que cette recomposition concerne l'ensemble du monde syndical et pas seulement à la SNCF et touche toutes les organisations. Ce qui me semble significatif c'est qu'on le veuille ou non commence à se poser la question de l'unité syndical structurelle en terme d'organisations (A ce titre l'exemple de la Guadeloupe est fort intéressante à suivre...), mais aussi que les polémiques ne sont pas près de s'éteindre puisque certains continuent de privilégier leurs intérêts archaïques catégoriels et personnels propres au détriment de la défense des intérêts sociaux et professionnels collectifs de l'ensemble des salariés et ce dans un contexte de crise aigüe. Mais à chacun ses choix et ses idées dans la mesure où demeure le respect des autres et des libertés...
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Avis de bannissement Bis
Toujours là Marc... Qu'est-ce qu'on rigole sur ce fil... :blush:
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Avis de bannissement Bis
Il n'y a rien de mal à se faire plaisir...
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Avis de bannissement Bis
Audrey est la bannière de ce forum... mieux que Jeanne d'Arc en espèrant qu'elle ne ne brûle jamais...
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Avis de bannissement Bis
C'est quoi et qui les idées loufoques et farfelues qui traînent sur ce forum ?
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Avis de bannissement Bis
Vu la niveau du débat autant tenter d'élever le débat... en s'émerveillant devant la beauté intérieure et extérieure de notre charmante modératrice, quitte à quelques dérives qui se veulent toutefois souriantes et amicales ...
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Avis de bannissement Bis
photo en tout bien tout honneur en plus c'était en hiver et Audrey était bien couverte, de la tête aux pieds... on voyait juste le bout de son nez et ses beaux yeux... okok
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Avis de bannissement Bis
Tu as une sacrée conception du débat démocratique et du respect des opinions des autres... Personnellement je ne pense pas que la pensée unique soit une solution. la diversité des opinions est une nécessité. Pour autant il faut aussi savoir être et rester positif. Après nous sommes dans un monde virtuel mazis je suis sur que les psy doivent en apprendre plus en lisant quelques pages de forum (au choix) sur les comportements humains...
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Avis de bannissement Bis
De mémoire (encore que j'ai une photo quelque part sur mon ordi...HiHiHi), Audrey est encore plus belle en vraie que dessinée... :blush:
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Grève générale reconductible en Guadeloupe
Chronologie du conflit social aux Antilles et à La Réunion AP Après un mois et demi de grève générale en Guadeloupe, le collectif LKP et les représentants de l'Etat ont signé le 4 mars à Pointe-à-Pitre un protocole d'accord appelant "à la reprise de l'activité normale". La grève générale "contre la vie chère et pour le pouvoir d'achat" entamée le 5 février se poursuit cependant en Martinique, tandis que 15.000 personnes ont manifesté jeudi à la Réunion pour les mêmes revendications. - 20 janvier 2009: une grève générale est lancée en Guadeloupe par le collectif LKP (Lyannaj kont pwofitasyon, Ensemble contre la surexploitation, composé de 49 organisations, partis et syndicats). Principale cible du mouvement: la vie chère. Le LKP demande, entre autres, une augmentation de 200 euros pour les bas salaires - 1er février: plus de dix jours après le début du mouvement, le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer Yves Jégo se rend en Guadeloupe et note des signes "d'apaisement" - 4 février: Yves Jégo annonce une baisse de 10% sur 100 produits de base dans les supermarchés guadeloupéens - 5 février: lancement d'une grève générale en Martinique, avec des manifestations quotidiennes - 9 février: un pré-accord est trouvé en Guadeloupe, prévoyant notamment une augmentation de 200 euros pour les bas salaires, principale revendication du LKP. Mais le départ précipité, sur demande de Matignon, d'Yves Jégo qui retournera sur place deux jours plus tard suscite incompréhension et colère - 10 février: François Fillon annonce le refus de l'Etat de prendre en charge les hausses des salaires. Deux médiateurs sont nommés pour tenter de trouver un accord - 12 février: les négociations entre le LKP et les médiateurs de l'Etat sont rompues. A la Réunion, un appel à la grève est lancé pour le 5 mars - 13 février: Nicolas Sarkozy annonce la création d'un conseil interministériel de l'Outre-mer, chargé de la "rénovation de la politique menée par l'Etat" dans les DOM-TOM - 16 février: une cinquantaine de manifestants sont arrêtés sur un barrage routier en Guadeloupe - 18 février: nuits de violences en Guadeloupe. Jacques Bino, un syndicaliste de la CGTG, membre du LKP, est tué par balle près d'un barrage à Pointe-à-Pitre dans la nuit du 17 au 18, alors qu'il revenait d'un meeting. Des commerces sont pillés et incendiés, ainsi que des véhicules. Trois policiers et trois gendarmes sont légèrement blessés. Le lendemain matin, la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie annonce l'envoi de quatre escadrons de gendarmes mobiles, soit 300 hommes - 19 février: Nicolas Sarkozy reçoit à l'Elysée les élus d'outre-mer. Il promet de se rendre "dès le calme revenu" en Guadeloupe à l'occasion d'états généraux qui se dérouleront dans tous les départements d'outre-mer. Outre un "effort supplémentaire" de 580 millions d'euros pour les DOM, il annonce également que l'Etat est prêt à exonérer de charges sociales une prime mensuelle que les entreprises voudraient bien verser aux plus bas salaires - 22 février: plusieurs milliers de personnes assistent aux obsèques en Guadeloupe du syndicaliste Jacques Bino, en présence de Ségolène Royal, Olivier Besancenot et José Bové - 24 au 26 février: nuits de violences à Fort-de-France, en Martinique: magasins pillés, véhicules incendiés, automobilistes agressés. Les forces de l'ordre, qui déplorent plusieurs blessés, procèdent à plusieurs dizaines d'interpellations - 27 février: en Guadeloupe, signature entre le LKP et des organisations patronales minoritaires d'un accord sur les 200 euros d'augmentation pour les bas salaires. Le MEDEF rejette l'accord - 28 février: un homme de 35 ans, suspecté d'avoir tué Jacques Bino, est mis en examen pour "meurtre et tentative de meurtre" et écroué - 2 mars: le LKP examine un projet d'accord transmis par la préfecture - 3 mars: en Martinique, un "accord cadre" prévoyant une augmentation de 200 euros sur les plus bas salaires est trouvé entre le patronat, l'Etat, les collectivités locales et le "Collectif du 5-Février" à l'origine du mouvement. Tous les syndicats du collectif n'ont cependant pas signé l'accord et la population est invitée à "continuer la mobilisation" - 4 mars: après 44 jours de conflit en Guadeloupe, le LKP et les représentants de l'Etat signent un protocole d'accord appelant "à la reprise de l'activité normale". L'accord dit "Jacques Bino" sur les bas salaires lui est annexé - 5 mars: forte mobilisation à La Réunion contre la vie chère, à l'appel du Collectif des organisations syndicales, politiques et associatives de l'île (COSPAR). Au moins 10.000 personnes manifestent à Saint-Denis, et 5.000 à Saint-Pierre (sud) - 10 mars: nouvelle journée de grève à l'appel du COSPAR à La Réunion. AP
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Caisse de prévoyance, nouvelle embauché
A partir du moment de ton recrutement : tu es admis au Cadre Permanent dont tu bénéficies de tous les acquis et avantages du cheminot SNCF. Tu sera donc inscrit d'office à la Caisse de Prévoyance et de Retraite. Tu devrais donc recevoir ta nouvelle carte vitale vitale rapidement. (Tu pourras nous dire le délai à réception ?) Dans l'attente conserves ton ancienne carte Vitale CPAM : si tu tombes malade ou si tu as besoin de médicaments tu devrais toujours pouvoir l'utiliser. Je te conseille aussi de choisir rapidement une mutuelle cheminote pour ce qui n'est pas couvert par la Caisse de Prévoyance (lunettes, dents, hospitalisation etc...)
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Lettre d'un ex Militant
Au fait : pas de lettre d'adhérent qui aurait quitté la CGT (ou SUD, FO...) pour rejoindre la CFDT-FGAAC ?
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Grève générale reconductible en Guadeloupe
Nous sommes dans le cas de la Guadeloupe (mais idem en Martinique) dans le cadre d'un mouvement social ( et je dirai mêmé à caractère révolutionnaire au sens des mouvements des sans-culottes de la révolution française) de grande ampleur où les pressions et manipulation sont réelles de part et d'autres : côté salariés et population avec le LKP où l'exaspération est latente côté patronat et Béké côté pouvoir avec l'utilisation de la force légale . sans parler des actes de délinquances menés par une minorité ... faut-il aussi rappeler qu'un syndicaliste du LKP a été assassiné ? des militants et de policiers blessés ? des magasins pillés par des délinquants etc... Nous avons souvent le même phénomène en France lors des mouvements sociaux et manifestations de grande ampleur (sans parler des provococations et des manipulations de tous ordres et toutes origines) C'est aussi le résultat des politiques libérales en cours, le manque de dialogue social (combien aura-t-il fallu de temps à Sarkozy pour recevoir les OS -et pas toutes d'ailleurs- depuis le début de la crise financière... Sans parler de l'exaspération et des mécontentements des populations par rapport à la vie chère, aux manques de salaires, au chômage, à la misère, aux ghettos culturels etc... Le tout résulte à l'évidence d'un climat social, économique, politique, culturel fortement dégradé qui touche TOUS les pays du monde (il suffit de regarder un tant soit peu les informations émanant de tous les pays du monde en ce moment). Dans le cas de la Guadeloupe ce qui est aussi significatif c'est la force et l'unité du mouvement populaire et social autour du LKP qui regroupe 49 organisations différentes : à quand la même chose en France ? Si tu relis mes posts depuis que je suis sur ce forum tu constateras que l'une de mes positions favorites réside justement dans la nécessité de l'unité des organisations syndicales et associatives face au pouvoir politique et économique (qu'il soit de droite ou de gauche) pour peser sur les décisions. Ce que nous avons besoin non seulement en France mais aussi en Europe et sur la planète c'est d'une véritable politique sociale et humaine (emploi, développement économique et culturel durable et écologique, paix) pour une planète de 7 milliards d'habitants (1 milliards en 1900 certainement 10/12 milliards en 2025...). Le problème c'est que pour se faire il faut en finir avec les dogmes libéraux-capitalistes tout en garantissant des idées de démocraties et de libertés.
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Grève Effia
Avant 95, la stratégie du Pouvoir politique et de la direction SNCF étaient d'éclater la sncf ETet donc par conséquent de s'attaquer directement au statut des personnels SNCF. La grève de 95 contre le plan Juppé (RPR-UMP)d'une part sur les retraites et le plan d'entreprise (fermeture de 6.000 km de lignes entre autre ) a fait échec à cette stratégie issue faut-il le rappeler du traité de Maastricht de 92. Le retour de la gauche en 97 a créé un nouvel espoir vite déçu par la politique JOSPIN (PS) (absence de nesures sur les salaires et les retraites, absence d eluttes contre les licenciements, affaire des 35h...) qui a débouché sur les évènements de 2002. le retour de la droite (Chirac-Balladur-Villepin) en 2002 s'est concrétisé par une nouvelle stratégie : puisque le libéralisme ne peut s'attaquer directement aux cheminots dans une bataille frontale, faisons entrer un peu plus le privé par les fenêtres à l'image de ce qui s'était passé pour le sernam, les travaux équipement, le gardiennage, le nettoyage) d'où l'ouverture à la concurrence dans le FRET mais aussi les Télécom, la vente de la SHem etc etc... C'est ainsi qu'on a vu apparaître EFFIA filiale SNCF à 100% dirigé par des Cadres Supérieurs de la SNCF en fait souvent des personnels contractuels à contrats spéciaux et à forte rémunération aux résultats. Evidemmment à Effia on ne prend pas au départ n'importe qui : ce seront des CDD, des intérimaires recrutés par les boîtes d'intérim, des étudiants pour des job à durée limité le tout sous une forte politique managériale type McDo pour faire simple avec un turn over impressionnant de l'ordre de 75% de personnel par an... Mais peu à peu en fonction des besoins en augmentation d'activités et de de personnel les organisations tendent à se stabiliser sous les pressions des personnels EFFIA plus satbles mais aussi des cheminots des localités et du rôle des syndicats, de l'inspection du travail et des procès prud'hommes. On retrouve là la même logique stratégique que pour les boîtes de gardiennage et de nettoyage avec les contrats bi-annuels, appels d'offre et changement de prestataires. Donc normal que le personnel d'Effia s'organise , se struture ( à partir d'un certain seuil de personnel, les structures de représentations de personnel (DP CE OS) deviennent obligatoires et légales et se mettent en place ce qui change la donne te le rapport de force. De plus les liens avec les cheminots et donc avec les militants syndicaux se renforcent et ça commence à bouger à revendiquer. On a la même situation dans d'innombrables entreprises privés appartenant au groupe SNCF. La logique défendu par plusieurs Organisations syndicales : c'est que tous les salariés du groupe SNCF dispoosent d'un statut identique approchant et renforçant le Statut des cheminots SNCF; cette même logique se défend pour les cheminots des Entreprise Ferroviaires Privées. Mais n'oublions pas qu'en face on a un gouvernement de droite qui n'hésitent pas à mettre en oeuvre les directives libérales de la Commission de Bruxelles avec un parlement européen à tendance de droite et un MEDEF hyper puissant qui influe considérablement sur le pouvoir et les parlementaires UMP qui a en son sein nombre de patrons et de libéraux.
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Lettre d'un ex Militant
Tu as peur de l'effet Guadeloupe ?