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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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J'plaisante... Va pas nous faire un cauchemar tu risquerai de réveiller tout le quartier...
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Sabotages caténaires............
Dom Le Trappeur a répondu à antoine situé dans Actualité ferroviaire générale
Sûrement aussi. Dérive d'une société toute entière en crise... -
partouse ==>> Par Toutatis
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T'as pris ta carte à l'UMP ?
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Et pourtant de l'Argent avec un A comme Livret A Au sommet de sa popularité, le Livret A arrive dans toutes les banques AFP Thomas URBAIN Plus populaire que jamais grâce à un taux encore attractif - mais qui devrait fortement baisser le 1er février - et à la crise financière, le Livret A sera commercialisé par toutes les banques à compter du 1er janvier, une réforme exigée par Bruxelles. L'ouverture met fin à l'exclusivité de la Caisse d'Epargne, de la Banque postale et du Crédit Mutuel (pour le Livret Bleu), dépositaires des 46 millions de Livrets A déjà ouverts. Leurs concurrents se sont déjà placés à coup d'offres promotionnelles afin de capter une partie de cette manne de presque 133 milliards d'euros, même si 70% environ des sommes collectées seront centralisées auprès de la Caisse des dépôts. Peu de chiffres circulent, mais les pré-réservations semblent aller bon train. Seule à s'exprimer officiellement, Société Générale faisait état, début décembre, de plusieurs centaines de milliers de réservations, le chiffre dépassant les prévisions initiales de la banque. "Il va y avoir un fort mouvement" des distributeurs historiques de ce produit vieux de 190 ans vers les autres banques, prévoit Sébastien Papillon, manager services financiers au sein du cabinet Sia Conseil. Dans une étude, Sia évalue la perte des commissions perçues sur le Livret A à environ 30% pour la Caisse d'Epargne et la Banque postale. Au total, selon l'étude, la généralisation du Livret A amputerait d'un milliard d'euros le Produit net bancaire (équivalent du chiffre d'affaires) des distributeurs actuels. Outre les transferts entre établissements, les nouvelles banques distributrices font état d'un volume important de clients ouvrant leur premier livret. Cela devrait contribuer à augmenter les sommes déposées, lesquelles financent le logement social par l'intermédiaire de prêts accordés par la Caisse des dépôts. Mais l'effet pourrait être atténué par la baisse du taux, qui devrait intervenir au 1er février. Selon les données statistiques actuellement disponibles, la rémunération pourrait ainsi passer de 4%, un sommet depuis 1996, à 2,75%, voire moins. Cependant, compte tenu de la conjoncture, le gouvernement n'a pas écarté la possibilité d'atténuer la baisse des taux. Le ministère de l'Economie indique qu'aucune décision ne sera prise avant la mi-janvier, une fois disponible l'ensemble des chiffres permettant le calcul. Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, qui décide de l'application ou non du mécanisme de calcul, a récemment estimé qu'un maintien du taux "serait un obstacle au redémarrage de la croissance". "Baisser le taux du Livret A, c'est baisser les taux des prêts aux HLM, ce qui est bon pour l'activité économique", a-t-il expliqué. Les Français sont traditionnellement sensibles à une baisse importante du taux du Livret A. Ainsi, à l'été 1999, le passage de de 3% à 2,25% avait entraîné des sorties nettes de 5,5 milliards d'euros en quatre mois. Néanmoins, même en cas de forte baisse du taux, le Livret A devrait bénéficier, outre l'élargissement de la distribution à tous les réseaux, de la crise financière. "L'éclatement de la crise bancaire et sa diffusion au reste de l'économie a suscité un sentiment de panique chez les épargnants qui ont avant tout cherché à protéger leurs économies. Ils se sont donc précipités sur les placements les plus sûrs", au premier rang desquels le Livret A, a estimé le cabinet Seeds Finance. Les derniers chiffres disponibles font, en effet, de 2008 une année record en matière de collecte, avec 12,5 milliards d'euros à fin octobre.
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Le village de Carlat (Cantal) demande Bruni (Italie) en mariage AFP Le village auvergnat de Carlat (Cantal) a pris contact avec la mairie du village italien de Bruni, près de Turin, afin d'organiser un jumelage "en clin d'oeil à la première dame de France", a déclaré mardi à l'AFP le maire communiste de Carlat, Alain Cousin. "J'ai mes opinions, mais j'ai du respect pour la première dame, comme pour le président. Et nous avons cherché à entrer en contact avec une ville nommée Bruni pour lui faire un clin d'oeil", a expliqué le maire. Les 300 Carladéziens voient cette initiative d'un oeil "mi-amusé, mi-intéressé", a-t-il assuré. Après avoir trouvé plusieurs Bruni sur internet, au Portugal, en Autriche, en Suisse et aux Etat-Unis, la municipalité a opté pour le petit village italien de Bruni, en allusion aux origines italiennes de Carla Bruni. "Je n'ai pas regardé la couleur politique du maire de Bruni, mais on a tout pour s'entendre: c'est un village de montagnards, ils font de bons produits régionaux, et ils ont une forte culture folklorique, comme nous", souligne M. Cousin. Le maire de Carlat, qui a envoyé un courrier électronique à son homologue italien juste avant Noël, espère une réponse après les fêtes. Carlat espère pouvoir ainsi organiser des échanges économiques et culturels, et faire connaître le village et son rocher surmonté d'une citadelle rasée en 1600, appartenant à la famille princière de Monaco.
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déguer... pissons ! ==>> concours à celui qui fera le plus loin... mdrmdr
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Grèves sur le Transilien dimanche et lundi
Dom Le Trappeur a répondu à edel79 situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Ben ouai un peu dur le métier d'infirmier-infirmière pour un glandeur... mdrmdr -
Grèves sur le Transilien dimanche et lundi
Dom Le Trappeur a répondu à edel79 situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Tiens parait qu'ils recherchent des infirmières et des médecins dans les hôpitaux Tu pourrais voir à te reconvertir ou être un peu plus flexible... Et si tu veux venir passer la nuit du 31 décembre au 1er janvier dans mon poste d'aiguillages ce sera avec plaisir que je t'accueillerai mais attention mon Ami, faudra pas croire qu'on va glander car il y aura des trains supplémentaires toute la nuit pour ramener les joyeux fêtards des champs Elysées et autres lieux de plaisirs nocturnes... -
pastaga ==>> saveurs... Et retour sur la bonne voie...
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Sabotages caténaires............
Dom Le Trappeur a répondu à antoine situé dans Actualité ferroviaire générale
Faisons preuve de tolérance... N'oublions pas qu'aux frontons de nos mairies et bâtiments publics sont inscrits en lettres de sang et d'or, trois mots qui demeurent d'actualité : "Liberté, Égalité, Fraternité" et restent un combat à gagner et à défendre... Alors LIBERATION Sur un autre sujet Pour la fin du délit d’outrage Par Romain DUNAND, condamné à 800 euros d’amende, dont 600 avec sursis pour outrage à Nicolas Sarkozy; Jean-Jacques REBOUX, condamné à 150 euros d’amende avec sursis pour outrage à policier; Eunice BARBER, condamnée à 5 000 euros d’amende pour outrage et rébellion; Maria VUILLET, poursuivie pour outrage au sous-préfet d’Ile-de-France, relaxée, appel en cours; Simone LEVAVASSEUR, poursuivie pour outrage au préfet de Haute-Saône; Hervé EON, condamné à 30 euros d’amende avec sursis pour offense au président de la République, appel en cours; Serge SZMUZSKOWICZ, condamné à 500 euros d’amende pour outrage à gendarme en civil; Isabelle SYLVESTRE, poursuivie pour outrage à policier; Jean-Paul DESBRUÈRES, outrageur non poursuivi; Patrick MOHR, poursuivi pour outrage à CRS; Jean-Claude LENOIR, poursuivi pour outrage à CRS; Yves BAUMGARTEN, poursuivi pour outrage à policier; M’hamed BELLOUTI, condamné à 2 000 euros d’amende pour procédure téméraire et abusive contre le fils du chef de l’Etat, appel en cours. Ces dernières années, le délit d’outrage est devenu en France un délit «en vogue». De 17 700 faits enregistrés en 1996, on est passé à 31 731 en 2007. Cette inflation (+ 42 %), dans le contexte actuel du tout répressif, pose de cruciales questions de société. Le délit d’outrage, qui consiste à porter atteinte à la dignité d’un représentant de l’autorité publique, ou à ses fonctions, est proche du délit d’injure, qui appartient au régime des infractions de presse, très protecteur de la liberté d’expression. Ce qui n’est pas le cas de l’outrage, délit de tous les arbitraires, passible de 7 500 euros d’amende et de six mois de prison. Alors que l’injure à un citoyen «ordinaire» ne «coûte» que 45 euros. Cette ahurissante disproportion constitue la première des raisons pour lesquelles nous demandons que ce délit arriéré, obsolète, inique, soit chassé du Code pénal, comme le furent jadis les délits d’offense à la morale religieuse, d’outrage aux bonnes mœurs, et plus récemment (1994) le délit d’outrage par la voie du livre. Parce que l’outrage constitue une aberration de droit, l’agent constateur étant en même temps la «victime» et que devant un tribunal, c’est parole contre parole, celle du fonctionnaire assermenté contre celle du citoyen lambda. Parce qu’il est utilisé par les «forces de l’ordre» pour couvrir des violences policières de plus en plus insupportables, des abus d’autorité scandaleux, des gardes à vue arbitraires (+ 54 % en cinq ans) qui font de chaque citoyen, quelles que soient ses origines sociales, un coupable potentiel. Parce qu’il est utilisé à des fins mercantiles par des policiers, des gendarmes qui arrondissent leurs fins de mois en se portant partie civile. Parce que, dans le contexte actuel de la politique de résultat imposée dès 2002 par le ministre de l’Intérieur Sarkozy, l’outrage est utilisé pour faire grimper le taux d’élucidation des infractions. Parce que l’outrage participe à une pénalisation des rapports sociaux en sanctionnant la parole au détriment du dialogue démocratique. Parce que l’outrage concourt à un rétrécissement des libertés individuelles, et qu’il est utilisé par le pouvoir comme une arme de répression pour bâillonner les luttes militantes, notamment lorsque des citoyens s’opposant à la traque des sans-papiers organisée par le ministre de l’Identité nationale se voient traînés devant les tribunaux. Parce que le délit d’outrage, exception française, n’existe pas chez la plupart de nos voisins. Parce qu’il y a dans la loi sur la presse de 1881 tout ce qu’il faut pour réparer l’outrage… Nous demandons sa dépénalisation. Mais le délit d’outrage n’est pas le seul en cause. Récemment, pour la première fois depuis trente-quatre ans, un de ses avatars a été remis au goût du jour : le délit d’offense au président de la République. Autrement dit, le crime de lèse-majesté. Un citoyen français a été condamné à 30 euros d’amende avec sursis pour avoir, lors du passage d’un cortège présidentiel, brandi une pancarte estimée offensante par la justice. L’affaire est d’autant plus scandaleuse (et ridicule) que cette personne ne faisait que reproduire l’injure adressée le 23 février au salon de l’Agriculture par le chef de l’Etat à un citoyen qui avait refusé de lui serrer la main. Elle est d’autant plus intolérable que nombre de nos concitoyens sont en droit de considérer ce «Casse-toi pauvre con !» adressé à un des leurs comme une offense à la Nation tout entière, et n’hésitent plus à poser la question : quel respect accorder à un président de la République aussi peu respectueux de ses concitoyens ? Dans ces conditions, et alors que le délit d’offense à chef d’Etat étranger a été supprimé en 2004 après avoir été déclaré contraire à la Convention européenne des droits de l’homme, nous disons que le délit d’offense au chef de l’Etat français n’a plus sa place dans notre société. Nous demandons l’abrogation pure et simple de l’article 26 de la loi du 29 juillet 1881, relatif à l’offense au Président. Enfin, nous lançons un cri d’alarme à propos du comportement de plus en plus brutal d’une police dont on peut se demander si elle est encore au service des citoyens et de la République, ou au service exclusif d’un pouvoir. Cette menace pour la démocratie, récemment médiatisée par la garde à vue d’un journaliste de Libération, l’interpellation d’un photographe couvrant une manifestation lycéenne à Lyon et l’intervention brutale de gendarmes dans un collège du Gers, ne peut laisser aucun citoyen indifférent. Trop de personnes ne supportent plus de vivre dans la peur d’un contrôle de cette police-là. C’est pourquoi nous appelons à un débat sur les violences policières, ce cancer de la société française, dont les responsables politiques, de droite comme de gauche, détournent depuis trop longtemps les yeux. Nous rappelons que la dernière fois qu’un parlementaire s’est mêlé de questionner le pouvoir sur le comportement policier (commission d’enquête sur les dysfonctionnements de la police, à la requête du député Jacques Brunhes, en février 2006), il n’a obtenu qu’une fin de non-recevoir du ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy. Ministre dont la politique de résultat - imposée par les instructions ministérielles de 2002 - n’est pas étrangère aux tensions croissantes qui opposent la police et les citoyens. Sarkozy porte une large part de responsabilité, maintenant qu’il est devenu chef de l’Etat, dans la prolifération des abus et des dérives scandaleuses qui mettent en cause la police (parmi lesquels le délit d’outrage) dans la patrie dite «des droits de l’homme». Il y a urgence. La pétition en ligne, disponible sur les sites de la Ligue des droits de l’homme et du Collectif pour une dépénalisation du délit d’outrage (Codedo), sera remise à l’Elysée et à la Chancellerie le 23 février. Ella a déjà été signée par plus de quatre cents personnes, parmi lesquelles Jean-Pierre Dubois, Antoine Comte, Jean-Luc Godard, Jacques Testart, Emmanuel Terray, François Morel, Luis Rego, Gilbert Melki… -
parfumées ==>> anisées
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Grèves sur le Transilien dimanche et lundi
Dom Le Trappeur a répondu à edel79 situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Des cas de ce type sont apparus dès la fin des années 80 suite aux dysfonctionnements importants apparus sur les lignes de banlieue parisienne. (urbanisation galopante, temps de transports allongés, crise économique apparue en début des années 70...) Ces dysfonctionnements étant liés aux pannes de trains , retards d'exploitation : rien à voir avec des cas de grève à l'époque. Ensuite des employeurs ont utilisés ces mêmes arguments en y ajoutant le cas de "risque de grève" pour refuser d'embaucher des gens habitant en banlieue et utilisant ces lignes. -
Sabotages caténaires............
Dom Le Trappeur a répondu à antoine situé dans Actualité ferroviaire générale
tribune libre 29 décembre 2008 L'Humanité L’affaire de Tarnac :un ordre psychotique Par Jean-Claude Paye, sociologue. Réflexion sur le fonctionnement de l’accusation de terrorisme. Le 11 novembre 2008, dans le cadre de l’opération « Taïga », cent cinquante policiers encerclaient le petit village de Tarnac, en Corrèze. Simultanément, des perquisitions étaient menées à Rouen, Paris, Limoges et Metz. L’interpellation de dix jeunes gens était avant tout un spectacle destiné à créer l’effroi. Leur arrestation serait en rapport avec des actes de sabotage de lignes de la SNCF, qui ont causé, le 8 novembre, le retard de certains TGV sur la ligne Paris-Lille. Les actes malveillants - l’arrachage de plusieurs caténaires - ont été qualifiés de « terroristes » alors qu’ils n’ont, à aucun moment, menacé la vie humaine. L’accusation, qui dit disposer de nombreux indices, reconnaît n’avoir aucun élément matériel de preuve. C’est le profil des jeunes interpellés qui justifie leur mise en examen. Ils ont été arrêtés parce qu’« ils tiennent des discours très radicaux et ont des liens avec des groupes étrangers », et que nombre d’entre eux « participaient de façon régulière à des manifestations politiques », par exemple « aux cortèges contre le fichier Edvige et contre le renforcement des mesures sur l’immigration ». Quant à leur logement, il est désigné comme « un lieu de rassemblement, d’endoctrinement, une base arrière pour les actions violentes ». Bien qu’accusés de constituer le « noyau dur d’une cellule qui avait pour objet la lutte armée », ils seront rapidement libérés, certains sous condition, d’autres assignés à résidence. Seul le « chef » et sa compagne resteront emprisonnés. Ce 26 décembre, la cour d’appel de Paris a, à la requête du parquet, annulé l’ordonnance de mise en liberté de Julien Coupat. La demande de libération de sa compagne avait été préalablement rejetée. Le discours du pouvoir procède à un double déplacement : de simples actes de sabotage, comme il peut, par exemple, y en avoir dans un mouvement social, sont qualifiés de « terroristes », et ces actes sont nécessairement attribués aux jeunes de Tarnac, bien que la police reconnaisse l’absence de tout élément matériel de preuve. L’image du terrorisme érigée par le pouvoir crée un réel qui se substitue aux faits. Ceux-ci ne sont pas niés, mais toute capacité explicative leur est déniée. Les actes de sabotage ne peuvent être que le fait de personnes désignées comme terroristes. L’acte de nommer, antérieur à toute procédure d’évaluation objective, renverse celle-ci et l’enferme dans une forme vide. L’absence d’éléments matériels permettant de poursuivre les inculpés n’est pas niée, mais la nécessaire prévalence des faits est renversée au profit de la primauté de l’image construite par le pouvoir. La position de la ministre de l’Intérieur, Mme Alliot-Marie, est particulièrement intéressante : « Ils ont adopté la méthode de la clandestinité. Ils n’utilisent jamais de téléphones portables et résident dans des endroits où il est très difficile à la police de mener des inquisitions sans se faire repérer. Ils se sont arrangés pour avoir, dans le village de Tarnac, des relations amicales avec les gens, qui pouvaient les prévenir de la présence d’étrangers. » Mais la ministre en convient : « Il n’y a pas de traces d’attentat contre des personnes. » Ces déclarations résument bien l’affaire. Ce qui fait de ces jeunes gens des terroristes, c’est leur mode de vie, le fait qu’ils tentent d’échapper à la machine économique et qu’ils n’adoptent pas un comportement de soumission « proactive » aux procédures de contrôle. Ne pas avoir de téléphone portable devient un indice établissant des intentions terroristes. Rétablir le lien social est également un comportement incriminé, puisque cette pratique permet de poser un cran d’arrêt au déploiement de la toute-puissance de l’État. Dans ces déclarations, la référence aux faits, en l’absence de tout indice matériel probant, ne peut être intégrée rationnellement et engendre une phase de délire, une reconstruction du réel avec l’image du terrorisme comme support. Ce processus est également visible dans les rapports de police, dans lesquels s’opère, au niveau du langage, toute une reconstruction fantasmatique de la réalité. Ainsi, comme indice matériel prouvant la culpabilité des inculpés, la police parle de « documents précisant les heures de passage des trains, commune par commune, avec horaire de départ et d’arrivée dans les gares ». Un horaire de la SNCF devient ainsi un document particulièrement inquiétant, dont la possession implique nécessairement la participation à des dégradations contre la compagnie de chemins de fer. La mise en scène de l’arrestation et de l’inculpation des « autonomes de Tarnac » est un phénomène qui révèle une mutation profonde de l’ordre symbolique de la société. Le pouvoir a la possibilité de créer un nouveau réel, une virtualité qui ne supprime pas mais qui supplante les faits. La faiblesse du mouvement social, la faillite de la fonction symbolique expliquent l’absence de frein opposé à la toute-puissance de l’État qui se montre en tant qu’image englobante, en tant que figure maternelle. À un ordre social qui se révèle contradictoire se substitue une structure psychotique, un ordre qui supprime tout conflit, toute possibilité de confrontation avec le réel. -
Grèves sur le Transilien dimanche et lundi
Dom Le Trappeur a répondu à edel79 situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Et ton train n'est pas tombé en panne ? pas de manque de conducteur ? pas d'incident sur la voie , les caténaires, la signalisation ? pas de signal d'alarme? pas de suicide ? pas de voyageur malade ? etc...etc... J'espère que tu as joué au LOTO ! -
Notons également un fait parfois et même souvent ignoré à la SNCF L'un des critères de restructurations retenu par les directions sncf successives (et oui elles sont loin d'être neutres ...) est de concentrer le nombre d'établissements pour permettre les candidatures des "petits" syndicats et ainsi de diminuer la représentativité des "gros"syndicats... Ainsi le nombre d'établissements est passé d'environ un millier au début des années 70 à moins de 180 actuellement ... (plus les établissements sont petits, moins il y a de présence syndicale "diversifiée" plus les établissements sont importants, plus il y a de candidatures offertes même avec des listes incomplètes) et le constat continuera avec les restructurations à venir... Pour autant il est évident que cette stratégie au moins sur ce point est un échec pour la direction sncf (quelque soit le type d'élections DP, CE, CA) et qu'elle soit tentée de mettre en œuvre une autre approche.
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Quelques rumeurs circulaient début septembre à ce sujet mais il y a eu sûrement des évolutions donc qui vivra verra... Il se peut qu'il y ait également des rapprochements localisés (géographiquement ou par professions...)
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que se passe t'il dans les hopitaux
Dom Le Trappeur a répondu à gypsie 71 situé dans Brin de causette
L'état des hôpitaux d'Ile-de France en question Reuters Les capacités d'accueil des hôpitaux d'Ile-de-France sont en question après le décès dimanche à Paris d'un patient cardiaque qui a été refusé dans au moins 24 établissements de la région. Évoquant un risque de "catastrophe sanitaire", le principal syndicat de médecins urgentistes (Amuf) a demandé au gouvernement de déclencher un plan d'urgence et de rappeler des personnels. Le Parti socialiste a aussi demandé des mesures. La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a écarté ces options et a dénoncé, lors d'une conférence de presse, une "exploitation politicienne". Elle estime que les moyens de l'hôpital ne sont pas en cause et explique l'épisode par un problème d'orientation et d'organisation. Le ministère a confié une enquête administrative à l'Igas (Inspection générale des affaires sociales). Une enquête préliminaire de police sera ouverte, a dit le parquet d'Evry (Essonne), après le dépôt par l'épouse de la victime d'une plainte pour "non-assistance à personne en danger". La victime, âgée d'une cinquantaine d'années, atteint d'une détresse respiratoire samedi soir à Massy (Essonne), a appelé le Smur (Service mobile d'urgence et de réanimation), qui l'a transporté aux urgences de Longjumeau. Là, les médecins ont jugulé plusieurs arrêts cardiaques et ont entrepris de lui trouver un hôpital mieux équipé pour pratiquer un examen des artères coronaires et le placer dans un lit de réanimation, a raconté Roselyne Bachelot. Selon la ministre, 24 hôpitaux l'ont refusé. L'Association des médecins urgentistes de France (Amuf) parle de 27 refus. L'hôpital Bichat l'a finalement accepté vers 05h00 du matin et adressé à Lariboisière pour la coronographie. C'est après son arrivée là que le patient est mort, a dit la ministre. RÉFORME DE L'HÔPITAL EN 2009 L'Amuf estime que "la sécurité des patients n'est plus assurée dans les hôpitaux en Ile-de-France pendant cette période de fêtes". Le syndicat, dans un communiqué, "demande aux plus hautes autorités de l'État de prendre des mesures énergiques". Selon lui, il n'y a plus aucun lit de réanimation ouvert en Ile-de-France en ce moment. Roselyne Bachelot assure qu'il y avait onze lits de réanimation répartis sur dix hôpitaux la nuit des faits. "Il y avait des lits disponibles et au maximum à 20 minutes de Longjumeau. Il y avait une offre de soins qui n'a pas rencontré la demande", a dit la ministre, jugeant l'affaire "incompréhensible" en l'état. Le professeur Jean-Yves Fagon, de l'Assistance publique, a expliqué qu'il arrivait que des chefs de service refusent des malades pour réserver leurs lits en cas d'urgence pour leurs propres patients. "Le procès qui a été fait est un procès de moyens qui n'est pas digne", a ajouté Roselyne Bachelot. Elle a orienté les soupçons vers les médecins ayant pris en charge le malade. "Il y a eu visiblement un problème de diagnostic, de régulation. Ca pose la question d'un pilotage régionalisé et unifié", a-t-elle dit. En grève symbolique depuis trois semaines, les médecins de l'Amuf dénoncent le manque de moyens et de personnel dans les hôpitaux, un constat contesté par le ministère. Selon Benoît Leclercq, directeur général de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, il y a "20 à 30 lits de réanimation" habituellement disponibles en Ile-de-France, chiffre qui paraît infime pour une population de plusieurs millions d'habitants mais correspond selon lui aux besoins constatés. L'affaire survient après le décès accidentel d'un enfant de trois ans à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Paris le soir du 24 décembre. L'Amuf impute ce décès, dû à une erreur de perfusion, à la désorganisation de l'hôpital. Là aussi, Roselyne Bachelot a dénoncé une polémique "politicienne". Elle doit présenter dans les prochaines semaines un plan pour l'hôpital voulu comme une "modernisation" du secteur, et condamné par l'Amuf. Le PS demande à la ministre de reprendre la concertation et de revoir le projet. Thierry Lévêque, édité par Gilles Trequesser -
Charte instituant la création du SLIP sur le forum.
Dom Le Trappeur a répondu à Cheminant situé dans Brin de causette
le détournement de fond est interdit... :blush: -
Charte instituant la création du SLIP sur le forum.
Dom Le Trappeur a répondu à Cheminant situé dans Brin de causette
Le coup de canon : c'est la spécialité du Cheminant ? -
Philosophie : "besoin primaire de conquête" sur le monde virtuel
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Voilà qui pourrait expliquer bien des choses vécues sur nos nouveaux territoires virtuels Les hommes jouent aux jeux vidéo en raison d'un "besoin primaire de conquête" Maxisciences Université de Stanford, Californie, États-Unis - La passion de la gent masculine pour les jeux vidéo viendrait de son "instinct de conquête", selon les résultats d'une nouvelle étude. Chez les joueurs de sexe masculin, les jeux vidéo agiraient sur la région mésocorticolimbique, une région du cerveau impliquée dans le développement des addictions mais aussi dans le sentiment de satisfaction et de récompense. La stimulation de cette zone augmenterait avec le nombre d'adversaires vaincus ou celui de points cumulés. A l'inverse, chez les femmes, cette zone du cerveau serait beaucoup moins susceptible d'être stimulée par les parties de PlayStation, Wii et autres Xbox. Le professeur Allan Reiss du Centre for Interdisciplinary Brain Sciences Research à l'université de Stanford, directeur de l'étude, explique que les femmes comprennent les jeux vidéo aussi bien que les hommes mais qu'elles n'ont pas le même fonctionnement neurologique que leurs homologues masculins, lequel conduit ces derniers à un besoin irrépressible de victoire. "Les hommes sont intrinsèquement plus territoriaux que les femmes. Or, les jeux vidéo les plus populaires sont généralement des jeux violents, impliquant conquêtes, défense du territoire et agression de l'ennemi", explique-t-il. -
Qui fleurte avec qui ? Qui couche avec qui ? Tout compte fait ça les regarde ... Sans oublier que la Direction SNCF joue sûrement la Matrône... L'important c'est de quoi ça va accoucher ? En tout cas ça éclaircit le paysage : CFDT-FGAAC CGC-FO-CFTC UNSA ? SUD-Solidaires CGT La question gagnante : est-ce que les cheminots collectivement (actifs, retraités et ayants droits) y gagneront quelque chose ?
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royal canin ==>> canibales
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L'ultra-gauche est partout..............
Dom Le Trappeur a répondu à antoine situé dans Actualité ferroviaire générale
L'Ultra-Gauche est partout et nulle part ailleurs... -
fouetter un chat ==>> ron ron