Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Actualités Politiques
A la poursuite de l'exemple Die Linke LeMonde.fr 9 décembre 2008 Le rêve de Jean-Luc Mélenchon et de faire naître, en France, l'équivalent de Die Linke (La Gauche), parti créé en Allemagne, en 2007, par des dissidents du Parti social-démocrate avec les ex communistes de l'ancienne République démocratique allemande. Le président de Die Linke, Oskar Lafontaine, est venu soutenir le Parti de gauche (PG) lors de son rassemblement de lancement, le 29 novembre, à Saint-Denis (93). Le programme de réformes libérales du chancelier social-démocrate Gerhard Schröder avait amené des cadres et des syndicalistes à prendre leurs distances, en 2004. Ils ont fusionné avec le PDS (Parti du socialisme démocratique) en 2005 et présenté aux élections, sous la houlette d'Oskar Lafontaine, ancien ministre de l'économie, des candidats qui ont obtenu 53 sièges (sur 612) au Bundestag (Chambre des députés). Alors que les sociaux-démocrates ont formé, avec le centre-droit d'Angela Merkel, un gouvernement de "grande coalition", Die Linke refuse tout accord national. Cela ne l'empêche pas de participer à des gouvernements de gauche dans certains Länder (régions). Créditée de plus de 10% des intentions de vote aux élections prévues pour l'automne 2009, Die Linke espère tirer profit de la récession qui a commencé en Allemagne et des compromis que les sociaux-démocrates ont passés au gouvernement. Il est douteux , pour deux raisons, que ces mécanismes puissent fonctionner, en France, au profit du PG : la création de ce parti n'a attiré, à ce jour, que quelques militants socialistes, et le PCF est beaucoup moins fort, électoralement, que ne le sont ses homologues dans les Länder de l'Est. Si Die Linke peut estimer qu'elle a devant elle un avenir prometteur, il n'en va pas de même de la Gauche arc-en-ciel italienne. Cette formation a été constituée, fin 2007, par d'anciens membres du PCI, opposés à son évolution vers le centre, rejoints par les Verts et d'anciens socialistes. Son chef de file était Fausto Bertinotti, dirigeant du Parti de la refondation communiste et président de la Chambre des députés sortante, qui a renoncé à "tout rôle dirigeant" après la défaite cinglante de ce mouvement, qui n'a obtenu aucun siège aux élections d'avril 2008. Les débats de la refondation communiste se concentrent aujourd'hui sur le cas d'un(e) de ses ancien(ne)s député(e)s "trans-genre". Wladimiro Guadagno, dit Vladimr Luxuria, a gagné l'émission de télé-réalité "L'île des célébrités" grâce au vote, en sa faveur, de téléspectateurs militants communistes.
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Actualités Politiques
La Nature a Horreur du Vide... Le Point sur la situation et les Débats à gauche Votre sentiment de Cheminot sur la question ? *********************************************************************** Un article du Monde La crise du PS crée un espace sur sa gauche LeMonde 9 décembre 2008 Il faut un GPS perfectionné pour trouver son chemin à gauche. Au Parti socialiste, les défenseurs des positions traditionnelles l'ont emporté, autour de Martine Aubry, mais certains pourfendeurs de la "dérive libéral" qui a affecté ce parti, selon eux, au cours des dernières années, ont quand même préféré le quitter. Ils devraient s'allier avec les communistes aux élections européennes de juin 2009. Pendant ce temps, les trotskistes de la Ligue communiste révolutionnaire travaillent au lancement de leur nouveau parti, tandis que les Verts appuient un rassemblement des écologistes de tous bords. La vérité est que la gauche est déboussolée par la crise dans laquelle sont entrées les économies occidentales et par les réponses que lui apportent des gouvernements de droite. Nicolas Sarkozy entreprend de relancer l'activité par la dépense publique sans trop se soucier des critères européens. Ses adversaires lui reprochent de ne pas aider davantage les ménages, mais, pour l'essentiel, cet investissement de l'Etat dans l'économie, après son engagement auprès des banques, leur rend difficile d'emboucher les trompettes de l'anti-libéralisme. C'est pourtant sur ce terrain que la concurrence s'aiguise à gauche. L'idée de base est que la crise financière et, maintenant, la crise économique consacrent la faillite du système qui s'est développé dans les années 1980 et 1990. Le moment est propice pour réveiller une critique qui était moins convaincante quand la croissance tirait l'emploi et le pouvoir d'achat, même si cette prospérité relative se payait de délocalisations et de précarisation. Comme le PS cherche toujours un compromis entre le réalisme économique et le progrès social, les concessions qu'il a faites à l'économie de marché sont retenues contre lui sur sa gauche, où on lui reproche d'être trop conciliant avec le capitalisme. Au centre, il est accusé de chercher à ménager les électeurs de l'extrême gauche, qui lui ont fait perdre la présidentielle de 2002 et dont il a besoin pour gagner en 2012. Pour résumer, Olivier Besancenot et François Bayrou n'ont pas grand-chose en commun, sinon de vouloir tous les deux "plumer la volaille socialiste", selon la vieille expression communiste. Ils ne sont pas les seuls. Jean-Luc Mélenchon, sénateur de l'Essonne, et Marc Dolez, député du Nord, ont claqué la porte du PS pour créer une nouvelle formation, le Parti de gauche (PG), dont le congrès fondateur est fixé à février 2009. En 2005, le sénateur Mélenchon avait fait campagne pour le non au référendum sur le traité constitutionnel européen. Il espérait devenir ainsi le candidat de la "gauche de la gauche" à la présidentielle de 2007, mais il n'avait pas réussi à convaincre ses partenaires communistes, trotskistes ou altermondialistes de le suivre. Aujourd'hui, il veut les rassembler sur des listes communes aux élections européennes. Les seuls à envisager un accord avec le PG sont les communistes. Marie-George Buffet s'est prononcée pour un "front commun" avec l'élu de l'Essonne qui, depuis qu'il est sorti du PS, s'est inscrit au groupe communiste, républicain et citoyen du Sénat. Pour la secrétaire nationale du PCF (1,93% à l'élection présidentielle), tout élargissement de ses listes aux élections européennes est le bienvenu. Mais elle a déjà fort à faire avec son propre parti, dont le 34e congrès s'ouvre, jeudi, à la Défense (Hauts-de-Seine). Alors que la députée de Seine-Saint-Denis veut mettre en place une direction collégiale au sein de laquelle Pierre Laurent, ancien rédacteur en chef de L'Humanité, se préparerait à lui succéder, Robert Hue, ancien dirigeant du PCF, s'oppose à elle, et Jean-Claude Gayssot, son ancien collègue du gouvernement Jospin, l'accuse de faire la chasse aux opposants. La Ligue communiste révolutionnaire, revendiquant 10 000 adhérents pour le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) qui sera fondé en janvier, a refusé la main tendue par Jean-luc Mélenchon. Olivier Besancenot se prépare à diriger sa propre campagne aux européennes. Quant aux écologistes et aux altermondialistes, ils ont décidé de se réunir derrière Daniel Cohn-Bendit, José Bové, l'ancienne juge d'instruction Eva Joly et un proche de Nicolas Hulot, Jean-Paul Besset. Même des écologistes adeptes du "ni gauche, ni droite", comme Antoine Waechter, soutiennent ce regroupement. L'affaiblissement du PS libère les initiatives, engagées les unes au nom de la "vraie" gauche, les autres au nom de l'écologie. Plus d'infos sur Le Monde.fr
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Représentativité syndicale
Représentativité syndicale Infos CGT - 5 décembre 2008 "Une clarification et une mise au point s'impose" 2008_12_09_cgt_fede_Representativite_syndicale.pdf
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"Et si on parlait de ce que la SNCF vous cache"
Avenir de la SNCF Entreprise publique de service public Et si on parlait de ce que la SNCF vous cache Informations CGT 5 décembre 2008 Sur les questions d'actualités du moment à la SNCF : Infra circulation, TER, Fret, Encadrement, croissance externe, organisation de la SNCF perspectives 2008_12_09_cgt_fede_Avenir_SNCF.pdf
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Réforme Bussereau
Transports ferroviaires La CGT dit NON à la réforme de M. BUSSEREAU Communiqué de Presse 5 décembre 2008 2008_12_09_cgt_fede_2008.12.05Reforme_BUSSEREAU.doc
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Emeutes en Grèce
"Ces émeutes, les pires qu'ait connues la Grèce depuis des années, ont éclaté samedi soir après le décès d'Alexandros Grigoropoulos, 15 ans, dans le quartier athénien d'Exarchia. Deux policiers disent avoir été pris pour cibles par une trentaine de jeunes et avoir alors tiré une grenade assourdissante et trois coups de semonce. Cependant, des témoins contredisent leur version, affirmant que l'un d'eux a sciemment visé les protestataires. Les deux agents ont été arrêtés et inculpés, l'un de meurtre et l'autre de complicité." Extrait dépêche AFP La tension sociale est extrêmement forte en Grèce depuis plusieurs mois...
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Téléthon
A qui se fier ma brav'Dame Un prêtre aurait détourné 50.000 euros de dons Le Post L'ancien recteur des sanctuaires de Lourdes (Hautes-Pyrénées), le père Raymond Zambelli, passait vendredi en comparution immédiate au tribunal de Tarbes pour "abus de confiance". Pourquoi? Le père Raymond Zambelli était poursuivi pour avoir détourné des dons dédiés à l'Eglise. Combien? 50.000 euros! Une enquête avait été ouverte, en juin dernier, après un signalement de la cellule anti-blanchiment Tracfin. Des mouvements suspects sur le compte du prêtre avaient été remarqués. La cellule anti-blanchiment a recherché l'origine des 250 chèques encaissés par le prêtre. 80% des 250 chèques encaissés par l'ancien recteur de Lourdes étaient destinés à l'Eglise... Il reconnaît l'escroquerie Le père Zambelli est placé en garde-à-vue, fin novembre, et reconnaît les détournements de dons. Quelle peine? L'ancien recteur de Lourdes a été condamné à un an de prison avec sursis. Il n'a pas été condamné à une amende. Entre temps, le prêtre avait remboursé les plaignants et les sanctuaires de Lourdes. Et que devient-il? Début novembre, le père Raymond Zambelli a démissionné de sa charge, pour "raisons de santé". (Source: La Dépêche)
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Actualités Politiques
La France, mauvaise élève des droits de l'homme, selon Hessel Reuters Elizabeth Pineau La France ne peut se targuer d'être exemplaire en matière de droits humains vu sa façon de traiter les étrangers et les prisonniers, estime Stéphane Hessel, co-auteur de la Déclaration universelle des droits de l'homme. A 91 printemps, le vieil homme aux manières délicieuses est l'invité permanent des cérémonies du 60e anniversaire de ce texte adopté le 10 décembre 1948 à Paris par les 48 pays membres de la toute jeune Organisation des Nations unies. Ces cérémonies culmineront mercredi par une soirée au palais de Chaillot, où Stéphane Hessel lira le préambule de la Déclaration avant la projection de 22 courts-métrages réalisés par autant de metteurs en scène du monde entier. Le diplomate avait à peine 30 ans lorsqu'il entama les travaux conduisant à la rédaction du texte. Soixante ans plus tard, malgré son grand âge, l'ancien résistant, qui joua aussi les médiateurs pour les sans-papiers, veut rester un aiguillon pour les autorités françaises. "Non, elle ne doit en aucun cas s'enorgueillir, c'est toujours mauvais", répond-il quand Reuters lui demande si la France de 2008 peut se vanter d'être encore la patrie des droits de l'homme. "Elle doit constater que si elle fait certaines choses correctement il y en a d'autres qu'elle ne fait pas bien. Notamment, elle s'occupe mal de ses immigrés, elle s'occupe mal de ses sans-papiers et elle ne s'occupe pas bien du tout non plus des questions d'asile", ajoute-t-il. En avril 2007, la Cour européenne des droits de l'homme a condamné la France pour la façon dont elle renvoie les étrangers menacés dans leur pays d'origine. Plus récemment, elle lui a demandé de surseoir à un projet de charter franco-britannique visant à rapatrier vers leur pays des Afghans en situation irrégulière. "PAS À LA HAUTEUR" "La France ne fait pas ce qu'elle devrait car elle a une tradition de pays d'immigration et de pays d'asile. Elle n'est pas la hauteur", regrette Stéphane Hessel. Le diplomate se fait aussi le garant des droits des détenus à l'heure où les prisons françaises enferment plus de 64.000 personnes, un chiffre record qui s'ajoute à la multiplication des suicides de détenus -- plus d'une centaine cette année. Le 16 octobre, la Cour européenne des droits de l'homme a condamné Paris pour manquement à son obligation de "protéger le droit à la vie d'un détenu". "Nous devrions faire un effort pour avoir des prisons un peu moins inhumaines", insiste Stéphane Hessel. Distillées de débats en réunions, ses mises en garde visent d'abord l'Elysée. "Tous mes messages, je les adresse toujours au président de la République française, quel que soit son nom", dit-il. "Le nom actuel est celui d'un fils d'immigré. Donc s'il y a quelqu'un qui devrait savoir qu'il faut considérer l'immigration non comme un fléau mais comme une richesse, c'est bien notre président actuel Nicolas Sarkozy", fait-il remarquer à propos du chef de l'Etat, qui est d'origine hongroise. Aux yeux de Stéphane Hessel, l'actuel président "pourrait en faire beaucoup plus", tout comme la secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme, Rama Yade. "Elle est très sympathique. Mais fait-elle assez pour promouvoir les droits de l'homme dans le monde ? Je n'en suis pas absolument convaincu." Malgré ses critiques, Stéphane Hessel ne veut pas se laisser aller au pessimisme et relève les avancées obtenues en 60 ans sur le chemin des libertés. "Il y a eu la fin du stalinisme, la fin de la colonisation, la fin de l'apartheid, nous avons un Tribunal pénal international pour juger les tyrans : bien sûr que les choses progressent", lançait-il le mois dernier lors d'un débat en présence de l'écrivain bangladaise Taslima Nasreen, chassée de son pays pour avoir critiqué les extrémistes islamistes. Mais quand on lui demande si les Jeux olympiques de cet été à Pékin ont permis d'améliorer les droits humains en Chine, sa réponse est sans appel : "Ça n'a servi à rien." Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse
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Quel est le dernier livre que vous ayez lu ?
Pour le livre... http://pourlelivre.wordpress.com/
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Relance et investissements.
86 : essais pour Vinces. Pour moi ça fonctionne correctement Vinces. Amitiés
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Les salariés auront un droit de refus du travail dominical
ça va faire jaser à la sncf... Bonjour les recrutements... Sinon je suis surpris que les socialistes aient déclenchés une guérilla sur les projets de lois en cours d'examen à l'Assemblée Nationale... lotrela
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Les salariés auront un droit de refus du travail dominical
Les salariés auront un droit de refus du travail dominical Reuters Face aux critiques sur son projet, le ministre du Travail Xavier Bertrand a affirmé dimanche que les salariés auraient un droit de refus du travail le dimanche dès l'an prochain. IL a également mis sur le compte des socialistes le report de la proposition de loi, dont il espère l'examen "le plus rapidement possible." La guérilla menée par la gauche contre le projet de loi sur l'audiovisuel public a eu pour effet de repousser du 11 au 15 décembre le débat à l'Assemblée sur la proposition de loi controversée, y compris dans les rangs de l'UMP. "Il y a une obstruction sans nom des socialistes", a dit Xavier Bertrand sur Europe 1. Dans Le Parisien-Dimanche, le ministre assure qu'il "y aura un droit au refus du travail le dimanche, et ce dès l'an prochain." "Dès la signature du contrat de travail, le salarié pourra refuser de travailler le dimanche. Sinon l'employeur sera sanctionné. Et si rien n'est prévu dans le contrat de travail, le droit au refus s'applique aussi", précise-t-il. Xavier Bertrand affirme qu'un employeur qui refuserait une embauche parce qu'un salarié ne veut pas travailler le dimanche serait sanctionné, car il s'agit d'"une discrimination." Selon lui, la majorité de la soixantaine de députés de la majorité initialement opposés au texte sont aujourd'hui d'accord pour le voter. Selon un récent sondage Ipsos, une majorité de Français (84%) considèrent comme "primordial et important" que le dimanche reste le jour de repos commun à la plupart des salariés", contre 16% qui estiment que cela est "secondaire."
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TER Centre annulés au départ de Montparnasse
Il y a quand même une sacrée problématique sur laquelle il va falloir se pencher : du matériel moderne (si...si...) (et pas si vieux que ça mais dans quel état...) des infrastructures modernes (oui...oui...) des technologies nouvelles et au top du modernisme (si...si...) des trains plus nombreux (et oui et bientôt le cadencement...) des voyageurs de plus en plus nombreux (suffit de les compter...Y'a des statistiques qui le prouvent...) mais de moins en moins de cheminots sur le terrain (ça c'est une réalité... dans les gares, les postes, les équipes voie, les ateliers, les dépôts... Pour les bureaux des directions là c'est plutôt le contraire) le tout égal = de plus en plus d'irrégularité (celles de la Direction SNCF qui sont un peu ma foi optimistes... mais dans les tours d'ivoire ...) de plus en plus d'incidents de moins en moins de trains à l'heure ... Tiens si il y en a qui cherche des activités pour la relance économique et l'emploi... Tiens je vais être encore un peu persiffleur : Ils sont où les 3.000 cadres que Pépy devait redéployer sur le terrain au plus près des ..."clients"... ???
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Enigme ...
Houps... okok
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Enigme ...
Si je monte dans la dernière voiture d'un TGV, est-ce que j'arrive après, avant ou en même temps que le conducteur dans la cabine avant du TGV ? Et qu'on ne vienne pas me parler de la sortie de la gare pour me perturber... ou de l'âge du Chef de Gare... okok
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Elections prud’hommales"Un succès pour construire l’unité et le rassemblement", CGT
Période électorale... Elections professionnelles à l'Education nationale: la FSU gagne deux points dans le 1er degré mais en perd un dans le 2nd En ces temps de grogne à l'Education nationale, les syndicats FSU, en première ligne de la contestation, enregistrent une progression dans le premier degré mais un léger tassement dans le second degré, selon les résultats des élections professionnelles publiés samedi par le ministère. Lors du scrutin du 2 décembre, dans le premier degré, le SNUIpp-FSU (instituteurs) a obtenu 47,05% des voix, soit deux points de plus qu'en 2005 (45,05%). Il est suivi du SE-UNSA qui perd un peu plus d'un point et demi à 22,95%, ainsi que du SNUDI-FO et du SGEN-CFDT qui restent à peu près stables à respectivement 7,81% et 7,42%. Dans le second degré, le SNES-FSU a recueilli 37,93% des voix soit 1,2 point de moins qu'en 2005 (39,13%). Il est suivi du SGEN-CFDT qui perd près d'un demi-point à 10,07%. Le SE-UNSA remonte de la cinquième à la troisième place avec 8,08% des voix, soit 1,32 point de plus qu'en 2005. AP
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congé fin d'année
Les agents du cadre permanent chôment chaque jour de fête légale ou déclarée telle ne tombant pas un dimanche. Donc si une fête tombe un dimanche elle n'est pas récupérable... toutefois si noël tombe un dimanche le samedi 24 veille de noël est déclaré férié et donc récupérable ... Imaginons un agent travaillant du lundi au vendredi et en Repos samedi 24 et dimanche 25 : il sera donc mis en Férié le 24 et repos le 25, il récupèrera son repos du samedi 24 Imaginons un agent travaillant les samedi 24 et dimanche 25 (roulement ou réserve ou fac) il récupérera son férié de noël F0 idem pour un agent en roulement dont les repos de son roulement tombent les 24 et 25 ou un agent de réserve ou fac dont les repos programmés tombent les 24 et 25 alors que si un férié (14 juillet par exemple) tombait un dimanche : il n'y aurait pas de récupération... Si vous travaillez le dimanche 25 vos heures de travail sont payés comme un dimanche normal Idem si deux fêtes tombent le même jour (ce fut le cas cette année) on en récupère qu'une...et l'heure de férié n'est payée qu'une fois...
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Elections prud’hommales"Un succès pour construire l’unité et le rassemblement", CGT
ça revient au même seul les votes exprimés comptent... les autres c'est pour du beurre... : abstentions volontaires ou involontaires, votes nuls ou blancs...
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Relance et investissements.
Benoît Hamon réclame le rétablissement de l'autorisation administrative de licenciement En cette période de crise, le tout nouveau porte-parole du Parti socialiste Benoît Hamon a demandé dimanche que soit rétablie "une forme d'autorisation administrative de licenciement" afin d'éviter des "licenciements boursiers" qui déboucheraient sur une "catastrophe" économique. "Non seulement nous allons être confrontés à une série de plans sociaux (...) dans des entreprises qui vont mal", a-t-il noté sur France-Info. Mais "il y a aussi des entreprises qui vont bien économiquement et qui licencient ou délocalisent pour gagner de l'argent ailleurs". "Si le gouvernement ne met pas un cordon sanitaire qui empêche ce type de licenciements boursiers, nous nous préparons (...) une catastrophe terrible", a mis en garde Benoît Hamon. "Ces licenciements d'entreprises qui vont bien, qui gagnent de l'argent, sont encore plus injustes et immoraux dans une période (...) comme celle-ci". A ses yeux, "c'est inadmissible". Le porte-parole du PS a donc souhaité que le gouvernement "rétablisse une forme d'autorisation administrative de licenciement pour les licenciements boursiers de façon à ce qu'on empêche cette casse de l'emploi telle qu'elle s'opère aujourd'hui". Il a suggéré que cela s'applique "là où il y a un doute manifeste sur le mobile du licenciement". Benoît Hamon a par ailleurs estimé qu'il fallait "soutenir le pouvoir d'achat des ménages". Pour ce faire, "il y a une multitude de possibilités dont les baisses de TVA qui ont cet avantage (...) d'agir immédiatement sur le porte-monnaie des Français". En outre, cette mesure coûterait moins cher que les mesures fiscales déjà adoptées. "Un point de TVA en moins, c'est 6,5 milliards d'euros", a-t-il calculé. "Le paquet fiscal, c'est 14 milliards d'euros". AP
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Relance et investissements.
Les critiques du plan de relance ne faiblissent pas Les critiques du plan de relance économique ne faiblissent pas en France, deux jours après l'annonce de ce programme de 26 milliards d'euros centré sur l'investissement, et la nomination d'un ministre dédié. Membres de l'opposition et économistes soulignent l'absence de mesures fortes de soutien à la consommation, moteur de la croissance française, et jugent les sommes débloquées trop faibles pour relancer l'économie. Le ministre chargé de la relance, Patrick Devedjian, promet de son côté d'agir vite car "nous devons nous attendre à des coups durs en 2009". "L'exécution du plan de relance est prévue pour deux ans. J'espère qu'alors, mon ministère sera devenu inutile. Cela voudra dire que nous avons réussi", explique-t-il dans un entretien au Journal du Dimanche. Martine Aubry, premier secrétaire du Parti socialiste, a fustigé samedi un plan qui mêle "recyclage de crédits maintes fois annoncés" et "veilles recettes éculées". "Ce plan n'a rien d'un plan de relance à la hauteur de la crise, alors que 40 milliards d'euros ont été donnés aux banques", a dit l'ancienne ministre de l'Emploi à la tribune du Conseil national du PS. Le président du Mouvement démocrate, François Bayrou, juge lui aussi que le plan n'est pas à la hauteur de la situation. "Quand j'analyse le plan, je ne vois que quatre milliards d'euros d'investissements publics véritablement nouveaux", dit-il dans un entretien publié samedi dans La Tribune. IMPACT LIMITÉ "On est loin du seuil critique d'une action publique. Cela ne suffira donc pas à faire repartir une machine économique profondément encalminée", explique l'ex-candidat centriste à l'élection présidentielle. Selon un sondage OpinionWay pour Le Figaro, les Français ont pourtant bien accueilli les mesures de relance, 61% estimant qu'elles "sont de nature à limiter les effets de la crise en France", 38% jugeant le contraire. Mais pour le directeur du département analyse et prévision de l'OFCE, Xavier Timbaud, "le plan est insuffisant pour ramener la confiance : il manque des éléments forts pour encourager la demande". "Il faut espérer un deuxième plan, concerté et mis en oeuvre cette fois avec nos partenaires européens", déclare-t-il dans les colonnes du Figaro. Economiste chez Barclays Capital, Laurence Boone salue un plan "nécessaire" mais "doute qu'il soit à la hauteur de la récession qui se dessine". "Les mesures annoncées ne sont pas mauvaises en soi", déclare-t-elle dans un entretien à La Tribune. "Mais leur impact sera limité à court terme et il n'est pas sûr qu'elles redonnent confiance aux ménages ou qu'elles fassent repartir l'investissement." Le projet de loi de finances rectificatif comprenant les mesures du plan de relance sera présenté la semaine prochaine au Conseil d'Etat et en conseil des ministres avant la fin de l'année, a annoncé vendredi le Premier ministre François Fillon. Le collectif budgétaire sera soumis au Parlement début janvier. Les dispositions non financières du plan qui portent en particulier sur la simplification de procédures feront l'objet d'un projet de loi ordinaire qui sera lui aussi présenté au Parlement début janvier, a précisé François Fillon. Jean-Baptiste Vey et Laure Bretton
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Grand Jeu
soirée ==>> robe
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congé fin d'année
c'est point tout à fait ça... Mais quand même...
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Grand Jeu
perfusion ==>> infirmière (HéHé)
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Grand Jeu
bouc ===>>> barbe ==>> Dom Le Trappeur ==>> Papa Noël Notre belle et Douce Audrey confirmera cette affirmation Ermeline, ma Chère, tu es un Amour... koiquesse
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a l'intention de la gente féminine
Donc Mesdames, Mesdemoiselles, pour l'avant dernier point, n'oubliez pas de sortir votre gant de soie...