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Manifestation Européenne des Cheminots
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Manifestation Européenne des Cheminots le 13 Novembre 2008 à Paris Désintégration des systèmes ferroviaires nationaux, déstructuration des entreprises historiques, remise en cause des fondamentaux de la production ferroviaire telle la Sécurité, attaques contre les garanties collectives du secteur et contre le corps social cheminots, recours à la sous-traitance, … Les raisons ne manquent pas pour les cheminots européens de manifester leur mécontentement et de pousser leurs revendications. A la demande des Organisations syndicales européennes affiliées à ETF, la section ferroviaire a décidé d’organiser une grande manifestation européenne du rail afin de mettre sous pression le patronat du ferroviaire, les instances européennes et les gouvernements. A l’occasion de la Présidence française, il a été décidé d’organiser celle-ci à Paris le 13 novembre prochain. Cette action de masse doit être organisée autour de plusieurs objectifs et vers plusieurs acteurs. Vers les instances européennes d’une part, commission et parlement, vis-à-vis desquelles nous exigeons : l’arrêt de la libéralisation, une évaluation indépendante sur les effets des premiers paquets ferroviaires, sur les volets économiques sociaux et environnementaux, l’arrêt de la séparation entre les gestionnaires d’infrastructures et les entreprises ferroviaires. Vers le patronat du ferroviaire ensuite, vis-à-vis duquel nous demandons : la définition d’un cadre social et salarial de haut niveau tenant compte des conditions particulières d’exploitation des chemins de fer, et des conséquences des conditions de travail sur le niveau de sécurité, le développement des activités ferroviaires par la mise en oeuvre d’une politique d’innovation et de recherche. Vers les gouvernements nationaux d’autre part, vis-à-vis desquels nous exigeons : la prise en compte des conditions sociales, de l’emploi et des salaires pour la construction européenne, la relance d’une politique d’investissement public vers le ferroviaire afin de permettre un réel report modal de la route vers le rail, la prise en compte des chemins de fer comme outil d’aménagement du territoire. Vers l’ensemble de ces acteurs, nous pousserons notre revendication et notre conception de service public ferroviaire destiné à couvrir les besoins de la collectivité en assurant la protection de notre environnement. Enfin, les négociations engagées sur le plan européen avec la CER doivent être mises sous la pression de cette manifestation. Devant la surdité des instances européennes, l’opportunisme des représentants patronaux et le cynisme ou l’aveuglement des gouvernements nationaux, il est essentiel de réussir cette manifestation pour faire avancer les revendications du secteur. Plusieurs Organisations affilées ont déjà annoncé leur participation. D’ores et déjà, ETF engage pleinement ses affiliés à contribuer à la réussite de cette action, pour peser sur les décisions européennes et nationales. La manifestation du 13 novembre 2008 Rassemblement à partir de 11 heures place de la Bastille Départ à 13h30 pour se rendre à Montparnasse (sous réserve de confirmation de la préfecture) 2008_10_13_ManifEuropeCheminots13Nov2008.pdf -
Image du Jour
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Il y a bientôt un an........les retraites .
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
J'aimerai toutefois voir un bulletin de salaire du privé avec le salaire double pour les heures de Dimanche... -
Il y a bientôt un an........les retraites .
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Dire que Raffarin nous a déjà fait le coup avec le lundi de Pentecôte et vas-y que j'te le rejoue ... avec les 52 dimaches (53 les années bisextiles...) -
Pas d'accord avec une TVA (sur les produits de consommation) car ce sont encore les petits salaires et petites pensions qui vont trinquer... La TVA épargne (jeu de mots...) les riches et les entreprises (donc les actionnaires...)
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Pour envoyer le message ci-dessus environ 20 secondes...
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Un peu d'amélioration mais pas à tous les coups...
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Il y a bientôt un an........les retraites .
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Il parait que 67% des salariés français sont prêts à travailler le dimanche... Hé ben quand ils bosseront tous le dimanche, ça me fera des vacances ... -
UN TRADER DE SINGES Une fois, dans un village, un homme apparut et annonça aux villageois qu'il achèterait des singes pour 10 $ chacun. Les villageois, sachant qu'il y avait des singes dans la région, partirent dans la forêt et commencèrent à attraper les singes. L'homme en acheta des centaines à 10$ pièce et comme la population de singes diminuait, les villageois arrêtèrent leurs efforts. Alors, l'homme annonça qu'il achetait désormais les singes à 15$. Les villageois recommencèrent à chasser les singes. Mais bientôt le stock s'épuisa et les habitants du village retournèrent à leurs occupations. L'offre monta à 20$ et la population de singes devient si petite qu'il devint rare de voir un singe, encore moins en attraper un. L'homme annonça alors qu'il achèterait les singes 50$ chacun. Cependant, comme il devait aller en ville pour affaires, son assistant s'occuperait des achats. L'homme étant parti, son assistant rassembla les villageois et leur dit : « Regardez ces cages avec tous ces singes que l'homme vous a achetés.. Je vous les vends 35$ pièce et lorsqu'il reviendra, vous pourrez les lui vendre à 50$. » Les villageois réunirent tout l'argent qu'ils avaient, certains vendirent tout ce qu'ils possédaient, et achetèrent tous les singes. La nuit venue, l'assistant disparut. On ne le revit jamais, ni lui ni son patron ; que des singes qui couraient dans tous les sens. Bienvenue dans le monde de la bourse !
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Déraillement d'un train de fret
Dom Le Trappeur a répondu à edel79 situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Réouverture du triage en entrée/sortie côté LaVerrière (ex poste5) le vendredi 10 vers 20h... (déraillement 29/9) -
Amen Quand un trader quitte tout pour devenir moine Par Maureen COFFLARD AFP MARSEILLE (AFP) - Passé des salles de marchés aux cités populaires, l'ex-trader millionnaire Henry Quinson, aujourd'hui moine et éducateur dans les quartiers pauvres du nord de Marseille (sud-est), vit sa reconversion comme une quête de sens, loin de la crise financière. "Je me rends compte que j'ai vécu dans trois lieux qui font fantasmer les gens parce qu'on en parle beaucoup et que très peu de gens les connaissent: une salle de marché, un monastère et une cité HLM (logements populaires), ça donne une forme de continuité à mon itinéraire", dit-il. Il y a près de vingt ans, à 28 ans, ce Franco-Américain abandonnait une augmentation de 30% et un confortable bonus offerts par la banque Indosuez où il travaillait pour se retirer dans un monastère. Cette décision avait stupéfait ses proches et sa hiérarchie, persuadée qu'il partait à la concurrence pour une offre plus lucrative. Mais le dieu-dollar ne séduisait plus ce jeune financier élevé à New York dans une famille pratiquante, qui décida, la "trouille au ventre", de rejoindre l'abbaye cistercienne de Tamié, dans les Alpes, pour se consacrer à la prière et à la fabrication de fromage. C'est juste avant cette retraite de presque six ans qu'il eut une vision: "Je me suis vu à Marseille, où je n'étais jamais allé, où je ne connaissais personne, entouré d'enfants maghrébins à qui je faisais l'école". Vision devenue réalité en 1996 avec son arrivée dans les quartiers Nord et la création de la fraternité religieuse St-Paul dans une cité dont 70% des habitants sont musulmans. Avant cela, il s'est "débarrassé" de ses millions en les cédant à différentes associations et non à l'Eglise catholique. "C'est bien de faire des discours sur les pauvres, mais c'est encore mieux d'en faire partie", explique-t-il. Dans l'appartement qu'il partage dans la cité avec l'un des quatre moines de sa fraternité, son quotidien mêle prières, cours d'anglais, soutien scolaire aux enfants, écoute, mission d'écrivain public et aide aux étudiants pour décrocher des bourses d'étude. Ce moine moderne, maniant avec autant d'aisance l'humour que les références bibliques, estime que l'argent "perturbe la relation avec les personnes" et préfère "faire de l'éducatif". "Si un jeune vient chez nous trois jours par semaine pendant dix ans, il va non seulement faire des progrès scolaires mais sa vision du monde va être transformée", juge-t-il. Ce qui lui manque le plus de sa précédente vie, ce n'est ni l'argent, ni l'effervescence des marchés mais... les femmes: "peut être la plus grande souffrance", avoue-t-il. Sur la crise financière, il reste philosophe. "Un gros rhume pour le marché", tranche-t-il, estimant qu'il "y a toujours eu des crises même si celle-ci est particulièrement grave". "J'ai conseillé à tous ceux qui me le demandaient il y a un an de complètement sortir du marché d'actions, je ne sais pas s'ils m'ont écouté", sourit-il. "Aujourd'hui mon salaire annuel de professeur à l'Education nationale correspond à une prime mensuelle de mon salaire de trader à l'époque", mais, poursuit-il, "j'ai infiniment plus de pouvoir en tant que professeur qu'en tant que trader", car "la vraie richesse, c'est l'éducation", "seule apte à changer le monde".
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La question essentielle est de renforcer le régime de protection sociale des retraites par répartition en améliorant son financement pour que celui-ci ne repose quasi-exclusivement sur les rémunérations des salariés mais soit calculé par exemple sur la valeur ajoutée des entreprises, les revenus du capital et les mouvements de fonds ... Il est évident que le nombre de salarié (donc le plein emploi) et le niveau des rémunérations constituent un critère important. mais ce qui génère les crises actuelles du capitalisme c'est le cancer financier qui ronge la planète et dont on constate les dégats aujourd'hui au travers d'une crise financière pour laquelle ce même capitalisme demande déjà aux salariés et retraités de boucher le gouffre qui s'élargit chaque jour qui passe ...
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C'est pas Obama qui propose d'améliorer la protection sociale des américains...?
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Le régime par répartition protège les retraités français de la crise financière Par Daniel MARTINEZ AFP - PARIS (AFP) - Le régime par répartition protège les retraités français des effets de la crise financière, alors que le système de capitalisation à l'américaine, parfois montré en exemple, rend très vulnérables leurs homologues américains, soulignent des économistes et syndicats. Avec la répartition, les actifs paient, par leurs cotisations, les pensions des actuels retraités, tandis que dans la capitalisation, chaque actif prépare sa propre retraite grâce à son épargne, placée, via des fonds de pension, sur les marchés financiers. "Le système par répartition est plus sûr. Les retraités français ou les travailleurs de 45 à 60 ans ne s'inquiètent pas à cause de la crise financière, alors qu'aux Etats-Unis de nombreux salariés s'aperçoivent qu'ils ont une retraite plus faible que prévu", a déclaré à l'AFP Henri Sterdyniak, de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Ces salariés "vont être contraints de travailler plus longtemps ou partir à la retraite plus tard. La crise justifie toutes les craintes qu'on pouvait avoir sur la capitalisation", a-t-il ajouté. Aux Etats-Unis, les fonds de retraite ont fondu de quelque 2.000 milliards de dollars ces 18 derniers mois, selon le bureau du budget du Congrès (CBO). Le directeur du CBO, Peter Orszag, a jugé possible mardi que des salariés dépendant de fonds privés très affectés par l'effondrement des valeurs boursières "soient contraints de retarder leur départ à la retraite". A l'inverse, souligne la présidente de la Caisse nationale de l'assurance vieillesse (Cnav), Danièle Karniewicz (CFE-CGC), la répartition "est un garde-fou incroyable par rapport à des marchés financiers volatils". Dans ce contexte, plusieurs syndicats français appellent à un développement du système par répartition afin notamment d'enrayer la baisse relative des pensions due aux réformes Balladur (1993) et Fillon (2003). Autrement, on incite les salariés à se tourner vers la capitalisation pour tenter de compenser cette baisse, estiment-ils. Ainsi, pour la branche retraités du Syndicat national unifié des impôts, la répartition, qui démontre sa "pertinence" à l'heure où la crise touche "les fonds de pensions anglo-saxons", peut "encore être améliorée, dans un pays où la richesse a été multipliée par 30 depuis les années du +Baby boom+". Ce point de vue est partagé par des économistes, comme Pierre Concialdi (Ires), qui jugent possible une hausse de cotisations permettant d'améliorer les retraites, alors que le gouvernement ne souhaite pas augmenter les prélèvements obligatoires. Selon Mme Karniewicz, "les recettes, on les a. On dit aux salariés qu'il faudra payer plus pour leur retraite. Pourquoi on n'a pas le courage de leur dire qu'il faut payer plus dans le système par répartition ?", a-t-elle ajouté, estimant que l'épargne retraite a crû en France "parce qu'on laisse bien croire aux gens qu'ils ne s'en sortiront pas autrement". Les prestations versées aux titulaires d'un plan d'épargne retraite se sont élevées à 4,2 milliards d'euros en 2006 en France (+5% par rapport à 2005), ce qui équivaut à 2% du montant des retraites versées par les régimes par répartition. Les cotisations ont atteint 9,9 milliards d'euros (+13%) pour l'ensemble des produits d'épargne retraite. Les bénéficiaires de deux produits créés par la loi Fillon et jouissant d'avantages fiscaux, le plan d'épargne populaire (Perp) et le plan d'épargne pour la retraite collective (Perco), ont aussi sensiblement augmenté. Fin 2006, 1,9 million de personnes détenaient un Perp (+12%) et 202.000 un Perco (+98%).
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Métier photographe ?
Dom Le Trappeur a répondu à Buell30 situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
La vie du Rail ou le journal "Les infos"...??? -
Dans toute crise du capitalisme, il y a des gens (riches...) qui s'enrichissent... encore plus La crise c'est pas pour tout le monde...
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Saint Lazare et ses bébêtes ...
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
http://www.lepoint.fr/actualites-societe/r...is/920/0/280199 -
Statut Chapitre 5 - Article 2 : "Pour pouvoir être admis dans un emploi du cadre permanent, tout candidat doit : (...) e) être agé de 18 ans au moins et de 30 ans au plus au jour de son admission." donc 30 ans maxi sans un jour de plus est la règle normale ensuite Il est fait usage des dérogations (enfants, enfants handicapés, service national, etc... Il y en a une longue liste...)
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Images du jour
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Il faut regarder si tu entres dans les dérogations possibles à l'age normal d'admission au CP : 30 ans au jour anniversaire + 1 an par enfant et éventuellement comme dit plus haut le service national et éventuellement d'autres cas de dérogations possibles éventuelles.
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Image...Humour
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Appel des syndicats pour des réponses sociales à la crise Reuters - Dimanche 5 octobre, PARIS (Reuters) - Six syndicats appellent à manifester et parfois à faire grève mardi 7 octobre en France pour exiger des réponses aux urgences sociales, une journée qu'ils jugent plus que jamais justifiée par la crise financière. Les confédérations CFDT, CGT, CFE-CGC, FSU, Solidaires et UNSA ont saisi l'occasion de la journée mondiale pour le "travail décent" pour mobiliser en faveur du pouvoir d'achat et des salaires, mais d'importants syndicats n'ont pas suivi. "Ce sera la première réaction syndicale massive à la crise financière internationale", déclare Maryse Dumas, numéro deux de la CGT, à Reuters. En effet, 170 syndicats de la Confédération syndicale internationale lancent des actions dans une centaine de pays. En France, 87 rassemblements ou manifestations sont prévus. A Paris, une manifestation partira à 15h30 (11h30 GMT) du métro Alma-Marceau pour rejoindre la place du Trocadero où aura lieu un concert en présence de syndicalistes de 14 pays européens. Quelques appels à la grève ont été lancés, comme celui de la CGT et de Sud Rail à la SNCF ou des infirmières scolaires (Snics). A l'Education nationale, la CGT, le Snes et le Snep et Snuep ont déposé des préavis de grève, de même que la CGT Fonction publique. Mais peu de perturbations sont prévues. L'Unef et l'Union nationale lycéenne ont demandé pour leur part aux étudiants et lycéens de se joindre aux cortèges syndicaux. "AUTRE TYPE DE CROISSANCE" "Dans tous les pays du monde, les salariés sont appelés à se faire entendre et encore plus en France pour montrer clairement que nous ne voulons pas que les salaires, l'emploi, le statut du travail soient sacrifiés sur l'autel de la spéculation financière", explique Maryse Dumas. "Il faut exiger un autre type de croissance fondé sur la valorisation du travail", ajoute-t-elle. La plupart des syndicats français dénoncent la "passivité" et le "manque de sincérité" de l'exécutif face à la crise financière comme à la hausse du chômage. A leurs yeux, les annonces de ces derniers jours de Nicolas Sarkozy sont de la pure agitation destinée à occuper le terrain alors qu'il y a urgence à prendre des mesures de soutien à la consommation. Le gouvernement a confirmé la semaine dernière une brusque aggravation du chômage - 41.300 demandeurs d'emploi en plus en août, la plus mauvaise statistique mensuelle depuis mars 1993. "On nous a un peu enfumés", a récemment lancé François Chérèque, le dirigeant de la CFDT pourtant réputé pour son réformisme et qui reproche au gouvernement de faire "supporter les difficultés aux gens eux-mêmes en difficulté." Pour le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, Nicolas Sarkozy a "tendance à grossir l'impact de la crise financière pour s'exonérer d'un débat sur sa propre politique économique et sociale". Cependant, le front syndical reste désuni, puisque ni Force ouvrière, ni la CFTC ne se joignent à cette journée d'action. Jean-Claude Mailly, le "patron" de FO, estime que ce type de manifestations départementales n'est pas à la hauteur de l'enjeu et tente de convaincre les autres organisations de mettre sur pied une journée de grève interprofessionnelle. Gérard Bon, édité par Yves Clarisse
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Il se peut aussi que ta rame US pour un parcours gare A gare C aurait du être couplée dans la Gare B avec une rame gare X gare C et qu'à la suite d'un gros retard de cette dernière ta rame a été acheminée US de bout en bout Ou que la rame X>>C a été acheminée UM de bout en bout (affluence voyageur, rame à rapatrier...) etc... ou bien qu'il soit tout simplement prévu ce type de numérotation dans le système de réservation ou encore que la deuxième rame ait purement et simplement été supprimée par manque de matériel (les voyageurs étant reporté dans l'autre rame.)