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  1. [VS] Canton du Valais (Wallis) [UR] Canton d'Uri Matterhorn Gotthard Bahn
  2. Gare de Plouharnel-Carnac (PK 598,1) Le GA et le PN à SAL 2 n° 462 le samedi 21 septembre 2019. La gare le samedi 21 septembre 2019. La gare le samedi 21 septembre 2019. La gare le samedi 21 septembre 2019. La gare le samedi 21 septembre 2019. L'aiguille 4 le samedi 21 septembre 2019. La gare à l'époque de la Compagnie du PO. La gare à l'époque de la Compagnie du PO. Elle était gare de contact de l'ancienne ligne à voie unique, de La Trinité-sur-Mer à Étel, via Carnac et Erdeven. Ligne établie à l'écartement de 0,60 mètre puis transformée à l'écartement métrique.
  3. Tramway du Mont-Blanc Automotrice Jeanne dans sa livrée d'origine, en gare de Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet en 1993. Photo : Daniel RICHER.
  4. Le bombardement du 26 mai 1944 est, selon le journaliste du Lyon républicain, un des moments les plus tragiques de l’histoire lyonnaise avec ses centaines de morts. Ce bombardement s’inscrit dans la lignée des heures sombres de l’histoire lyonnaise et fait remonter à la surface de la mémoire collective lyonnaise le syndrome du martyrologe qui, par deux fois, a frappé Lyon. Certains îlots d’habitation sont détruits à 100 % : le Grand Trou, l’avenue Berthelot sur plus de 3 km, la place Jean Macé, le quai Perrache et une grande partie du quartier de Vaise. Situés le long de l’avenue Berthelot, des bâtiments de l’Ecole de santé militaire, siège de la Gestapo, sont atteints et, en partie, incendiés. Il en va de même de l’École de chimie et de l’Institut Pasteur, distants de plus de 500 m de la gare de triage de la Guillotière. Plusieurs églises ont reçu des bombes, en particulier celles de l’Annonciade à Vaise et de Saint-Michel avenue Berthelot, qui sont entièrement détruites. Source L’avenue Berthelot le 27 mai 1944 – Archives municipales de Lyon. L’avenue Berthelot le 27 mai 1944 – Archives municipales de Lyon.
  5. Section de Lyon-Perrache à Givors-Canal. Nouvelle halte d'Irigny-Yvours.
  6. Ligne d'Annemasse à Évian-les-Bains. Gare de Thonon-les-Bains (PK 202,7) Samedi 7 septembre 2019 - Mise en place de la nouvelle passerelle.
  7. IGS4

    CC72000

    C'est tout simplement la gare de Paris-Gare-de-Lyon. On aperçoit dans le fond, des rames TGV Sud Est, dans leur livrée originelle. Cette photo a été prise entre septembre 1981 et mars 1988.
  8. Le bombardement de Lyon du 26 mai 1944. Le bombardement du 26 mai 1944 est, selon le journaliste du Lyon républicain, un des moments les plus tragiques de l’histoire lyonnaise avec ses centaines de morts. Ce bombardement s’inscrit dans la lignée des heures sombres de l’histoire lyonnaise et fait remonter à la surface de la mémoire collective lyonnaise le syndrome du martyrologe qui, par deux fois, a frappé Lyon. À 10h46, une escadre s’en prend à la gare de Vaise en lâchant 248 tonnes de bombes. Ces bombes explosives sont accompagnées de bombes incendiaires qui contiennent du phosphore et de l’oxyde de fer. Source Ils n’oublient pas le bombardement de la gare de Vaise. Les trois rescapés et les personnalités. Photo Le Progrès (J.-L. PIHOUEE). Le Progrès du 27 mai 2017 Les ruines de la gare de Lyon-Vaise en 1945.
  9. Gare de Lyon-Vaise (PK 506,3) Altitude : 174 mètres. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. Première guerre mondiale. Intérieur de la grande halle, transformée en infirmerie de 1914 à 1918. Première guerre mondiale - Infirmerie de gare n° 23.
  10. Cas particulier des divagations de bestiaux (Application de l'article 402 du Règlement S 2 B). Ligne de Moulins-sur-Allier à Paray-le-Monial.
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