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  1. Savenay - Donges - Montoir-de-Bretagne - Saint-Nazaire (24,500 km) Mise en service par la Compagnie du Paris-Orléans : le 10 août 1857. Source officielle : Relevé successif des ouvertures (Centre des Archives Historiques de la SNCF). L'arrivée en gare de l'Express Le Croisic - Paris vers 1915. Raffinerie de Donges La raffinerie de Donges est une raffinerie de pétrole située à Donges en Loire-Atlantique. Elle a été construite une première fois en 1933, puis reconstruite en 1947 après avoir été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale. Robert Lesbounit y a réalisé des fresques murales qui représentent la légende d’Antar. Source
  2. Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Messimy - Mornant (et ses antennes) Exploitation : - Compagnie Fourvière Ouest-Lyonnais (FOL) jusqu'en 1910. - Compagnie Omnibus Tramways de Lyon (OTL) à partir de 1911. Au départ de Lyon-Saint-Just la ligne desservait : Les Massues (+ 1,770 km), Grange-Blanche (+ 2,600 km), Demi-Lune (+ 2,733 km), La Demi-Lune (+ 3,320 km), Alaï (+ 4,470 km), Francheville-Étoile d'Alaï (+ 4,910 km), Bel-Air (+ 6,080 km), La Patelière (+ 6,720 km), Craponne-La Tourette (+ 7,600 km), Craponne-centre (+ 8,660 km), Le Tupinier (+ 9,840 km), Grézieu-la-Varenne (+ 11,260 km), La Chanconche (+ 12,550 km), Vaugneray-Maison-Blanche (+ 13,500 km) et Vaugneray-Bourg (+ 14,874 km). Source (gares, haltes et distances) Gare de Vaugneray-Maison-Blanche (Vaugneray-Gare) Automotrice électrique à l'époque ou la gare de Vaugneray-Maison-Blanche était encore terminus de la ligne. Vaugneray-Maison-Blanche (Vaugneray-Gare) - Vaugneray-Bourg (1,400 km) : mise en service le 6 août 1906. Gare de Vaugneray-Bourg Motrice électrique Manage stationnée au terminus de Vaugneray-Bourg le 23 juin 1953. Une motrice à boggies, de type "Manage" stationnée à Vaugneray Bourg. Ces motrices desserviront la ligne de Vaugneray jusqu'à sa fermeture, en 1954. (Archives A.M.T.U.I.R.)
  3. Un petit rappel historique : Section Nancy-ville - Blainville-Damelevières - Lunéville - Sarrebourg (79 km) : mise en service par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Strasbourg le 12 août 1852. Section Blainville-Damelevières - Charmes (Vosges) - Épinal (51 km) : mise en service par la Compagnie des chemins de fer de l'Est le 24 juin 1857. Source officielle : Relevé successif des ouvertures (Centre des Archives Historiques de la SNCF). Gare de bifurcation de Blainville-Damelevières (PK 375 + 500) La gare à l'époque de la Compagnie des chemins de fer de l'Est. La gare de Blainville-Damelevières a été électrifiée en courant alternatif 25 kV 50 Hz le 11 février 1960, en même temps que la section : Varangéville-Saint-Nicolas - Lunéville - Sarrebourg - Réding (et raccordement). La gare vue depuis le pont de la RD 110 (CPA de 1957).
  4. Dimanche 25 janvier. Commune de Chamalières-sur-Loire (Haute-Loire) Tunnel de Boutère (PK 82).
  5. Lyon (Quai de la Pêcherie) - Fontaines-sur-Saône - Neuville-sur-Saône (16,200 km) Exploitation : voie unique à écartement standard (1). - Compagnie du Tramway de Lyon à Neuville (TLN) jusqu'en 1924. - Compagnie des Omnibus et tramways de Lyon (OTL) à partir de 1925. (1) En 1929 fut décidé le remplacement de la ligne existante par une nouvelle ligne à écartement métrique et à traction électrique sous courant continu 600 volts. Très populaire chez les lyonnais, ce tramway électrique était appelé "le train bleu". Mise en service de la ligne à écartement standard : - Lyon (Quai de la Pêcherie) - Fontaines-sur-Saône (10,600 km) : en août 1889. - Fontaines-sur-Saône - Neuville-sur-Saône (5,600 km) : en 1891. Mise en service de la nouvelle ligne à écartement métrique : - Lyon (Quai de la Pêcherie) - Fontaines-sur-Saône (10,600 km) : le 15 septembre 1932. - Fontaines-sur-Saône - Neuville-sur-Saône (5,600 km) : le 15 janvier 1932. Dernier voyage du "train bleu" : le 30 juin 1957. Lyon (Quai de la Pêcherie) La ligne de Neuville avait pour terminus le quai de la Pêcherie à Lyon. A cet endroit, elle avait un tronc commun avec les lignes urbaines à voie normale. Le cliché met en évidence le double écartement des voies à trois files de rails. Le Train bleu du Val de Saône le 23 juin 1953. Source (photos + légende des photos) Neuville-sur-Saône Une motrice seule aux heures creuses au terminus de Neuville. Chaque motrice, livrée en 1932, était muni de quatre moteurs de 80 CV et pouvait tirer jusqu'à six remorques d'aspect identique. Une rame de sept voitures pouvait transporter jusqu'à 400 voyageurs dans de bonnes conditions de confort. Cette ligne a représenté une des plus belles réalisations en matière de tramways suburbains. Le Train bleu du Val de Saône le 23 juillet 1953. Dépôt de Fontaines-sur-Saône Un des derniers clichés d'une motrice de Neuville, le 30 juin 1957, devant le dépôt de Fontaines. Ce matériel aurait encore pu circuler plus d'une décennie.
  6. En gare de Lamure-sur-Azergues c'est normal que la rétention d'une circulation se dirigeant vers Paray-le-Monial s'effectue au moyen d'un SAM (Signal d'arrêt à main). Le PN à SAL 2 n° 46 n'est pas protégé par un GA (Guidon d'arrêt). De plus le PN à SAL 2 n° 46 est situé entre les quais et le sémaphore n° 2.
  7. Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Messimy - Mornant (et ses antennes) Exploitation : - Compagnie Fourvière Ouest-Lyonnais (FOL) jusqu'en 1910. - Compagnie Omnibus Tramways de Lyon (OTL) à partir de 1911. Mise en service : - Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Vaugneray-Gare (13,500 km) : le 19 avril 1886. - Le Tupinier - Brindas - Messimy (5,400 km) : le 25 janvier 1887. - Messimy - Orliénas - Mornant (12,300 km) : le 11 juillet 1887. - La Demi-Lune - Écully PLM (2 km) : le 5 avril 1895. - Vaugneray-Gare (Maison-Blanche) - Vaugneray-Bourg (1,400 km) : le 6 août 1906. Observations : la liaison de 2 km entre les gares de la Demi-Lune (FOL) et d'Ecully (PLM) a été réalisée en vue de permettre l'échange direct de marchandises avec les grands réseaux. Rame du FOL au terminus de Vaugneray-Bourg en août 1916. Fermeture au trafic voyageurs : - Le Tupinier - Brindas - Messimy - Mornant (17,700 km) : le 3 avril 1933. - Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Vaugneray-Bourg (14,900 km) : le 2 novembre 1954. Fermeture au trafic trafic marchandises : - Le Tupinier - Brindas - Messimy - Mornant (17,700 km) : en 1935. - La Demi-Lune - Écully PLM (2 km) : en juin 1935. - Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Vaugneray-Bourg (14,900 km) : le 2 novembre 1954. Gare de bifurcation du Tupinier A gauche la direction de Brindas, Messimy et Mornant. A droite la direction de Vaugneray-Gare et Vaugneray-Bourg. Ancienne gare du Tupinier à Grézieu-la-Varenne, une rame arrive de Vaugneray alors qu'une motrice du service partiel, garée sur l'amorce de l'ancienne ligne de Mornant attend l'heure du retour sur Lyon-Saint-Just. Cliché François COLLARDEAU - 6 octobre 1954. Source (texte et photo)
  8. La locomotive 221 A 14 type "Atlantic" pour trains rapides, série 221 A 1 à 221 A 20 construite en 1906 - 1907 par SFCM-Cail. Editeur : H.M.P. Source (texte et CPA) : Cparama. D'autres locomotives du PLM Les ateliers d'Oullins à l'époque de la Compagnie du PLM (CPA de 1908).
  9. Merci pour ces précisions locales concernant la gare temporaire de Lamure-sur-Azergues. Effectivement, en l'absence de GA (Guidon d'arrêt) combiné avec le PN, la rétention d'une circulation en amont d'un PN situé notamment dans une zone de gare s'effectue au moyen d'un SAM (Signal d'arrêt à main).
  10. (Le Mans) Bifur de la Petite-Croix - Vivoin-Beaumont - Alençon ">Carte ferroviaire du département de la Sarthe Des PN gardés par le service Transport, équipés de barrières de PN à SAL, c'était notamment le cas autrefois du PN 42 de la gare de La Hutte-Coulombiers (Sarthe). Ce PN situé entre le Poste 2 et le BV était commandé par des boutons poussoir situés au Poste 2. La CET (Consigne d'établissement) S 10 A n° 1 prévoyait d'ouvrir les C 15 et C 26 (prévus être fermés en l'absence de circulations) protégeant le PN qu'après avoir constaté de visu l'abaissement effectif des barrières. Depuis 2008, année de mise en service du BAPR entre Auchan (La Chapelle-Saint-Aubin) et Alençon, La Hutte-Coulombiers n'est plus une gare mais un établissement PL. Le PN en question a été automatisé à l'occasion de la mise en service du BAPR. Conformément aux dispositions de la DC 1 de l'article 104 du Règlement S 2 A, l'établissement PL de La Hutte-Coulombiers peut devenir une gare si un agent-circulation y prend le service. Desserte de l'ITE de la CADS (Coopérative agricole départementale de la Sarthe) : trains complets d'engrais. L'X 2830 en gare de la Hutte-Coulombiers en juin 2009.
  11. ">Carte ferroviaire du département de la Saône-et-Loire Sur les traces d'Alphonse de Lamartine. Mâcon - La Roche-Vineuse-Milly - Cluny (23,400 km) Au départ de Mâcon la ligne desservait : Charnay-Condemine (+ 4,700 km), Prissé (+8 km), La Roche-Vineuse-Milly (+ 11,600 km), La Croix-Blanche-Sologny (+ 15 km) et Cluny + 23,400 km). Gare de Charnay-Condemine (PK 139 + 200) La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. Dans le fond la direction de Mâcon. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM et la villa des oiseaux. Collection Charreaux. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. Photo : Rateau. La gare de Charnay-Condemine en juillet 2012. Photo : Hervé Troccaz. Source : La Voie Verte de Charnay-les-Mâcon à Chalon-sur-Saône
  12. Effectivement, Cluny (PLM), La Clayette-Baudemont (PLM) et Monsols (CFB), étaient les trois gares de contact avec l'ancien Réseau du RSL (Rhône-Saône et Loire) Cluny - Saint-Point - Saint-Léger-Pontcharra - Monsols Longueur : 34 km, dont environ 23 km dans la Saône-et-Loire et 11 km dans le Rhône. Exploitation : voie métrique. Mise en service : en 1911. Service voyageurs mis partiellement sur route : en 1930. Fin du service voyageurs : en 1934. Décret de déclassement : le 22 mai 1939. Gare de Saint-Point Elle était située à 11 km de Cluny et à 23 km de Monsols. Collection Nicole Mathey. Saint-Point et Alphonse de Lamartine Le château de Saint-Point, appelé aussi Château de Lamartine, est situé sur la commune de Saint-Point en Saône-et-Loire, à flanc de pente, à proximité de l'église. Son propriétaire le plus illustre fut le poète Alphonse de Lamartine. Source (texte et photo) Le Château de Lamartine classé "Maisons des illustres" par le Ministère de la Culture et de la Communication. Source
  13. Sixt - Samoëns - Annemasse Horaires des tramways en 1959. Saint-Jeoire (origine) 5.29 Annemasse 6.15 - Sauf dimanches et fêtes. Saint-Jeoire (origine) 6.14 Annemasse 7.00 - Dimanches et fêtes. Sixt 5.46 Samoëns 5.59 Annemasse 7.43 - Sauf dimanches et fêtes. Sixt 6.09 Samoëns 6.20 Annemasse 7.54 - Dimanches et fêtes. Sixt 6.58 Samoëns 7.10 Annemasse 8.47 - Sauf dimanches et fêtes. Sixt 8.01 Samoëns 8.12 Annemase 9.48 - Dimanches et fêtes. Sixt 12.00 Samoëns 12.11 Annemasse 13.49 - Qotidien. Sixt 16.19 Samoëns 16.30 Annemasse 18.08 - Quotidien. Sixt 17.00 Samoëns 17.11 Annemasse 18.49 - Dimanches et fêtes. Sixt 17.21 Samoëns 17.32 Annemasse 19.10 - Samedis, dimanches et fêtes. Sixt 17.36 Samoëns 17.47 Annemasse 19.25 - Sauf samedis, dimanches et fêtes. Sixt 18.07 Samoëns 18.18 Annemasse 19.56 - Dimanches et fêtes. Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Une douzaine de trains circulaient quotidiennement, effectuant le parcours entre 1h30 et 1h50. Avant la dernière guerre, les remorques des CEN empruntaient la ligne Annemasse - Moillesulaz du CGTE, permettant sans changement de relier Sixt à Genève. Ce service ne dura que quelques années, suite aux difficultés d'ordre technique, de circuler sur des voies type tramways. Les derniers trains circulèrent à la mi-mai 1959. Source Rame décorée lors du dernier jour de circulation (Mai 1959). Photo P. LAURENT. Source
  14. ">Carte ferroviaire du département de la Saône-et-Loire Sur les traces d'Alphonse de Lamartine. Mâcon - La Roche-Vineuse-Milly - Cluny (23,400 km) Région du Sud-Est - Ligne n° 770 (situation en 1959). Son point culminant (PK 126 + 500) était situé à l'intérieur du Tunnel de Bois Clair (1601 mètres). Déclivités maximales des rampes et pentes : 22 ‰ entre La Croix-Blanche-Sologny (PK 128 + 900) et Cluny (PK 120 + 500). Mise en service : le 16 août 1870. Fermeture au service voyageurs : le 1er novembre 1968. Fermeture au service marchandises : le 1er novembre 1968. Déclassement du PK 141 + 250 au PK 121 + 050 : le 29 octobre 1970 Dépose des voies : entre novembre 1968 et janvier 1969 (1). (1) A l'exception d'une section d'environ 2,500 km au départ de Mâcon. Source (Déclassement) Le complexe ferroviaire de Mâcon au début du 20ème siècle En haut à gauche la ligne du tacot de Fleurville. A droite au niveau de Saint-Laurent la ligne des tramways de l'Ain vers la Bresse. En bas à gauche l'origine de la ligne vers Cluny, Paray-le-Monial et Moulins. Source : géographie des chemins de fer français. Gare de Mâcon PLM et sa marquise. Photo Prudon. Mâcon - Gare du tacot de Fleurville. Elle était située face à la gare PLM.
  15. Annemasse - Samoëns - Sixt Horaires des tramways en 1959. Annemasse 7.30 Samoëns 9.09 Sixt 9.20 - Sauf samedis, dimanches et fêtes. Annemasse 8.20 Samoëns 10.01 Sixt 10.12 - Quotidien. Annemasse 10.32 Samoëns 12.11 Sixt 12.22 - Dimanches et fêtes. Annemasse 12.15 Samoëns 13.56 Sixt 14.07 - Quotidien. Annemasse 14.24 Samoëns 16.03 Sixt 16.14 - Samedis, dimanches et fêtes. Annemasse 16.34 Samoëns 18.15 Sixt 18.26 - Sauf samedis, dimanches et fêtes. Annemasse 18.18 Samoëns 19.59 Sixt 20.10 - Quotidien. Annemasse 19.24 Samoëns 21.03 Sixt 21.14 - Dimanches et fêtes. Annemasse 20.10 Saint-Jeoire 20.56 (terminus) - Dimanches et fêtes. Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Dans les rues d'Annemasse en 1958. Photo P. LAURENT. Source
  16. Le viaduc de Mieussy Le viaduc de Mieussy a été construit en 1931, il mesure 126 mètres de long, et comporte une arche centrale de 24 mètres d'ouverture dominant le Foron de 20 mètres. Jadis, il permettait le passage d'un train reliant Annemasse à Sixt. Le viaduc est fermé aux véhicules motorisés, il n'est accessible qu'aux piétons et cyclistes. Source (texte et photo) Le viaduc de Mieussy en août 1958. Photo : J.A Richard. Source
  17. ">Carte ferroviaire du département de la Haute-Savoie Annemasse - Viuz-en-Sallaz - Samoëns - Sixt (49 km) La Compagnie des CEN (Chemins de Fer Economiques du Nord) Exploitée par les chemins de fer économiques du Nord (CEN), cette ligne à voie métrique fut ouverte en 1892 jusqu'à Samoëns, le prolongement à Sixt n'intervint qu'après 1914. Longue de 49 km, elle se déployait le long de la vallée du Giffre. Partant d'Annemasse à 430 m d'altitude, elle culminait à Sixt à 757 m. Deux antennes furent construites, permettant de rejoindre la vallée de l'Arve. L'une de Bonne sur Menoge à Bonneville, l'autre de Saint-Jeoire à Marignier. Toutes deux disparurent avant 1939. Deux autres ne furent jamais achevées. Celle du Pont de Fillinges à Habère-Poche, qui aurait permis une desserte de la vallée verte, et celle de Taninges à Morzine. Source (texte) Gare de Samoëns Au départ d'Annemasse la ligne desservait : La Bergue (+ 6 km) Bonne-sur-Menoge (+ 8 km) Fillinges (+ 11 km) Viuz-en-Sallaz (+ 16 km) Saint-Jeoire (+ 20 km) Mieussy (+ 26 km) Taninges (+ 33 km) Verchaix-Morillon (+ 40 km) Samoëns (+ 44 km) et Sixt (+ 49 km). Gare de Sixt Source
  18. A tout hasard . . . l'ancienne gare de Collonges-la-Rouge Si la réponse est correcte je passe la main.
  19. Nice-ville - La Trinité-Victor - Breil-sur-Roya Vendredi 16 janvier.
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