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Le Web des Cheminots

IGS4

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  1. Chemin de fer du Mamers - Saint-Calais (MSC) Un autorail Verney et sa remorque (et un locotracteur) en gare de Mamers en 1952. Je suppose que ça doit être le tracteur 030 n° 7 ? Source des deux photos Photo couleur : Christian Schnabel. Locotracteur Brissonneau et Lotz n° 8 manoeuvrant en gare de Mamers en 1972.
  2. IGS4

    Autorails Verney

    S.C.F. Verney S.C.F. est un exploitant de réseaux ferroviaires puis routiers départementaux et un constructeur de véhicules routiers et ferroviaires. Il faut remonter en 1891 où deux entreprises mancelles fusionnent : Verney & Dequaindry avec Baert & Beldant pour obtenir le marché des Voies Ferrés d'Intérêt Local (VFIL). Source Autorails Verney (à voie normale) et le Chemin de fer du Mamers - Saint-Calais (MSC) Un autorail Verney et sa remorque (et un locotracteur) en gare de Mamers en 1952. Un autorail Verney et sa remorque au dépôt de la TRANSVAP de Conneré-Beillé en 1977. Scan du livre d'André Papazian "Trains de caractère en France". Un autorail Verney au dépôt de la TRANSVAP de Conneré-Beillé en juillet 2005. Source Autorails formés par deux autocars Verney au dépôt de la TRANSVAP de Conneré-Beillé. Ce couplage d'autorails à voie normale, ou autocars sur rails Verney LP 48, est le seul exemplaire subsistant encore en France. A l'origine, durant la guerre de 1939-1945, des autocars fonctionnant au gazogène ont été utilisés sur les voies ferrées. Juste après la Guerre, des autocars sur rails, fonctionnant au diésel, ont continué à être utilisés pendant quelques années, notamment sur les lignes rurales, en particulier celle de Mamers à Saint-Calais, où ils pouvaient servir en couplage réversible. Source (Texte et photo)
  3. Autorails Billard et Train Touristique Velay-Express Chemin de fer Historique - Les Voies ferrées du Velay Autorail Billard 313 & 315 Description : Il mesure 11,36 mètre et pèse à vide 8 tonnes. Monté sur un boggie moteur et un porteur il est équipé d’un moteur Willème 4 cylindres de 90 CV. Il comporte 32 places assises. Le 313 qui inaugura le 16 août 1970 le train touristique entre Dunières et Saint-Agrève a repris du service en 2001 après 5 années de travail soit environ 2500 heures de travail bénévole. Source (Texte et photos) L'équipe L'épave L'épave Essai d’un autorail BILLARD (Christophe DENEGRIS) Source (Texte et suite du texte) Ce qui plait d’entrée sur un tel engin est sa sympathique bouille toute en rondeurs car aucun angle vif ne vient rompre l’harmonie des lignes, même le radiateur se trouve confiné en retrait de la carrosserie et souligné d’une vitre ouvrante en forme de demie-lune. L’autorail repose sur deux bogies entre lesquels le plancher surbaissé permet un accès aisé. De part et d’autre un tampon central surmonté d’un unique phare vient terminer la silhouette rondouillarde de l’engin. L’accès des voyageurs se fait par deux grandes portes et dès l’entrée, on est conquis par un espace loin d’être vaste mais largement éclairé par les nombreuses vitres. Un petit coin est réservé au conducteur à coté duquel peuvent s’asseoir deux personnes. On vient de décrire ici les places les plus prisées. Les 13 banquettes de simili cuir vert, dont la plus-part sont en vis-à-vis, permettent associées aux 4 strapontins d’embarquer 32 personnes.
  4. Les Autorails De Dion-Bouton ont été construit par la firme automobile De Dion-Bouton, durant la période de l'entre deux guerre, pour les réseaux de chemins de fer secondaires. La majorité des véhicules sont à voie métrique. La production comprend 250 véhicules. Le principal client est la Société générale des chemins de fer économiques. Les différents types d'autorails Le type JM, le type NC, le type ND, le type OC1 et OC2, le type OR et le type M. Le type JM Le premier type d'autorail a être construit en grande série est le type JM, constitué d'un chassis à 2 essieux supportant une caisse dans laquelle s'installent les voyageurs. Le moteur est placé à l'avant et la transmission sous le véhicule par l'intermédiaire d'un arbre atteint l'essieu arrière. Source Tramways de la Sarthe - Ligne de La Ferté-Bernard à Montmirail-État ">Carte ferroviaire du département de la Sarthe Gare de Théligny L'autorail type JM, carrossée par Carel et Fouché, livrée en 1924 (automotrice B201) ou 1925 (automotrice B202) aux Tramways de la Sarthe. CPA datée du 23 avril 1926. CPA datée du 23 avril 1926.
  5. Autorails Billard et les Chemins de fer départementaux (CFD) de la Lozère Florac (Lozère) - Sainte-Cécile-d'Andorge (Gard) sur le site Massif Central Ferroviaire. Gare de Sainte-Cécile-d'Andorge Elle a été mise en service par la Compagnie du PLM en août 1867, en même temps que la section : Villefort - Chamborigaud - Sainte-Cécile-d'Andorge - La Levade (30,800 km). La Ligne des Cévennes sur le site Massif Central Ferroviaire. De 1909 à 1968, la gare de Sainte-Cécile-d'Andorge était gare origine de l'ancienne ligne à voie métrique vers Florac (Lozère). Autorail Billard A 80 D n° 314 en 1956. Autorail Billard A 80 D en 1967. Gare de Cassagnas-Barre Cette gare desservait les communes de Cassagnas et de Barre-des-Cévennes distantes de plusieurs kilomètres de la gare. Le village de Barre était connu pour ses importantes foires aux bovins, et ovins. Les jours de foire la Compagnie des CFD faisait circuler un train supplémentaire mais c'était au temps de gloire du petit chemin de fer Lozérien. Autorail Billard A 80 D en 1967. Gare de Florac Autorail Billard A 150 D n° 214 en 1963.
  6. Les établissements Billard étaient une entreprise de construction de matériel ferroviaire basée à Tours et spécialisée dans la construction d'autorails légers et de matériels à voie métrique et étroite. L'entreprise a cessé son activité en 1965 et est depuis devenue Socofer. Les différents types d'autorails Type A 80 D, Type A 135 D, Type A 150 D, Type A 210 D. L'autorail Billard A 80 D n° 313 des Voies Ferrées du Velay (VFV), à Tence (Haute-Loire) le 20 mai 2011. Source (texte et photo) L'autorail Billard A 80 D n° 314 aux environs de Colombier-le-Vieux (Ardèche) en 2003. Source Autorail Billard A 150 D n° 214 en gare de Lamastre (Ardèche) en août 2000. Source Le même autorail en gare de Tournon-sur-Rhône (Ardèche) en août 2000. Source
  7. Autorails X 4200 panoramiques et la ligne des Cévennes Entre le Viaduc du Luech (384 mètres) et la gare de Chamborigaud (PK 647 + 053) en septembre 1982. En gare de Chamborigaud en mai 1979. Petit hors-sujet . . . Sortie de gare de Chamborigaud en 1963.
  8. Société Nouvelle des Ateliers de Vénissieux (S.N.A.V.) Deux autorails X 5600 FNC série 2 fabriqués en 1949-1950 à la S.N.A.V. (Vénissieux). Source : Bibliothèque Municipale de Lyon. Les Autorails X 5600 FNC sur notre forum.
  9. Société Nouvelle des Ateliers de Vénissieux (S.N.A.V.) Deux autorails X 5600 FNC série 2 fabriqués en 1949-1950 à la S.N.A.V. (Vénissieux). Source : Bibliothèque Municipale de Lyon.
  10. Gare de Capdenac Autorail X 5839 en 1966. Gare de Montargis Dès les années 50, les locomotives à vapeur sont remplacées par des autorails X-5800 dits unifiés, de 150 CV à moteur Renault, et des X-5500 à moteur Saurer. Ces autorails avaient une esthétique assez particulière avec leur kiosque surélevé qui permettait une visibilité dans les deux sens de conduite. On les appela les "Coccinelles". Ils assurèrent l'ensemble du trafic voyageur d'après guerre sur la voie redevenue unique. Ces autorails étaient attachés aux dépôt de Montargis et des Aubrais. Autorail unifié de 150 CV assurant la relation au départ pour Orléans, le 8 août 1959. Source (Texte et photo) Cravant-Bazarnes - Châtel-Censoir - Clamecy Autorails X 5800 et X 5500 vers Châtel-Censoir (Yonne) en 1960.
  11. Le train 1908 Capdenac - Cahors à Saint-Cirq-la-Popie (Lot) en 1968. Carte ferroviaire du département du Lot L'ancienne ligne (Cahors) Bifur de Capdenac - Saint-Cirq-la-Popie - Capdenac (70,300 km) sur notre forum. Horaires des trains en 1971 Train 8901 - Cahors 6.34 Capdenac 8.12 - Quotidien Train 8903 - Cahors 9.12 Capdenac 10.54 Train 8905 - Cahors 12.46 Capdenac 14.28 - Quotidien Train 8907 - Cahors 16.26 Capdenac 18.03 - Quotidien Train 8909 - Cahors 18.25 Capdenac 19.51 - Quotidien Le train 8903 circulait uniquement les samedis, dimanches et fêtes, ainsi que les jours de foire à Cahors ou Figeac. Le train 8905 assurait la correspondance du TEE 75 "Capitole du matin" : Paris-Austerlitz 7.45 Cahors 12.36. Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Autorail X 5810 à Saint-Cirq-la-Popie (Lot) en 1968. Horaires des trains en 1971 Train 8900 - Capdenac 5.50 Cahors 7.31 - Quotidien Train 8902 - Capdenac 9.44 Cahors 11.22 - Quotidien Train 8904 - Capdenac 12.03 Cahors 13.41 Train 8906 - Capdenac 14.45 Cahors 16.02 - Quotidien Train 8908 - Capdenac 20.14 Cahors 21.38 - Quotidien Le train 8904 circulait uniquement les samedis, ainsi que les jours de foire à Cahors ou Figeac. Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.
  12. (Cahors) Bifur de Capdenac - Saint-Cirq-la-Popie - Capdenac (70,300 km) Carte ferroviaire du département du Lot Horaires des trains en 1971 Train 8901 - Cahors 6.34 Capdenac 8.12 - Quotidien Train 8903 - Cahors 9.12 Capdenac 10.54 Train 8905 - Cahors 12.46 Capdenac 14.28 - Quotidien Train 8907 - Cahors 16.26 Capdenac 18.03 - Quotidien Train 8909 - Cahors 18.25 Capdenac 19.51 - Quotidien Le train 8903 circulait uniquement les samedis, dimanches et fêtes, ainsi que les jours de foire à Cahors ou Figeac Le train 8905 assurait la correspondance du TEE 75 "Capitole du matin" : Paris-Austerlitz 7.45 Cahors 12.36. Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Le train 1908 (Autorail X 5800) Capdenac - Cahors à Saint-Cirq-la-Popie en 1968. Horaires des trains en 1971 Train 8900 - Capdenac 5.50 Cahors 7.31 - Quotidien Train 8902 - Capdenac 9.44 Cahors 11.22 - Quotidien Train 8904 - Capdenac 12.03 Cahors 13.41 Train 8906 - Capdenac 14.45 Cahors 16.02 - Quotidien Train 8908 - Capdenac 20.14 Cahors 21.38 - Quotidien Le train 8904 circulait uniquement les samedis, ainsi que les jours de foire à Cahors ou Figeac. Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Autorail X 5810 à Saint-Cirq-la-Popie en 1968.
  13. Un jeune homme de 26 ans a été arrêté avec un sac plein d'affaires de cheminot en gare Matabiau...
  14. Tunnel du Lioran (1959 mètres) Altitude moyenne : 1130 mètres.
  15. Carte ferroviaire du département du Lot (Cahors) Bifur de Capdenac - Saint-Cirq-la-Popie - Capdenac (70,300 km) Son origine (PK 660 + 300) était située au niveau de l'ex. Poste 3 de Cahors. Point culminant : PK 728 + 500 situé entre La Madeleine-sur-Lot (PK 724 + 900) et la bifur de Cahors (PK 729 + 100). Déclivités maximales des rampes et pentes : 9,5 ‰. Mise en service par la Compagnie du PO : le 14 juillet 1886. Fermeture au service voyageurs : le 28 septembre 1980. Fermeture au service marchandises : le 1er octobre 1989. Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Gare de Saint-Cirq-la-Popie (PK 689 + 758) La gare en juillet 2012. Photo : Sandrine MARTEAU (Massif central ferroviaire). Gare de Saint-Martin-Labouval (PK 694 + 494) La gare en juin 2011. Source
  16. La Renault X-322 La série Renault ABH est directement dérivée de la série ABJ à voie normale, de la même époque. Cette fabrication soignée, la caisse en aluminium et la robustesse de l'ensemble expliquent leur exceptionnelle longévité. Il faut remonter au 8 octobre 1934 pour trouver trace de la commande de cet autorail, numéroté ZZ-2 lors de sa livraison le 22 février 1935. L'automotrice est l'unique survivante de la première série des premiers autorails CP. Elle sera modernisé en 1959 (renuméroté ZZ-22) et son moteur porté à 330 chevaux (1967). Rénovée à nouveau en 1989, elle terminera provisoirement sa carrière en juin 2000, suite à un problème d'embrayage. Elle est depuis "en attente de réparation". Gare de Touët-sur-Var (PK 48 + 665) La Renault X-322 en 1990. Photo : José Banaudo. Source (Texte et photo) La Renault X-326 La ZZ-6 est née (et réceptionnée par les Chemins de fer de Provence) le 12 novembre 1936. Equipée d'origine d'un moteur diesel de 265 chevaux, d'une capacité de 58 places (depuis 1973) l'automotrice est la dernière survivante d'une série de 4 exemplaires (ZZ-3 à 6). Entre 1942 et 1944, elle sera équipée d'un gazogène, puis remise ne état d'origine. En 1949, son moteur passera d'une puissance de 265 à 300 chevaux, puis à 330 chevaux dans les années 60. Gravement accidentée par un déraillement suite à une coulée de boue (13 juillet 1981), elle sera remise en service en mars 1984 après avoir subi une rénovation complète. Elle terminera (provisoirement, donc) son service en septembre 2001, suite à un problème de transmission. Gare de Nice La Renault X-326 en 2005. Source (Texte et photo)
  17. L'Alpazur en été 1971 Train 704/703 - Quotidien du 29 Juin au 3 Septembre. Genève-Cornavin 11.00 Bellegarde 11.30/11.31 Culoz 11.54/11.59 (Rebroussement) Aix-les-Bains-Le Revard 12.15/12.18 Chambéry-Challes-les-Eaux 12.30/12.33 Montmélian 12.43/12.43 Pontcharra 12.50/12.50 Grenoble 13.18/13.29 Veynes-Dévoluy 15.06/15.15 Sisteron 15.57/15.58 Saint-Auban 16.11/16.22 Malmoisson 16.38/16.38 Digne-les-Bains 16.49. Train 707/708 - Quotidien du 29 Juin au 3 Septembre. Digne-les-Bains 13.23 Malmoisson 13.34/13.34 Saint-Auban 13.48/13.53 Sisteron 14.05/14.06 Veynes-Dévoluy 14.50/15.02 Grenoble 16.35/16.52 Pontcharra 17.19/17/19 Montmélian 17.26/17.26 Chambéry-Challes-les-Eaux 17.37/17.40 Aix-les-Bains-Le Revard 17.54/17.56 Culoz 18.14/18.22 (Rebroussement) Bellegarde 18.49/18.53 Genève-Cornavin 19.23. Les trains 703 et 708 se croisaient théoriquement sur la courte section à double voie : Aspres-sur-Büech - Veynes-Dévoluy (6,400 km). Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Gare de Digne-les-Bains L'Alpazur en 1965.
  18. Effectivement, sans doute une erreur de légende sur le site Delcampe.
  19. La région SNCF de Chambéry et le TEE Catalan-Talgo. Gare de Chambéry-Challes-les-Eaux Le TEE 70/71 Catalan-Talgo (Talgo 3) en avril 1984. Photo : Ernst Wolf. Source Gare de Montmélian (Savoie) Le TEE 70/71 Catalan-Talgo au crochet de la BB 67331. Aux environs de Myans (canton de Montmélian) Le TEE 70/71 Catalan-Talgo au crochet de la BB 67330.
  20. Dépôts titulaires et répartition du matériel Marseille-Saint-Charles de 1959 à 1960 avec détachement pendant l'été de plusieurs engins au Centre Autorails de Grenoble pour la relation "Alpazur". Marseille-Blancarde, de 1960 à 1982, puis transfert à Nîmes le 23 mai 1982 avec détachement pendant l'été (jusqu'en 1975) de plusieurs engins au Centre Autorails de Grenoble pour la relation "Alpazur". Nîmes du 23 mai 1982 au 1er juin 1985, avec les X 4202, X 4204, X 4206, X 4207 et X 4208, les autres ayant été réformés auparavant. Section : Béziers - Faugères - Bédarieux (42,900 km) Carte ferroviaire du département de l'Hérault Mise en service par la Compagnie du Midi : le 20 septembre 1858. Couplage d'autorails panoramiques X 4200 à proximité de Faugères en avril 1985. Gare de Faugères (PK 464 + 500) au début des années 1900. Elle était gare de bifurcation de l'ancienne ligne vers Paulhan et Montpellier Dans le fond la direction de Bédarieux, Millau et Neussargues.
  21. Section : Alès - Robiac - Bessèges (31,300 km) ">Carte ferroviaire du département du Gard Mise en service par la Compagnie du PLM : le 1er décembre 1857. Autorail Panoramique X 4200 en gare de Molières-sur-Cèze (PK 740 + 700) en février 1983. Autorail Panoramique X 4206 en gare de Saint-Ambroix (PK 745 + 100) en 1985.
  22. Autorails panoramiques X 4200 L'autorail panoramique X 4200 est un autorail à deux niveaux construit à 10 exemplaires numérotés X 4201 à 4210. La structure de l'autorail panoramique X 4200 présentait la particularité de comprendre une cabine de première classe surélevée, située dans la partie centrale au-dessus du compartiment moteur, offrant une vision à 360°. Cet autorail est équipé de deux bogies, dont un moteur et un porteur, de deux essieux. Sa ligne est due au designer Paul Arzens qui les a revetu d'une livrée rouge et crème avec toit et bas de caisse gris anthracite. La série a été construite par la branche ferroviaire de la Régie Nationale des Usines Renault ("RNUR") dans l'usine de Choisy-le-Roi. Source Au niveau supérieur, les passagers de première classe jouissent d'une vue à 360 degrés. Source En seconde classe, les passagers bénéficient d'un confort quasiment équivalent et d'une vue presque aussi dégagée derrière le conducteur. Source Gare de Veynes-Dévoluy (Hautes-Alpes) Manoeuvre d'un autorail panoramique en 1973. Autorail Panoramique Mistral X 4209. Source
  23. Villefranche-sur-Saône - Perréon-Vaux - Beaujeu - Monsols (48 km) Le tacot du Perréon. Gare de Perréon-Vaux et la boucle du Perréon La gare était curieusement située sur une boucle complète. Cette disposition permettait de continuer le voyage sans changer la machine de bout. Elle facilitait également les terminus et origines. Toutefois la vraie raison était la rivalité entre les communes de Vaux-en-Beaujolais et du Perréon. Déraillements Les déraillements se produisaient régulièrement le lundi matin à la bifurcation du Fond de Vaux. Ce jour là, le chef de train devait sauter en marche pour manœuvrer l’aiguillage après le passage du convoi mais lorsqu’il effectuait trop vite ce travail, il arrivait que la dernière voiture quitte la voie. On détachait alors le wagon et on faisait descendre les voyageurs pour les regrouper dans les autres voitures. Des anecdotes beaujolaises parmi tant d'autres . . . Des gamins du Perréon posaient des pièces de monnaie d’un sou sur les rails pour que le train les écrase et les fasse ressembler à des pièces de deux sous, ce qui permettait à ces petits garnements de s’offrir des bonbons et des friandises à bon compte chez l’une des épicières du village, en l’occurrence la plus myope. Le patron du café du Perréon savait, au nombre de coups de sifflets, combien il devait servir de pots de Beaujolais aux cheminots à leur descente du train. Gare de Perréon-Vaux Elle était située à 17 km de Villefranche-sur-Saône, à 15 km de Beaujeu PLM, et à 31 km de Monsols.
  24. Circulation des trains (Règlement S 2 C) L.M.Tr. = Livret de la marche des trains. Circulation des trains (Règlement S 2 C) L'article 406 et ses 4 D.C. (Dispositions complémentaires).
  25. Carte ferroviaire du département de la Mayenne ">Carte ferroviaire du département de l'Orne (Laval) La Chapelle-Anthenaise - Mayenne - Domfront Longueur : 57,200 km, dont environ 40 km dans la Mayenne, et 17,200 km dans l'Orne. Fascicule 3-37 (situation en 1957). Point culminant : PK 335 situé entre Ceaucé (PK 334) et Torchamp (PK 338 + 700). Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰. Mise en service par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest : - section La Chapelle-Anthenaise - Mayenne (19,900 km) le 6 novembre 1866. - section Mayenne - Ceaucé - Domfront (37,300 km) le 21 septembre 1874. Reprise de l'exploitation par l'Administration des chemins de fer de l'État : le 1er janvier 1909. Fin du service voyageurs : le 31 mai 1970. L'autorail immatriculé XBD 3923 quitte le quai B de la gare de Laval à 17h50 pour effectuer un dernier voyage vers Mayenne et Domfront. Dès le lendemain, toutes les gares de la ligne sont fermées, hormis celle de Mayenne. Gare de Commer (PK 301 + 400) La gare à l'époque de l'Administration des chemins de fer de l'État. Dans le fond la direction de Mayenne et Domfront (Flers).
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