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Mimilapetitesouris

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Tout ce qui a été posté par Mimilapetitesouris

  1. Oui et non....Car la non répétition du signal possible en lien avec le dérangement Ok Mais le NON appui sur le BPFC (qui s'inscrit sur la bande) cela fait deux choses qui peuvent prouver la non responsabilité du collègue.
  2. Le bulletin MV pour franchir un S de BM : Bizutage d'un ancien lors de notre formation pendant la pause dans la salle des mécanos : " Un bulletin MV ? Ah bah tient ! justement j'en ai eu un l'autre jour...." Assis et faisant semblant de le chercher dans son sac en se penchant devant nos regards ......inquiets, surpris, estomaqués...(selon)
  3. Qui se rappelle des motivations du rectificatif règlementaire interdisant en BAPR la possibilité de pénétrer DE SOI MÊME en canton occupé après un délai d'attente de 15minutes devant un S fermé dans le cas d'impossibilité de se fair reconnaître ?
  4. Un communiqué qui ressemblerait à un BAPR : Bavardage À Paroles Rassurantes ?
  5. La ligne 3 de tes schémas reprend bien le piège possible, mais désormais exclu dans le cas qui nous intéresse compte tenu du point d"impact en amont de la zone comprise entre le signal d'annonce et le signal de cantonnement : la reprise de marche normale au franchissement du signal d'annonce.
  6. Et c'est le cas pour celui qui nous intéresse. BAL de PAU jusqu'au S en question. le BAL reprend de ARTIX pk236 à LACQ (dessertes fret entre les deux qui risqueraient de perturber gravement les sillons voyageurs...) il est peut être bon de rappeler aux néophytes qu'un canton de BAPR compte tenu de sa longueur permet moins de circulations d'où la notion de permissivité restreinte. Je me rappèlerai toujours ma surprise lors de ma mutation et de la découverte en réel de ce type de cantonnement en étude de ligne.....rouler pendant des Kms sans rencontrer de signaux !!! ....assez troublant quand tu as connu la ligne C de Paris où tu as des zones à 40 extrêmement courtes pour avoir une vitesse en corrélation avec la distance de freinage nécessaire entre certains signaux d'annonce et signaux d'arrêt....
  7. Lorsque le régulateur te donne l'autorisation verbale de franchir fermé le S de BAPR à comptage d'essieux, il peut effectivement te donner l'ordre de réinitialiser le système de comptage. Généralement cette opération se fait à l'aide d'un bouton poussoir à proximité du panneau . Le problème est qu'effectivement un défaut ponctuel du comptage d'essieux a pu relever une erreur entre le nombre d'essieux "entrant" et celui pris en compte à la sortie du canton en tant que "sortants" pour le train te précédant et qui explique je tu as rencontré le sémaphore fermé (pour dérangement). Je me rappelle que lors des JM on nous expliquait bien que le fait de faire cette opération ne remettait pas le S devant lequel tu est arrêté à VL mais que le comptage se re-initialisait pour TON train. cela ne remet donc pas en question ton obligation de MV bien entendu et l'assurance que le train qui te précède est complet sera donné par.......toi puisque tu es censé entre autres choses d"être en mesure de t'arrêter avant une queue de train" si tu en rencontre une dans le canton.
  8. Il y a même u. Article qui explique que le conducteur s'est arrêté au signal au rouge et l'a ensuite franchit à pleine vitesse à 120 Km/h.......Ce qu'on appèlera un démarrage sur les chapeaux de roues !
  9. Le mécano en cause est au roulement 100 et il fut à un moment donné the big black cat Tient !.....Mon frère jumeau !
  10. J'ai eu cette crainte moi aussi. "L'attention du conducteur est spécialement appelée sur le fait que le franchissement d'un panneau muni d'une plaque À ou D....."
  11. Je suis entièrement d'accord et rassuré si les PK que tu indiques sont les bons.
  12. Au sujet de l'uniforme Il y a eu une jurisprudence récente qui a effectivement ajouté une notion de contact (directe) avec la clientèle et qui est en opposition avec l'article L 120-2 du Code du travail remplacé par l'article L 1121-1 du Code du travail depuis le 1er mai 2008 : (extrait) " L'employeur peut bénéficier de cette prérogative dès lors qu'elle est justifiée par la nature de la tâche à accomplir et proportionnée au but recherché. Ainsi, l'obligation de porter une tenue vestimentaire particulière peut être justifiée par des raisons d'hygiène, de sécurité ou encore par la nécessité pour la clientèle d'identifier des salariés exerçant certaines fonctions dans l'entreprise (stratégie commerciale). La notion " généraliste et fourre tout " qui tendrait à permettre à l'employeur d'imposer l'uniforme sur le seul critère de " stratégie commerciale " est contredite par l'arrêté de la cour de cassation : Cass. soc.3 juin 2009, n° 1234 F-P+B, n° 08-40.346 L'obligation de porter un uniforme au travail ne peut ainsi être imposée aux salariés affectés à des postes sans contact avec la clientèle, décide la Cour de cassation, dans un arrêt du 3 juin 2009. Cette décision vient ainsi confirmer le principe selon lequel le port d'une tenue vestimentaire peut être exigé seulement s'il est justifié par la nature de la tâche à accomplir et proportionné au but recherché. Élargir le champ de métiers concerné par le RH 0276 est un raccourci un peu rapide pour nous imposer le port d'une tenue !
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