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Le Web des Cheminots

aydeg

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Messages publiés par aydeg

  1. salut, perso j'ai pas essayé google chrome mais je préfère firefox, j'ai pas trop confiance en google, déjà qu'il planque pas mal de "mouchards" un peu partout, alors sur un navigateur :blink: non merci

    j'suis un peu du même avis... Google est efficace mais ce monstre grandit a une vitesse effrayante et s'empare un peu trop de nos vies privées à des fins commerciales.

    par contre, il a enterré tous les autres moteurs de recherche grâce à sa simplicité et surtout sa rapidité...

  2. Victoires pour les employés, en espérant très sincèrement que ça va durer pour eux.

    En tout cas, vous avez raison...c'est incroyable ces fermetures en ce moment.

    Le code du travail est énorme et il sort des absurdités légales tout droit sortie de blagues belges (c'est une expression, je n'ai vraiment rien contre mes voisins et amis belges) : Il prévoit que les employeurs peuvent proposer à leurs employés de partir travailler ailleur...dans un autre pays (avec le salaire local, sinon ce n'est pas drôle) et sous certaines conditions (et oui! Faut pas exagérer non plus) "faut parler Hongrois". C'est énorme!!!

    C'est une honte qu'une grande entreprise Française (en fait elle ne l'ai peut être plus) puisse proposer cela, c'est également une honte que le gouvernement Français ne prenne pas plus le problème au sérieux en changeant cette partie du code du travail aussi vite qu'il savent le faire comme pour...le bouclier par exemple!

    cartonrouge

  3. C'est pour ça que les CTT qui lorsqu'ils sont dans un rôle de "variables d'ajustement"( briseurs de gréves par exemple) ne remplissent aucun bulletin de traction, BS qui a pourtant une valeur juridique.

    je connais même le cas d'un CTT qui a été jugé incompétent par un juge départiteur et qui continue d'exercer son métier sans état d'âme en méprisant la "piétaille" sous ses ordres. Son déroulement de carrière ne semble pas souffrir de ses "bouffonneries" ayant pourtant eu lieu à l'intérieur de l'entreprise.

    Pour lui la notation au mérite ne semble pas s'appliquer.

    Pour finir les pourcentages de passage dans les positions terminales des grades exécutions(TA et TB inclus) sont limités à 18% de l'effectif de la position à noter(soit 9% de prioritaires et 9% de choix). Pour les cadres ces pourcentages sont très nettement supérieurs .Tu peux vérifier sur le statut...

    je ne vois plus trop le rapport avec le sujet....

  4. j'ai fait un cauchemar : pour aller chez moi en Corse, en 2012 :

    je coupe l'électricité : Véolia

    je coupe l'eau : Véolia

    je prends le bus : Véolia .. pour l'instant !

    le RER : RATP , ouf !

    l'ETR pour Marseille : Véolia-Trenitalia

    le bateau pour Ile-Rousse : Véolia

    le train pour Calvi : Véolia

    je remets l'eau en route : Kyrnolia

    ... et l'électricité : ....

    (en gras ce qui l'est déjà, en souligné ce qui est probable)

    .. et il paraît que la comission européenne veille à ce que ne se créent pas de positions dominantes ou monopolistiques

    de qui on se fout ??

    rappel : la dette de Véolia se monte actuellement à 18 G€ ...... preuve de leur excellente gestion ! lotrelabeurk

    complétement d'accord avec toi....! :blink:

    et pour le reste (comme les opérateurs GSM) y'a plus qu'a faire des ententes illicites lotrela

    En attendant, c'est le client qui paye...

  5. ben non lotrela :

    les CC 21000 avaient des ponts mixtes diodes-thyristors, la commande des gâchettes des TYR était assurée par un petit transfo variable rotatif, couplé mécaniquement aux graduateurs rotatifs BBC (utilisés en courant continu et en FRH), et la logique de commande assurait une variation continue de l'effort de traction.

    seul le shuntage des inducteurs était commandé de la même façon, quel que soit le type de courant utilisé, par le MPSH à 8 crans (4 par demi-moteur)

    les Z 9500 / 9600 comportent le même genre de schéma traction que les CC 21000 :

    sous 1500 V => JH + rhéostat + couplages série et série-parallèle

    sous 25 KV => pont mixtes à variation continue de l'effort de traction

    les BB 16000 / 16500 / 12000 auraient pu tout aussi bien travailler sans graduateur de variation de la tension, la variation continue se faisant par décalage de l'allumage des Ignitrons et Excitrons. toutefois, la très forte crainte des harmoniques dans la caténaire fit annuler cette intéressante possibilité...

    lorsque ces harmoniques furent mieux connus et maitrisés, les BB 15000 ont pu fonctionner sans craintes, après les essais validés sur les CC 21000.

    sur les BB 16500 Excitrons, le freinage par récupération était assuré grâce aux Excitrons fonctionnant en onduleurs.

    la généralisation des redresseurs Silicium sur les BB 16500 provoqua la suppression du freinage par récupération (pourtant fort apprécié sur Vallorbe - Dole !!)

    oula, j'ai mal à la tête ! beurk

  6. Pourquoi ne pas donner vos traitements sur la partie publique ?

    Vous ne voulez pas que ça se sache ?

    Vous demandez le salaire des conducteurs du privée et nous dites que l'on ne gagne pas assez, que nous sommes exploités et que vous gagnez deux fois plus.

    Quelqu'un peut-il le dévoiler? Que tout le monde puisse connaitre le prix de notre travail, sachant qu'en discutant avec des CRL du FRET, je connais le salaire d'un gars avec 10 ans d'ancienneté. J'ai d'ailleurs était surpris, sachant que vous ne faites pas d'heures supp.

    Allez, pas de langue de bois, nous n'en avons pas fait lorsque vous nous l'avez demandé.

    Avec une réflexion que cela, c'est sûr que ça va inciter!

    Pour moi, rien à mettre sur la place publique !

  7. J'ai regardé l'interview d'hier soir.

    Le président a été clair sur les FC, il a été également très politiquement correct en prenant exemple sur un employé de chez Renault qui a des tarifs sur les voitures...parce que en plus des 840.000 bénéficiaires des FC (dont beaucoup sont très limités) il y en a qui ne payent ni le trains, ni l'avion et en plus ils ont mêmes des chauffeurs pour aller à la cantine (très bon marché) à 700 m de leurs bureaux....vous voyez de qui je parle? Nos chers députés!

    A mon avis, il n'y a qu'à l'URSSAF qu'il n'y a pas d'avantage à travailler.... a part "peut être" la voiture de service!

    Il aurait pu aussi reprendre les avantages fiscaux que les journalistes* ont, mais le débat aurait mal tourné face à Guy Lagache.. ou alors concernant les salaires il aurait pu faire un comparatif avec ce que touche un journaliste!... Bref, je ne sais pas comment il a fait pour se retenir, moi je n'aurais pas su.

    En tout cas, M. Lagache merci...c'est une nouvelle fois réussi! Forum de Capital

    * Source : lepost

    Connaissez vous les "avantages" fiscaux accordés à la profession de journaliste? C'est une très vieille histoire qui remonte aux années 30 du siècle dernier. L'allocation n'est pas liée à la détention de la carte d'identité de journaliste professionnel, mais se fonde sur l'exercice effectif de la profession.

    Selon le SNJ un « journaliste polyvalent » dans un périodique local débute sa carrière à 1.484 euros bruts. Un reporter dans un quotidien régional émarge à 2.416 euros bruts, tandis que le salaire d'un chef de service (politique, économie, culture, etc.) dans la presse quotidienne nationale démarre à 3.396 euros.

    L'allocation actuelle est une somme forfaitaire qui peut-être déduite du montant des revenus, avant le calcul de l'impôt. Cette Allocation datant de 1998, est de 7650 euros pour une année complète d'activité, à temps plein ou à temps partiel. Ces 7650€ sont à déduire par le journaliste de leurs revenus imposables.

    C'est une mesure qui a été introduite au départ comme aide indirecte à la presse qui avait du mal a bien rémunérer ses salariés.

    A l'origine aussi, les journaux ne remboursaient pas toujours les frais professionnels. L'abattement fiscal servait de compensation.

    Pendant ce temps la profession emploie 7 000 pigistes en travail précaire, soit rémunérés en "pige" au plus bas salaire autorisé dans le meilleur des cas;

    soit encore payés au "droit d'auteur" ce qui implique pour lui pas de sécurité sociale, pas de 13ème mois, pas de congé maternité, pas de retraite non plus.

    Je ne comprend pas que cette profession tellement active par les mots n'agisse pas d'abord dans son univers pour plus d'équilibre et de partage des richesses.

  8. UP: j'ai enfin mes enceintes Hifi!! (Un mois pour que le magasin les reçoive...)

    DOWN: juste le jour où l'ascenseur est en panne cestachier mal aux bras... :Smiley_39:

    Pas de bras, pas de... (je sais, elle est nulle...)

    UP: Cadeau bien sympa ce midi!

    UP: parceque tout simplement tout va bien :Smiley_39:

  9. Vaste débat la retraite, pourtant certains ont trouvé la solution! Pire, tous les partis sont bien sûr d'accord :Smiley_39:

    Timides et cachottiers, les parlementaires de l’Assemblée couvent un superbe déficit, celui de leur retraite…

    Le gouvernement et sa majorité s’apprêtent à aligner tous les régimes spéciaux de retraite (EDF, SNCF, etc) sur le droit commun. C’est une question d’équité sociale et d’équilibre économique, martèle le Premier ministre. Mais, belle exception, les députés hésitent à réformer leur propre caisse, qui est pourtant très très « spéciale ».

    Il est vrai que les cotisations des députés valent double durant leurs quinze premières années de mandat : il leur suffit de passer 22,5 années sur les bancs du Palais-Bourbon, pour cumuler leurs 40 annuités de cotisations, avant de partir tranquillement à la retraite à 60 ans révolus. Un privilège exceptionnel, qui mettrait tous les régimes de retraite en faillite s’il était généralisé à l’ensemble des salariés ou des fonctionnaires !

    Nous sommes d’ailleurs en mesure de révéler un petit secret : à cause de ses charges, la « caisse de pensions des anciens députés » est justement dans le rouge ! Bakchich a déniché son bilan financier, dans les comptes de l’Assemblée nationale pour 2006, qui ont fait l’objet d’un rapport passé inaperçu (consultable ici) le 29 mai dernier, présenté par le député Yves Fromion, élu UMP du Cher.

    Le résultat n’est pas très glorieux, selon le document officiel ci-joint. Du côté des recettes, les cotisations versées l’an dernier par les 577 députés n’ont rapporté que 7,4 millions d’euros. Une misère.

    L’Assemblée a également généreusement cotisé (en tant qu’employeur) en faveur de ses édiles, pour un montant de 14,9 millions d’euros. Le total des ressources de la caisse ne dépasse donc pas les 22,3 millions. En revanche, côté dépenses, c’est l’hémorragie. Les retraites versées à quelques 2000 anciens parlementaires (montant moyen : 2400 euros net par mois pour 1958 pensionnés) ont dépassé les 60 millions d’euros, soit près de trois fois les recettes. Un record.

    La différence n’est pas mince : le trou était d’environ 38 millions d’euros en 2006, comme en 2005, soit près de 20 000 euros par retraité et par an. Ce déficit chronique, creusé méticuleusement d’année en année dans l’indifférence générale, équivaut à une « faillite » selon l’expression favorite de François Fillon ! « Vu le nombre limité de députés cotisants, les conditions de l’équilibre économique de notre régime spécial ne peuvent pas être réunies, admet Yves Fromion, en confirmant les chiffres. C’est la même chose pour les retraites des agriculteurs, des mineurs, ou des marins. »

    Jusqu’à présent, la République, bonne mère, éponge automatiquement le déficit du régime des anciens députés, grâce à une discrète « subvention de l’Assemblée nationale », pompée sur les crédits alloués chaque année au Parlement. Pour équilibrer le régime « sur mesure » des députés-retraités, les contribuables ont donc été ponctionnés (voir sur le document) de 38 517 765 euros en 2005 et de 38 000 240 euros en 2006. Une bricole comparée aux dizaines de milliards des déficits de l’Etat, de la Sécu ou des autres caisses de retraite. Mais, l’heure est justement aux révisions déchirantes pour tous les régimes spéciaux. Et l’exemple ne devrait-il pas venir d’en haut ? « Les Français ne comprendraient pas que nous ne réexamions pas notre propre régime, de manière à l’adapter, répond Yves Fromion. Moi, en tous cas, je suis prêt à en débattre ». Quitte à s’attirer les foudres de ses collègues !

    Source

    Subvention AN = Assemblée Nationale

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