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Le Web des Cheminots

BrunoTZ

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Tout ce qui a été posté par BrunoTZ

  1. Cyclodocus Lis et relis bien tout : ce n’est pas dans un tribunal avec un JAF qu’on m’a éloigné de mon fils, c’est dans une UP informatique de la SNCF avec des cheminots. D’autre part, je ne demande pas l’adresse de mon fils. Il est cheminot, il y a bien parmi les quelques dizaines de milliers d’entre vous un ou deux qui peuvent lui i demander de me contacter. Ce jour, je communiquerai par courriel privé mes coordonnées. adc01 : tu as tout lu en 12 minutes ? Chapeau ! Tu devrais prendre plus de temps avant de trouver çà obscur. Quand tu reliras bien TOUT ce que j’ai écrit, les choses ne seraient pas obscures si bon nombre de personnes qui se sont mêlées de ma vie – en et hors SNCF - n’avaient pas eu une fâcheuse tendance à disparaitre rapidement chaque fois que l’expression « Police Nationale » est apparue dans mes propos.
  2. « Décousu, faut s’accrocher, allégations », je cite quelques réactions en vrac. Soit. Vous en saurez plus ici : http://ils-ont-vole-mes-vies.over-blog.com ou adressez un courriel sans contenu ni objet à bp2017.tz@outlook.fr : une réponse automatique vous enverra le lien ci-dessus. Précisions : Il y a de la lecture, beaucoup à lire. Et je n’ai rien inventé, même s’il s’agit dans certains passages d’un ressenti. Il y a du strictement ferroviaire et un peu de tout. A propos des passages relatifs aux Transports Publics Terrestres, je n’ai jamais été aussi sincère que dans ce que vous lirez. Il se peut que la relation de certains évènements soit partiellement ou totalement erronée : si j’avais obtenu des réponses chaque fois que j’ai posé des questions à leur sujet … On ne peut pas me blâmer d’être le seul à donner une version des faits quand d’autres s’y refusent alors que je les sollicite. Je n’ai pas relu ni modifié ces textes depuis leur publication (un an et même probablement plus). De mémoire, je peux cependant affirmer que le passage où il est question de mon passeport et du Serengeti (juste pour situer, vous verrez bien quand vous lirez) est caduque. Tout comme je sais que ce n’est pas dans la Police Nationale, la Gendarmerie et au sein du couple SKJCHB-SEFTROF (initiales noyées volontairement) que se situent les origines d’actes malveillants qui s’étalent tout de même sur une bonne quinzaine d’années, et dont certains ont bien su tirer profit, et avec MON argent. Si j’avais un autre moyen pour joindre mon fils, croyez-vous que je serais de nouveau sur ce forum ? Noël dans 23 jours. Vous serez en famille ? Moi non. Vous échangerez des cadeaux avec un ou vos enfants ? Moi non. Je ne vous demande pas de pleurer sur mon sort, je pensais qu’en replongeant dans le monde des cheminots, que j’aime, contrairement à ce que certains croient et – pire - ont fait croire, cela se passerait différemment. J’avais tort … Enfin, je me trouve actuellement loin de la France. Mais les vols vers N… ou A…, çà existe, on peut y réserver un siège rapidement, et çà peut très bien arriver à mon fils dont je ne mentionnerai pas le nom mais qui a les mêmes initiales que moi : je suppose que je n’ai pas le droit de le citer ici, monsieur le Modérateur ? A Assouan Je ferai attention. C'est plutôt la rapidité des deux premières réactions à mon message qui m'a fait réagir ainsi ... Mille excuses
  3. Mon sujet bancal (masculin – jackv, achète un Bescherelle avant d’écrire) de 2013. Juin 2014, TZ adresse un courriel aux 577 députés en plein débat sur la réforme. Conséquence : le courriel est allé jusqu’à l’Elysée. Conséquence de la conséquence : M. Hollande alors chef de l’Etat rencontre M. Guillaume P. et ne vient pas les poches vides (et je le sais de source 500% sûre) si vous voyez ce que je veux dire. C’est du concret bien palpable, et pas bancal, n’en déplaise à jackv et adc01, d’autant que mon courriel tenait bien debout, lui, et tient toujours. Quant à moi, injustement accusé de vouloir nuire à l’entreprise et aux cheminots, je suis fier d’avoir prouvé le contraire et en plus de cette manière on ne peut plus légale. Vous ne comprendrez jamais à quel point j’y tenais, j’en ai bien peur. Et c’est tout juste si des cheminots qui ne me disaient même plus bonjour jusque là ne se précipitaient pas pour m’embrasser. Ce dont je devrais me contenter de me réjouir. Sauf que ce courriel remet en cause ma sérénité. Pourquoi ? OUNO - octobre 2008 : agression à main armée (E1) DEUSIO – juin 2010 : agression à main armée (E2) TROISIO – réception du courriel menaçant sur une adresse que je n’utilise plus (sans l’avoir désactivée) depuis ces évènements, quatre semaines après un courrier où je demande à certaines personnes d’adresser la relation de leurs actes envers moi à la direction de la SNCF. Conclusion évidente : 99,9% de chances pour que l’auteur(e) de ce courriel soit impliqué(e) directement ou non dans E1 et/ou E2 (perso, je pencherais plutôt pour E2) Conclusion évidente bis : quand cela s’arrêtera-t-il ? Et comme le point de départ de tout ce que je subis depuis des années se trouve à la SNCF (ATTENTION, je ne prétends pas que les personnes de ce point de départ sont à l’origine de tout ce qui a suivi) … Toujours bancal, le sujet de TZ ? Janvier 2008 : j’ai vu mon fils pour la dernière fois. et les 131 mois suivants sans nouvelles de lui sont liés au sujet que vous trouvez bancal. (un sujet abordé par moi et ailleurs que sur ce forum bien avant 2013). En quoi cela regarde le forum des cheminots ? Mon fils est cheminot. Alors si quelqu’un peut lui dire que j’ai beaucoup de choses à lui apprendre sur bien des choses qui se sont produites depuis tout ce temps … PS : je réside dans une région où tout me porte à croire (en l’absence de preuves contraires) que le courriel menaçant peut être lié à un possible E3. A suivre … et sans messages de la part de personnes qui ne savent rien de moi, comme jackv ou adc01. Si j’ai choisi de publier ici, c’est bien pour que ce soit lu par certaines personnes (je n’ai pas d’autre moyen) et pas uniquement par des individus qui réagissent en se fichant pas mal de savoir ou non, comme, encore eux, adc01 et jackv. adc01 et jackv : le sujet bancal est toujours d’actualité. Aussi, vous vous employez à faire aussi bien que moi en le convertissant en milliards d’euros pour la SNCF et ses cheminots, d’une part. D’autre part, adc01 et jackv, vous me laissez tranquille et me laissez publier ici tout ce qui peut contribuer à me ramener mon fils. Ai-je été clair ? A suivre … (bis)
  4. Ce matin, 1er jour de décembre 2018 , j’ai créé un compte pour un non-cheminot qui a beaucoup à écrire sur les « privilèges » des cheminots. Pourquoi poster ce message dans la discussion consacrée à la réforme du système ferroviaire ? J’ai une très bonne raison mais ne veux pas la dévoiler pour l’instant. Poliment, j’attends que cette personne ait le courage de s’exprimer ici d’abord. J’espère simplement que cette personne n’a rien à voir avec la courriel anonyme et menaçant que j’ai reçu récemment. A suivre …
  5. En attendant, ADC01, voilà quelques textes à lire (et relire) : Extraits de la Convention d’Occupation du Domaine Public : A. Non-gratuité de l’occupation Le principe selon lequel toute occupation privative du domaine public donne lieu au paiement d’une redevance est consacré. Deux exceptions sont prévues toutefois par l’article L. 2125-1 du CG3P. Ainsi, la gratuité peut être envisageable soit lorsque « l’occupation ou l’utilisation est la condition naturelle et forcée de l’exécution de travaux ou de la présence d’un ouvrage, intéressant un service public qui bénéficie gratuitement à tous », soit « lorsque l’occupation ou l’utilisation contribue directement à assurer la conservation du domaine public lui-même ». De plus, l’autorisation d’occupation ou d’utilisation du domaine public peut être délivrée gratuitement aux associations à but non lucratif qui concourent à la satisfaction d’un intérêt général. B. Utilisation conforme à l’affectation Les biens du domaine public sont utilisés conformément à leur affectation à l’utilité publique. Aucun droit d’aucune nature ne peut être consenti s’il fait obstacle au respect de cette affectation (article L. 2121-1 du CG3P). [NDLR : l’utilisation de biens du domaine public dans le cadre d’une activité professionnelle privée relève d’intérêts privés et NON de l’utilité publique ; d’autre part, CG3P = Code Général de la Propriété des Personnes Publiques] Phrases et formulations diverses extraites d’un Règlement Général de Voirie (communale ou d’agglomération) : Le domaine public de la voirie est affecté à la circulation. Aucune autre utilisation n’est admise, sauf si elle est compatible avec cette destination. [NDLR : ce qui suit traite du droit d’user la voie publique] Ces différents droits ne lui [NDLR : le riverain] confèrent toutefois aucun avantage d’ordre professionnel, privé ou de préférence. Il est interdit de …, ou de compromettre la sécurité ou la commodité de la circulation, ou de porter atteinte à la salubrité publique. [NDLR : il est interdit] d’y faire des travaux de quelque nature que ce soit, sans en avoir obtenu l’autorisation. Toute occupation privative du domaine public avec emprise notamment en vue de l’implantation d’un ouvrage doit faire l’objet d’une autorisation de voirie délivrée par le Maire [NDLR : « notamment » = plus que les autres, mais pas les seuls !] Les autorisations de voirie concernent les différentes catégories suivantes : … Les permis de stationnement et de dépôt ou d’occupation superficielle : ce sont des autorisations d’occupation de la voie publique par des objets ou des ouvrages qui ne modifient pas suffisamment l’emprise pour perdre leur caractère mobilier. … Les autres autorisations.. Les installations aménagées sur le domaine public, qu’elles soient légèrement fixées au sol, amovibles ou mobiles, de durée limitée ou non, devront faire l’objet d’une autorisation délivrée par le Maire. Elles seront soumises à perception des droits de voirie ou de droits de place, selon le type d’installation et les tarifs en vigueur (annexés). Les installations ambulantes ou mobiles sont soumises aux conditions du présent règlement. Tout acte de pistage ou de racolage des clients y est également interdit ainsi que toute vente à la sauvette. [NDLR : Occupation superficielle … du domaine public] Les prescriptions se rapportant au présent titre concernent : … - Les diverses occupations temporaires du domaine public. Toute occupation du domaine public communal, en vue de l’implantation d’un ouvrage ou de l’exécution de travaux, doit faire l’objet d’une autorisation délivrée par le Maire en conformité avec le présent règlement. L’autorisation prend la forme : - Soit d’un arrêté municipal : permission de voirie lorsque l’occupation donne lieu à emprise, ou un permis de stationnement lorsqu’il s’agit d’une autorisation superficielle sans incorporation au sol. - Soit d’une convention lorsqu’il s’agit d’ouvrage ou d’installation présentant un caractère immobilier répondant à des préoccupations de service à l’usager et desservis essentiellement par le domaine public dont il affecte l’emprise au sol ou en sous-sol. Ne sont pas soumis à cette formalité, dans la mesure où un texte les autorise à occuper le domaine public, les concessionnaires des services publics pour les ouvrages inclus dans leur concession, les occupants de droit ainsi que les services municipaux. [NDLR : les mêmes dispositions existent bien évidemment pour les voiries routières - départementales ou nationales non concédées - et leurs dépendances,] Extrait du Code de la Voirie : Article L113-2 En dehors des cas prévus aux articles L. 113-3 à L. 113-7 et de l'installation par l'Etat des équipements visant à améliorer la sécurité routière, l'occupation du domaine public routier n'est autorisée que si elle a fait l'objet, soit d'une permission de voirie dans le cas où elle donne lieu à emprise, soit d'un permis de stationnement dans les autres cas. Ces autorisations sont délivrées à titre précaire et révocable. [NDLR : les articles L.113-3 à L.113-7 concernent les interventions sur les réseaux de télécommunications, de gaz, et les oléoducs]
  6. Comment un cheminot peut-il se montrer plus enclin à défendre le principe de solidarité pour les infrastructures routières que pour les infrastructures ferroviaires ? D’autre part, mes messages sont moins expéditifs que les tiens : aussi je t’invite à lire plusieurs fois les miens avant de réponde n’importe quoi et à côté du sujet : c’est la différence entre le routier et le ferroviaire que je souligne. Ceci dit, au nom de ton principe de solidarité, emploies-toi à exiger auprès de ceux qui vont mettre en œuvre la réforme du système ferroviaire de perdre cette habitude de « claquer » au nez des cheminots le montant de la dette liée au coût de l’infrastructure alors qu’ils se gardent bien d’en faire autant au nez d’autres professionnels sur d’autres infrastructures. Un exemple tordu (faut voir !) ? A mon tour, je n’ai que çà à fairrrrrre ! Si tu achètes un jour prochain un bien immobilier, par le biais d’une agence, demandes à l’agent immobilier qui utilise chaque jour gratuitement l’infrastructure routière dans le cadre de son travail, de te faire une ristourne sur le montant des frais d’agence, au nom … du principe de solidarité !
  7. Ras-le-bol que dans cette discussion, tu ne trouves rien de mieux à faire que d’y insérer des cas tordus. Moi, je parle d'outils de travail utilisés dans le cadre d'une activité professionnelle : ce que tu écris est donc hors sujet. Tu ferais bien de relire ce que j'écris, d'autant que mes messages sont moins expéditifs et désinvoltes que les tiens ...
  8. Cyclodocus : bien vu, c’est exactement çà !
  9. Je propose aussi de "basculer" cette conversation dans la partie du forum qui est déjà consacrée à cette réforme ferroviaire et qu'on peut atteindre en suivant ce lien, je pense :
  10. A Capelanbrest : désolé pour l'incompréhension mais si des cas particuliers n'étaient pas évoqués/fabriqués, on n'en serait pas là ... Bon, passons. Si cela peut éclairer : 1 L'infrastructure ferroviaire à un coût, et présente aujourd'hui une dette supérieure à 30 Milliards d'euros (résumé de la situation pour faire court) ... Une réforme est envisagée et elle implique dans l'esprit de ceux qui vont légiférer et la mettre en œuvre la "participation" (au sens large du terme) de la SNCF, utilisatrice de cette infrastructure (elle n'en est plus gestionnaire puisqu'ON lui a ôté cette prérogative en 1997). 2 L'infrastructure routière a elle aussi un coût : il y a chaque jour dessus des entreprises qui l'utilisent ou l'occupent à des fins professionnelles ... Elles ne sont pas différentes de la SNCF sur SES infrastructures ... Et pourtant, quand il est question de la dette liée à l'entretien des routes, la nécessité (là aussi) de réduire les coûts, etc ... Est-ce qu'une seule fois, ces entreprises sont citées, mises à contribution ? NON. Les gestionnaires de la voirie routière (différents selon la classification) continuent d'emprunter, alourdissent la dette (voir celle de bon nombre de communes par exemple - je précise à ceux qui ne connaitraient pas bien les mécanismes que si l'emprunt est un investissement, les intérêts liés à la dette par la suite passent dans la section "Fonctionnement" du budget communal, puis dans les divers impôts locaux). 3 En complément du point 1, et parce que je ne suis pas sectaire, il en va de même pour les infrastructures portuaires ou aéroportuaires : les entreprises qui les utilisent sont souvent aussi (mal)traitées que nous (observer ce que compagnies maritimes ET leurs personnels subissent depuis 3 ou 4 décennies, par exemple) ... 4 A la lecture de certains codes ou textes réglementaires en vigueur, il me semble de plus en plus évident que la façon de traiter les uns ou les autres, d'une part, les différentes infrastructures (façon de les obtenir, de les exploiter, de les entretenir, etc … et de financer le tout, bien entendu) n'est ni très juste, ni loyal et, je le pense sincèrement, pas très légal non plus ... C'est de ne pas en parler qui a rendu légitime certaines façons de procéder., ou d'en parler de façon incomplète, comme par exemple se référer au seul code de la Route pour évoquer l'utilisation du portable au volant alors que tout comportement lié à une activité professionnelle relève de la législation sur le travail. Pour résumer, quand les infrastructures ont un coût (trop élevé), on "tape" aussi sur la ou les entreprises qui travaillent dessus ... sauf quand elles sont routières! Et quand je lis ceci (réponse d’un citoyen – enfin, je suppose) à propos d’un article sur le site Internet d’un média mettant récemment en cause la SNCF : « C'est le bordel à la SNCF;Rien que des irresponsables;ils n'en ont rien à cirer que des gens perdent leurs boulots;car eux sont bien protégés,avec leurs syndicats,c'est scandaleux! Il faudrait une concurrence... » [sic] Alors que sur mon vélo, je me coltine tous les jours des « trouducs » en tous genres prêts à tuer pour ne pas perdre leur boulot parce qu’ils estiment que leur conversation professionnelle et téléphonique est plus importante que la sécurité des plus vulnérables, je ne sais plus rester silencieux. D’autre part, il est de notoriété publique que des employeurs – qui ne se privent pas de le pratiquer eux-mêmes - laissent faire ou encouragent leurs salariés à enfreindre la loi et défier la Police … Moi qui ai débuté à la SNCF dans la Section Mouvement d’un Dépôt, j’y ai appris – entre autres - que c’est l’employeur SNCF qui sanctionne un Agent de Conduite quand il « bouffe » un carré, pas la Police. Et je pense que c’est toujours ainsi … Il ne s’agit pas ici de savoir s’il est juste ou injuste de le punir, mais de remarquer que, globalement (ce n’est pas toujours parfait, mais rien dans ce monde n’est …. parfait), l’entreprise SNCF – AVEC SES CHEMINOTS et ses règles de conduite - n’est certainement pas la plus malhonnête parmi celles qui sont amenées à exercer leur activité professionnelle sur des infrastructures financées en tout ou partie avec des fonds publics. PS : je m’aperçois en me relisant et ayant voulu faire court et pas trop confus que des points évoqués ici sont à développer … Je le ferai dès que possible, ou dans des réponses à d’éventuelles questions ou demandes d’éclaircissement.
  11. Ae 8/14 : Je viens d’avoir une conversation avec un père de famille (2 enfants de 7 et 10 ans, scolarisés, bien entendu). On parlait de gain/perte de temps et je lui ai expliqué que, lorsque j’étais moi-même écolier-puis-collégien-puis-lycéen, je faisais – chaque jour - TOUS les trajets domicile école-puis-collège-puis-lycée, à pied, ce qui rendait au minimum quarante minutes dans l’emploi du temps de ma ménagère de mère, 5 ou 6 jours par semaine. Il aimerait en faire autant et envoyer ses enfants à l’école sur leur vélo – c’est bon pour la santé, ils aiment le vélo, çà leur apprend un peu l’autonomie, etc – mais, malheureusement, dans nos rues et sur nos routes, il y a de plus en plus d’égoïstes, qui eux aussi, aiment gagner du temps et estiment par conséquent que la réponse rapide attendue par leur N+1 est plus importante que la sécurité de ses enfants (leur liberté de circuler, je n’en parle même pas, hein ?). Dommage, 1 adulte et 2 enfants qui étaient volontaires pour gagner du temps sans le voler aux autres. Vraiment pas de chance ! Et pas question pour ce père de famille de passer les premières heures de son travail à se demander si ses enfants sont toujours en vie … Cà se comprend, non ? Que lui dis-je à ce brave père de famille et ses enfants pourtant pleins de bonne volonté ? Et au lieu de fabriquer des exemples – je te fais remarquer en passant que tu n’as rien fait d’autre et que çà ne constitue pas des réponses aux propos/questions que je formule - à partir de mes écrits qui, eux, relatent des faits réels et observables (et pas qu’un peu), contentes-toi d'observer - comme moi - la grande majorité des comportements sur la voie publique ... et ose affirmer qu'ils sont normaux ! Et les DEUX fois où mon VTT et moi nous sommes couchés sur le bitume à cause d'enc... qui estiment que leur téléphone est plus important que la sécurité des autres, elles sont bien réelle. aussi ... Et je suis toujours en vie : çà me fait TROIS bonnes raisons de ne surtout pas me taire ou être réduit au silence par des égoïstes qui ont décrété qu'ils avaient de toute façon raison et qui ont l'outrecuidance de se servir d'autres comportements tout aussi égoïstes pour justifier le leur. Au fait, au volant comme sur mon VTT, mon portable est - plus généralement - éteint ou sur vibreur (totalement inaudible) : çà s’appelle prendre une bonne résolution et s’y tenir, çà évite d’avoir à répondre – et perdre du temps - à des questions qui ponctuent un exemple à la c… ! Et mon N+1 et moi avons autre chose à faire que jouer aux DEVINettes ! La réforme du système routier parallèlement à celle du système ferroviaire est sans doute plus utile aux cheminots que ton petit cas personnel (j'ai évoqué le mien ci-dessus, soit, mais je m'en étais bien gardé jusque là, avant que ta façon abjecte d'aborder le sujet m'y contraigne) !
  12. Ae 8/14 : A ton N+1 tu lui transmets ceci : http://www.preventionroutiere.asso.fr/Nos-conseils/Toutes-les-fiches-conseils/Risques/Telephone-au-volant Quant à l'ambiguïté que tu évoques, acceptes-tu d'en débattre en présence de représentants de la Police et de l'inspection du travail ? Je suis certain qu'ils t'apporteront des réponses très claires sur le sujet ? Moi, ils connaissent déjà mon opinion car je n'ai pas peur de la porter à leur connaissance, contrairement aux accros du portable au volant qui ont toujours raison mais ne sont pas aussi courageux ! A titre d'exemple : Ce matin, vendredi, j'ai encore vu les commerçants déployer leurs étalages sous ou autour de la Halle, espace appartenant au domaine public dont l'occupation est soumise à autorisation ET facturation, dûment surveillée par des agents municipaux. Mais pendant toute la journée, une ribambelle de professionnels vont occuper la voirie publique sans autorisation et sans que cela leur soit facturé, avec comme seule préoccupation (en plus de leur activité professionnelle), celle de ne pas se faire prendre ... En clair, la loi s'applique à certains et pas à d'autres ... Dans ce pays, cela s'appelle de la discrimination ... Il s'agit pas de punir ou quoi que ce soit : je suggère plutôt à la famille cheminote d'exiger que les élus qui vont réformer le système ferroviaire s'emploient à réformer le système routier en commençant par lui appliquer la législation en vigueur, et d'une façon équitable pour tous ... "A nous de vous faire préférer le train", disait un slogan il y a quelques années ! On ne peut pas vraiment dire que leur avoir collé un téléphone dans la main les ait incité à décoller leur cul de la voiture pour le coller dans un autre mode de transport ... Je pense même que le résultat est visible ... à l'oeil nu, non ? Surtout qu'ils ont obtenu (doux euphémisme) 100% de l'infrastructure routière gratuitement et en moins de 24 heures (ce qu'on ne verra jamais pour un TGV ou n'importe quel autre train ou autre transport collectif : cela aussi, c'est peut-être discriminatoire) - ils auraient pu aussi la demander poliment, comme le font les associations de cyclistes pour obtenir des voies cyclables, mais faut pas rêver ! Si pour toi, la réforme du Système Ferroviaire et sa cohorte de textes législatifs qui va assommer le cheminot encore un peu plus pendant qu'une législation pourtant en vigueur n'est même pas appliquée au pire ennemi des transports en commun te semble normal ...
  13. Les camionneurs paient une taxe à l'essieu et les chauffeurs de taxi une licence ... Ce qui n'excuse pas leur façon de se comporter (notamment les taxis parisiens, dont la plupart préfèreraient buter un cycliste que ralentir un peu leur course). Ae 8/14, si tu veux faire des comparaisons, montre-toi moins restrictif ... Moi c'est la façon globale dont sont traitées les différentes infrastructures que je compare et il est indéniable que les infrastructures routières ne le sont pas tout à fait comme elles devraient l'être ... (ce qui constitue aussi une réponse à ta question relative au lien avec la réforme du système ferroviaire). Pour info, dans la région Champagne-Ardenne, des élus - imitant en cela des élus du Nord - envisagent de porter plainte contre la SNCF pour un soi-disant manque de transparence dans la tarification du TGV-Est : ces mêmes élus sont-ils tout à fait transparents dans leur façon d'accorder à certainess entreprises le droit d'utiliser/occuper la voirie routière dont ils sont gestionnaires ? Et téléphoner au volant est illégal. Et une chose doit être claire : si, pour toi, il est normal qu'une multitude de comportements sur la route sont de plus en plus liés à des activités professionnelles, alors, cela doit relever du code du Travail et non plus du seul code de la Route ... Or, ce n'est toujours pas le cas !
  14. @Ae8/14 Toute comme il y a une différence entre conduire pour se rendre à son travail (ou en revenir) et travailler en conduisant. Parles-en avec ton assureur ou avec un inspecteur du travail ...
  15. Ae8/14 Il y a une (grande) différence entre prendre sa voiture pour se rendre à son travail et l'UTILISER COMME UN LIEU DE TRAVAIL
  16. Suite à deuxième mauvaise manipulation sur mon clavier, voici la suite de la publication précédente : Je suis certain qu'à terme, çà en calmerait quelques-uns quant à l'utilisation abusive de certains outils de travail ... Et je me souviens d'une époque où le boulanger qui faisait sa "tournée" en camionnette pour vendre pains et pâtisseries avait une autorisation délivrée par la Mairie, tout comme la marchande de glaces qui stationnait sa deudeuche (oui oui, une deudeuche équipée d'un congélateur et même surmontée d'un parasol les jours de grand soleil !) décapotée sur la Grand'place, puisqu'ils exerçaient une activité commerciale sur la voie publique ... Sous prétexte qu'ils sont plus difficiles à gauler avec leurs téléphones, tout est dû à ceux qui en abusent ? Alors, un agent immobilier (exemple) qui téléphone dans sa voiture pour prendre ses rendez-vous, c'est une activité commerciale sur la voie publique ... et il n'y a rien à redire ! Rassurez-vous : à tire de comparaison, le marchand qui vend des fruits et légumes sur le marché, on n'oublie pas de le faire payer et de vérifier s'il a une autorisation !
  17. Suite à mauvaise manipulation sur mon clavier, voici la suite de la publication précédente : ... dès qu'on parle des infrastructures routières ... Il y a trop de règles qui s'appliquent dans certains cas et pas dans d'autres ... Et ce n'est pas normal. Cela fait trente ans que j'entends parler de concurrence déloyale entre la route et le fer : on est face à des entreprises qui ont pris la totalité de l'infrastructure routière l'utilisent comme bon leur semble et en toute illégalité, et çà ne gène personne alors que ce n'est rien d'autre que de la concurrence illégale ? Sur la route, tout est permis puisqu'il suffit de ne pas se faire prendre ! Imaginez que l'Inspection du travail fourre son nez dans les accidents de la route avec autant d'assiduité qu'elle le fait pour les crashs aériens, les catastrophes maritimes ou les trains qui déraillent ... Je suis cera
  18. Le problème est simple : infrastructures utilisées à des fins professionnelles = même traitement pour toutes. Regardez comment çà se passe quand il s'agit d'infrastructures ferroviaires, portuaires et aéroportuaires, à comparer avec j'm'en foutisme et le complaisance qui vont si bien dès qu'on parle des infra
  19. ADC01 : le raisonnement à la noix est plutôt pour tous ceux qui revendiquent le téléphone comme un outil de travail et refusent qu'on le traite comme tel. Donc, selon toi, cheminot, des entreprises peuvent utiliser la voie publique comme bon leur semble et sans payer pendant qu'une entreprise comme la SNCF paie son droit d'utiliser les voies gérées par RFF depuis 16 ans. Il y en a qui paient et d'autres dont le seul souci est de ne pas se faitre prendre. Comment rétablir l'équilibre entre le rail et la route si on n'applque pas les mêmes règles (et une législation qui existe déjà mais n'est pas appliquée) aux deux infrastructures ? Simple rappel en passant: un piéton n'encombre pas, ne pollue pas et marche (ce qui est bon pour la santé, parait-il); Pendant que les égoïstes accros du portable au volant ... Et la voiture utiisée comme lieu de travail, cela relève de la législation sur le travail, et pas du seul code de la route. Alors que les gestionaires de la voirie routière appliquent le même traitement que celui que nos chères têtes pensantes ont créé entre RFF (le gestionnaire de l'infra) et la SNCF (l'utilisateur de cette infra). Quand certains cheminots prendront conscience que le pire ennemi des transports en commun se trouve au volant en train de téléphoner (il prend la rue illégalement, se trouve plein de raisons d'avoir raison, se fiche complètement des autres) : s'il y a un truc bien visible, c'est pas de lui avoir collé un téléphone dans les mains qui lui a décollé son cul de la voiture .. alors que c'est précisément ce qui était souhaitable (A nous de vous faire préférer le train...). Je ne comprends même pas qu'un salarié d'une entreprise comme la SNCF puisse se montrer aussi complaisant ... sauf s'il est lui-même un fervent pratiquant du "j'téléphone au volant et j'emm... les autres". J'avais oublié, en publiant ici, que certains imitent si bien cette nouvelle génération d'automobilistes les plus égoïstes qu'ils ne peuvent pas les dénoncer, même si cela servirait leur entreprise, et, à travers elle, eux-mêmes ... Et ne pas oublier que ces automobilistes, quand les médias font leurs choux gras sur le coût des infrastructures ferroviaires et la dette ainsi engendrée, ne sont pas les derniers à citer comme premiers responsables les cheminots trop nombreux et trop bien payés ...
  20. On se soucie de savoir qui va payer la dette engendrée par le coût de l'infrastructure ferroviaire : l'Etat, le client, les collectivités territoriales, les chemiots ou la SNCF qui n'aura qu'à emprunter et s'endetter un peu plus encore pour ... rembourser ! Quoi qu'il en soit, il y aura bien une espèce de "contrat" entre l'Etat et la SNCF ou le futur groupe ferroviaire (si réunification de RFF et SNCF il y a ), avec, je suppose, des obligations des deux côtés, alléger la dette et améliorer sa compétitivité pour la SNCF. C'est l'avenir qu'on promet aux cheminots et à leur entreprise. Comme toujours depuis quelques décennies maintenant ... A propos d'infrastructure, de coût, de dette, de savoir qui doit payer pour avoir le droit de l'utiliser ... Au moment où j'écris ces lignes, partout en France, une multitude d'entreprises occupent la voirtie routière publique sans autorisation et sans que celle-ci leur soit facturée et, renseignements pris auprès d'un service de voirie d'une grande ville française : cette situation ne serait pas tout à fait normale et ne tient que parce que le problème n'a jamais été évoqué (en conseils municipal, départemental, régional, par exemple, selon la classification de la voirie concernée : on pourrait presque dire que plus c'est gros, plus çà passe !). Dès qu'il s'agit du ferroviaire, on réforme, on s'alarme de la dette importante et qui va encore augmenter, on s'inquiète des acquis des cheminots qui - c'est bien connu - ne sont que des fainéants privilégiés, ben voyons ! L'agent immobilier (simple exemple parmi beaucoup d'autres) qui arpente rues et routes chaque jour, y utilise dans le cadre de son activité professionnelle ses deux outils de travail préférés (voiture + téléphone portable), lui demande t-on de supporter le coût de la dette liée aux emprunts qui ont servi à construire et entretenir l'infrastructure routière sur laquelle il se trouve ? NON. Et se charge t-on seulement de lui rappeler qu'utiliser des outils de travail sur la voirie routière publique SANS autorisation est illégal ? Les infrastructures portuaires coûtent trop cher ? C'est la faute des dockers ! Les infrastructures aéroportuaires coûtent trop cher ? C'est la faute des personnels sédentaires ! Les infrastructures ferroviaires coûtent trop cher ? C'est la faute des cheminots ! Les infrastructures routières coûtent cher elles aussi ? Et sont, elles aussi, utilisées à des fins commerciales et/ou industrielles par bon nombre d'entreprises (nombre qui a très copieusement augmenté depuis l'invention de nouveaux outils de travail) : leur demande t-on le moindre effort ? Juste pour information, voici un extrait du rapport de Jean-Louis Bianco (Avril 2013) sur la (prochaine) réforme du système ferroviaire : << Il est nécessaire que le système ferroviaire français se prépare à l’ouverture à la concurrence pour le transport national de voyageurs à l’horizon 2019. Celle-ci devra être réalisée dans des conditions équitables et loyales. D’autant qu’elle s’exerce non seulement à l’intérieur du mode ferroviaire, mais plus fortement encore entre les différents modes de transport, et notamment entre le ferroviaire et le routier. >> Je dis et affirme qu'il faudrait déjà que les différentes infrastructures soient traitées plus équitablement et de façon moins discriminatoire ... Et je me demande dans quelle mesure la façon qu'ont nos gouvernants (quelles que soient leurs convictions politiques) de mettre systématiquement en avant les entreprises et leurs personnels dès qu'une dette liée à leur activité est devenue ingérable, pendant que d'autres bénéficient d'une bien trop grande complaisance n'est pas un peu condamnable ... Ce n'est que mon avis mais je pense sincèrement que la famille cheminote (expression aussi utilisée dans le rapport Bianco) devrait se pencher sur la façon dont çà se passe avec la dette de l'infrastructure routière ... "On" demande beaucoup trop à certaines entreprises (et leurs personnels) et pas assez à d'autres ...
  21. ADC01 : L'utilisation d'outils de travail sur la voirie routière publique sans autorisation est illégale ... Tous les outils de travail doivent être traités de la même façon, pas en faisant payer certains pendant que d'autres s'en tirent à bon compte ... en bénéficiant d'une infrastructure gratuite et, en plus, utilisée illégalement.
  22. Depuis 1997 et sa séparation en deux entités nouvelles (SNCF, transporteur - RFF, gestionnaire de l'infrastructure), la SNCF loue des sillons à RFF pour avoir l'autorisation d'y faire rouler son outil de travail : les trains. VOITURE + TELEPHONE PORTABLE UTILISES DANS LE CADRE D’UNE ACTIVITE PROFESSIONNELLE SONT DES OUTILS DE TRAVAIL Et on peut les voir utilisés chaque jour, de plus en plus nombreux, par n'importe quelle entreprise privée (entre autres), utilisant et occupant une voirie routière publique qui ne lui appartient pas puisque relevant du domaine public et appartenant à différents gestionnaires, selon sa classification (communale, départementale, nationale). Pourtant, pour ces entreprises : pas de sillon, pas de facturation et pas la moindre autorisation non plus. Normal ou DISCRIMINATOIRE ? Concurrence légale ou ILLEGALE ? Les entreprises de transport public, comme la SNCF - mais il y en a d'autres - ne sont-elles pas lésées par cette situation et injustement traitées ? Merci de m'apporter vos avis, témoignages divers sur ce sujet ... sensible (?) et de diffuser sans modération car ne nuit pas à la santé du transport ferroviaire
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