Renaud

Tu n'as pas tort mais tu prêches pour ta paroisse

1/ des exemples? 2/ des locaux çà s'adapte ou se transforme. 3/ ...mais cela peut inciter certaines personnes à préférer le train 4/ là aussi l'un n'empêche pas l'autre 5/ des exemples? Tu ne peux pas nier qu'il y a de plus en plus d'activités "hors ferroviaire" dans les gares et si c'était aussi catastrophique que tu le prétends cela aurait rapidement disparu. Si certaines activités n'existent plus c'est sûrement parce qu'elles n'ont pas trouvé leur clientèle mais ce peut être le cas n'importe où. Je suis passé récemment gare St Lazare après ne pas y être allé pendant plus de 15 ans et j'ai été surpris par la transformation. A la place d'une gare sombre, triste, froide j'ai trouvé un lieu totalement transformé et bien plus agréable (même si je n'y ai effectué aucun achat ). Donc oui, les gares doivent s'ouvrir sur la ville et offrir le maximum de services puisque, tu le dénonces toi même, la SNCF, elle, réduit voire supprime son personnel et ses propres services.

Tu confonds l'entreprise de transport et les locaux dont elle dispose. J'ai lu par ailleurs que les activités annexes présentes dans les gares génèrent des revenus et que ces revenus sont affectés à l'entretien et la rénovation des gares. Il serait idiot de s'en priver. Les risques encourus par une crèche ne seront pas plus grands dans une gare qu'ailleurs et, justement, le fait d'être dans une gare comme celles citées doit intéresser des mères de famille obligées d'aller travailler à Paris.

L'un n'empêche pas l'autre. Une gare est un bâtiment qui peut accueillir des activités très diverses plus ou moins en rapport avec le chemin de fer. Dans le cas d'une crèche cela intéressera les mères de jeunes enfants qui n'auront pas à faire un détour pour déposer leur bébé avant de prendre le train et si, en plus, elles peuvent faire leurs courses avant de rentrer chez elles cela leur fera gagner du temps et éviter des déplacements superflus. Est ce une si mauvaise idée? ???

...et pas qu'un peu . Après avoir lu de nombreuses interventions j'ai cru comprendre que le métier de cheminot était un métier où le règlement et sa stricte application sont des choses importantes. Il me semble que les règles élémentaires de conjugaison, d'accord ou de syntaxe ne sont pas plus difficiles à appliquer qu'une règlementation professionnelle (qui dans certains cas me parait peu aisée à assimiler). Pour l'orthographe "pure" tout ordinateur est équipé d'un correcteur efficace (à condition, bien sûr, de ne pas écrire tord au lieu de tort), pour le reste un minimum d'attention doit permettre, par exemple, de faire la différence entre l'infinitif et le participe passé (un verbe du troisième groupe permet immédiatement de faire cette différence) ou de ne pas oublier de mettre un s à certain(s) lorsqu'il s'agit de plusieurs personnes. J'ai lu plusieurs sujets avec intérêt mais je regrette que certaines fautes en aient quelque peu gâché le plaisir. Mais ce n'est là que l'avis d'un vieux grincheux amoureux de la langue française si malmenée depuis trop longtemps et revenons au chemin de fer avant qu'il ne devienne qu'un lointain souvenir

Quand on doit corriger un tas de copies toutes plus bourrées de fautes (d'orthographe, d'accord, de conjugaison, de syntaxe…) les unes que les autres on finit par ne plus les voir.

La SNCF me semblant coutumière du 1 = 2 peut être qu'il est envisagé qu'un seul 79000 remplacera une UM de 67200.