FranckP

Je me souviens du nom Robin et je crois Huillery, mais surtout de l'instructeur Debray ; anecdote : je suis enseignant depuis 2000 et j'emploie parfois l'une des expressions favorites alors dudit Debray !

Je retrouve dans ton propos ce qui fut ma formation d'élève-transport, avec des acronymes que j'avais oubliés ! J'aimerais retrouver mes camarades de promotion 1982-1984, ceux qui sont restés à la SNCF comme ceux qui l'ont quittée comme moi, ceux de la région de Tours comme ceux des régions de Paris-Sud et Limoges que nous avions côtoyés à l'école des Aubrais. J'imagine que la majorité est sur le point d'atteindre la retraite à présent. J'ai quand-même conservé toute ma documentation de sécurité, de "commercial-voyageurs", de "marchandises SNCF" ; je dois avoir encore ma casquette de 1982. Que de souvenirs en effet...

On ne fréquente pas les mêmes séniors, manifestement. Ce n'est pas question d'être identifié comme bête quand on ne sait pas utiliser un ordinateur. En tout cas merci pour l'info, avec un fichet il faut donc utiliser la resa payante, c'est noté ! Merci. F.

Ayant démissionné de la SNCF il y a plus de vingt ans, je n'ai pas droit aux facilités de circulation à titre personnel ; je ne prends donc plus le train (trop cher). Je suis donc peu coutumier de l'achat de billets en ligne. Il ne fait aucun doute en mon esprit que cette dématérialisation a pour but premier de dégoûter les porteurs de facilités de circulation -et en priorité les seniors peu accoutumés à l'informatique- d'utiliser celles-ci. Un peu de clarté s'impose donc... Je suis donc allé sur le site "SNCF connect" et j'y ai créé un compte : il faut demander un tarif "90% de réduction" ou "Réservation payante" ? Merci d'avance. F.

Bonjour, Je viens de créer deux fichets de circulation dématérialisés pour ma mère, épouse de cheminot décédé. J'obtiens bien les deux fichets. Mais une question se pose à moi : quel code-tarif de resa-TGV demander pour ces fichets ? Merci d'avance de vos réponses ! F. (ancien cheminot lui-même...)

Bon, manifestement, quand on a été démissionnaire de la SNCF, on perd tous ses droits à facilités de circulation. C'est un peu étonnant sur le principe mais ça explique pourquoi je ne suis même plus sur les fichiers, mon n° de CP est inconnu. Pour savoir, j'ai appelé le service d'Amiens, avec le n° de CP de ma mère, qui est ayant-droit de mon père qui était mécano ; j'en ai profité pour poser la question me concernant, il m'a fallu deux interlocuteurs pour avoir une réponse. Sinon ma lettre est demeurée sans réponse, ce n'est pas une surprise... Merci en tout cas de votre aide. F.

Oui, au vu des messages précédents je sais bien que ma lettre a une probabilité d'être utilisée à bon escient relativement faible. Mais je n'ai pas d'autre moyen. En en-tête j'y ai mis le n° de CP à sept chiffres ainsi qu'entre parenthèses celui avec le 4 en préfixe. On verra bien. Si quelqu'un a une bonne idée pour me sortir de là, je suis preneur !... F.

Je n'ai pas non plus réussi à joindre ces services par téléphone : un robot demande de taper le n° de CP et le mien ne fonctionne pas. J'ai donc décidé d'écrire, "à l'ancienne", un courrier postal. A suivre... F.

Oui, peut-être pour signifier une retraite proportionnelle. Si rien ne bouge dans les semaines qui viennent, je les appellerais...

Merci. Mais rien à faire. Je ne peux "modifier mon mot de passe"', vu qu'à priori je ne suis pas inscrit initialement... Pour mon n° de CP j'ai essayé avec celui que j'avais lorsque j'étais en activité, sans résultat, puis avec le même avec un 4 en premier chiffre (manifestement c'est le n° attribué aux retraités). Sans résultat non plus. Je me demande si l'inscription n'est pas automatique, sans qu'on ait à s'inscrire soi-même... F.

J'ai essayé de me connecter sur le service "service aux retraités sncf", impossible. Impossible aussi de créer un compte retraité (ce n'est pas proposé sur la page). J'imagine donc que ce service me contactera pour créer ledit compte (je viens de me créer un compte sur le site de la CP)... F.

Ça y est, après quatre mois et un rappel, la CP-SNCF me considère enfin comme retraité de la SNCF... Je suis en congés la semaine prochaine, je m'occupe de cela, à présent que j'ai un n° de retraité... F.

Bonsoir, Ce sujet m'interpelle, d'autant que je suis passé "du côté obscur de la force" en démissionnant de la SNCF en 2000 pour intégrer l'enseignement dans le Secondaire. Sans vouloir jouer les vieux schnocks adeptes du "avant c'était mieux" et "les jeunes ne savent plus rien", il est normal qu'une entreprise tienne compte de l'orthographe (et de sa petite sœur la conjugaison) dans une lettre de motivation à l'embauche. Nous faisons tous des erreurs d'orthographe (d'ailleurs ce ne sont pas à proprement parler des "fautes" mais des "erreurs"), mais il y a des situations dans lesquelles il faut faire un effort particulier : qui envisagerait de se présenter à un entretien d'embauche ou à un rendez-vous amoureux en slip et tongs (quoique...) ? L'orthographe est pourtant une discipline relativement simple, bien davantage que ce qu'elle ne paraît ou ce qu'on en dit parfois par paresse intellectuelle (je mets de côté les difficultés types "dys") : de la concentration, de la rigueur, une capacité minimale à l'introspection et un peu de bonne volonté suffisent. Outre la capacité à écrire en bon français, ce que les entreprises cherchent en plaçant l'expression écrite au niveau d'un prérequis dans leur recrutement, c'est l'aptitude à cette rigueur et à cette bonne volonté. Elles considèrent sans doute que si on est fainéant en orthographe, on le sera dans d'autres domaines (le débat est ouvert...). Nous avons totalement abandonné depuis un peu plus de vingt ans le niveau de rigueur en expression écrite à l'école (en réalité tout niveau de rigueur...), pour de mauvaises raisons (c'est astreignant, trop difficile, pas moderne, il y a les correcteurs informatiques, etc.). Nos dirigeants ont bêtement cru qu'en augmentant les heures de Français à l'école ça s'améliorerait mécaniquement (la France est le pays de l'OCDE qui assomme le plus sa jeunesse scolarisée sous des tonnes d'heures de Français et de Maths...). Aujourd'hui on paye, et on n'est pas près de retrouver de la sérénité dans ce domaine. J'ai été jury de CRPE (le concours de recrutement de nos professeurs des écoles) et j'ai halluciné. Même les jeunes collègues écrivent leurs bulletins trimestriels avec de grosses erreurs (à ce niveau on pourrait quand-même parler de "fautes" !...), y compris certains (peu nombreux heureusement) chargés d'enseigner le Français... Tout cela pour dire qu'il n'est pas anormal pour une entreprise de tester la rigueur d'un impétrant par ses capacités orthographiques. Pour une fois que je prends la défense d'une entreprise... ^^ Franck

Oui puisque les derniers de 1984-1986 qui n'avaient encore que seize ans (nés en 1968) devraient atteindre 57 ans en 2025, 58 en 2026...

J'étais de la promo 1982-1984 (à l'époque "région de Tours"), et la promo 1984-1986 a été la dernière.