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Le Web des Cheminots

Anonyme2000

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  1. Bonjour, Merci de ta réponse, même si je trouve certaines remarques un peu faciles, notamment sur l’orthographe. Deux argument sont un peu péremptoire. L'argument temporel, c'est bizarre, a quoi bon faire la recherche historique dans ce cas ^^". Je vais arrêter d'étudier l'antiquité alors, car je n'étais pas nait🤣. Pour la formation, les procédures d'inscriptions sont longues et les problèmes, on ne les choisit pas. Comme si on pouvait prévoir les problèmes 🤣. Je te taquine, c'est le jeu de mettre un message ici. À la base, je n'avais pas prévu de remettre un message d'ailleurs. Mais si je réponds, c'est qu'une de tes questions est intéressante : "pourquoi vouloir [...] changer (de travail) alors ?". Je vois bien que c'est naïf et pas méchant de ta part. L'instabilité du travail pour ma génération tous simplement. Je suis trentenaire, et j'ai enchaîné les travails divers depuis ma majorité en parallèles de mes études. Je suis devenu prof par la suite. J'avais menacé ma direction, il y a de ça quelques années de changer de métier s'il n'arrêtait pas de me payer en retard (cela pouvait atteindre quatre mois de retard, et les propriétaires n'ont que faire de ma situation.). Et je dois avouer que je voulais un CDI tous simplement, pour plus de stabilité. De plus, mes bulletins de salaire sont aussi en retard, un calvaire pour l'administratif. Pourquoi on veut changer de travail, pour survivre, qu'on aime son métier ou non. "Mieux vaut conserver ton job et t'y épanouir...😉", si on le peut ! La actuellement, je remercie mes parents de couvrir l'instabilité de ma situation, car une absence de CDI, c'est une galère depuis l'après-covid de trouver des logements dans certaines régions ! "mais peut être, n'était ce tout simplement pas le bon moment...pour entamer ce cursus..." Ce n'est plus une question de qualité des élèves, mais bien de formation. Les stages répondent justement à cette problématique. Après, c'est plus mon soucis 🤣 Ayant quitté mon emploi à la base pour son organisation, je suis heureux d'avoir découvert au final bien pire ailleurs ... L'herbe n'est pas plus verte ! Je crois ce dicton aujourd'hui. Clairement, l'EF ou j'étais été désorganisé par un manque de personnel à tous les niveaux. Formateur, conducteur, administratifs, agent au sol, ... le factuel, il est là. Une surcharge de travail pour les individus qui rattrapent le manque de personnel. Je l'ai vu de mes yeux, et cela n'a rien de rassurant pour l'avenir, car cela impacte directement la qualité de la formation et la sécurité ferroviaire. Voilà, j'ai rien d'autre à dire. Bonne courage à ceux qui sont encore ou rentre dans le métier. :)
  2. Ce compte va servir pour cet unique message. Je vais déterrer ce sujet pour apporter un modeste témoignage après plusieurs mois de ce fameux DU justement pendant l’année 2024/2025 dans le FRET Le Du ce compose d’une alternance entre cours en université et semaine de stage. Sur le papier, c’est génial, financement des trajets, ticket resto, ect. Si la structure de formation fait son possible pour la réussite de ses élèves, l’entreprise partenaire, ici l'EF n’avais que faire de la réussite. Ils ne sont pas là pour former, mais trouver des profils… Cela ne me dérange pas en soi, mais il est possible que vous perdiez des mois pour rien, alors qu’ils ont déjà statué sur votre cas. Désorganisation, oublie de stage, manque de personnel pour géré les stagiaires, cohérence des cours catastrophique malgré la bonne volonté des formateurs, m’a juste dégoûté du métier de conducteur de train. Ils ne m'ont pas gardé et je voulais partir. Il m'ont proposé à la place un poste d'agent de moyen à 1800 brut en plein centre de l'île de France. Célibataire à ce moment-là, accepter aurait étais du suicide. Le turn-over, peu pour moi. Loin de moi l’idée de me plaindre inutilement, c’est pourquoi certaines choses, je le garde pour moi. Malheureusement, quatre points sont pour moi très important à mettre en avant sur mon expérience personnelle afin de pouvoir comprendre ma vision (négative) sur cette formation. Le premier point est positif, ils m’ont trouvé un logement étant loin de la formation, mais c’est le centre que je remercie, en aucun cas l’entreprise partenaire. Le second est pour moi très grave. Une pensée toxique, un formateur qui je vous l’assure ne représenter pas le reste de ses collègues, pousse à la sortie des stagiaires en les dévalorisant et confirmant par auto-déterminisme ces thèses. Étant moi-même professeur actuellement et ayant subit une tragédie personnelle à ce moment de ma vie en parallèle de la formation, penser à lui de temps en temps me pousse à ne pas lui ressembler. Cette mauvaise rencontre me donne à voir les carences pédagogiques des formateurs, qui sont de bonne volonté, mais reste d’ancien cheminot et en aucun cas des enseignants. Problématique pour une formation qui se veut universitaire, car en plus des connaissances, il faut la patiente et la bienveillance, ce que l'esprit d'entreprise et le temps n'ont pas permis étant bien trop accéléré (suppression de beaucoup cours à la demande de l'EF). Le troisième point porte justement sur cet aspect. Si l’EF ne veut pas vous donner le diplôme universitaire, vous ne l’aurez pas… Oui, mais justement, une entreprise ne peut influencer sur un diplôme universitaire, et ceux même s'il le finance. On peut évidemment questionner la moralité ici, mais la légalité est claire, c’est interdit. Et pourtant, les jurys sont composés de professionnelles de l’entreprise à plus de 50 % et ce sont eux qui ont le dernier mot. À vrai dire, il pourrait très bien ne pas influencer le diplôme, mais refusé de recruter. Ils préfèrent cependant jouer avec le fil de la loi. Pour moi rien d'étonnant avec le recul. De plus les retour que j'ai eu confirme un gouffre entre ceux qui sorte d'université et ceux en formation interne en qualité de savoir. Cela démontre cela. Le quatrième est la visite médical, faite aussi par un autre prestataire, qui m'a obligé à faire quatre visites chez l'ophtalmologiste pour le même contrôle. La vision, c'est important et je ne le remets pas en question. Ma mutuel et mon portefeuille n'ont cependant pas apprécié, car c'était évidemment à moi de trouver pour le jour au lendemain un examen. Je me suis donc beaucoup déplacé sur des kilomètres pour cela, afin de trouver les précieuses consultations. À vrai dire, cela me dépasse aujourd’hui. Je suis heureux dans mon travail actuel. Mais retombant par hasard sur cette conversation, m'a poussé à poser ces lignes sur ce métier fantastique, mais gangrené par les coupes budgétaires et les filiales déficitaires. Réussir dans cet formation n'est pas une question d'exigence, mais de parcourt d'obstacle. Et présenter ça comme une question sélection sans voir le problème est pour moi à l'image du réseaux et de la culture ferroviaire d'aujourd'hui.
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