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nicopasta

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Tout ce qui a été posté par nicopasta

  1. nicopasta a répondu à Forcili situé dans Brin de causette
    Ca existe déjà http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/10/966902-Castres-Les-filles-du-rugby-misent-sur-le-glamour.html
  2. Rupture caténaire dans l'Aude (entre Carcassonne et Bram) à 17H30. Retards de 3H pour le moment, vu que ça ne roule toujours pas. Nico
  3. Bienvenue. Ceci dit Langon c'est le 33 et non pas le 31... ne mélangeons pas les torchons et les serviettes ;)
  4. un message dans un sujet a répondu à nicopasta dans Matériel roulant ferroviaire
    Au temps pour moi alors... :blush:
  5. un message dans un sujet a répondu à nicopasta dans Matériel roulant ferroviaire
    As-tu regardé la photo sur le site ? Sinon, la voilà... Et on voit bien la VL 320
  6. Il me semble que les EF ont jusqu'à fin avril pour les demandes de sillons, et RFF les accorde avant l'été. A confirmer toute de même.
  7. Les raisons je ne sais pas non plus, mais toujours est-il qu'on doit toujours isoler l'allumage automatique des rouges dans les cabines intermédiaires lorsqu'on roule en UM.
  8. 462 kms précisément controleursncf
  9. Il me semble que c'est la Bretagne.
  10. Bonjour, J'ai entendu dire il y a quelque temps déjà par un CTT qu'à partir de 2013 ou 2014 (il me semble), la sélection du côté d'ouverture des portes par le conducteur, sera rendu obligatoire par une loi déjà existente. C'est pour moi une bonne chose, cela permettra d'éviter les incidents lorsqu'il y a un quai de chaque côté. Mais comment cela sera possible, sur le matériel corail, V2N, VB2N/VO2N, RIB/RIO/RRR, Z2, Z2N, et j'en passe ? Quelqu'un a t-il plus d'infos à ce sujet ? Merci Nico
  11. Bonjour Apparemment il reste encore 4 BB 9200 en service. Est-ce qu'elles sont encore en roulement, ou juste pour faire du remplacement, ou carrément GBE, en attente de radiation ? Merci Nico
  12. C'est pas nouveau nouveau les portes qui s'ouvrent en marche sur les VO2N, ça m'est déjà arrivé (mais à plus faible vitesse). Il faut savoir que ces rames ne sont pas EAS, donc pas de LS FP en cabine, donc aucun indice de porte ouverte... Déjà eu l'inverse aussi, les portes qui ne s'ouvrent pas alors que le train vient de s'arrêter, et ce sur toutes les voitures. Très génant également. Ces rames c'est de la vraie merde inconfortable et une passoire en terme d'isolation thermique (il faut hurler en cabine pour s'entendre, passé les 100 km/h), il y a constamment des fuites de suspension, des toilettes qui ne fonctionnent pas... Bien content de ne plus en toucher, elle méritent vraiment la casse (et les 17000 avec). Nico
  13. Dans le référentiel il est marqué "à proximité", mais il n'est pas question de 20 kms. Tu l'as trouvé où ?
  14. Dans le Limousin ? Ou Auvergne peut-être ?
  15. Je pencherais plutôt pour des freinages à 1 bar qui se finissent à 1 bar et donc gros a-coup. Bref, la conduite RATP : " ON / OFF ".
  16. La Dépêche du Midi - le 02/02/2011 10:21 2011, une année charnière pour RFF et Midi-Pyrénées. Le tracé de la LGV Bordeaux-Toulouse et l'avenir de la liaison Toulouse-Narbonne sont les deux plats de résistance. Mais il y a aussi la question posée de l'avenir de la gare Matabiau qui commence à agiter singulièrement les esprits. Plusieurs études prospectives sont en cours. 2011 verra également l'arrivée du tout premier Opérateur ferroviaire de proximité décidé à relancer le trafic marchandise là où le train ne passe plus… C'est sans conteste une année charnière, celle qui verra la définition du tracé de la LGV Bordeaux-Toulouse ; celle aussi qui laissera poindre le meilleur scénario sur une ligne Toulouse-Narbonne appelée à être, soit aménagée et modernisée, soit reconvertie en grande vitesse. A ces deux grands dossiers qui occupent le devant de la scène ferroviaire, s'ajoute la poursuite du plan Rail 2007-2013 qui mobilise le budget régional. Une année riche donc, où Réseau Ferré de France (RFF) maintiendra un « haut niveau d'investissement » de 167 millions d'euros, inférieur toutefois aux 211 millions qui avaient été consacrés l'an passé à l'ensemble des chantiers. C'est environ 5 % du budget que consacre RFF à l'entretien du réseau national. Plusieurs opérations seront conduites cette année, toujours en duo avec la Région, autorité organisatrice des transports avec les TER. Seront mis en œuvre les travaux de renouvellement de la ligne Castelsarrasin-Beaumont-de-Lomagne, destinée au fret. Le Plan rail, qui représente au global 820 millions d'euros, dont la moitié à la charge de la Région, suit son cours cette année avec la modernisation des voies Portet-Tarascon et Saint Sulpice-Tessonières, et avec le doublement partiel de Toulouse-Saint Sulpice, longtemps considérée comme la voix la plus chargée de France. Autre chantier dans les tuyaux, le cadencement qui vise à faire circuler les trains aux mêmes horaires tout au long de la journée pour donner plus d'efficacité aux correspondances. En 2003, Midi-Pyrénées avait été la première région de France à cadencer ses TER, un fonctionnement déjà effectif sur Toulouse-Auch et Toulouse-Latour-de-Carol. Autre volet et non des moindres, l'arrivée d'un opérateur de fret de proximité. Le sud de la France devrait voir circuler d'ici la fin de l'année les premiers trains privés. Sur les rangs, la société Agenia, qui veut assurer à ses clients une interconnexion aux grands axes ferroviaires et aux ports. Selon RFF qui suit le projet, c'est le tout premier de cette ampleur en France. Pour relancer le marché du fret, ces OFP constituent bien la solution durable pour le transport de granulats par exemple. Un train de 800 tonnes, c'est l'équivalent de 40 camions sur les routes. Agenia, dont l'actionnariat est composé des sociétés Egenie (travaux de voie) et des transports Denjean, prépare sa révolution en 2011. Et l'exemple pourrait bien être rapidement suivi. Le chiffre : 28 milliards d'euros > endettement. RFF reconnaît être dans « une trajectoire financière pas très bonne. », du fait notamment des baisses de subventions d'État. Ce constat intervient à l'heure où se pose la question des financements, l'État étant moins que jamais en mesure de tout prendre à sa charge. Une vingtaine de projets de LGV doivent être lancés avant ou après 2020 en France. Multiplier les lignes relève de la quadrature du cercle à l'heure où l'entretien des voies se révèle déjà très compliqué. LGV: du fuseau au tracé Grand projet Sud-Ouest (GPSO) : année 2011 décisive. Le GPSO, c'est l'appellation générique de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne. Avec plus de 400 km de ligne nouvelle, ce projet est le plus important jamais étudié par Réseau ferré de France. Cette année, on passera de la notion de fuseau large de 1 000 mètres à celle de tracé définitif sur une emprise, cette fois, de 80 à 100 mètres. « On est pied au plancher dans ce dossier même si tout semble aller lentement. Le planning reste inchangé. On prévoit une approbation ministérielle du tracé fin 2011 et une mise en service en 2020 », précise le patron de RFF dans la région. En 2010, avait été validé par l'État le fuseau qui devait être emprunté par la future ligne à grande vitesse. En septembre 2010, Jean-Louis Borloo avait demandé à RFF une étude actuellement en cours pour une variante du fuseau D plus proche de l'autoroute A62 dans sa partie Sud, de Campsas à Toulouse. Une solution défendue au demeurant par l'Union pour la sauvegarde des villages. On connaîtra le futur tracé à la fin de cette année. La décision ministérielle interviendra début 2012. Suivra dans la foulée la préparation du dossier d'enquête publique programmée pour 2013, la déclaration d'utilité publique n'intervenant elle-même qu'en 2014. Quant à la ligne à grande vitesse, elle ne sera pas mise en service avant 2020. Gare Matabiau. « ça finira par coincer » « Si tout le trafic converge à terme à Matabiau, ça finira par coincer… », reconnaît Christian Dubost. Mais, pour le directeur de RFF, la cause de la saturation à terme de la gare toulousaine ne sera pas le TGV mais bien le TER. ça roulera pour l'échéance 2020/2025, mais après ? C'est toute la réflexion qui commence à germer. Pour soulager Matabiau, Christian Dubost évoque l'idée d'ouvrir des gares satellites à Toulouse pour désengorger le trafic des trains régionaux. Pourquoi ne pas faire arrêter les trains dans les gares annexes de Saint-Agne, Montaudran, les Arènes… pour délester la gare principale ? « La question est posée. Il y a sûrement des solutions. Donnons-nous le temps de réfléchir », plaide RFF. Les usagers de ces gares pourraient être les voyageurs pendulaires qui travaillent à Toulouse, mais n'ont pas besoin de rejoindre Matabiau, préférant un nœud de transport urbain périphérique. Une gare pourrait également voir le jour dans le Sud-est toulousain, dont l'intérêt dépend aussi de la future voie à grande vitesse Toulouse-Narbonne. À Toulouse-Matabiau, le trafic journalier est de 30 000 voyageurs, dont 4 000 aux heures de pointe. On compte 400 circulations quotidiennes voyageurs et fret. Avec la mise en service du quai 6 et de deux nouvelles voies en 2009, ce trafic s'est encore accru. Des études ont confirmé l'intérêt de faire fonctionner la gare en trois blocs distincts en fonction des zones géographiques desservies. Le bloc central pour les axes Agen, Cahors-Brive et Castelnaudary, un bloc Quart Nord-Est pour Mazamet, Rodez et Figeac et un bloc Quart Sud-Ouest pour Auch, Tarbes et Latour-de-Carol. 30 M€ seront consacrés à cet aménagement. Toulouse-Narbonne : les scénarios « On dit de manière sympathique que Toulouse-Narbonne verra le jour en 2025. Mais ce sera sans doute après… », prévient Christian Dubost. Ligne nouvelle ou modernisation de la voie existante ? Le débat trouvera une réponse cette année. La LTN (Liaison Toulouse-Narbonne) fait partie du programme supplémentaire de 2 500 km de lignes nouvelles à grande vitesse né du Grenelle de l'Environnement. Est engagée en ce moment jusqu'à l'automne 2011 la phase 2 des études préalables au Débat public pour 1,3 M€. Trois familles de scénarios s'opposent : la première s'intéresse à la réalisation d'une ligne nouvelle circulable à 320 km/h et reliée à la future ligne Montpellier-Perpignan. Cette voie permettrait de gagner 30 minutes sur le temps actuel. Deuxième scénario : des aménagements lourds sur la ligne actuelle autorisant des pointes à 220 km/h (gain de temps de 10 minutes). Un troisième scénario combine sections de lignes nouvelles et aménagements de l'infrastructure présente (gain de temps : 15 à 20 minutes). L'axe Toulouse-Narbonne concerne directement deux régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon à forte croissance économique et démographique. Le nombre d'habitants devrait augmenter de 22 à 32 %. Le scénario d'une future LGV semble recueillir l'aval des intervenants. Un colloque sur la TCP Le lobbying en faveur du projet de Traversée centrale des Pyrénées (TCP) se transporte aujourd'hui à Paris à l'occasion d'un colloque international. Pour Valérie Cormier, directrice d'EuroSud Transport, « il s'agit de montrer la masse de soutiens dont s'entoure ce projet méconnu des Français ». Parmi les sponsors, figurent, entre autres, de grands bureaux d'ingénierie. Inscrite au Schéma international des infrastructures de transports, la TCP est régie par le GIE « Transpirenaica Traversia Central del Pireneo » qui se réunit lui-même aujourd'hui à Paris. En espérant faire avancer enfin ce dossier.
  17. Les médias en parlent mais insistent beaucoup plus sur le côté "retard de X heures" ou "3 blessés grave" plutôt que sur le côté "faites attention aux PN". Ils veulent susciter l'émotion plutôt que la réflexion, ça fait vendre. Et pour commencer si les autos-écoles apprenaient à conduire plutôt qu'à "passer un examen", ça serait déjà un grand plus.
  18. Comme quoi... Probablement la surexposition médiatique dès que ça arrive.
  19. Je pense qu'il y en avait moins avant, là on est à un par semaine, et rien que là ça fait 2 en 2 jours. Comme les accidents de personne, avant il y en avait un par jour en moyenne, maintenant c'est 3. Et comme tu dis, rien que du courant, on banalise ces évènements...
  20. Bon on se calme s'il vous plait et on essaye de s'exprimer un peu mieux pour éviter d'être mal compris. Merci
  21. Pour faire du hors sujet je ne sais pas ce qui se passe à Masséna mais dimanche 3652 et 3672 étaient à 12 voitures au lieu de 14, et pour le 3672 5 étaient corail normal et non pas téoz. C'est un peu la misère quand même...
  22. Ca ne répond pas à ma question. Sinon, essaye d'apporter des arguments, chiffrés si possible. Le fait que la liaison Paris - Limoges - Toulouse saute lorsqu'il y aura la LGV Bordeaux - Toulouse (et même probablement avant, lorsque Toulouse sera à 4H de Paris), c'est ce qui c'est passé quand la LGV Med a ouvert il y a 10 ans sur la liaison Paris - Marseille. Les Paris - Marseille ne s'arrêtent plus à Lyon, mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a plus de liaison TER Lyon - Marseille. Les TER en situation perturbée c'est comme partout, mais si tu as des exemples concrets, merci de les donner. Pour la liaison Paris - Limoges - Brive via Poitiers lorsqu'il y aura la LGV, il appartient à mon avis aux populations concernées de se battre pour que certaines soient prolongées jusqu'à Cahors, avec des arrêts à Souillac et Gourdon, plutôt que de toujours tout refuser en bloc. Nico
  23. Il y en avait des agents de la SUGE en civil non avant ? On attend quoi pour les remettre ? (pas que pour ça d'ailleurs)
  24. A 19H00 a eu lieu un accident à un PN à Baillargues entre Montpellier et Nîmes. C'est un train de fret qui a heurté un véhicule, mais je ne sais pas quel type. Je ne sais pas non plus si il y a des blessés. La circulation a repris à 23H30 sur une voie, occasionnant des retards de 4 à 5 heures. Nico
  25. Bonsoir Où es-tu exactement ? Parce que monter à Poitiers pour descendre à Toulouse, je ne vois pas là... Si c'est Brive ou alentours, il y aura toujours des TER qui viendront à Toulouse, et plus rapidement qu'un TGV via Poitiers.

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