Tout ce qui a été posté par nicopasta
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Incident sur la ligne de Saint lazare le 28 mai 2008
Aimable comme un banlieusard... cestachier
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Réservation possible sur Corail ?
Tu mélanges un peu là, les Corails Intercités ne sont pas VFE, les seul Corails VFE sont les Téoz et Lunéa... Les Corails Intercités (qu'ils soient à 4 ou 5 chiffres) font partis de l'activité Proximités.
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Grand Jeu
Lascaux >>> Dordogne
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"sabotage naviland-cargo"
Merci de cesser les attaques personnelles et d'etre un peu plus constructifs dans vos posts, meme si le sujet ressemble plus à un "soulagement de son auteur" qu'à un réel questionnement Nico...
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Grand Jeu
Batisseurs >>> Lemmings
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Réservation possible sur Corail ?
Bonsoir Normalement on peut réserver dans les Corails Intercités, mais il faut le faire avant 17H la veille. (A moins que j'ai raté un épisode...)
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masse des 25500 petites cabines et 22200 petits numéros?
Certes, mais il y a également pour projet de faire des 7200 Rever pour les VB2N...
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Chiffres sur la grève du 22 Mai 08
Voir ici : http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=13372 La direction annonce 39% de conducteurs en grève... Pas si énorme que ça quand meme (sachant que toutes les OS ont appelée)
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Mouvement social du 22 mai 2008
Communiqué de presse de la direction PR0101_20080522.pdf
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Chiffres sur la grève du 22 Mai 08
Bonjour, j'ouvre un post pour que tout le monde qui a des infos sur les pourcentages de grévistes le mette ici. Merci Pour ma part j'ai pas le chiffre pour mon dépot car en RP... A+ Nico
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Pourquoi la grève des cheminots le 22 mai ?
Et on peut rajouter à cela le grand nombre de mécanos qui disent qu'ils font une DII puis vont se mettre non grévistes demain matin... Va y en avoir du monde en réserve demain :blush:
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Injuste ,mais pas pour tout le monde
Adhérer au bon syndicat au bon moment... Compliqué quand meme hein revoltages
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Grand Jeu
Propre >>> Monsieur
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masse des 25500 petites cabines et 22200 petits numéros?
J'ai lu dans un récent numéro de Rail Passion, qu'ils sont en train de transformer 12 BB 7200 pour tracter des VB2N, il me semble sur Paris Montparnasse. Désolé je n'ai pas l'article sous la main... A confirmer avec plus de détails. A+ Nico
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Une Remorque R3 TGV POS Brûle au TEE
Une petite vidéo de cet incendie : http://www.dailymotion.com/search/SNCF/vid...t-au-tee_webcam
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[Z 22500 SNCF et Z 1500 RATP "MI2N Eole"] Sujet Officiel
C'était pas au bon endroit, maintenant oui Pour ta question je laisse des spécialistes répondre, moi je sais pas du tout...
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Grand Jeu
Savonette >>> Douche
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Grand Jeu
Jaune >>> Ricard :Smiley_63:
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Cc 6570
Très jolies photos Sylvain Surtout celle dans la courbe de Cap Peyrefite PS : un seul "t" à Peyrefite :Smiley_63:
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Grand Jeu
taureau >>> vache
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Grand Jeu
pressé >>> citron
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No logo, à la mode Sarkozy
LE MONDE | 17.05.08 | 14h33 La police peut-elle saisir du matériel de manifestants tels que badges, tee-shirts ou casquettes, lors d'une visite présidentielle ? Confrontés à cette question, les syndicats policiers réagissent en ordre dispersé. "On l'a toujours fait lors de déplacements sensibles, sous la droite comme sous la gauche, en fonction des instructions", affirme Patrice Ribeiro, secrétaire général adjoint de Synergie officiers. "Tous ceux qui ont l'expérience du maintien de l'ordre vous le diront. Parfois même, on embarque les manifestants pour des contrôles d'identité", ajoute-t-il. Le Syndicat national des officiers de police (SNOP) est plus mesuré. "D'habitude, assure son secrétaire général, Dominique Achispon, les collègues des RG (renseignements généraux) contrôlent de loin, sauf s'il y a des excités. A mon avis, ce sont des directives nationales..." Avant Melun, où des tee-shirts de la CGT ont été confisqués par la police, il y a eu un précédent lors d'un autre déplacement de Nicolas Sarkozy, à Vienne, le 13 mai. Depuis, un forum de discussion s'est ouvert sur le site Internet du SNOP. "Ce n'est pas mieux que lors du passage de la flamme olympique, où des gorilles des services chinois dirigeaient le service d'ordre et où les collègues avaient pour instructions d'arracher les drapeaux, pancartes en faveur du Tibet", s'insurge un policier, sous pseudo, après lecture d'un article de Libération.fr qui racontait que les forces de l'ordre avaient saisi des tracts, des autocollants et même des journaux. "Le fait est que nos préfets et concepteurs sont tellement terrorisés à l'idée qu'on puisse leur reprocher une bourde anti-présidentielle et de subir ainsi un coup d'arrêt certain à une carrière qui s'annonçait des plus prometteuses, qu'ils prennent des initiatives malheureuses", écrit un autre. Henri Martini, secrétaire général de l'UNSA-police, majoritaire chez les gardiens de la paix, croit savoir que "tout s'est bien passé à Melun, rien n'a été retiré aux manifestants". Il ajoute : "Nous n'avons pas eu connaissance de consignes particulières, mais ce genre de pratiques serait anormal. La police ne saisit pas du matériel de manifestation, hormis des piquets de banderoles ou des hampes de drapeaux qui peuvent constituer des armes par destination, ou bien des tracts ou des tee-shirts lorsqu'ils présentent un caractère discriminatoire, raciste ou injurieux." Toutes les organisations syndicales s'accordent cependant sur un point : rien n'a pu se faire sans instructions précises. "Ce n'est pas une initiative des collègues eux-mêmes, tout seuls, sur le terrain, cela relève de consignes, souligne Jean-Claude Delage, secrétaire général d'Alliance. Le déplacement d'un président n'étant pas celui de n'importe quel quidam, on dit alors : "Faites en sorte que tout se passe bien."" Les ordres, donc, viendraient d'en haut. "Lors d'un déplacement présidentiel en province, c'est le préfet du département concerné qui est responsable du dispositif de sécurité, et c'est lui qui apprécie les instructions à donner aux forces de l'ordre", indique-t-on au ministère de l'intérieur. Aucune consigne ne serait partie de la Place Beauvau. Le préfet de Seine-et-Marne n'a malheureusement pas pu être joint vendredi, mais ses services enjoignaient de... "contacter l'Elysée".
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No logo, à la mode Sarkozy
LE MONDE | 17.05.08 | 14h33 Oubliés les marins du Guilvinec (Finistère), les visiteurs hostiles du Salon de l'agriculture : Nicolas Sarkozy ne veut plus laisser au hasard la mise en scène de ses apparitions publiques ni le choix de ses interlocuteurs. Vendredi 16 mai, à Melun (Seine-et-Marne), c'était au tour des militants CGT d'affronter les méthodes musclées et expéditives des forces de police, trois jours après ceux de Vienne (Isère). Objectif des forces de l'ordre ? Débarrasser les syndicalistes de leurs accessoires les plus voyants, avant de les laisser s'approcher. Cette fois-ci, pour les policiers, l'arme du crime de lèse-présidence prend la forme d'une série de produits dérivés de la CGT : casquettes, autocollants et tee-shirts... rouges. Quelques minutes avant l'arrivée du président, une vingtaine de salariés de l'ANPE qui veulent dire au chef de l'Etat leur opposition à la fusion avec l'Unedic sont fouillés. L'une des fonctionnaires de police, en civil, sort d'un sac en plastique qui leur appartient quelques produits estampillés du syndicat et s'en empare. "Vous nous avez arraché des mains du matériel syndical", proteste Margot Unbriener, responsable régionale de la CGT-ANPE. "C'est une atteinte à la liberté d'expression", poursuit-elle, polie mais la voix émue par le procédé. "On nous traite comme une organisation clandestine, comme des malfrats", proteste un autre militant CGT. La policière demande aux militants de passer derrière les barrières de sécurité avant l'arrivée du cortège présidentiel, mais refuse de rendre son butin, sous l'oeil d'une demi-douzaine de journalistes. "INSULTE À LA DÉMOCRATIE" Aucune banderole n'est visible dans ce magot. Profitant du repli des syndicalistes derrière les barrières, elle confie à l'un de ses collègues masculins les objets qu'elle a confisqués : "Va mettre ça à l'intérieur." Une militante explique : "On nous a dit qu'il y avait une alerte de niveau 4... mais nous ne sommes pas des terroristes !" "Je n'ai jamais dit cela, nous avons saisi des banderoles et des objets qui pouvaient servir de projectiles", affirme la fonctionnaire de police à des journalistes qui l'interrogent sur "la base légale" de sa saisie. De l'autre côté du trottoir, une autre fonctionnaire, probablement des renseignements généraux, en tailleur sombre et lunettes noires, mais identifiable grâce à son brassard rouge "police", mitraille la scène avec son appareil photo, figeant les portraits des militants et des journalistes. Trois jours plus tôt, quelque 150 personnes venues manifester à l'occasion de la visite du président à Vienne (Isère) avaient, elles, été carrément repoussées par les forces de l'ordre, qui avaient en outre saisi des tracts de la CGT. "La police m'a interdit d'accéder à la place publique où doit arriver Nicolas Sarkozy sans que j'aie rien fait, on m'a mis à l'écart sans me donner de motif", avait expliqué à l'AFP Jean-Michel Rabut, l'un des responsables CGT à Vienne, venu participer à une manifestation à l'appel de son syndicat, de la LCR, du PCF et du PS. "On ne nous permet pas d'être sur place et de manifester", avait déploré pour sa part la première adjointe au maire PCF de Roussillon, Maryse Dihl, dénonçant une "insulte à la démocratie". "Il n'y a pas eu de maintien de l'ordre organisé, mais seulement des interventions sur de petits groupes et la saisie de banderoles injurieuses", avait-on répliqué côté police. A Melun, vendredi, le petit groupe de militants CGT a été autorisé à approcher le président. Mais pas avant qu'ait été dressé le décor d'un dialogue pacifié. Car Nicolas Sarkozy veut changer de registre. Plus question de rejouer la scène des marins-pêcheurs du Guilvinec où, insultés par des individus du haut d'un pont, le président s'était énervé : "Qui est-ce qu'a dit ça ? C'est toi qui as dit ça ? Ben descends un peu le dire. Si tu crois que c'est en insultant que tu vas régler le problème des pêcheurs. Ben, permets-moi de te dire... Viens, viens, viens !" Ni de perdre ses nerfs en répondant à un visiteur qui refusait de lui serrer la main, au Salon de l'agriculture : "Casse-toi, pauvre con !" A Melun, il sort de sa voiture pour aller aussitôt à la rencontre de la vingtaine de militants de la CGT. Margot Unbriener, qui prend la parole au nom du groupe, se plaint que sa casquette ait été saisie par les forces de l'ordre. "Je ne l'ai pas volée pour moi !", rétorque le président. Il enchaîne aussitôt, à l'adresse du petit groupe qui n'était pourtant pas inscrit au programme : "D'abord, je voulais vous dire merci de vous être déplacés pour me rencontrer." Les militants trouvent la ficelle un peu grosse... "Si, si", insiste le président. Margot ne baisse pas les armes. Elle interpelle le président, elle l'interrompt, elle discute. Nicolas Sarkozy campe sur ses positions, défend ses réformes, mais joue avec elle. "Vous êtes un beau parleur !", lui lance Margot, un peu à court d'arguments. "Oh, parleur tout court ! Pourquoi beau ?", répond-il. Au bout de cinq minutes, le président est sûr d'avoir conquis Margot. Il lui touche le bras, comme on ferait à une amie. Elle en rit : "Mon amoureux est jaloux, il ne veut pas que vous me touchiez." L'amoureux, derrière elle, se défend : "C'est parce que je sais que vous avez bon goût !" Le président répond du tac au tac : "Je vous présenterai Carla !" Sous le soleil, Margot commence à avoir chaud. "Si vous enleviez votre truc, vous auriez moins chaud !", lui fait alors remarquer le président, agrippant le brassard de plastique marqué du logo CGT porté par Margot, le seul qui ait échappé à la prise policière... Encore un brassard de trop ?
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Tatouage
C'est vrai que sur le groupe 6 ça doit etre efficace Précision : il n'a pas le truc sur la tete, mais le reste (barbe et habits), oui.
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Grand Jeu
enceinte >> Fraises bigbisous