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nicopasta

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Tout ce qui a été posté par nicopasta

  1. Bonjour tout le monde, La liaison Bordeaux Lyon aurait déjà du etre en 72500 mais a du etre repoussé, il me semble pour cause technique. Il est vrai que le gain de temps sera d'environ 1 heure, ce qui n'est pas négligeable. Cela dit quand vous dites que les gens font Bordeaux Lyon par là, c'est faux, la personne qui fait la totalité du trajet aura plus vite fait de prendre le TGV qui passe par Toulouse et Montpellier (6H00) au lieu de passer par le Limousin et Auvergne (plus de 8H actuellement). A moins d'etre un passionné de la ligne Cette ligne est utilisée pour faire Bordeaux - Limoges, ou Limoges-Lyon par exemple, mais pas Bordeaux-Lyon... Sinon pour Train Corail, les rames rever tournent depuis des années sur Paris - Rouen - Le Havre, et comme l'a dit titoph, des essais ont été fait avec des locs thermiques revoltages
  2. Je confirme, avoir un logement dans Paris Intra Muros est difficile, pour ma part cela fait plus de 9 mois que je patiente déjà, mais je sais que si ils me proposent une ville qui touche Paris je ne refuserais pas. Bon courage okok
  3. Joyeux anniversaires Jay et Sunplop
  4. Et éventuellement pour certains : Bon Appétit okok
  5. J'ai vu ça aux infos sur la 3... Encore et toujours ses camions ou voitures bloqués sur les PN controleursncf
  6. Très jolies photos lotrela
  7. Merci Jay Encore un problème de freinage linéaire On va attendre quoi pour le changer ce freinage merdique ? Qu'il y ait des morts ? C'est sur qu'il faudrait changer toutes les commandes de freins... Au moins sur Z6400 il n'y a pas de RC, c'est un ressort taré à 5 bars (type JMR), donc le frein ne s'épuise JAMAIS. Sur d'autres autom des années 90 et plus, pourrait-on me dire comment est le freinage ? Je trouve désolant qu'on ne fasse rien ... Bonne journée
  8. Exact, cette ligne était le groupe 1 du réseau St Lazare, et allait jusqu'à Auteuil. Aujourd'hui nous utilisons les groupes de 2 à 6.
  9. un message dans un sujet a répondu à nicopasta dans Informatique
    Ouhhh Ubuntu mon ami lotrela
  10. Est-ce dans le sud ouest ?
  11. Licencier peut etre pas, mais si ils font grève sans en avoir le droit, ils peuvent avoir des sactions, telles mises à pied ou autre non ? Et dans ce cas qui conduira les trains ? cartonrouge
  12. Foutre les choquottes peut etre, mais il faut reconnaitre qu'il est extrèmement facile de faire des très gros dégats dans un train, une gare, ou sur les voies ferrées. Il ne faut pas etre un fin limier pour s'apercevoir que le réseau ferré est ouvert, les gares accessibles à tout le monde, les trains je n'en parle meme pas. Le gars qui a envie de faire péter un train il peut le faire demain, MEME SI IL Y A DES DIZAINES DE POLICIERS DANS LA GARE. Sans vouloir etre alarmiste je trouve que l'on a beaucoup de chance de n'avoir eu aucun attentat depuis le dernier à St Michel Notre Dame. Sur le sujet de la sureté, on a énormément à apprendre de l'aérien. Ce qui me choque c'est que l'on trouve normal d'etre archi fouillé quand on prend un avion de 200 ou 300 places, mais un train de banlieue à 2000 places est un vrai courant d'air. Donc à nous de vouloir savoir ce que l'on veut, mais je craint malheureusement qu'il faille attendre un drame avant que la direction et le ministère de l'intérieur ne réagisse. Et (comme dirait Gad Elmaleh), ce n'est pas avec du scotch que l'on va combattre le térorisme (en référence au scotch qui avait été aposé sur les portes bagages à une certaine période). Donc pour résumer ça me fait doucement rigoler quand je vois 3 militaires se "balader" à St Lazare (par exemple), je ne vois pas trop leur utilité si jamais un train explose... Voilà c'était mon quart d'heure coup de gueule...
  13. +1 aussi pour la feuille, du temps où j'y allais, j'ai rarement été aussi mal accueillis. okok
  14. Bon courage à eux en tout cas Ce serait drole de voir jusqu'où la direction irait si la grève est vraiment suivie 95%. Je pense bien évidemment aux Etats Unis et la grève des controleurs aériens, tous virés et remplacés par des débutants... okok
  15. LE MONDE | 06.08.07 | 15h07 Une grève dans les chemins de fer allemands s'annonce à partir du mercredi 8 août, en pleines vacances scolaires. Le syndicat GDL (Syndicat des conducteurs de locomotive), qui réclame de substantielles hausses de salaire, devait rendre public, lundi, le résultat de la consultation menée auprès de ses 12 000 membres. "Nous pensons que 90 % vont dire oui" à une grève illimitée, a déclaré Manfred Schell, président du syndicat. Tout en assurant vouloir paralyser "les points névralgiques" du réseau, il promet que les usagers "sauront 24 heures auparavant où et quand des débrayages ont lieu". Qualifiant d'"irresponsable" l'attitude du syndicat qui a refusé de négocier sur la base de sa dernière proposition, le patron de la Deutsche Bahn (DB), Hartmut Mehdorn, est prêt à la confrontation. "Nous exigerons des dédommagements pour toutes les actions contraires à la loi", a-t-il déclaré au magazine Der Spiegel. La DB veut réquisitionner les milliers de conducteurs non affiliés au GDL pour assurer le maximum du trafic et mettra en place des services de bus. Bien consciente qu'un conflit dur s'annonce, la fédération des usagers Pro-Bahn appelle temporairement à préférer la voiture au train. "Cela nous donne une très mauvaise conscience écologique, mais nous devons conseiller l'automobile à ceux qui n'ont pas encore acheté de billet", a déclaré son président Karl-Peter Naumann. La DB, engagée dans un processus de privatisation, a déjà signé un accord de revalorisation salariale avec deux autres syndicats (Transnet et GDBA) concernant les conducteurs et autres membres du personnel à bord. Il prévoit, à partir de 2008, une hausse des salaires de 4,5 % assortie d'une prime. Or le GDL demande une augmentation de 31 %, pour arriver à un salaire moyen brut de 2 500 euros, dès 2007, le tout accompagné d'une réduction du temps de travail.
  16. Toutes mes félicitations Pepe cartonrouge
  17. Très bon anniversaire à TGV, Stephou et Sylvain :Smiley_33:
  18. LE MONDE | 03.08.07 | 15h45 Jeudi 2 août, le projet de loi sur "le dialogue social et la continuité du service public dans les transports terrestres réguliers de voyageurs" à compter du 1er janvier 2008 - autrement dit le texte sur le service minimum - a été adopté définitivement. Les députés ont voté le texte, dans les mêmes termes que les sénateurs, concluant ainsi les travaux parlementaires. L'essentiel du dispositif prévu par le gouvernement a été maintenu et les amendements n'ont touché que des points à la marge. Les principales mesures, notamment celles ayant provoqué une levée de boucliers de la part des syndicats et des parlementaires de gauche, se retrouvent dans le texte final. Ainsi, tout salarié voulant faire grève devra déclarer son intention quarante-huit heures avant le déclenchement du conflit. S'il change d'avis et fait grève sans l'avoir signalé dans les délais prévus, il est passible de sanction ; décider de ne plus faire grève alors qu'annoncé ne peut être sanctionné. Par ailleurs, un salarié peut rejoindre une grève en cours de route, à condition toutefois de le déclarer quarante-huit heures avant. Autre point contesté, le vote à bulletin secret au bout de huit jours de conflit est inscrit dans la loi. Le texte précise que le résultat de la consultation "n'affecte pas l'exercice du droit de grève" et que l'organisation du scrutin peut être décidée par l'employeur, une organisation syndicale représentative ou le médiateur "choisi d'un commun accord, aux fins de favoriser le règlement amiable". De leur côté, les syndicats estiment que ce vote ne fera qu'exacerber les tensions qui existent dans une entreprise en grève. Tout au long des débats, est revenue la question de l'éventuelle extension du dispositif de service garanti. Des amendements, tous rejetés, proposaient d'étendre d'ores et déjà le service minimum aux transports maritimes, en particulier à la desserte de la Corse. Un article propose une évaluation de la présente loi "avant le 1er octobre 2008". Mais celle-ci n'est plus liée, dans la dernière rédaction, à l'examen de "l'opportunité d'étendre le dispositif aux autres modes transport public de voyageurs". En fait, les parlementaires ont quand même ajouté un nouvel article. Celui-ci indique que le gouvernement doit présenter au Parlement, avant le 1er mars 2008, un rapport proposant "les mesures législatives nécessaires à la mise en oeuvre d'un dispositif de continuité dans les autres modes de transports publics de voyageurs". Sans attendre donc l'évaluation de la loi sur les transports terrestres.
  19. Non le métro ne va pas jusqu'à Launaguet. Mais il doit y avoir des bus je pense. Sinon la cale sèche Un des rares endroits de Toulouse à faire du rhum en fesant tremper les fruits dans les fioles. Du coup le rhum banane est très très fort La Bodéga très sympa vers Septembre Octobre, quand les nouveaux étudiants arrivent, c'est une étape obligée pour eux. Mais il ne faut pas oubliée la place St Pierre lors des soirs de match (de rugby) Sinon pour etre plus sérieux la formation est un peu technique oui, moi aussi j'y suis rentré ça fesait 3 ans que j'avais pas mis les pieds dans une salle de cours, mais quand on est motivé et surtout curieux, on réussit. Bon courage okok
  20. LE MONDE | 30.07.07 | 15h12 Les syndicats de cheminots et du secteur des transports mobilisent contre le service minimum. Mardi 31 juillet, dans plusieurs dizaines de villes, des rassemblements sont organisés devant les préfectures pour dénoncer une "remise en question du droit de grève". A Marseille, ville où les conflits dans les transports sont souvent durs, la CGT, la CFDT, la FSU, l'UNSA et Solidaires appellent à manifester contre "cette loi scélérate qui ne règle en rien les dysfonctionnements du service public et du dialogue social". A Paris, la manifestation se déroulera aux abords de l'Assemblée nationale, où les députés ont débuté, lundi, l'examen du projet de loi "sur le dialogue social et la continuité du service public dans les transports terrestres réguliers de voyageurs". Au niveau national, sept fédérations de cheminots (CGT, SUD-Rail, CFDT, UNSA, FO, CFTC et FGAAC), ainsi que quatre fédérations de transports (CGT, CFDT, FO et CFTC), ont appelé à cette "première" mobilisation qui tombe le dernier jour du mois de juillet. La date n'aide pas, reconnaît Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT cheminots, d'autant qu'il n'était pas question d'appeler à la grève. "C'est un premier rendez-vous, mais la question ne sera pas réglée par le vote de la loi, explique-t-il. Celle-ci prévoit en effet des négociations dans les entreprises pour mettre au point des systèmes pour garantir la continuité du service." Les syndicats espèrent pouvoir alors peser, d'autant que les sujets d'inquiétude, notamment chez les cheminots, sur les restructurations - dont celle du fret avec plusieurs milliers de suppressions d'emplois à la clef ou encore la réforme des régimes spéciaux de retraite, à venir en 2008 - sont nombreux. Au centre des critiques syndicales, relayées par les parlementaires de l'opposition, deux points demeurent : l'obligation pour le salarié de déclarer quarante-huit heures avant le déclenchement du conflit son intention de faire grève, assortie d'une sanction possible s'il ne l'a pas fait. Pour les syndicats, il s'agit d'une remise en question du droit de grève individuel. De plus, si les salariés changent d'avis, cela risque de fausser la prévision du trafic pour laquelle ce dispositif, le "préavis de grève individuel" ainsi que l'a nommé la présidente de la SNCF, Anne-Marie Idrac, a été conçu. Les syndicats rejettent aussi le vote à bulletin secret au bout de huit jours de grève. Il ne fera qu'aggraver, pensent-ils, une situation déjà tendue dans une entreprise aux prises avec un conflit social long. Une mobilisation sans préavis de grève Cette journée de mobilisation n'occasionnera aucune perturbation dans les transports publics. En effet, aucun préavis de grève n'a été déposé. Il s'agit, pour la CGT, d'une journée de mobilisation pour"ne pas laisser sans réponse des salariés concernés" . Bernard Thibault a précisé qu'il ne s'agissait que "d'une première étape" avant d'autres "mobilisations à la rentrée". Pour Annick Coupé, porte-parole de Solidaires, "même si ces rassemblements (...) seront symboliques et militants, nous devons montrer aux salariés qu'on ne laisse pas passer cette loi sans rien dire".
  21. LE MONDE | 28.07.07 | 13h15 Les régions vont-elles freiner la mise en place du service minimum ? Contraintes par la future loi sur le dialogue social et la continuité du service public dans les transports terrestres réguliers de voyageurs de négocier avec les transporteurs un service minimum, elles devront définir, ainsi que le précise l'actuel projet, "les dessertes à assurer (...) en cas de perturbation prévisible du trafic". Mais les régions, dont 21 sur 22 en métropole sont tenues par la gauche, n'apprécient guère. Le président de l'Association des régions de France (ARF), Alain Rousset, président du conseil régional d'Aquitaine (PS), accompagné de Martin Malvy, son homologue de Midi-Pyrénées, chargé des transports à l'ARF, devraient l'expliquer au ministre du travail, Xavier Bertrand, lundi 30 juillet. "Les conflits sociaux ne sont pas responsables des plus graves dysfonctionnements, dit M. Malvy, et ce n'est pas cette loi qui va régler le problème." Mais, ajoute-t-il, "on est coincés. Si la loi est votée, nous l'appliquerons d'autant que, précise le projet, si on ne le fait pas, ce sont les préfets qui le feront". Autre président socialiste, Jacques Auxiette (Pays-de-la-Loire) s'insurge. "Le gouvernement fait preuve d'hypocrisie et manque de courage, assène-t-il. S'il veut limiter le droit de grève, il ne doit pas se décharger sur les autorités organisatrices de transport", soit les régions, les départements et les communes. De plus, dit-il, toutes les conventions actuellement négociées avec la SNCF prévoient des clauses sur un service garanti, assorties de pénalités en cas de non-respect. Michel Destot, président du Groupement des autorités responsables de transports publics, prévient aussi : "Nous aurions préféré une démarche contractuelle et pas législative et nous savons qu'il ne sera pas possible de tenir les délais prévus par la loi, soit le 1er janvier 2008." Le député (PS) de l'Isère ajoute que, "dans les petites agglomérations, les départements, cela va être dur de négocier avec toutes les sociétés de cars par exemple, cela sèmera le trouble alors qu'il n'y a jamais de problème ; on sera hors délai". Selon lui, "pour le gouvernement, cela ne compte pas, l'important c'est l'affichage politique et que la loi soit votée". Autre point possible de blocage, dans les actuels exécutifs régionaux, la responsabilité des transports est très fréquemment confiée à des communistes : c'est le cas dans 13 régions sur 22. Premier d'entre eux, l'ex-ministre des transports de Lionel Jospin, Jean-Claude Gayssot, chargé de ce dossier en Languedoc-Roussillon, rappelle les liens entre son parti et l'entreprise nationale SNCF, relation étroite aussi avec la CGT, premier syndicat chez les cheminots. "François Mitterrand, en 1981, a confié ce ministère à Charles Fiterman, communiste, et ces liens ont toujours existé", explique l'ex-cheminot M. Gayssot. Dit autrement par le socialiste chargé des transports en Rhône-Alpes, Bernard Soulages : "La plupart des régions choisissent des gens en phase avec la SNCF, ses agents... et la CGT." M. Gayssot affirme son opposition à la loi examinée par les députés à partir de lundi et qui a été votée par les sénateurs le 19 juillet : "Comme vice-président de la région Languedoc-Roussillon, je ne participerai pas, ni de près ni de loin, à la remise en cause du droit de grève." Et ses collègues communistes lui emboîtent le pas. "C'est M. Sarkozy qui veut cette loi, dit Daniel Beurdeley, vice-président PCF de Picardie, il n'a qu'à se débrouiller." Pour lui, la plupart des régions ont déjà négocié avec la SNCF, et il n'est pas question de recommencer. "Je voudrais que l'on fasse de la résistance, souhaite M. Beurdeley, par rapport à ce gouvernement de combat." "Je ne serai pas zélé dans la mise en oeuvre de la loi, renchérit Gérard Lahellec, vice-président pour la Bretagne, communiste lui aussi. "Je considère que les dispositions allant au-delà de la convention que l'on vient de renouveler avec la SNCF, précise-t-il, remettent en cause le droit de grève et je ne mangerai pas de ce pain-là."
  22. LEMONDE.FR Avec AFP et Reuters | 28.07.07 | 10h24 Un homme est mort après avoir été grièvement blessé vendredi soir 27 juillet lors d'un contrôle d'identité à la gare du Nord, à Paris. Selon la préfecture, des policiers ont tiré sur lui après qu'il eut sorti une arme pour les viser. Deux enquêtes ont été ouvertes pour déterminer les circonstances du drame. "C'est l'hypothèse de la légitime défense qui est retenue en l'état des investigations", a déclaré à l'AFP un procureur adjoint, en précisant que l'enquête allait se poursuivre avec l'autopsie de la victime et une expertise technique des armes des policiers. RÉCITS CONCORDANTS Parallèlement, une enquête a été confiée à la brigade criminelle qui a procédé aux premières investigations sur place. Selon les premières constatations, six balles ont été tirées par les policiers en direction de la victime, un Algérien de 34 ans, inconnu des services de police, qui a été atteint au thorax et au genou. Les récits concordants, selon le parquet, des policiers et de témoins de la scène, ont permis aux enquêteurs de reconstituer les faits. Vendredi vers 19 h 20, quatre fonctionnaires du Service régional de la police des transports (SRPT) contrôlent l'identité d'un homme seul. L'homme les suit sans problème mais arrivé face à un magasin de sport, il accélère subitement son pas, plonge sa main droite dans sa veste et se retourne en braquant un policier avec un pistolet d'alarme. Trois des fonctionnaires s'écartent de sa ligne de tir en lui demandant de lâcher son arme. Mais l'homme ne répond pas et fait feu en direction de l'abdomen du quatrième fonctionnaire resté face à lui. Une flamme est sortie du canon de l'arme de l'agresseur mais aucun projectile n'est parti. Une policière qui se trouvait de côté a alors fait usage de son arme de service blessant vraisemblablement l'homme à la jambe. Mais ce dernier a continué à manipuler son arme. SIX BALLES TIRÉES PAR LES POLICIERS A-t-il ou non tiré un second coup de feu ? L'enquête n'a pour l'instant pas permis de le déterminer, a expliqué le parquet selon lequel plusieurs témoins ont cependant assuré que l'homme s'apprêtait à tirer une seconde fois sur le policier qui lui faisait face. Deux ou trois de ses collègues ont alors ouvert le feu et l'ont mortellement atteint au thorax. Transporté dans un état grave à l'hôpital Bichat, il est mort dans la soirée. Parallèlement, une enquête a été confiée à la brigade criminelle qui a procédé aux premières investigations sur place. Selon les premières constatations, six balles ont été tirées par les policiers en direction de la victime.
  23. LE MONDE | 27.07.07 | 16h13 La région Midi-Pyrénées a signé, mercredi 25 juillet, un plan de rénovation de son réseau ferroviaire, avec Réseau ferré de France (RFF) et la SNCF, pour un montant total de plus de 820 millions d'euros. C'est le premier programme de cette ampleur lancé par une région. La collectivité s'engage pour un montant de 500 millions d'euros. Les opérations de renouvellement s'achèveront en 2013. Le président (PS) de la région Midi-Pyrénées, Martin Malvy, constate qu'une partie du réseau ferroviaire est actuellement "en fin de vie". La seule solution mise en oeuvre jusqu'à présent consiste à ralentir les trains. "Sur certaines lignes, les TER doivent rouler à 50-60 km/h à l'heure, voire à certains endroits à 20 km/h." Au total, 500 kilomètres de voies vont être renouvelés. Pour Martin Malvy, "cette politique en faveur du transport ferroviaire contribue au développement durable. Entre 1998 et aujourd'hui, le nombre des voyageurs dans ma région a été multiplié par deux". Au moment où l'Assemblée nationale doit débattre du projet de loi sur le service minimum, M. Malvy voit dans ce "plan rail" la preuve que "les dysfonctionnements dont souffrent aujourd'hui les usagers sont principalement liés à des problèmes de maintenance, de personnels ou de vétusté du matériel, très peu à des grèves. En Midi-Pyrénées, au cours des cinq premiers mois de l'année, seulement 2,4 % des trains ne sont pas partis. Soit environ un millier. Sur ce nombre, la plupart des incidents étaient liés à des problèmes de matériel, de personnel ou de maintenance. Seulement 11 % à des grèves. Ce serait induire en erreur l'usager que de lui faire croire que le principal problème, c'est la grève." "DÉGRADATION" Cette position rejoint celle de l'Association des régions de France (ARF), exprimée dans un communiqué du 10 juillet. L'ARF déplore une "dégradation" du service dans les transports. Cependant, précise-t-elle, "l'essentiel de ces perturbations est dû à différentes causes : des problèmes de maintenance du matériel et des infrastructures, un manque de moyens et rarement des grèves". Pour les régions, "ce que souhaitent les usagers, c'est une qualité de service au quotidien et en temps normal. L'Etat doit donc d'abord, en priorité, donner aux acteurs du système ferroviaire des moyens de l'entretenir, de le moderniser et de le développer." L'ARF se déclare aussi convaincue de "l'absolue nécessité de miser d'abord sur le dialogue social". Depuis janvier 2002, les régions de métropole, à l'exception de l'Ile-de-France et de la Corse, sont devenues les autorités organisatrices des services régionaux de voyageurs. Elles sont liées à la SNCF par des conventions pluriannuelles, dont beaucoup sont actuellement en cours de renouvellement. Le président de l'ARF, le socialiste Alain Rousset, doit rencontrer le ministre du travail Xavier Bertrand, le 30 juillet, en compagnie de Martin Malvy.
  24. Je pense que les journées à fournir doivent etre le vendredi et/ou dimanche, journées de pointe GL, et que si on les mettait en grille, certes cela ferait des lignes en plus, mais ça mettrait des RP en semaine, et que du coup le quota minimum de RP en week-end ne serait pas respecté... Francoué confirmera okok
  25. Non ça c'est de la bétise humaine Et c'est pas propre au 63500 et 72000 mdrmdr

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