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Belgique, collision ferroviaire


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Une collision entre deux trains de voyageurs s’est produite mercredi 15/09/10 peu après 18 heures à la sortie de la gare d’Arlon. Il y aurait une dizaine de blessés légers. D’après nos informations, un des deux conducteurs aurait brûlé un signal.

Selon Infrabel, le gestionnaire du réseau ferroviaire belge, on dénombre au moins six blessés légers. La SNCB fait état d’un peu moins de dix blessés dont un conducteur de train.

Le plan catastrophe a été déclenché d’après les pompiers d’Arlon.

Les wagons ne se sont pas renversés, d’après la SNCB. L’accident s’est produit à faible vitesse à la sortie de la gare, a précisé Infrabel.

Les pompiers d’Arlon ont envoyé sur place cinq ambulances et deux véhicules d’intervention médicalisée (VIM). Les pompiers ont indiqué que la collision avait fait plusieurs blessés sans pouvoir préciser le nombre exact de victimes.

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Belgique - Société 20:35

La collision entre deux trains de voyageurs en gare d'Arlon s'est produite mercredi à 18h09, a-t-on appris au cours d'un point presse. Entre 150 et 180 personnes voyageaient dans les deux trains. Entre 30 et 40 personnes ont été légèrement blessées et sont actuellement prises en charge sur place par les services de secours. Deux personnes ont été conduites à l'hôpital d'Arlon. Le plan catastrophe a été déclenché au niveau communal.

Un numéro d'appel auprès des pompiers d'Arlon a été mis en place. Il s'agit du 063/230.339. Le procureur du Roi d'Arlon mène l'enquête. La circulation ferroviaire reprendra dès que les devoirs d'enquête auront été menés. Les navetteurs voyageant vers Bruxelles peuvent prendre des navettes de bus qui ont été mises en place à partir de la gare d'Arlon et ce, jusqu'à la gare de Stokkem d'où ils pourront reprendre un train. Les voyageurs vers le Luxembourg peuvent emprunter des bus à partir de la gare d'Arlon. (COR 640)

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Une collision entre deux trains de voyageurs s'est produite ce mercredi à 18h09 à la

sortie de la gare d'Arlon. 56 personnes ont été blessées. Tout le trafic a été paralysé.

D'après nos informations, un des deux conducteurs aurait brûlé un signal.

56 personnes ont consulté sur place les services médicaux. Parmi ces personnes, 23 ont été

emmenées à l'hôpital pour des soins légers ou des examens complémentaires, selon la SNCB,

opérateur ferroviaire, et Infrabel, le gestionnaire belge de l'infrastructure ferroviaire.

Aucun blessé grave ou décès n'est à déplorer selon les deux sociétés.

Un train en provenance d'Arlon et circulant vers Luxembourg est entré en collision avec un train

venant de Luxembourg et circulant en direction de Libramont à proximité de la gare d'Arlon.

Le soir

Photo : Humblet

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  • 1 année plus tard...

Up.

Trouvé sur un autre blog cet article sur la procédure judiciaire en cours : Crash ferroviaire à Arlon : la SNCB menace le conducteur

Crash ferroviaire à Arlon : la SNCB menace le conducteur

ARLON - L’instruction d’audience a été remise au 2 mai 2012, dans l’accident ferroviaire d’Arlon. Il y a conflit d’intérêt entre le conducteur et la SNCB…

Neuf personnes se sont constituées en tant que parties civiles, mardi après-midi, devant le tribunal de police d’Arlon, dans l’affaire de la collision de deux trains survenue en gare d’Arlon, le 15 septembre 2010. Ils réclament des indemnités estimées à un total provisoire de 37 600 €, dans l’attente qu’un expert médical soit mandaté par le tribunal pour évaluer leur incapacité réelle.

L’instruction d’audience a pour sa part été remise au 2 mai 2012, toutes les parties concernées n’ayant pas encore pu consulter le dossier.

Le film de la reconstitution des faits et le rapport des experts y seront notamment présentés.

Le conducteur poursuivi au pénal, la SNCB au civil

Dans cette affaire, le conducteur d’un des deux trains – celui venant de quitter quai – est poursuivi pénalement pour défaut de prévoyance. La SNCB est, quant à elle, citée comme civilement responsable.

Le 15 septembre 2010, deux trains, l’un quittant la gare d’Arlon en direction de Luxembourg, l’autre y entrant, sont entrés en collision, peu après 18 h. Le train quittant la gare arlonaise n’avait pas été autorisé à démarrer. Le conducteur de ce train avait avoué, après coup, avoir été trompé par un reflet sur les feux de signalisation. Dans les faits, le conducteur n’a pas respecté deux feux de signalisation.

« En cas de doute, on ne démarre pas. Mais cette fois, il y avait un reflet sur le premier feu (celui donnant la permission de mise en route) qui m’a donné l’impression que le feu était blanc, a confié, mardi après-midi, le conducteur inculpé aux journalistes présents. Ensuite, il y avait un second feu (un signal d’arrêt), situé au sol, qu’on ne distinguait pas à cause de la saleté. J’étais alors à 18 km/h. Le troisième feu (également un signal d’arrêt) était pour sa part caché par une caténaire. » L’homme a alors, dans le doute, stoppé son train, mais n’a pu cependant éviter la collision avec celui arrivant au croisement des deux voies.

Cent six personnes ont été blessées dans cet accident, dont nonante ont déjà été indemnisées par la SNCB.

Scandaleuse SNCB

Une société des chemins de fers belges dont Me Renaud Duquesne, l’avocat du conducteur du train, n’a pas hésité à critiquer le comportement envers son client depuis l’accident, mardi après-midi au cours de l’audience. Selon l’avocat, la SNCB a en effet envoyé un courrier à son client, vendredi dernier, lui interdisant de mettre en cause, dans cette affaire, Infrabel, ou une autre de ses filiales. Dans le cas contraire, elle ne prendrait pas en charge les frais d’avocat de son ancien travailleur, aujourd’hui à la retraite. Elle pourrait même, dans ce cas, se retourner contre lui pour lui demander d’indemniser les victimes. Une attitude scandaleuse, pour l’avocat, « surtout vis-à-vis d’un homme ayant travaillé pendant quarante ans pour cette société et qui était, au moment des faits, à seulement trois mois de la retraite »¦

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« En cas de doute, on ne démarre pas. Mais cette fois, il y avait un reflet sur le premier feu (celui donnant la permission de mise en route) qui m’a donné l’impression que le feu était blanc, a confié, mardi après-midi, le conducteur inculpé aux journalistes présents. Ensuite, il y avait un second feu (un signal d’arrêt), situé au sol, qu’on ne distinguait pas à cause de la saleté. J’étais alors à 18 km/h. Le troisième feu (également un signal d’arrêt) était pour sa part caché par une caténaire. » L’homme a alors, dans le doute, stoppé son train, mais n’a pu cependant éviter la collision avec celui arrivant au croisement des deux voies.

Cent six personnes ont été blessées dans cet accident, dont nonante ont déjà été indemnisées par la SNCB.

Pas de système de sécurité(TBL)? cartonrouge

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Le pneu à l'avant a donc son utilité ! mdrmdr

Précision : ces rames sont d'origine danoise.

c'est l'idée du boudin qui est danoise, appliquée pour la 1° fois sur les IC3. Je crois que le RENFE l'utilise aussi pour certaines UM où l'intercirculation est un plus

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et grosse fatigue du conducteur qui n'a réagi qu'après 3 signaux d'aspect indécis ...

Ceci explique peut-être cela : Une attitude scandaleuse, pour l’avocat, « surtout vis-à-vis d’un homme ayant travaillé pendant quarante ans pour cette société et qui était, au moment des faits, à seulement trois mois de la retraite » :Smiley_63:

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