merci Jack !

là, c'est un ADN et pas un Standard. Il s'en distingue par un seul moteur dont l'emplacement correspond aux deux radiateurs cachés (du moins en vue latérale) par un carénage léger qui améliore sensiblement la silouhette de l'engin

les connaisseurs reconnaîtront les lieux, je ne sais pas d'où j'ai eu cette photo.

Modifié 30 novembre 201212 ans par 5121

merci Jack !

là, c'est un ADN et pas un Standard. Il s'en distingue par un seul moteur dont l'emplacement correspond aux deux radiateurs cachés (du moins en vue latérale) par un carénage léger qui améliore sensiblement la silouhette de l'engin

les connaisseurs reconnaîtront les lieux, je ne sais pas d'où j'ai eu cette photo.

le disque bleu a gauche est un signal de refoulement (ou rebroussement) mécanique du sud est , ce doit être sur ce réseau (au secours igs4), jolie photo

Ne serait-ce pas la bif de Lozanne (69) ?

Paray-le-Monial (aujourd'hui à voie unique) à droite et Roanne à gauche ?

99% sur que oui. Le départ est toujours à double voie ... Passage en voie unique à quelques km (à la hauteur de la dimenterie Lafarge pour ceux qui connaissent)

SUPERBE sujet ! Bravo pour le travail fourni !

David

Ne serait-ce pas la bif de Lozanne (69) ?

Paray-le-Monial (aujourd'hui à voie unique) à droite et Roanne à gauche ?

en tous cas, Paray était bien sur le territoire des ADN tous affectés à Chalon

transformation des remorques d’autorail standard ADN en train sanitaire en 1944

 

 

http://pallas.cegesoma.be/pls/opac/plsp.getplsdoc?lan=F&htdoc=general/opac.htm

Le 23/11/2012 à 21:47, jackv a dit :

 

 

Appliquant le même principe que De Dietrich, les ADN installent sur un bogie un moteur diesel ; leur choix se porte sur le moteur allemand MAN, de 170ch à 5OOtr/min.

En 1933, les ADN fournissent à la compagnie d'Orléans, deux autres autorails similaires à ceux du PLM, équipés d'un moteur ACENOR de 170 ch, de fabrication ADN sous licence MAN.

La boîte Renk, qui cause quelques soucis au PLM (embrayages et passages de vitesses...), est remplacée par une boîte SLM-Winterthur à cinq vitesses avec embrayages à huile, roue libre, inverseur séparé et entraînement des essieux par cardans.

 

 

En 1934, le Nord reçoit deux unités, à transmission électrique, comportant un bogie générateur avec un moteur MAN à huit cylindres en ligne de 250/280 ch..Quatre pour le PO-Midi. Il est équipé d'un moteur Acénor construit à Maubeuge, à bâti soudé et huit cylindres développant 280/300 ch à 1 400/1 500tr/min. On retrouve la transmission SLM-Winterthur. Les radiateurs d'eau du moteur sont placés aux extrémités de la caisse et à la partie inférieure.

 

 en complément qq éléments sur les moteurs Acénor MAN ...( bnf gallica)

 

le 180CV

 

le 280CV

 

 

Dés les années 50 les standards étaient limités à 100km/h et le deuxième pont moteur sur chaque boggie était supprimé..

 Pour les sablières qui a l'origine étaient actionnées par l'abaissement de la poignée de frein continue.. celle ci était bloquée et un bouton poussoir était ajouté sur la partie supérieure de la poignée , bouton plombé pour eviter une utilisation trop importante et des risques de déschuntage sur le BA