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katamiaw

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Tout ce qui a été posté par katamiaw

  1. Coup de canif dans la règle des deux mois pour réserver Dépêchez-vous, deux mois avant, ça peut déjà être trop tard, si vous voulez avoir de la place dans les trains les jours de grands départs: la SNCF vient de modifier -discrètement- ses délais de réservation. RTL a appris que le fameux délai de deux mois à l'avance a disparu pour la période de Noël: les réservations sont déjà ouvertes... et certaines réductions ont déjà disparu. Idem pour les vacances d'hiver et d'été, le délai sera avancé. Les délais de réservation de la SNCF ont été modifiés N'attendez pas les deux derniers mois pour acheter votre billet, vous risquez de ne plus avoir de place. La sacro-sainte règle de l'ouverture des réservations deux mois à l'avance est battue en brêche. Pour la période de Noël, celles des vacances d'hiver et pour juillet-août, la réservation sera ouverte plus tôt, soit entre deux mois et demi et trois mois avant. Jusque là en réservant deux mois à l'avance , vous étiez parmi les premiers et à peu près sûr d'avoir le train, la place et le tarif désiré. Or, les réservations des vacances de Noël sont déjà ouvertes depuis le 12 octobre. D'où, déjà -Eric Vagnier a testé pour vous-, des réductions qui ont disparu, des places déjà prises d'assaut... En clair, en attendant les deux derniers mois pour acheter votre billet, vous prenez le risque de rester sur le quai ou de ne plus avoir le choix dans les prix et les réductions. RTL vous le révèle ce vendredi 22 octobre. Et c'est pas fini Alors comment savoir quand précisément s'ouvre la réservation puisqu'il n' y a plus de régle absolue? Vous pourrez vous inscrire sur le site internet de la SNCF qui vous enverra un e-mail -pour vous prévenir - la veille de l'ouverture de la vente. Sinon renseignez -vous tout simplement au guichet ou par téléphone au 36-35. Cette entorse à la régle des deux mois sera bientôt suivi d'une autre entorse au principe: la réservation dans les futurs I - TGV que seront lancé en décembre se feront jusqu'à 4 mois à l'avance. Source: RTL
  2. Langres : Triage sur la voie de garage L’activité du site de Jorquenay va diminuer de près de moitié. L’activité du triage ferroviaire de Jorquenay sera bientôt réduite de près de moitié. Une rupture de contrat avec Nestlé-Waters France conduira à supprimer six postes. Les craintes du personnel étaient fortes depuis quelques mois. Elles se sont muées en certitude voilà dix jours. En fin d’année, les wagons retournés à vide vers les usines d’embouteillage de Contrex et Vittel cesseront de passer par le centre de triage de Jorquenay. Ils représentaient une moyenne quotidienne de sept trains de fret. «Nestlé-Waters France vient de mettre fin au contrat qui la liait depuis plus de dix ans à la SNCF», annonce Bruno Maury qui depuis Châlons-en-Champagne, dirige l’établissement régional d’exploitation de la SNCF. Deux postes en moins à la gare L’incidence est implacable sur le personnel. Sur les 30 postes que compte le centre de triage, «six sont remis en cause», indique Bruno Maury. Tous consistent à vérifier ce que contiennent les wagons puis à les trier selon leur contenu, avant leur réexpédition vers les Vosges. En revanche, le directeur de l’établissement régional dément l’affirmation qui prête à la SNCF l’intention d’approvisionner Nestlé-Waters France en wagons depuis le site de triage de Gevrey (Côte-d’Or). Une information en particulier donnée par l’Union nationale des syndicats autonomes (Unsa) cheminots. «Le tri ne se fera plus du tout», explique Bruno Maury, d’après qui la rupture de contrat évoquée «n’est pas une conséquence directe» de la restructuration entreprise par la SNCF en direction de son activité de transport de marchandises. Les discussions concernant le devenir des agents dont le poste sera supprimé ont déjà débuté entre la direction et les syndicats. Bruno Maury annonce que les intéressés «ont été rencontrés pour qu’ils expriment leurs souhaits», concernant leur mutation. Selon l’Unsa, la réorganisation du triage s’accompagnera également d’une suppression de deux autres postes. En gare de Langres, «il n’y aura plus de chef de service de nuit», indique le délégué syndical Sébastien Mielle. «Y compris pour le trafic voyageurs.» Nouveau coup Bruno Maury ne s’en cache pas, la prestation effectuée pour Nestlé-Waters France représente «une part importante» de l’activité du triage de Jorquenay. Environ la moitié. Ses agents continueront de travailler pour des clients locaux, tels les Magasins généraux de Champagne-Ardenne et Plastic-Omnium. Regarder en arrière suffit pourtant à démontrer que ce nouveau coup porté à l’activité ferroviaire locale s’inscrit dans le lent et implacable déclin des effectifs cheminots sur le site de Langres (lire ci-contre). Source: www.journaldelahautemarne.com
  3. Le TER percute la voiture : un mort Le choc s'est produit sur un passage à niveau à Maresché dans la Sarthe Les voyageurs ont patienté environ une heure trente en contrebas de la voie avant d'être pris en charge par des autocars. « J'étais dans le premier wagon. On a entendu un bruit de ferraille broyée. Tout le monde s'est accroché », raconte Tom, 21 ans. Assis à côté de lui en attendant l'autocar qui doit les conduire à la salle des fêtes de Maresché pour se requinquer avec un plateau-repas, Per-Olov, un Suédois de 48 ans, trompettiste de l'Orchestre des Champs-Élysées dont une cinquantaine de membres se trouvait dans le train, ajoute : « J'ai senti le wagon tanguer. Je n'ai pas eu le temps d'avoir peur avec tout le bruit qu'il y avait. On a été un peu secoué. » Il était environ 11 h 30 lorsque le TER pour Caen parti de Tours à 9 h 47 a percuté une voiture sur le passage à niveau N° 24 qui croise la départementale 3 menant de Ballon à Beaumont-sur-Sarthe. L'accident s'est produit sur la commune de Maresché, à la hauteur du lieu-dit le Clos-de-la-Gare. Le conducteur de la voiture, une Renault Clio, Auguste Louveau, un homme de 83 ans demeurant à Teillé, a été tué sur le coup. D'après les premiers éléments de l'enquête, confirmés par la SNCF, l'homme venait de la sortie de l'autoroute et se dirigeait vers Teillé. D'autre part, les barrières étaient baissées et le signal lumineux fonctionnait. On ignore pourquoi la voiture de la victime se trouvait sur la voie lorsqu'elle a été percutée par le train qui a déraillé avant de s'arrêter 500 mètres environ après le choc. Malaise, imprudence : l'enquête le dira. Après être descendus du train, tous les passagers sains et saufs ont été rassemblés sur la future zone d'activité intercommunale et pris en charge par les pompiers. Une femme choquée a fait un malaise. Après environ une heure trente, des bus les ont conduits à la salle des fêtes de Maresché où des plateaux-repas ont été distribués. La SNCF a affrété des bus pour qu'ils puissent poursuivre leur trajet vers Alençon et Caen. La voie ferrée devait être remise en service dans la soirée. Source: www.alencon.maville.com
  4. Votez et donnez votre avis sur le magazine La Vie du Rail à la suite. :tgv:
  5. Déjà il faut lancer le débat à savoir si cette rubrique serait vraiement nécessaire. Qu'est-ce qu'il y serait dit qui ne peut être dit en "public" etc....
  6. Personne n'a dit que les n° CP seraient donnés directement sur le Forum... Guest :buba:
  7. Hum... ca semble bien fonctionner ,)
  8. En cliquant lors d'une réponse ou la création d'un message sur: vous pouvez alors insérer une image de votre disque dur dans votre message. Ceci est un test.
  9. katamiaw a répondu à salif77 situé dans Brin de causette
    Remplace par des Chewingums sponsorisés SNCF....
  10. Mets nous une photo, ce sera plus facile Moi vous avez ma photo en avatar :)
  11. Il me semble que le N° de CP soit créé par un calcul qui est connu, donc n'importe qui pourrait générer un N° CP sans être de la SNCF... A vérifier donc...
  12. katamiaw a répondu à salif77 situé dans Brin de causette
    Il va falloir récupérer les textes de loi, mais avec les nouveaux... Si tu consommes la veille avec test inopiné le jour de travail... Hop...
  13. Sur le fond je suis tout à fait d'accord, cependant c'est sur la forme que je me pose question: comment valider un membre comme étant Cheminot de la SNCF ?
  14. katamiaw a répondu à salif77 situé dans Brin de causette
    Les nouvelles lois suite à la mise en applications des lois Européennes concernant la prise de tels produits est trés claire: tout agent étant détecté positif à un de ces produits se voit retiré de sa fonction de sécurité. Il sera placé sur un autre poste, en attendant éventuellement qu'il soit à nouveau apte au poste de sécurité. Donc tu le comprendras aisément: occasionnel ou pas, c'est dans le même sac, embauche refusée à un poste de sécurité... Cela se comprend trés bien et c'est tout à fait normal. Un poste de sécurité demande d'être physiquement et psychologiquement apte à assurer la sécurité, et la prise de drogues est contraire à ça. Si dans ton cas tu souhaites être embauché à un poste de sécurité, tu devras arrêter définitivement cette consomation, même occasionnelle.
  15. katamiaw a répondu à sbobarro situé dans Brin de causette
    Salut Compère Non, c'est un logiciel qui permet de mettre sur Internet ton Planing (ainsi que ta liste de contacts etc...), grace à une Synchronisation avec Outlook. D'autre part je synchronise mon Palm avec Outlook... la boucle est bouclée.. je retrouve sur Internet mon Planing... ce qui est utile pour mes amis et la famille pour savoir les jours où je suis disponible ! http://www.plaxo.com/ PS: je viens juste de découvrir ce site/logiciel, et je l'utilise surement pas à fond encore...
  16. La Commission européenne repousse son verdict sur l'aide au fret SNCF La Commission européenne n'a pas rendu de verdict mercredi sur l'aide d'Etat de 800 millions d'euros pour la division fret de la SNCF (chemins de fer français) afin de pouvoir continuer à débattre du sujet, a-t-on appris des sources concordantes. Les commissaires de l'équipe Prodi, qui examinaient cette question mercredi matin à Bruxelles, ont décidé que leurs cabinets continueraient de discuter cette semaine du sujet, pour pouvoir éventuellement, si des réserves étaient levées, le remettre à l'ordre du jour de leur dernière réunion, le 26 octobre à Strasbourg, selon ces sources. "Mais il est plus probable que les désaccords persisteront", a estimé l'une d'elles, ce qui renverrait la décision à la Commission Barroso. L'actuelle commissaire européenne aux Transports, Loyola de Palacio, défend le feu vert, mais une très forte minorité de commissaires s'y opposent, en particulier le commissaire à la Concurrence Mario Monti, qui réclame une enquête approfondie. Mercredi matin, Mme de Palacio n'a pas tenté de forcer la décision, selon une source communautaire. Après avoir demandé un tour de table sur la question, elle n'a pas écarté l'idée de revenir sur le sujet la semaine prochaine, mais uniquement si les discussions progressent entre-temps au niveau des cabinets des commissaires, a-t-on indiqué de même source. En cas d'échec de la Commission Prodi à s'entendre la semaine prochaine, le dossier reviendra après le 1er novembre au successeur de Mme Palacio, le Français Jacques Barrot. Sur le fond, les opposants de Mme de Palacio estiment que le plan français n'apporte pas assez de garanties sur la séparation entre le fret et les autres activités de la SNCF. Ils réclament notamment la filialisation du fret, un véritable tabou pour l'opérateur ferroviaire français. Leur objectif est d'éviter que cette activité ne bénéficie à l'avenir, par un système de vases communicants, de nouveaux soutiens publics destinés en principe aux activités non concurrentielles comme le transport de passagers. Tout se cristallise sur "la séparation juridique" entre le fret et les autres activités de la SNCF, a souligné l'une des sources interrogées par l'AFP. Face à ses détracteurs, Mme de Palacio "a insisté sur le fait que le fret ferroviaire était un marché en tout début de libéralisation", à qui les règles de concurrence qui bannissent les aides d'Etat doivent être appliquées avec précaution, selon cette source. Sur un plan plus général, la Commission ne doit pas oublier que le fret ferroviaire a du mal à s'imposer face à la route, rappelle une source interne à l'exécutif européen qui qualifie de "dogmatique" l'attitude de Mario Monti. Pour mieux convaincre la Commission, la France a promis d'avancer les travaux de préparation de la libéralisation totale du fret ferroviaire, qu'une directive européenne fixe au 1er janvier 2007. Mais l'offre est prise avec scepticisme à Bruxelles. Source: Voilà
  17. un message dans un sujet a répondu à katamiaw dans Des histoires de trains...
    En tout cas pour les "pousses manettes", l'utilisation du portable par le service de commande est trés réglementé: uniquement sur les périodes de Fac ou à Disposition, pour le reste du temps ton portable est considéré comme non disponible. :haha:
  18. Là ils y vont fort tout de même... ils ont vraiment peur de rien là haut dans leur sièges 100% confort... A cette vitesse là, on vera apparaitre un iFRET avant même d'y avoir pensé... quoi qu'en fait c'est déjà le cas avec VFLI... Arg.
  19. un message dans un sujet a répondu à katamiaw dans Des histoires de trains...
    Bientot ce sera au tour des Mécanos "pousse manette" puis ensuite des Controleurs-Controleurses.... Ce sera "au cas où"... :help:
  20. katamiaw a répondu à sbobarro situé dans Brin de causette
    Oui c'est normal, j'ai installé un logiciel de gestion de contact qui automatiquement envoyé un email à tout mes contacts pour leur demander de bien vouloir remplir une fiche "contact" qui sera ensuite portée sur mon PC. L'email est en Anglais... car malheuresement ce logiciel n'existe pas en Francais ! Tu n'es pas obligé de remplir la fiche. Merci et a+ ;)
  21. Un TGV Milan-Paris immobilisé en Savoie après une alerte à la bombe Paris, 19 octobre (XINHUANET)-Un TGV Milan-Paris a été immobilisé pendant plus d'une heure et demie, mardi matin, en gare de Saint- Michel de Maurienne (Savoie) et ses 150 passagers évacués, à la suite d'une alerte à la bombe, a rapporté l'AFP citant des informations de la préfecture française de Savoie. Une double alerte à la bombe concernant le TGV et un autre train en Italie avait été reçue en début de matinée par la police ferroviaire italienne. Celle-ci avait alors prévenu le centre de coopération policière et douanière de Modane, selon la même source. Vers 10h00, le TGV a été immobilisé sur une voie de délestage à 700 mètres de la gare de Saint-Michel-de-Maurienne et les 150 passagers ont été évacués. Deux fouilles successives des wagons, effectuées par les gendarmes et des agents de la SNCF, se sont révélées infructueuses. Toutefois, les services de la police aux frontières (PAF) ont interpellé trois clandestins d'origine ivoirienne, qui étaient entendus en fin de matinée dans ses locaux, selon la même source. Le TGV a pu reprendre sa route vers 11h45, avec une partie de ses passagers, les autres ayant été acheminés par car. Source: www.french.xinhuanet.com
  22. Oise: Il meurt happé par un train HIER, PEU APRÈS 17 H 30, au passage à niveau de la gare SNCF de Thourotte, un homme, âgé d'environ 35-40 ans, a été happé par le train Paris-Saint-Quentin. Le corps du malheureux a été déchiqueté et traîné par le convoi sur plus de 400 m. Hier soir, les services de gendarmerie tentaient d'identifier le cadavre. D'après les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait d'un habitant de Margny-lès-Compiègne, et le décès serait plutôt dû à un accident qu'à un suicide. Des témoins auraient aperçu la victime s'engager sur la voie. Les faits ont entraîné l'immobilisation du passage à niveau, et ont paralysé totalement la circulation routière dans la ville jusque tard dans la soirée. Ils ont même eu des répercussions encore plus lointaines, puisque, depuis la gare du Nord à Paris, des retards considérables, de l'ordre d'une heure trente à deux heures, ont été enregistrés pour les trains empruntant la ligne Paris-Saint-Quentin. La SNCF a même déclenché un plan d'urgence, plusieurs dizaines de voyageurs ayant dû être acheminés par bus, à partir de Creil, jusqu'à Saint-Quentin. Source: Le Parisien
  23. Accord "dialogue social" à la SNCF : les syndicats SUD-rail se détermineront le 27 octobre La troisième table ronde consacrée à ce sujet se tenait hier, 18 octobre. Lors de cette rencontre, SUD-rail a confirmé sa démarche autour de la négociation d'un accord. Nous avons fait de nombreuses propositions : * Vis-à-vis de la direction de l'entreprise sur les questions de droit syndical, de fonctionnement des instances représentatives du personnel * Vis-à-vis du ministère, en matière de continuité du service public tout au long de l'année et sur tout le territoire, de renforcement du droit de grève à travers des formes d'actions collectives ne pénalisant nullement les usagers (grèves de gratuité par exemple). La direction SNCF a décidé de conclure les discussions. SUD-rail regrette ce choix, nous étions prêts à poursuivre les négociations. Des passages de l'accord, tels qu'ils apparaissent dans la version discutée hier, ouvrent la porte à de possibles améliorations du dialogue social dans l'entreprise. Le renforcement du rôle des instances représentatives du personnel est une bonne chose … mais pour SUD-rail il reste encore des améliorations à apporter : notamment pour que de véritables négociations puissent avoir lieu, c'est-à-dire des négociations avant que les mesures en cause ne soient appliquées. Ce qui nous importe le plus, c'est ce qui se passe sur le terrain, dans les établissements. SUD-rail a insisté notamment sur le renforcement du droit syndical, sa proposition d'une obligation de rencontre dans les huit jours lorsque les Délégués Syndicaux soulèvent un problème conflictuel, la publication d'un mémento actant les accords et désaccords, l'obligation d'ouvrir des négociations dans les 48 heures après le dépôt d'un préavis de grève. La direction a refusé d'intégrer ceci dans l'accord. C'est un point fondamental pour SUD-rail, car il touche à l'exercice quotidien de l'activité syndicale.Ces mesures remettent en cause bien des habitudes pour certains directeurs d'établissement ? Sans doute, mais pense-t-on vraiment « améliorer le dialogue social » sans modification substantielle de ses conditions d'exercice ? Enfin, le dernier élément que nous relevons à l'issue de la table ronde du 18 octobre, c'est que l'hypothèque d'une loi n'est toujours pas levée. L'issue de la négociation, les engagements qui pourraient être pris, n'ont de sens que si cette négociation et ses conclusions sont interprétées comme il se doit par le ministère, par le gouvernement. L'annonce d'une loi venant, d'une manière ou d'une autre, restreindre le droit de grève remettrait tout en cause, et occasionnerait une riposte syndicale forte et immédiate. Le Bureau Fédéral de SUD-rail a décidé d'organiser un Conseil Fédéral le 27 octobre, au cours duquel les syndicats SUD-rail transmettront l'avis de leurs adhérents, débattront du contenu de l'accord, des enjeux, et décideront de la position de SUD-rail quant à sa signature ou non. Source/auteur : http://www.sudrail.org/communiques/
  24. la CGT ne ferme pas la porte à un accord C'est la dernière ligne droite. A l'issue d'une troisième table ronde autour d'un texte sur la prévention des conflits et le dialogue social à la SNCF, un texte finalisé en vue d'une signature devrait être communiqué demain aux syndicats par la direction et soumis à leur signature le 29 octobre. Sans préjuger de son attitude finale, la CGT, qui représente 47,14% des salariés, n'a pas fermé la porte. Le texte introduit trois thèmes principaux : la demande de concertation immédiate ; des concertations spécifiques sur des sujets particuliers, soit à l'initiative de l'entreprise soit à celle de la majorité des élus du comité d'établissement. Enfin dans chaque région, la mise en place d'une charte de fonctionnement des instances représentatives du personnel. Reste à savoir quel sera le poids d'un accord sur ce texte dans le débat sur le service minimum. Il y a quelques semaines, Gilles de Robien, le ministre de l'Equipement, avait évoqué une «loi de couronnement». Mais de son côté, Jean-Pierre Raffarin a indiqué la semaine dernière au Figaro attendre «avec intérêt ce qui est en cours de finalisation à la SNCF» en espérant que «si possible» le recours à la loi ne soit pas nécessaire. Hier, les syndicats ont insisté à nouveau sur le fait qu'une loi restreignant le droit de grève remettrait en cause leur signature. Il est clair que l'obtention d'un accord sur la conflictualité et le dialogue social à la SNCF ne résoudrait pas l'ensemble des problèmes. Outre le fait que 150 entreprises de transport de province n'ont pas négocié de tels accords, il faut également traiter de la prévisibilité du trafic et de l'organisation du service public lui-même pendant la grève. Sans se priver, pour le moment, de l'arme d'une éventuelle loi, il semble que le gouvernement étudie la piste d'un vaste accord-cadre au niveau des confédérations syndicales. Cet accord fixerait les axes de négociations au sein des entreprises sur les trois volets (prévention, prévisibilité et organisation du service minimum). La position de Gilles de Robien est attendue d'ici à début novembre. De leurs côtés, les députés libéraux de l'UMP, qui réclament depuis de longs mois que le gouvernement légifère sur le service minimum, semblent changer de tactique. «Avec une loi portant seulement sur la prévention des conflits, on pourrait penser que l'exercice est conclu», estime Hervé Mariton, député UMP. Source: Le Figaro

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