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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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  1. Un p'tit Rom ? Je sors... je sors...
  2. Dom Le Trappeur

    Bloavezh Mad 2011

    Bloavezh Mad 2011 Bonne Année Tous mes Voeux de Santé et de Bonheur, de Paix et de Solidarité.
  3. cariou >>>> riou de carrosse
  4. Sujet récurrent... Un article de Libération avec des graphiques...pour presque tout savoir Comment les partis politiques obtiennent et dépensent leur argent Le PS et le PC restent riches des cotisations de leurs militants et de leurs élus, tandis que l'UMP profite des dons de personnes physiques et dépense plus que tout le monde dans la «propagande». http://www.liberation.fr/politiques/01012310782-comment-les-partis-politiques-obtiennent-et-depensent-leur-argent Journal officiel de La République 29 décembre 2010... http://www.journal-officiel.gouv.fr/frameset.html
  5. Dans les années 70 la régularité était de 98%... officiellement certes et il y avait beaucoup moins de trains de voyageurs en zone dense et heures de pointe et beaucoup plus de trains de marchandises en particulier la nuit... Les économistes du CCE estimaient au début des années 2000 que la SNCF avait déjà 20 ans de retard sur le niveau des investissements à réaliser tant sur le plan infrastructures que techniques et matériel RFF ne dit pas autre chose aujourd'hui... et ne parlons pas de la stratégie en personnel : 300.000 cheminots en 1970... 150.000 en 2010
  6. Un journaliste à bord et hop une info bien croquante et croustillante... sauf que la réalité c'est la réalité... un TGV bloqué dans une rampe... sur Ligne Nouvelle... problème de matériel... de motorisation... Pourquoi ? Planté deux heures ? pourquoi autant de temps pour résoudre le problème...? Des incidents comme celui là il y en a tous les jours, malheureusement de plus en plus souvent et de plus en plus important... même si neuf trains sur dix partent et arrivent à l'heure ou presque... C'est le résultat d'une longue stratégie libérale en attendant la suite à venir...
  7. «La crise au Sarkozistan»: succès pour un pamphlet publié sur Internet http://www.liberation.fr/livres/01012310422-la-crise-au-sarkozistan-succes-pour-un-pamphlet-publie-sur-internet «Indignez-vous» les uns les autres Plus de 500 000 petits livres de Stéphane Hessel, 93 ans, ont déjà été vendus. Un appel à l’engagement social et politique au nom de l’émotion suscitée par les injustices. http://www.liberation.fr/politiques/01012310687-indignez-vous-les-uns-les-autres
  8. Bonne Année...Bonne Sans Thé ! Appel au boycott de Lipton: «On veut sauvegarder nos emplois» http://www.liberatio...der-nos-emplois Depuis mardi, les salariés de l'usine Fralib, près de Marseille, appellent au boycott de leurs produits. Interview d'un syndicaliste CGT, qui explique ce moyen d'action peu commun. Fin septembre, le groupe Unilever annonce officiellement la fermeture de l'usine Fralib, qui produit des sachets de thé Lipton et L'Elephant près de Marseille. Les salariés, aguerris par deux mois de grève en mars dernier, ont opté pour un nouveau type de mobilisation: l'appel au boycott de Lipton. Olivier Leberquier, délégué CGT à Fralib, était, ce mercredi, en pleine mission de collage d'affiches dans le XIIIe arrondissement de Marseille. Pourquoi cet appel au boycott? La seul chose qui intéresse le groupe Unilever, c'est l'argent. Donc s'ils en perdent, ça pourra peut-être les faire réfléchir... On veut sensibiliser le consommateur: on est la dernière usine française qui conditionne des thés parfumés. Unilever veut la fermer, alors que la France est le premier marché de thé parfumé et d'infusion d'Europe de l'Ouest. Le groupe compte maintenir la même production, en s'appuyant uniquement sur ses trois autres usines européennes. Et faire traverser les camions depuis la Pologne pour approvisionner la France, alors qu'il se vante d'être une société soucieuse de l'environnement. Pourquoi Unilever veut-elle fermer cette usine? La direction justifie sa décision par des difficultés économiques. Mais ces problèmes ne sont pas réels. La totalité des salaires des 182 salariés et des dirigeants de l'usine équivaut à 15 centimes de chaque boîte de thé, mais Unilever veut faire encore plus de bénéfices. Pour nous, c'est une escroquerie intellectuelle: la direction compare notre usine avec les autres sites européens. Mais c'est elle qui a justement créé les conditions pour affaiblir notre production. Ces trois dernières années, le groupe a investi 97 millions d'euros en Pologne, en Belgique et en Angleterre, et seulement 6 millions en France. Depuis 2002, Fralib produit 600 millions de sachets de moins. Et on ne reçoit aucun investissement publicitaire et technologique. Aujourd'hui, où en est votre campagne d'affichage pour le boycott des sachets de thé Lipton? Olivier Leberquier: On ne s'attendait pas à autant de monde... Nous sommes une trentaine de collègues, un peu partout dans Marseille. On a imprimé 10.000 affiches. En deux jours, on en a collé la moitié. D'abord autour d'Aubagne, où se situe notre usine. Et aujourd'hui, on inonde les quartiers de Marseille. On pense relancer une commande, pour élargir la campagne à la région, puis à toute la France avec le soutien de la fédération CGT agroalimentaire. Pourquoi une telle implication de votre part dans ce combat? Cette usine a été créée il y a 118 ans. Au départ, elle était implantée dans le centre de Marseille, et comptait, il y encore une trentaine d'années, 450 salariés. Dans les années 1970, elle est passée aux mains du groupe multinational Unilever. Depuis, en 1997, ils ont fermé l'autre usine française de conditionnement de thé, qui était située au Havre. Ceux qui sont restés là-bas sont toujours en galère, ils ont des petits boulots, il y a eu des divorces, des suicides: on sait combien une fermeture d'usine est difficile. Comme 53 autres salariés de cette usine, je suis descendue à Marseille, à Fralib. Et maintenant, ils veulent aussi fermer celle-ci... Après dix mois de conflit, avez-vous toujours espoir? Oui! A Marseille, d'autres salariés ont réussi. Grâce à leur détermination,l'usine Nestlé de Saint-Menet est toujours ouverte. La raffinerie de sucre Saint-Louis produit trois fois plus qu'au moment où ils voulaient la fermer. Récemment encore, les chantiers navales du port de Marseilleont été sauvés, après une occupation de 500 jours par leurs salariés. Même s'ils ne sont pas encore assez nombreux, tous ces exemples nous encouragent à lutter et à tenir bon.
  9. WikiLeaks : Bongo aurait financé Sarkozy et Chirac http://www.rue89.com/2010/12/29/bongo-aurait-finance-sarkozy-et-chirac-selon-un-cable-de-wikileaks-182849
  10. SarkozyLand... Le Figaro... Flambée des vols avec violences dans les transports http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/12/29/01016-20101229ARTFIG00460-flambee-des-vols-avec-violences-dans-les-transports.php Ils ont augmenté de 39,3% sur le réseau ferré d'Ile-de-France. Les policiers invoquent un véritable «effet iPhone ». Le nombre des vols avec violences explose dans les transports en communs d'Ile-de-France. Selon une note de la Direction de sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP) datée de mercredi et que Le Figaro s'est procurée, quelque 9.501 agressions de ce type ont été recensées dans les onze premiers mois de l'année, soit un bond de 39,3% par rapport à la même période de 2009 qui avait comptabilité 6.821 faits. L'«analyse territoriale» enseigne que les réseaux ferrés de Paris intra-muros sont touchés de plein fouet par le phénomène. Ils abritent à eux seuls 50,3% des attaques. Dès que l'on s'éloigne de cet épicentre, les agressions se font plus éparses, frappant les transports de la petite couronne à 27,4% et 22,3% pour ceux de la grande couronne. «Plus des deux tiers des vols avec violences commis dans la capitale sont des vols à l'arraché, 21,8% sont des vols perpétrés avec des violences physiques et 10,7% sont des extorsions», décrypte la note de la DSPAP. Ces tendances statistiques préoccupantes sont directement imputables à ce que la Préfecture de police a baptisé «l'effet iPhone» dans un second document interne daté du 22 décembre. L'analyse de la délinquance par type d'objets volés sur les lignes du métro, du RER et du Transilien est sans appel. Sur les 2.813 biens et effets personnels volés le mois dernier aux voyageurs, pas moins de 1.395 étaient des téléphones portables, soit une affaire sur deux. «À eux seuls, les modèles iPhone (3G ou 4) représentent 27,59% du nombre total d'objets dérobés», précise la note. S'agissant du seul modèle iPhone 4, «le plus récent et le plus recherché», selon la police, il y a eu 297 appareils volés, soit 69 de plus que le mois précédent. «Novembre 2010 confirme les tendances structurelles dégagées en octobre», constate-t-on à la Préfecture de police où une vaste campagne de prévention, lancée avec les transporteurs, va permettre de distribuer 50.000 «flyers», de petits tracts très pédagogiques et concis, rédigés en plusieurs langues à l'adresse des voyageurs à la recherche d'informations pratiques. Sur le volet répressif, la brigade des réseaux ferrés, qui dispose notamment d'une dizaine de patrouilles en civil à un instant T sur le réseau, a été très sollicitée cette année, élucidant 538 vols avec violences conduisant au placement en garde à vue de 697 suspects depuis le début de l'année. Soit 412 de plus que l'année précédente, avec un taux d'élucidation qui frise désormais les 33%. «Les voleurs sont souvent de jeunes individus venant en bandes depuis la banlieue vers Paris pour commettre des vols d'opportunité», explique un responsable policier qui invite les voyageurs à un «minimum de prudence quand ils pianotent sur l'écran tactile de leur smartphone». C'est une tentative de vol d'un téléphone qui est à l'origine de la mort d'une femme de 27 ans, poussée violemment lundi après-midi à la station Étienne-Marcel car elle entravait la course du fuyard. La victime, d'origine vietnamienne, a dévalé cinq ou six marches, tombant la tête la première en bas des escaliers. En proie à de vives convulsions, elle est décédée dans la soirée des suites d'un traumatisme crânien. «Il est rarissime qu'une agression de cette nature finisse aussi tragiquement», confiait le commandant Bruno Terrenzi, du département d'investigations judiciaires de la brigade des réseaux ferrés (BRF), chargée de l'enquête. Il faut remonter à l'été 2007 pour retrouver semblable drame. À la veille du 15 août, le journaliste sportif italien Sergio Vantaggiato, 40 ans, s'était fait arracher un sac par deux voleurs qu'il avait pris en chasse avant de trébucher mortellement à la station Bir-Hakeim. À l'époque, cette station était l'une des dernières à ne pas être équipée de caméras mais la brigade criminelle avait quand même pu élucider l'affaire. Aujourd'hui, 80% des élucidations se font grâce à la vidéo.
  11. Suite au reformatage d'un disque dur externe, je recherche un logiciel de récupération des données : en français gratuit facile d'utilisation... efficace pour fichiers communs de tous types (doc, pdf, excell, jpeg, gif, mp3, html, vidéo etc...) Avez vous ça en stock ? merci d'avance
  12. et dix ans plus tard on a le management...
  13. http://www.legrandsoir.info/Verra-t-on ce grand moment de journalisme sur le journal de la 2 ? Dans Pujadas, il y a J.u.d.a.s. Selon le Canard Enchaîné, David Pujadas s’est rendu le 7 décembre dans les coulisses du journal de 13 heures de France 2 dont l’invité était Xavier Mathieu, délégué syndical CGT de Continental-Clairoix. Pour lui demander si les patrons ne vont pas trop loin en empochant des bénéfices et en jetant à la rue ceux qui les ont produits ? Non ! Pour se désoler avec l’ouvrier de son licenciement obtenu après autorisation du Ministère du travail ? Non ! C’était pour lui demander, entre 4 z’yeux, s’il approuvait qu’on le traite, lui Pujadas, de laquais et de larbin. Surpris, coincé dans le guet-apens des coulisses, jouant sur le terrain de l’adversaire supérieur en nombre, l’ouvrier (qui n’était pourtant pas préparé à ça) aurait néanmoins confirmé de vive voix la sentence de Jean-Luc Mélenchon. Cependant, il n’a pas fessé les joues du liseur de prompteur qui avait cru que le manant isolé au milieu de ceux du château allait trahir le camp qui le défend. Déception des preneurs d’images qui n’ont pu immortaliser la condamnation prolétarienne du président du Parti de Gauche et pas même la virile agression d’un journaleux par un « gros bras de la CGT ». Nous avons ainsi échappé aux couinements unanimes de toute la profession sur le ton de « C’est la liberté de la presse qui, que… ». On connaît la suite : « Pujadas outragé ! Pujadas brisé ! Pujadas martyrisé ! mais Pujadas libéré ! Libéré par les siens même, libéré par le peuple des emPAFfés. » Théophraste R. (qui finira par regretter l’ORTF du général). PS 1. Suggestion à Pujadas : le coup ayant échoué à domicile, retentez-le donc à l’extérieur (une usine, Pôle emploi, un restaurant du cœur, etc.). PS 2. France 2, on peut voir les rushes de la rencontre, ceux que vous nous auriez montrés si… ? 22 décembre 2010
  14. "La cliente" a-t-elle reçue son PV dans le train ou après être descendue du train (sur le quai, dans un local de la gare...) et qui lui a remis ce PV (contrôleur, SUGE ...)? Mode ironique... Elle aurait dû présenté sa carte CGT... Pour peu que le contrôleur (y) soit syndiqué...
  15. La vidéo des faux vœux de Sarkozy de retour sur Dailymotion http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-La-video-des-faux-vœux-de-Sarkozy-de-retour-sur-Dailymotion-_39382-1638252_actu.Htm
  16. Une seule solution : éteindre la télé et sortir prendre l'air... Le top des personnalités insupportables, selon les Français SONDAGE - Ce sont les politiques qui agacent le plus les Français, devant les sportifs et les hommes et femmes de télévision... Ils en prennent tous pour leur grade. Selon un sondage Harris pour VSD à paraître jeudi, Ségolène Royal, Brice Hortefeux,Marine Le Pen, Carla Bruni, Alain Delon, le footballeur Franck Ribéry, l'ancien sélectionneur Raymond Domenech et le couple Hallyday comptent parmi les personnalités qui agacent les Français. Tous domaines confondus, les politiques agacent le plus (52%), devant les sportifs (37%), les célébrités de la TV (35%), les artistes (34%) et les couples médiatiques (24%). Dans le domaine politique, Ségolène Royal est celle qui énerve le plus (73%) les personnes sondées, devant le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux (70%) etMarine Le Pen (64%). Sarkozy seulement 4e Le président de la République Nicolas Sarkozy arrive en 4e position en insupportant 63% des sondés, devant Martine Aubry (54%), François Bayrou(52%), Jean-François Copé (47%), Jean-Luc Mélenchon (46%) et François Fillon(39%). Dominique Strauss-Kahn n'agace que 30% des personnes interrogées. Côté spectacle et culture, la personnalité qui agace le plus est Carla Bruni (52%). Les 25-34 ans sont les plus critiques avec 61%. Tous âges confondus, les sondés se déclarent agacés aussi par Alain Delon (47%) au coude à coude avec Gérard Depardieu (46%). Michel Houellebecq arrive en 6e position (31%) des célébrités agaçantes. Chez les sportifs, Franck Ribéry et Raymond Domenech sont à égalité parmi les plus agaçants (68%). Nicolas Anelka est troisième (64%). Zinédine Zidane (31%) et Tony Parker (25%) occupent les 6e et 7e positions. BHL et Dombasle, Zemmour et Naulleau Benjamin Castaldi (61%) et Arthur (60%), dans un mouchoir de poche, mais aussi Nikos Aliagas (55%) constituent le trio des personnalités de la TV qui énervent le plus, devant Jean-Luc Delarue (52%), Thierry Ardisson (47%) et Laurence Ferrari (38%), la présentatrice vedette du 20H de TF1. Enfin, côté couples agaçants, Bernard-Henri Lévy et Arielle Dombasle sont en tête (54%), devant Johnny et Laeticia Hallyday (50%) et Bernard Kouchner et Christine Ockrent (35%). En 4e position, un autre "couple" médiatique insupporte aussi les personnes interrogées: Eric Naulleau et Eric Zemour (32%), les chroniqueurs de "On n'est pas couché !", le divertissement du samedi soir sur France 2. Commandée par VSD, cette enquête a été réalisée en ligne du 18 au 20 décembre, auprès d'un échantillon de 1.713 individus représentatifs de la population française de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
  17. Plusieurs approches sont possibles : Renforcer la protection et la prévention - à l'approche des PN : signalisations fixes et lumineuses. Une mise en place d'un système lumineux d'annonce routier à une certaines distance du PN ne serait pas une mauvaise chose... - la formation et l'information régulière des usagers de la Route (camions, autocars, automobiles, motos, deux roues, piétons...) - Campagne d'affichage, médias, télés, écoles et en direction des voyageurs sur les trains (tout compte fait , celui qui prend le train est concerné par les PN...) - Renforcer la protection des PN côté ferroviaire : installation d'un système radar sur la partie commune du PN fer et route - Si un véhicule routier est détectée sur le PN alors qu'un train est en attente, déclenchement d'un système d'alerte à distance (lumineux, sonore...) pour le conducteur du train) lui permettant de déclencher le sytème de freinage d'urgence le plus rapidement possible ce qui pourraity diminuer les conséquences de l'accident : le risque zéro n'existe pas, il y aura toujours un PN qui deviendra dangereux un jour... Notons que ce système existe techniquement mais n'a jamais été mis en service... Renforcer les contrôles routiers aux PN par une présence humaine réelle des forces de gendarmerie (si possible à l'heure du passage des trains...) et pas seulement par des radars fixes (et répressifs même si il en faut sûrement - les radars fixes de vitesse ayant contribuer positivement à réduire la vitesse moyenne des automobilistes et le nombre de tués sur les routes) Si vous avez d'autres idées...
  18. Ouai mais des affreux méchants il n'en reste plus beaucoup sur le terrain dans une nuit de dimanche à lundi entre Strasboutg et Port Bou...
  19. Bretagne. Cinq passages à niveau toujours classés "préoccupants" http://www.letelegra...010-1161485.php Où en est-on en matière de sécurité aux passages à niveau bretons ? Une série noire, ponctuée le week-end dernier par deux morts à un passage à niveau dans l'Eure, rappelle, s'il le fallait, que les passages à niveau restent des points sensibles en matière de sécurité routière.... ...
  20. Des architectes suédois construisent une ville sur rails http://www.zigonet.com/architecture/des-architectes-suedois-construisent-une-ville-sur-rails_art18516.html L'entreprise d'architecture suédoise Jagneflat Miltonn a imaginé, à l'occasion d'un concours international lancé par la ville norvégienne de Andalsnes, une ville modulable sur une ancienne voie ferrée. A l'heure de la mobilité, de la globalisation, la question de la modularité est une part importante à prendre en compte dans l'architecture aujourd'hui. Les Suédois l'ont quelque part déjà saisi en développant meubles et habitations modulables. C'est d'ailleurs la genèse du projet de l'entreprise d'architecture, Jagneflat Miltonn. En effet, ses designers ont décidé d'installer sur une ancienne ligne de chemin de fer une véritable ville ! Sur ce site unique, des blocs entièrement modulables devraient être mis à disposition afin de créer différents bâtiments. Leurs formes et leurs usages dépendront des saisons ou encore des événements. Ils pourront ainsi devenir ainsi des salles de concerts, des habitations, ou encore des hôtels. Le projet a reçu de très bonnes critiques, et a été récompensé par différents prix nationaux et scandinaves. Il a notamment remporté le 3e prix du concours international lancé par la ville norvégienne de Andalsnes.
  21. La SNCF exprime ses "regrets" pour un retard de 12 heures Reuters http://fr.news.yahoo.com/4/20101228/tts-france-sncf-ca02f96.html La SNCF a exprimé mardi ses regrets aux voyageurs d'un train entre Strasbourg et Port-Bou, à la frontière espagnole, arrivé à destination avec plus de 12 heures de retard et elle a promis une compensation exceptionnelle. Les voyageurs ont parlé "d'enfer" après avoir passé plus de 24 heures à bord de ce train dont les toilettes étaient bouchées, le chauffage et l'éclairage défaillants. Ils disent n'avoir reçu qu'un plateau repas pour deux voyageurs et que le personnel ne leur a jamais donné aucune information. Le train de nuit 4295 parti de Strasbourg dimanche soir à 21h30 locales est arrivé à destination lundi soir peu après 22h00 à Perpignan, d'où certains passagers ont poursuivi le voyage en bus et en taxi. "Ce train a fait l'objet d'une succession exceptionnelle d'incidents", a expliqué la SNCF dans un communiqué. Il y a eu d'abord un changement de conducteur très long à Belfort, une panne de motrice, et d'autres retards dus à l'expulsion de passagers ivres et à un incident sur la voie. La SNCF a annoncé qu'elle rembourserait intégralement le prix du billet et offrirait un aller-retour gratuit supplémentaire à chacun des voyageurs. "Il s'agit d'un incident grave mais isolé dans une période de grand froid et de neige où 97% des trains ont circulé. L'enquête interne en cours permettra de savoir si le retard cumulé aurait pu être réduit", assure la compagnie. La CGT, principal syndicat à la SNCF, a en revanche imputé l'incident à ce qu'elle voit comme un changement de culture, du service public à la société commerciale. LA CGT MET EN CAUSE LA POLITIQUE DE LA SNCF "Cet événement est la résultante des politiques menées à la SNCF depuis plusieurs années. Pour la fédération CGT des cheminots, quand une entreprise publique comme la SNCF se détourne du service public pour faire du business, il est prévisible que les voyageurs et les cheminots en subissent les conséquences", dit le syndicat dans un communiqué. Il met en cause l'organisation des réserves de personnel, responsable à ses yeux de l'imbroglio sur le changement de conducteur du train 4295, et la spécialisation des ateliers d'entretien des locomotives, qui expliquerait les problèmes liés à la réparation de la motrice. Le syndicat Sud-Rail met en cause la direction concernant le problème du changement de conducteur à Belfort, car selon lui elle savait depuis la veille que l'agent lyonnais prévu pour prendre le relais n'était plus disponible. "Ce conducteur a été renvoyé chez lui par la direction SNCF. Elle savait très bien que le conducteur en question n'était pas à Belfort, puisqu'il était à Lyon et qu'il n'avait pas pu assurer la première partie du trajet", a dit sur RTL Stéphane Boulade, secrétaire fédéral de Sud. Une avocate qui se trouvait à bord du train a annoncé qu'elle préparait une action en justice. Une association sera créée, a annoncé sur France info Me Fanny Deetjen. "Il ne s'agit pas d'être procédurier. Mais il n'est pas normal que des usagers aient à subir aujourd'hui les problèmes de dysfonctionnement du service, des conducteurs pas présents dans les trains ou des machines complètement désuètes faute d'entretien nécessaire", a-t-elle expliqué. Thierry Lévêque
  22. Communiqué de la Fédération des Cheminots CGT 2010-12-28-cgt-fede-trainStrasbourgPortBou.pdf
  23. Bon sur le coup j'ai cru que c'était les parents de Carla ... Un mariage empêché par une loi de 1803 http://fr.news.yahoo.com/76/20101228/tfr-un-mariage-empch-par-une-loi-de1803-dbac7e9.html Un couple franco-chinois d'une trentaine d'années, dont le mariage a été annulé quelques jours avant la cérémonie en raison d'un article de loi de 1803 avancé par les parents du jeune homme, a finalement obtenu gain de cause auprès du tribunal de Grenoble. Agés de 27 et 25 ans, Man Sin Ma, Chinoise de Hong Kong, et Stéphane Sage, ont dû renoncer à leur mariage le 13 novembre à Meylan (Isère) après que les parents du jeune homme eurent signifié par voie d'huissier auprès du tribunal leur opposition à cette union, a-t-on appris de source judiciaire confirmant une information du Dauphiné libéré. «J'exerce ce métier depuis de nombreuses années, mais c'est la première fois que cet article est utilisé», a expliqué à l'AFP la vice-procureur en charge du parquet civil, Monique Plas. L'article 173 du code civil datant de l'époque napoléonienne stipule que «le père, la mère, et, à défaut de père et de mère, les aïeuls et aïeules peuvent former opposition au mariage de leurs enfants et descendants, même majeurs». «Lorsque nous avons eu la visite de l'huissier, nous avons halluciné. On s'est vite rendu compte que notre mariage, prévu cinq jours plus tard, était fichu», a raconté à l'AFP Stéphane Sage, qui a toutefois organisé une fête de fiançailles. Le couple, qui a saisi le tribunal de grande instance (TGI), vient d'obtenir un avis favorable pour la levée de cet obstacle judiciaire, «aucun motif objectif permettant de justifier cette décision n'ayant été relevé», a précisé le parquet. «Après avoir accusé Mandy de se marier pour obtenir des papiers, ils l'accusent désormais d'être une espionne au service du gouvernement chinois», a affirmé Stéphane Sage qui a rencontré sa concubine en 2009 sur les bancs de la faculté à Grenoble. Les parents, qui n'ont pas désiré s'exprimer, disposent d'un mois pour faire appel. (Source AFP - Libération)
  24. La ville de Paris dément avoir été pénalisée sur le logement social http://fr.news.yahoo.com/4/20101228/tts-france-logement-social-paris-ca02f96.html La ville de Paris a démenti mardi avoir été pénalisée pour non-respect de la loi sur le logement social, comme l'écrit le quotidien Les Echos. Selon le quotidien économique, la capitale a écopé d'une amende record de 15,1 millions d'euros pour avoir enfreint la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU), qui impose aux communes de plus de 3.500 habitants un quota de 20% de logements sociaux. "Cette assertion ne repose sur aucun fondement et la ville de Paris la dément formellement. Paris n'a jamais eu, depuis 2001, à acquitter la moindre pénalité pour non-respect de la loi SRU", lit-on dans un communiqué. "Le montant de 15 millions d'euros, cité par Les Echos, correspond à l'amende théorique à laquelle la ville se serait exposée si elle ne produisait aucun logement social supplémentaire. Or elle en finance, depuis le début de ce mandat, 6.000 par an, soit le double du nombre exigé par la loi", poursuit le texte. Selon la municipalité, le taux de logements sociaux à Paris est de 17,2% et de 19% en tenant compte des logements financés non encore livrés. "Aux termes de la loi SRU, les 20% de logements sociaux doivent être atteints dans la capitale en 2020. Nous réitérons ici l'engagement pris par le maire de Paris avant les dernières élections municipales d'atteindre cet objectif dès 2014", poursuit le communiqué. Selon Les Echos, les pénalités infligées pour non-respect de la loi SRU ont atteint globalement 76,2 millions d'euros en 2010 (l'Etat en aurait perçu 31 millions, le reste allant au monde HLM). Outre Paris, le quotidien cite Neuilly-sur-Seine, une ville huppée longtemps dirigée par Nicolas Sarkozy, qui aurait été pénalisée à hauteur de 3,3 millions d'euros. Le parc du logement social n'y est que de 3,6% (contre 1,3% en 2001) et aucune grande ville ne fait moins, précisent Les Echos. Nice, dont le quota de logements sociaux est resté quasi stable en dix ans, passant de 10,3% en 2001 à 11,5% en 2009, figurerait en troisième position, avec 2,4 millions d'euros d'amende, selon Les Echos. Jean-Baptiste Vey, édité par Yves Clarisse
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