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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Bon, plus personne ne souhaite passer sur le divan du psy... :Smiley_08:
  2. C'est ma fête... par jean-Luc Mélenchon http://www.jean-luc-...3/cest-ma-fete/ Comme d'habitude c'est long mais très intéressant...
  3. Et où est passée la droite sur cette circonscription (fn 46%, Ps 23,5 fdg 21,5 ...) ? Par contre c'est surement la dispersion de la "gauche radicale+ extrême gauche" qui n'a pas permis à Mélenchon d'arriver 2ème... (au moins 5 candidats...) Quand au deuxième tour le candidat du PS Kemel va devoir ramer pour récupérer l'électorat de gauche radicale vu les casseroles qu'il a au derrière... Question subsidiaire qui a voté fn ? manifestement pas les électeurs de gauche.
  4. Mode Franchement, pourquoi faut-il que les contrôleurs et les conducteurs puissent rentrer chez eux le soir... ? il suffit d'aménager quelques bannettes dans un coin, comme dans les sous-marins... et hop une petite tournée de 6 mois ... http://www.challenges.fr/entreprise/20120604.CHA7095/pourquoi-le-futur-tgv-low-cost-de-la-sncf-est-revolutionnaire.html
  5. Tu es un Amour... BiZH sur les deux joues !
  6. Dans mon jardin... Quelqu'un - quelqu'une connaît-il le nom de cette belle fleur ?
  7. Un document mis en ligne sur le forum fait référence au "journal bimestriel du Groupe SNCF". malgré mes recherches je ne suis pas parvenu à mettre la main dessus sur le net. Quelqu'un aurait-il plus de chance que moi ?
  8. CGT - Cheminots : Jour de Carence suspendu 2012-06-07cgt-jour_de_carence_suspendu.pdf
  9. Le NPA à tombeaux ouverts... :Smiley_40:
  10. On y revient ...les modos aiment que tout soit bien rangé...
  11. Louis Gallois succède à René Ricol au Grand Emprunt http://www.challenges.fr/top-news/20120606.REU8025/louis-gallois-succede-a-rene-ricol-au-grand-emprunt.html Louis Gallois va gérer le grand emprunt http://www.challenges.fr/economie/20120606.CHA7131/louis-gallois-pour-gerer-le-grand-emprunt.html
  12. Patron de Gauche ? tendance Gauche vraiment molle alors... J'ai rencontré quelquefois Gallois et il tournait toujours du pot... mauvais souvenirs... Gallois (EADS): "On peut quand même vivre avec 600.000 euros !" http://www.challenges.fr/entreprise/20120530.CHA6884/avant-de-quitter-eads-louis-gallois-se-confie-a-challenges.html Après 6 années à la tête d’EADS, Louis Gallois laisse à Tom Enders un groupe aux caisses pleines. Ce patron de gauche revient sur sa mission, mais aussi sur l’alternance, la fiscalité, la rémunération des dirigeants. Une voix à part. Une page se tourne à EADS. Jeudi 31 mai, lors de l’assemblée générale des actionnaires du groupe à Amsterdam, LouisGallois, président exécutif du champion européen, passera le relais à son successeur, Tom Enders, avec le sentiment du devoir accompli. Appelé en 2006 à la tête d’un groupe miné par la lutte fratricide entre dirigeants français et allemands ainsi que par les retards de l’A380, "Loulou", comme l’appelaient les salariés de la SNCF, a mené à bien sa mission de pacification. Il laisse surtout un groupe en pleine santé, qui croule sous près de 11 milliards d’euros de cash. Symbole d’immobilisme, disent ses contempteurs. Garantie pour l’avenir, répond Gallois. "Grand commis de l’Etat", "moine-soldat", "pacificateur": le caractère ascétique de ce patron de gauche, trois fois à la tête d’entreprises publiques (Snecma, Aérospatiale, SNCF) après avoir dirigé les cabinets successifs de Jean-Pierre Chevènement, ne rend pas justice à la complexité du personnage, féru de rugby et de polars: chaleureux mais parfois cassant, humble mais attentif à son image, dont le discours sur les rémunérations des dirigeants tranche avec la doxa patronale, sans jamais vouloir donner de leçons. A la veille de lâcher les rênes d’EADS, Louis Gallois n’a rien perdu de sa verve, ni de son humour. Comme en témoigne les réponses aux questions que nous lui avons posés. Challenges. La gauche revient au pouvoir en France. Y voyez-vous, comme certains patrons, un risque pour les entreprises? Louis Gallois. Je ne vois pas pourquoi des ministres de gauche seraient moins conscients que les autres des enjeux actuels: l’environnement économique très volatil sur la zone euro, l’équilibre entre discipline budgétaire et croissanc ; et, plus fondamentalement, la question de la compétitivité, comme en témoigne la chute de la part de l’industrie dans le PIB, plus forte en France que dans les autres pays européens. Vous prônez un choc de compétitivité de 25 à 30 milliards d’euros, transférés des charges sociales vers la fiscalité. Or le Medef évoque un choc fiscal du même montant, mais qui s’abattrait, lui, sur les entreprises… Je ne connais pas le paquet fiscal qui va être annoncé, mais il faudra y regarder à deux fois avant d’augmenter la pression fiscale sur les entreprises. Une des explications de nos difficultés par rapport à l’Allemagne, c’est la baisse des marges des entreprises françaises, qui se traduit par une baisse de l’autofinancement des groupes industriels: il a chuté d’un tiers en dix ans. François Hollande a-t-il tort de revenir sur la TVA sociale? Je n’ai pas dit qu’il fallait transférer cette somme sur la TVA. On peut aussi le faire sur la CSG, l’impôt sur le revenu, ou en supprimant une partie des 30 à 35 milliards de niches fiscales reconnues comme inefficaces. Je connais la difficulté extrême de transférer des sommes aussi considérables vers la fiscalité. Ce qui est certain, c’est qu’il faudrait accompagner ce choc de compétitivité d’une réforme très forte de justice fiscale, car le projet ne sera pas accepté s’il est ressenti comme injuste. Exemple de mesure de justice, l’écart salarial maximal de 1 à 20 des salaires dans les entreprises publiques. EADS, dont 15 % du capital est public, est-il concerné? EADS est une entreprise privée de droit néerlandais, je ne pense pas qu’elle entre dans le cadre des entreprises publiques françaises! Que vous inspire cet écart de 1 à 20? C’est raide pour certains. Mais avec les 5 % de salaires les plus bas à 30.000 euros annuels dans un groupe comme le nôtre, ça ferait 600.000 euros. On peut quand même vivre avec 600.000 euros! Vous êtes donc trop payé [2,98 millions d’euros, ndlr]! Je constate que je gagne dix fois plus qu’à la SNCF. Y a-t-il une telle différence de responsabilité? Je ne le ressens pas comme tel. Ma position personnelle, que je n’impose à personne, est qu’une rémunération comme la mienne est inexplicable à l’extérieur. A personne. Je règle ça avec ma conscience en faisant un usage socialement utile de ma part variable. Il me reste très largement de quoi vivre! Et l’argument avancé par certains patrons de l’existence d’un marché international des dirigeants? Ce marché existe. Si vous proposez une rémunération divisée par deux, ce qui ne nous mettrait pas dans la misère, vous auriez un problème pour recruter des patrons d’entreprise. L’autre argument, c’est que les patrons sont à la tête de la pyramide des rémunérations, et qu’en baissant celle du chef on embarque toute la hiérarchie. Or ce sont avant tout des choix personnels. Pourquoi avez-vous renoncé à être rémunéré pour votre clause de non-concurrence? Pour une raison simple: pour moi, ce serait un supplément de rémunération caché. Il est ridicule de penser qu’à mon âge [68 ans, ndlr] je vais aller me faire payer par la concurrence pour la conseiller! Déjà que ma vue baisse… J’ai une retraite très confortable, à peu près 10% de ce que je gagne aujourd’hui, soit mon salaire à la SNCF! Que pensez-vous du taux d’imposition à 75% des revenus de plus de 1 million par an? C’est une mesure de crise, où il faut que la solidarité s’exprime. Je ne suis pas sûr que ça doive être une mesure de long terme. Quel bilan laissez-vous à EADS? Je n’aime pas parler de bilan, c’est comme fermer son cercueil… Plus sérieusement, EADS est un miracle. La meilleure preuve, c’est que ce groupe est resté le seul exemple d’intégration industrielle européenne. Qui aurait pensé qu’on arriverait à créer, à partir de quatre entreprises de taille moyenne purement nationales, un champion mondial intégré qui, en termes de produits, de performances et de chiffre d’affaires, challenge Boeing. Mais pas sa rentabilité… Boeing ne calcule pas comme nous. S’ils le faisaient, avec les déboires du B787, je demande à voir quelle serait leur marge aujourd’hui. Ils amortissent les surcoûts sur plus d’un millier d’avions, soit plus que leur nombre de commandes. De notre côté, les surcoûts tombent dans nos comptes dans l’année! Une autre différence est, bien sûr, qu’ils travaillent en dollars. Le succès d’EADS aurait-il été possible sans le soutien des Etats? Les Etats européens ont soutenu EADS comme tous les Etats soutiennent leurs industries aéronautiques. Aux Etats-Unis, Boeing est en train de se faire condamner par l’OMC pour des aides illégales massives sous forme de subventions. Nous, nous n’avons pas de subventions, mais des avances remboursables. Je rappelle que nous avons totalement remboursé les avances de l’A320 et de l’A330, et que nous payons même des royalties à certains Etats. Alors comment expliquer qu’EADS ne parvienne pas à trouver d’actionnaire industriel ? Si on mettait les actions sur le marché, elles trouveraient immédiatement acquéreur! Le marché est demandeur de nos actions, qui ont plus progressé depuis un an que toutes celles du CAC 40. Le problème est qu’il faut trouver un industriel sans aucune synergie avec nous, qui immobilise 1,5 ou 2 milliards d’euros. Vous ne trouverez jamais! Pourquoi voulez-vous que ThyssenKrupp ou Siemens investissent dans EADS? Tous les grands groupes ont été sondés. Lagardère et Daimler sont là à titre historique. Les frasques récentes d’Arnaud Lagardère vous ont-elles gêné? Arnaud Lagardère est parfaitement légitime à être président du conseil d’administration. C’est prévu depuis 2007. Il a toujours soutenu le management et moi en particulier. Il a juste bloqué une acquisition aux Etats-Unis en 2007 avec l’argument, tout à fait recevable, qu’il y avait un risque que la société visée soit une boîte noire à laquelle nous n’aurions pas vraiment accès. Qu’avez-vous apporté au groupe? Je dirais trois choses: d’abord, en 2006, la volonté d’un "back to business", après l’épisode des querelles nationales exacerbées par les problèmes de l’A380. Ensuite, l’intégration de la société, les synergies entre les activités. Et, troisièmement, un plan de long terme, Vision 2020. Mon successeur, Tom Enders, va peut-être l’infléchir, ce serait parfaitement légitime, mais ce cap a permis à tous, dans et hors de l’entreprise, de comprendre ce qu’on faisait. L’image de "Gallois pacificateur", cela vous agace-t-il ? Oui, ça m’agace, parce qu’il y a un fond de vrai, mais je n’ai pas fait que ça. On a lancé l’A350, fait Power 8, sauvé l’A400M, intégré l’entreprise. On dit: "C’est un diplomate." Cela m’agace encore plus, un patron ne doit pas être un diplomate! Et celle de "Gallois trop favorable aux Allemands"? Je me suis attaché, en dehors de mon accent, à ne pas être le Français d’EADS mais son patron. Je suis parfois vu en France comme celui qui a tout donné aux Allemands, Tom Enders est vu en Allemagne comme celui qui a tout donné aux Français. Cela veut dire que nous ne sommes pas loin de la vérité! Actionnaire à 46 % de Dassault Aviation, EADS n’a quasiment aucun pouvoir sur la société. Avez-vous été trop coulant? Nos droits chez Dassault sont limités à ceux d’un actionnaire minoritaire à 46 %. Il n’y a jamais eu de décision nécessitant les deux tiers des droits de vote, nous sommes plutôt un sleeping partner. Mais la valeur de Dassault s’est accrue, les dividendes ne sont pas négligeables, la société est très bien gérée, c’est donc un bon investissement. Mais les dirigeants de Dassault cognent sur EADS à bras raccourcis… Je dois dire que je ne comprends pas cette agressivité permanente vis-à-vis d’un actionnaire à 46% qui, à mon avis, n’en mérite pas tant. Le refus de l’Etat actionnaire de vous permettre de faire une offre pour Thales, et donc le champ libre laissé à Dassault, vous a beaucoup irrité. Qu’aurait donné ce projet? Cela aurait permis de créer un ensemble plus équilibré, au sein d’EADS, entre la défense et le civil, entre les plateformes, les équipements et l’électronique de défense. Cela aurait donné naissance à un leader européen de taille considérable, plus gros que Boeing, un champion mondial absolument incontesté. Cela dit, on vit sans… Avez-vous pensé à démissionner à ce moment-là? Non, on ne peut pas démissionner à chaque sujet de désaccord avec ses actionnaires, sinon on risque de passer sa vie à démissionner! Les 11 milliards de cash d’EADS sont parfois perçus comme le résultat d’un excès de prudence. N’auriez-vous pas pu mener à bien une grosse acquisition, une OPA sur BAE, par exemple? Ce serait très cher, et avant d’acheter quelque chose, il faut que ce soit à vendre! Il y a une golden share sur BAE, et je ne vois pas le gouvernement britannique se séparer d’un des joyaux de la Couronne. Nous allons consommer une partie de ce cash avec la montée des stocks de l’A350. D’autre part, nous sommes une entreprise qui a besoin de cash. Nos clients veulent être sûrs que nous aurons une situation financière qui nous permettra de tenir nos engagements, qui vont jusqu’à 2022 pour certaines ventes d’avions. Ceci dit, nous avons fait pour pres-que 2 milliards d’euros d’acquisitions l’an dernier. Il y a de la marge pour en faire d’autres. Y a-t-il eu des avions ratés à Airbus? Nous avons fait une erreur de diagnostic sur l’A340, et j’y ai participé. On a pensé que l’A330, bimoteur, serait un avion de niche, et que la version quadrimoteur A340 serait le best-seller, car, au début des années 1990, il était impossible de survoler les océans avec un bimoteur. La réglementation ETOPS, qui autorise les bimoteurs à traverser le Pacifique ou l’Atlantique, a fait de l’A340 l’avion de niche, plus coûteux à exploiter du fait de ses quatre réacteurs. L’A330 est devenu le cheval de trait des compagnies, que nous vendons encore beaucoup du fait de son extraordinaire fiabilité, malgré l’arrivée du B787 et de l’A350. Partagez-vous cet avis du consultant Roland Berger quand il dit qu’un des atouts de l’Allemagne est que "les syndicats n’exagèrent pas"? Ce n’est pas mon vocabulaire. Le syndicat allemand, syndicat unique chez nous, est dans la négociation, et il veut qu’elle aboutisse, car un syndicat allemand qui ne trouve pas un accord a failli. Mais il a des moyens de pression très forts. Quand on a fait le plan Power 8, ils nous ont fait grimper au cocotier en nous disant que, faute d’accord rapide (et ce fut plus long qu’en France), ils iraient au tribunal et qu’on en aurait pour trois ou quatre ans. Alors, quand on me dit qu’il est plus facile de supprimer des emplois en Allemagne qu’en France, je souris! Il faut faire avec notre culture. On vous a beaucoup reproché d’avoir fait de la cogestion à la SNCF… Cogestion? Je ne suis pas sûr que le mot soit approprié. J’ai malheureusement été amené à réduire l’emploi de manière significative, et j’ai été confronté pour cela à des conflits sociaux très durs! Cela dit, je respecte les syndicats. Est-il plus difficile de diriger la SNCF qu’EADS? Les deux postes sont incomparables. Il y a plus de stress quotidien à la SNCF, le stress de l’actualité: les accidents de personnes, le train qui reste trois heures dans un tunnel, les intempéries, les grèves, les engueulades de clients sur les quais lors des coups durs… Guillaume Pepy fait ça à merveille, moi, j’ai fait ma part. A EADS, nous avons le stress des programmes et l’adrénaline de compétitions commerciales extrêmement dures. L’Europe est-elle trop ouverte aux quatre vents, trop naïve dans la mondialisation? Cela mérite d’être regardé de près. Il faut pratiquer la réciprocité: être ouvert avec les pays ouverts, et l’être moins avec ceux qui ne laissent pas pénétrer leurs marchés. L’épisode des ravitailleurs –où l’A 330 MRTT a été écarté par le Pentagone alors qu’il est le meilleur, personne ne le conteste– n’est pas insignifian : dans la défense, il faut dire aux Américains les choses de manière assez claire. Mais l’Europe est désunie sur ces sujets: il n’y a qu’à voir le nombre de pays qui ont acheté le F-35[chasseur de l’américain Lockheed Martin, ndlr]. Comment expliquer qu’un tiers des Français reste hostile à l’économie de marché? C’est vrai qu’un tiers de l’électorat marque sa rébellion par rapport au "système". Il n’y croit plus. Il y a en France une demande d’égalité et de justice plus forte qu’ailleurs. Il faut la prendre en compte. Nous ne sommes pas un pays anglo-saxon. La mondialisation est un phénomène irréversible. Il faut mener la guerre économique, sans naïveté. Etes-vous pessimiste pour la France? Absolument pas. Prenons le pays tel qu’il est. Il ne sert à rien de rêver d’un pays idéal, avec les qualités du Royaume-Uni pour la finance, de l’Allemagne pour l’industrie et de la Suède pour le social. Il y a un potentiel énorme, le pays est riche. A nous de le mettre en valeur. Propos recueillis par Vincent Beaufils et Vincent Lamigeon
  13. Recensement de photos détournées ... http://news.fr.msn.com/m6-actualite/politique/photo.aspx?cp-documentid=250164823&page=33
  14. et même les dessins ou caricatures...
  15. Vous pouvez bien sûr mettre celles qui vous inspirent...
  16. Et bien sûr les caricatures...
  17. La photo officielle du Président Hollande par Raymond Depardon que vous pouvez bien sur commenter
  18. Je me permets de te reprendre sur une question de vocabulaire qui a son importance : ce sont des cotisations sociales et non des charges salariales. ("Charges salariales" c'est le vocabulaire du patronat, du Medef et des "libéraux" en fait les bons capitalistes.) il y a deux parts : la part ouvrière et la part entreprise mais les deux sont calculées sur labase de la rémunération brute du salarié. Ces cotisations sociales sont donc créées par le travail du salarié et lui seul (si le salarié ne travaillait pas il n'y aurait pas de travail donc pas de rémunération donc pas de cotisations...) Elles constituent la part du salaire socialisé : c'est d'abord la solidarité face aux problème s de la vie avec tous les autres salariés actifs ou non, retraités, familles, famille
  19. la photo officielle du nouveau Président de la République Un Président normal... A vous de choisir
  20. Le contrôle d'identité ce n'est pas que pour les "délinquants" : pour ceux là ce serait plutôt une interpellation... d'ailleurs en général ceux là font tout pour ne pas être contrôlé ni même apperçu par les forces de l'ordre ! Par contre je pense qu'il s'agit surtout de limiter les contrôles d'identité des honnêtes citoyens, donc les abus... Je me rappelle d'un cheminot en tenue et en service dans sa gare, "contrôlé" par les forces de police trois fois dans la même journée... sur les quais... son seul problème : ne pas être blanc de peau... (c'était au début 2009)
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