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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Bah ils préparent peut être déjà les prochaines élections...en juin...
  2. A Dieu et à Diable... Retour à la case élections pour la Grèce http://fr.news.yahoo.com/echec-des-discussions-en-grèce-nouvelles-élections-législatives-133350006.html ATHENES (Reuters) - Les tractations entamées en Grèce après les législatives du 6 mai en vue de la formation d'un gouvernement ont échoué mardi et un nouveau scrutin qui pourrait accélérer une hypothétique sortie de l'union monétaire devrait avoir lieu en juin. Un gouvernement chargé des affaires courantes sera nommé mercredi, a annoncé un porte-parole de la présidence, où les chefs de file des partis représentés au Parlement avaient été conviés pour une réunion de la dernière chance. "Nous nous dirigeons vers des élections", a-t-il dit sans évoquer de date. Les exigences du code électoral laissent toutefois supposer que le scrutin aura lieu à la mi-juin. "Pour l'amour de Dieu, allons vers un mieux plutôt que vers le pire !", a déclaré Evangelos Venizelos, chef de file du Parti socialiste (Pasok), s'adressant à la presse à sa sortie du palais présidentiel. "Notre Mère patrie peut s'en sortir. Nous nous battrons pour qu'elle s'en sorte", a-t-il ajouté. Depuis les élections législatives du 6 mai, marquées par l'affaiblissement spectaculaire des grands partis et une fragmentation du paysage politique, tous les efforts déployés pour former un gouvernement de coalition ont buté sur les positions incompatibles des partisans et des adversaires de l'austérité. Arrivée en deuxième position, la Coalition de la gauche radicale (Syriza), formation hostile aux coupes budgétaires exigées par les créanciers internationaux, fait désormais figure de favorite pour le prochain scrutin. La première place est assortie d'une prime de 50 sièges à la Vouli, qui en compte 300. "QU'ILS AILLENT AU DIABLE" Le non respect des engagements pris par Athènes en échange de l'aide internationale entraînerait l'arrêt de son versement, a averti Bruxelles. Un tel scénario entraînerait à coup sûr la faillite et le retour à la drachme, disent les observateurs. "Il y a maintenant un risque considérable de voir la Grèce manquer tout simplement d'argent le mois prochain, ne plus pouvoir verser les salaires, faire fonctionner les transports publics, entretenir les infrastructures, et que le pays sombre dans le chaos total", a commenté Jonathan Loynes, responsable de l'Europe chez Capital Economics, selon lequel Athènes pourrait quitter la zone euro avant la fin de l'année. Le président de l'Eurogroupe s'est indigné lundi soir de ces rumeurs, estimant que l'hypothèse relevait de la "propagande" et du "non-sens". Au terme d'une réunion des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker s'est dit fermement opposé à cette idée, tout en rappelant Athènes à ses engagements. Les marchés financiers, qui craignent la contagion à des économies plus importantes telles que l'Espagne ou l'Italie, ont toutefois accusé le coup mardi. Alexis Tsipras, chef de file de Syriza, conteste les plans d'austérité mais se dit attaché à la monnaie unique, tout comme une énorme majorité de ses concitoyens. Près de 80% d'entre eux souhaitent que le gouvernement fasse le nécessaire pour le maintien de la monnaie unique, selon un sondage récent. D'abord ravis du revers infligé aux "partis de gouvernement" jugés responsables de la crise, les Grecs craignent désormais de ne plus pouvoir sortir de l'impasse. "Qu'ils aillent au diable ! Dieu seul sait ce qui nous attend maintenant. J'ai très peur de l'avenir. Je ne pense pas que les élections résoudront quoi que ce soit, parce que, dans un mois, on sera dans la même situation", dit Giouli Thomopoulou, une chômeuse de 59 ans. Jean-Philippe Lefief pour le service français, édité par Gilles Trequesser
  3. Dom Le Trappeur

    Fret SNCF, la fin ?

    Pour la Direction SNCF depuis 1980 le trafic diffus de wagons de marchandises n'étaient pas rentable, la logistique non plus au début des années 90... La lecture de cet article est accablant...
  4. Deux solutions : -Gnafron vient de partir en exil sur l'Île d'Elbe avec Sarkozy... - Il négocie avec Hollande l'entrée de Boukistanais dans le 1er gouvernement Hollande... - Troisième solution, il a déménagé pour Henin-Beaumont - quatrième solution, il s'en fout , il est parti en vacances...sous le soleil du Boukistan !
  5. Pression des pro-libéraux-austérité Pasok et ND sur le Peuple Grec? La Gauche radicale grecque rejette de nouvelles tractations http://fr.news.yahoo.com/la-gauche-radicale-rejette-nouvelles-tractations-en-grèce-054207654--business.html ATHENES (Reuters) - Le chef de file de la Gauche radicale grecque,Alexis Tsipras, a refusé de participer lundi à des tractations de ladernière chance pour former un gouvernement d'union nationale en Grèce, ouvrant la voie à l'organisation probable de nouvelles élections législatives en juin. Après l'échec d'un premier round de négociations avec les dirigeants des sept partis ayant obtenu des représentants au parlement lors des législatives du 6 mai, le président grec Karolos Papoulias avait prévu de rencontrer à nouveau lundi soir (16h30 GMT) les dirigeants de quatre partis politiques. Mais l'une des formations, la Coalition de la gauche radicale Syriza, deuxième du scrutin du 6 mai et favorite pour la première place au parlement en cas de nouvelles élections, a refusé. "Alexis Tsipras ne participera pas à la réunion de demain", a dit Nikos Pappas, responsable du parti. En son absence, ce seront les chefs de file de Nouvelle Démocratie (droite), Antonis Samaras, du Pasok (socialiste) Evangelos Venizelos et du parti de la Gauche démocratique Fotis Kouvelis qui seront reçus normalement par le chef de l'Etat. C'est au président de convoquer de nouvelles élections s'il constate l'absence de solution pour former un gouvernement. L'hypothèse d'un nouveau scrutin anticipé est évoquée par la presse depuis plusieurs jours, à la date du 17 juin. Nouvelle Démocratie (ND), arrivée en tête des législatives, et le Pasok, troisième, ont signé le mémorandum fixant les conditions de l'aide de l'Union européenne, de la Banque centrale européenne et du Fonds monétaire international, tandis que Syriza y est opposé. "ROULETTE RUSSE" La Gauche démocratique, qui a obtenu autour de 6% des voix et 19 des 300 élus du Parlement lors des élections législatives du 6 mai, se dit elle prête à participer à un gouvernement de coalition mais à condition que Syriza en soit. "Un gouvernement qui ne garantit pas la participation du deuxième parti du pays n'aura pas le soutien populaire et parlementaire nécessaire", a dit son chef de file Fotis Kouvelis sur Antenna TV, quelques heures avant la tenue des tractations de la dernière chance. Le parti d'Alexis Tsipras est donné vainqueur d'un nouveau vote par tous les sondages avec un score en hausse de près de 10%, ce qui lui permettrait d'empocher en outre la "prime" de 50 élus promise au parti qui arrive en tête. Syriza se dit favorable au maintien de la Grèce dans la zone euro tout en rejetant le mémorandum et l'austérité qui l'accompagne, ce qui est intenable selon les partenaires européens d'Athènes. "Acropolis, Adieu! Pourquoi la Grèce doit quitter l'euro", clame cette semaine la "une" du très respecté magazine allemand Der Spiegel, rejoignant le choeur des personnalités économiques et politiques allemandes qui se demandent si la sortie de la Grèce de la zone euro n'est pas la meilleure solution. La Constitution ne fixe pas de date limite au président Karolos Papoulias pour tenter d'arracher un accord. Lui-même n'a donné aucune indication sur le temps qu'il prendra avant de demander de nouvelles élections, qui pourraient parachever le naufrage des conservateurs de Nouvelle Démocratie et des socialistes du Pasok. Les deux partis qui ont dominé la vie politique grecque depuis des décennies tablent quant à eux sur un sursaut des électeurs en leur faveur en cas de nouvelles élections, dans le but de sauver la place d'Athènes au sein de la zone euro. Selon un sondage publié par le quotidien To Vima, 78% des Grecs souhaitent que leur gouvernement fasse tout pour conserver la monnaie unique. Le journal de centre gauche Ethnos a estimé qu'avec son économie au bord du gouffre, la Grèce joue aujourd'hui à la "roulette russe". Lefteris Papadimas, Pierre Sérisier et Marine Pennetier pour le service français
  6. Sur la situation en Grèce... Grèce : vers de nouvelles élections législatives http://www.humanite....s-gauche-496404 Alexis Tsipras, coup de jeune et coup de pied dans le monde politique grec http://www.humanite....que-grec-496151 Grèce: Syriza, histoire de la coalition de gauche qui monte http://www.humanite....-monte-496055?x Syriza « Il faut une alliance de gauche, anti-austérité » http://www.humanite....ite »-496150?x Grèce : confusion à l'issue de la réunion destinée à former une coalition http://www.liberation.fr/monde/2012/05/13/grece-un-accord-aurait-ete-conclu-entre-trois-partis-pour-un-gouvernement-interimaire_818383
  7. Toute l'activité de Mélenchon comme député européen... ici : http://europe.jean-luc-melenchon.fr/
  8. Sarkozy va leur manquer… http://www.liberation.fr/politiques/2012/05/10/sarkozy-va-leur-manquer_817833 Par PASCAL BRUCKNER Philosophe Pour rassembler un peuple, disait Freud, il faut lui donner un objet d’exécration qui canalise sa rage. Nicolas Sarkozy a été pendant cinq ans l’ennemi intérieur de toute une partie de la France. L’animosité à son égard est allée d’emblée à la personne et à son physique et non au chef de la droite proprement dite. Est-ce sa morgue, son arrogance de classe, son mépris des faibles, son goût de la confrontation ? Toujours est-il que les humoristes ont raillé ses talonnettes, sa taille, ses amours contrariées, sa démarche chaloupée. Dans un Hexagone confit dans l’antiracisme de convenance, les moqueries envers sa petitesse ont constitué la seule exception permise. D’origine hongroise, un quart juif, Sarkozy avait toutes les caractéristiques du cosmopolite qu’on peut accabler parce qu’il n’est pas de chez nous. A son endroit, toutes les censures ont été levées, aucune discrimination n’avait d’importance. On l’a comparé aux pires personnages de l’histoire du XXe siècle, Pétain, Hitler, Franco, Mussolini et j’en passe. Mais en suscitant cette formidable acrimonie, il a sauvé aussi tout un pan de la presse et des médias. Sans lui, aucun des grands quotidiens et hebdomadaires de l’opposition n’auraient connu de tels tirages. Sur qui vont-ils s’acharner maintenant ? Comment un magazine tel que Marianne va- t-il survivre, privé comme il est de sa tête de turc favorite ? Sarkozy a fait plus fort : il a participé à la résurrection des morts. C’est grâce à lui, par exemple, qu’un philosophe comme Alain Badiou, inconnu du grand public, a pu émerger dans la lumière médiatique à partir de son pamphlet, De quoi Sarkozy est-il le nom, en 2007. Qui dit mieux ? C’est vraiment le retour de la Momie et il est à craindre là aussi qu’elle ne retourne dans ses bandelettes une fois l’ex-président oublié. Sarkozy a carbonisé ses supporteurs mais il aura été, depuis 2007, une véritable rente de situation pour les médias, la littérature, la philosophie, la sociologie, le journalisme, la bande dessinée. Son départ va s’apparenter pour tous ces secteurs en crise à un avis de banqueroute. En politique, la détestation est un ciment plus fort que l’amour. On tient à ses ennemis plus qu’à tout, ils sont la garantie or de votre existence. Combien vont se sentir orphelins en l’absence de leur croque-mitaine ? Ce président qu’on disait cliveur et diviseur a été en même temps un formidable facteur de cohésion. C’était par sa faute que tout allait mal en France, du chômage au dérèglement climatique. On l’a vomi avec une ferveur inégalée. Jamais François Hollande ne pourra rivaliser avec lui dans l’aversion. C’est pourquoi il tombe à point. Sous sa présidence, les Français vont comprendre qu’il n’est pas de sauveur ni de salaud suprême et qu’ils doivent seuls résoudre leurs problèmes, sans recours à un bouc émissaire. Il signe le retour au principe de réalité. Il devra rassembler non pas autour de la haine, mais d’un sursaut collectif. Si l’élection du candidat socialiste n’avait servi qu’à cela, elle serait déjà une œuvre de salubrité publique.
  9. Pas qu'au FN...d'ailleurs... mon brave Monsieur... Ma brave Dame... L'important c'est de se faire voir, d'être vu, qu'on parle de vous (mais pas de vos idées...) Au Front national, la méthode «bien bien démago» pour les «clients-électeurs» http://www.liberation.fr/politiques/06013326-fn-les-portugais-ca-vote-aussi
  10. Les lignes continuent de bouger en Grèce Réunion de la dernière chance dimanche en Grèce http://fr.news.yahoo.com/réunion-la-dernière-chance-dimanche-en-grèce-131800600.html ATHENES (Reuters) - Les chefs des trois principaux partis politiques grecs ont renoncé samedi à tenter de former un nouveau gouvernement d'union, laissant le soin au président Karolos Papoulias d'organiser une réunion de la dernière chance dimanche avant la tenue plus que probable de nouvelles élections législatives. Le chef du Parti socialiste (Pasok), Evangelos Venizelos, a remis dans la matinée son mandat au chef de l'Etat après avoir échoué, comme les dirigeants des deux partis arrivés devant le sien le 6 mai dernier, à former un gouvernement de coalition. Face à ce nouveau revers, le président a décidé de convoquer dimanche à 09h00 GMT Evangelos Venizelos, le conservateur de Nouvelle Démocratie Antonis Samaras et le leader de la Coalition de la gauche radicale (Syriza) Alexis Tsipras, tous trois sortis en tête des législatives. Karolos Papoulias recevra ensuite individuellement les chefs de file des petits partis qui ont obtenu des sièges au Parlement, dont les ultranationalistes de l'Aube dorée, précise la présidence dans un communiqué. En cas d'échec des consultations, ce qui est probable, de nouvelles élections législatives devraient être organisées à la mi-juin. Illustrant les maigres chances de voir l'initiative du chef de l'Etat aboutir, la Coalition de la gauche radicale a d'ores et déjà prévenu qu'elle ne changerait pas de position et qu'elle ne participerait pas à un gouvernement de coalition favorable au plan de sauvetage imposé par les créanciers internationaux de la Grèce. "Notre position ne change pas", a indiqué Panos Skourletis, porte-parole de Syriza. "Il est évident qu'il s'agit d'une tentative de former un gouvernement qui soutiendrait le plan de sauvetage. Nous ne participerons pas à ce type de gouvernement." "GOUVERNEMENT OECUMÉNIQUE" Lors de sa rencontre avec le chef de l'Etat, Venizelos a exhorté Karolos Papoulias à faire pression sur Tsipras afin de l'inciter à rejoindre un "gouvernement oecuménique". "Je l'ai proposé à M. Tsipras, je n'ai pas reçu de réponse positive", a dit le leader socialiste dont les propos ont été retransmis à la télévision. "Je pense que vous devriez concentrer vos efforts sur ce point lors des consultations." "Il y a des signes optimistes dans ce que vous me dites et j'espère que je pourrai contribuer à la formation du gouvernement, parce que la situation est plutôt compliquée", lui a répondu le chef de l'Etat. Un sondage publié samedi confirme l'avance de la Coalition de la gauche radicale dans les intentions de vote en cas de nouvelles élections législatives. Deuxième du scrutin dimanche dernier, avec 16,78% des voix, Syriza est confortée dans son intransigeance par les enquêtes d'opinion. Un premier sondage la hissait cette semaine à 27,7% des intentions de vote, un deuxième publié samedi confirme sa première place avec un score un peu moins élevé (25,5%). Un tel résultat permettrait à la Gauche radicale d'empocher, en plus des sièges attribués à la proportionnelle, la "prime" de cinquante élus garantie au premier parti pour favoriser, en théorie, la formation d'un gouvernement stable. Cela ne suffirait peut-être pas pour constituer un gouvernement rejetant l'austérité et les plans de sauvetage européens, mais cela écarterait encore un peu plus l'hypothèse d'une coalition permettant le maintien de la Grèce dans la zone euro. Les deux piliers de la coalition sortante, les conservateurs de Nouvelle Démocratie (ND) et les socialistes du Pasok, qui ont échoué à deux sièges de la majorité absolue dimanche (149 sur 300), voient aussi leurs intentions de vote augmenter (21,7% contre 20,3% pour ND et 14,6% contre 12,6% pour le Pasok) mais leur alliance se trouverait fragilisée par la perte de la prime de 50 élus. Tangi Salaün et Marine Pennetier pour le service français
  11. Le smic brut actuel est de 1393,82 euros le smic net 1094,70 soit 299,12 de cotisations sociales part ouvrière (salaire différé : maladie, retraite, famille...) Les cotisations sociales part entreprise sont calculées sur la base du smic brut : 1393,82 La proposition du FN smic brut 1393,82 smic net 1294,70 cotisations sociales : 99,12 au lieu de 299,12 Les 200 euros de différence pour la sécurité sociale seraient financés par l'impôt sur le revenu... un smicard avec une part est imposable... Aucune conséquence pour les cotisations sociales part entreprise dans l'esprit de FN part patronale... Aucune incidence sur les autres salaires et les grilles salariales (le FN préconise l'individualisation des salaires sans référence à des grilles salariales...) La proposition du Front de Gauche porter le smic brut de 1393,82 à 1700 euros en plusieurs étapes (sur 6 à 9 mois comme en 1968/1969) soit de porter le smic net de 1094,70 à 1334,50 euros (environ) et les cotisations sociales part ouvrière de 299,12 à 365,50 euros l'ensemble des salaires et des grilles salariales seraient adaptés en conséquence sur la base de cette valeur du smic. Les cotisations sociales part entreprise seraient calculés en fonction des augmentations et donc à terme sur la base des 1700 euros bruts du smic. La proposition finale du Front de gauche est de porter le smic net à 1700 euros (valeur 2012) soit environ 2165 euros bruts (à la fin du quinquennat :2017). Cherchez les différences, elles sont de taille...
  12. A lire avec attention , c'est plutôt intéressant... Adroite création d’un nouveau syndicat de magistrats Ca n’a pas traîné : quelques heures après la victoire de François Hollande, une pincée de magistrats triés sur le volet ont reçu, lundi 7 mai, un mail qui leur proposait de rejoindre un nouveau syndicat nettement marqué à droite, et qui ne cache pas ses « orientations affirmées, très clairement exposées ». Le syndicat, créé le 20 avril mais qui ne devrait publiquement voir le jour que début juin, a été baptisé « Magistrats pour la justice » (MPJ).... http://libertes.blog.lemonde.fr/2012/05/12/adroite-creation-dun-nouveau-syndicat-de-magistrats/
  13. A priori retour à la case "nouvelles élections" La parole au Peuple... Le Pasok échoue à son tour à former un gouvernement en Grèce ATHENES (Reuters) - Evangelos Venizelos, chef de file du Pasok arrivé en troisième position aux élections législatives du 6 mai en Grèce, n'est pas parvenu à former un gouvernement et remettra samedi son mandat au chef de l'Etat, a-t-on appris de sources proches de ce parti social-démocrate. Peu auparavant, son homologue de la Coalition de la gauche radicale (Syriza), Alexis Tsipras, qui a devancé le Pasok dimanche, avait exclu sa participation à un gouvernement dirigé par Evangelos Venizelos. "Ce n'est pas Syriza qui rejette cette proposition, c'est le peuple grec qui l'a fait en votant dimanche", a-t-il expliqué à l'issue d'un entretien avec le chef de file du Pasok. Renée Maltezou, Jean-Loup Fiévet pour le service français le système électoral Grec est différent du notre et il semble y avaoir une dose de proportionnelle et un bonus pour le parti arrivant en tête aux élections des députés.
  14. Tu crois qu'Assouan est intéressée ?...
  15. Je n'ai pas trouvé le texte complet du document pour l'instant (Journal Officiel) mais si j'ai bien compris il est possible qu'il s'agisse de la valeur d'achat des biens immobiliers et sa part personnel des SCI .
  16. Des difficultés à recruter ? Ô je suis presque sur, que certains, qui fréquentent ce forum, se sont porter volontaires sans nous le dire...chuuutttt... Allez pour une fois que ce n'est une émission ni trop bête ni méchante... et qui ne se moque pas des gens (dixit ma chère et tendre...)
  17. Un patrimoine de 1,18 million d'euros pour François Hollande http://fr.news.yahoo.com/un-patrimoine-1-18-million-deuros-pour-françois-061051386.html;_ylt=AvzOC_6Ju.OtUKb7n8X3FLL.fcl_;_ylu=X3oDMTNybDZzMW80BG1pdANKdW1ib3Ryb24gRlAEcGtnA2MxMTE3ZjVkLTQ2YmEtMzhmMy1hNzZmLTlkYzc4MjNkY2QzNQRwb3MDMgRzZWMDanVtYm90cm9uX2Nva2UEdmVyAzYzMTNiMjUwLTliMzYtMTFlMS1iZWZhLWQ5NDMzNDZhZTc0OA--;_ylg=X3oDMTFsdWZmZHBzBGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDBHBzdGNhdANhY2N1ZWlsBHB0A3NlY3Rpb25z;_ylv=3 PARIS (Reuters) - Le patrimoine du président français élu François Hollande, publié vendredi au Journal officiel, s'élève à environ 1,18 million d'euros. Le socialiste possède une maison à Mougins (Alpes-Maritimes) d'une valeur de 800.000 euros et deux appartements à Cannes, l'un de 230.000 euros et un autre de 140.000 euros. Il possède également des meubles d'une valeur totale de 15.000 euros. Dans cette déclaration de patrimoine, faite à Paris le 15 mars, on apprend par ailleurs que François Hollande, qui a contracté cinq prêts depuis 2000, doit rembourser plus de 255.000 euros à ses créanciers. Au titre de ses actifs, le président élu déclare une assurance-vie à hauteur de 3.550 euros et trois comptes courants, à la Banque postale et à la Société générale, sur lesquels sont répartis un peu plus de 8.000 euros. Le président du conseil général de Corrèze ne possède aucun bijou ou objet de collection, pas de voiture ni aucune valeur mobilière, cotée ou non en bourse. Le président sortant, Nicolas Sarkozy, dispose pour sa part d'un patrimoine d'environ 2,7 millions d'euros sous forme, pour l'essentiel, d'assurance-vie, d'après une déclaration publiée au Journal officiel fin mars. Tous les candidats à l'élection présidentielle doivent déposer au Conseil constitutionnel une déclaration de patrimoine en même temps que le dépôt de leurs parrainages mais seule celle du candidat élu est publiée. La loi fait également obligation au président sortant de publier l'état de son patrimoine à la fin de son mandat. Chine Labbé, édité par Patrick Vignal
  18. le plus petit salaire à la SNCF (24.427 euros) le salaire de pépy 250.000 euros annuels Le texte cité plus haut semble parler de salaire brut... (soit le salaire net + la part cotisation sociale salarié) donc 24.427/13 = 1879 euros bruts mensuels (13 = 12 mois + 1 PFA) soit à vue d'oeil 1200/1300 euros nets mensuels. Sous réserve de ne m'être point planté...
  19. Sur Gogol peut être ?... :Smiley_39:
  20. Comment sauver le soldat umpiste... Petit à petit, mais sûrement, le FN tombe le masque et se dévoile anti-social, pire que la droite sarkozienne... alors "vrai"-ment anti-système ? surtout sans toucher aux dogmes du libéralisme économique et du capitalisme... Mme Le Pen se dit prête à aider des députés UMP face au PS http://www.lemonde.f...tor=AL-32280515 Mme Le Pen veut profiter de son succès à la présidentielle pour porter des coups à l'UMP aux élections législatives. Dans un entretien à l'hebdomadaire de droite Valeurs actuelles du 10 mai, la présidente du Front national affirme qu'elle n'est pas "fermée" à des discussions "au cas par cas" avec des députés sortants UMP qui seraient opposés à la gauche dans des duels au second tour. "Nous regarderons la sincérité du candidat qui nous proposerait une telle 'entente'", déclare-t-elle. Dans un entretien au Figaro Magazine du 11 mai, Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, affirme, pour sa part, qu'"il n'y aura pas d'alliance ni de discussion avec les dirigeants du FN", et que, pour les candidats dérogeant à cette règle, le parti "en tirera toutes les conséquences". "Ils sont incohérents. Il faut qu'ils fassent une clarification idéologique", indique MmeLe Pen au Monde. En fait, elle voudrait que sur de grands sujets portés par la gauche - économiques, sociétaux, etc. -, l'UMP dise "clairement" sa position. MmeLe Pen, qui rejette tout accord d'appareil avec l'UMP, précise que les conditions de discussion avec ces élus "en rupture de ban avec l'UMP" seraient fonction de"leurs prises de positions, leurs actes et leur sincérité". "DICHOTOMIE ENTRE LA TÊTE ET LES JAMBES" La présidente du Front national veut pousser l'UMP au bout de ses contradictions, en soulignant une sorte de schisme entre une base "droitière", prête à s'allier ou àrejoindre le FN pour faire barrage à la gauche, et une direction opposée à cette idée. "La majorité des électeurs UMP n'est pas d'accord avec la majorité de ses dirigeants. Il y a une dichotomie entre la tête et les jambes qui ne peut plus durer", insiste Mme Le Pen. Elle ajoute : "Beaucoup de députés de base de l'UMP sont plus proches de nos idées que de celles de Nathalie Kosciusko-Morizet." Quelle sera l'attitude du FN là où des triangulaires seront possibles ? Mme Le Pen réaffirme sa volonté de se maintenir partout, sans fermer la porte à la possibilité, là encore, de "discuter" avec certains candidats de droite "s'ils rompent avec l'UMP"."Mon objectif est de peser avec des élus, et je suis quelqu'un d'ouvert. Mais je veux un rassemblement par la base", précise-t-elle. Et si Mme Le Pen affirme que, du côté du FN, "on n'approche personne", elle faitcomprendre néanmoins que des élus "de droite ou divers gauche" ont déjà frappé àla porte du parti. Avec la possibilité - suggère-t-elle - d'accords de désistement mutuel. Abel Mestre
  21. ELECTIONS Syndicales POUR LES SALARIÉS DES TRÈS PETITES ENTREPRISES La CGT part en campagne Dans les organisations territoriales et professionelles de la CGT, la campagne pour les premières élections de représentativité des salariés des Très Petites Entreprises commence à monter en puissance. Ce scrutin se déroulera du 18 au 22 nov 2012. Lundi 14 mai à 11h00, la fédération CGT du Commerce et des Services et la Confédération vont donner le coup d’envoi de cette campagne avec l’inauguration de ce site et le lancement du bus "Info-Droits" par Michèle Chay, dirigeante nationale de la CGT et secrétaire générale de la fédération CGT Commerce et Services Ce bus aux couleurs de la campagne TPE va sillonner la France du 14 mai au 11 juin pour rencontrer les salariés du particulier employeur (assistantes maternelles, aides à domicile, notamment). Tous les renseignements sur les étapes de ce bus sur www.commerce.cgt.fr. Lundi 14 mai, il sera stationné au pied de l’immeuble de la CGT au 20 avenue Benoît Frachon entre 8 heures et 16 heures. http://www.commerce.cgt.fr/spip.php?rubrique382
  22. Déclaration de la CGT Commission exécutive confédérale Place au changement par le progrès social mercredi 9 mai 2012 Une majorité de citoyens a élu un nouveau Président de la République le dimanche 6 mai 2012. La participation importante des électrices et électeurs témoigne de leur mobilisation pour intervenir sur les choix à venir. Le résultat de l’Election présidentielle exprime un « désaveu » pour Nicolas Sarkozy. Sa politique autoritaire et antisociale, son passage en force sur la réforme des retraites et sa façon de gouverner sont maintenant clairement sanctionnés. La CGT s’en félicite. L’influence des thèses racistes et xénophobes a été omniprésente tout au long de la campagne. La CGT poursuivra son combat contre la division, les idées d’extrême-droite et les discriminations, pour « le travailler et vivre ensemble ». L’élection de François Hollande est aussi l’expression d’une forte aspiration à un changement de politique économique et sociale. Elle s’était déjà exprimée dans les mobilisations sociales en 2009, 2010 et dernièrement lors du 1er mai 2012 contre les discriminations et pour la justice sociale. Un contexte, a priori plus favorable à la satisfaction des revendications, est créé. Il doit se traduire par des décisions nouvelles, propres à changer le quotidien des salariés, retraités et privés d’emploi, à donner confiance aux jeunes dans leur avenir alors que les exigences patronales et celles des marchés financiers sont toujours aussi présentes. L’intervention et l’action syndicale doivent être renforcées. Dans l’immédiat, tous les syndicats doivent refuser l’extension de la flexibilité exigée par le MEDEF au travers des accords dits « compétitivité emploi ». Un véritable changement passe par la création d’emplois, l’augmentation des salaires, la reconnaissance et la revalorisation du travail, de son contenu et de sa finalité, le développement des services publics sur l’ensemble du territoire, un haut niveau de protection sociale et une véritable politique industrielle. La réponse aux enjeux économiques et sociaux passe par une autre répartition des richesses au service du développement humain durable. L’avenir de l’Europe ne peut se construire par la mise en concurrence sociale et fiscale entre pays, il faut une Europe solidaire et sociale axée sur la croissance et la coopération et non sur l’austérité généralisée imposée à l’ensemble des salariés. La CGT continuera à être active pour le progrès social indispensable pour sortir de la crise et entend créer les conditions de l’action syndicale unitaire pour y parvenir. Dans cette situation nouvelle et ouverte, la CGT appelle les salariés, les retraités, les privés d’emploi à rester mobilisés, à s’organiser, à se syndiquer à la CGT pour poursuivre leur action au travail, dans la vie, dans la cité pour faire aboutir leurs revendications. Montreuil, le 9 mai 2012
  23. Manifestement tu es toujours de bon conseil pour éviter de t'attaquer à la question qui fâche... "allons voir si ça sent meilleur ailleurs..." Le problème, c'est que la politique (la vie de la cité, la vie des gens, la vie en société civilisée...) doit redevenir l'affaire des citoyens. A force de laisser ces questions entre les mains de politicards professionnels (souvent cumulards et affairistes la plupart du temps) voilà le résultat. Ils parlent de tout sauf de ce qui intéresse les gens (emplois, salaires et pensions, santé, retraites...) Ils mettent de l'huile sur le feu en pensant sauver leur petit cul et leurs petites affaires par des phrases assassines et fascisantes en divisant les gens et en créant des conflits là où il n'y en a pas... mais là où il y a du pouvoir, il y a de l'argent et on comprend mieux leurs intérêts et pourquoi ils s'accrochent.
  24. C'est aussi un peu du vent ... on parle de rémunération et non de revenus... (regardez la différence sur votre feuille de déclaration de ... revenus !) la position d'Hollande sur cette question est passablement molle... Concernant la question de la tranche des 75% d'imposition il existe (et existera) des solutions légales (parfois honnêtes d'ailleurs...) pour ne pas être concerné par cette mesure ...
  25. L'exemple même de la dérive ump... La maire UMP d'Aix demande au Conseil constitutionnel d'annuler la présidentielle http://fr.news.yahoo.com/maire-ump-daix-demande-au-conseil-constitutionnel-dannuler-165104145.html
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