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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. La pension est calculée - sur la base du nombre d'annuités réalisées (ta carrière professionnelle) sur le nombre d'annnuités nécessaires (pour les cheminots ça va passer de 37,5 à 41 dans quelques années) - de ton salaire liquidable (dernière position de rémunération acquise sur 6 mois) Or : l'âge d'entrée dans la vie active ne cesse d'être repoussée par le fait de la durée des études et de la difficultés à trouver un emploi voir du délai de recrutement (voir le fil à ce sujet) donc la durée des carrières réelles se réduit : 20 ans / 55 ans = 35 ans (sur 37,5 annuités nécesaires) 27 ans/57 ans = 30 ans (sur 40 annuités nécessaires...) Donc on peut craindre pour l'avenir... Nous sommes au coeur d'une campagne idéologique d'une ampleur sans précédent "travailler plus pour gagner plus..." " l'espérance de vie augmente..." Or la vraie question c'est le financement des retraites car la base de calcul (les rémunérations des salariés actifs) ne cesse de reculer par rapport aux richesses crées et aux profits dégagés par le travail des salariés... Faut-il une démonstration avec ce qui se passe avec la crise financière... Il n'empêche que la droite continue à vouloir casser le système de retraites par répartition (les cotisations des actifs paient les pensions des retraités actuels) pour imposer la retraite par capitalisation dont on voit les dégats actuellement aux USA : avec la crise financière , baisse du montant réel des pensions des retraités de 30 à 50% d'un coup (la crise a fait disparaitre 25.000 milliards de capitalisation et tous les fonds de pensions américains sont dans le rouge...) Maintenant humainement, individuellement et parce que la droite et le capital ont fait depuis 50 ans miroiter que le capitalisme allait permettre à tous de s'enrichir chacun individuellement sera tenter à partir de sa situation propre de "sauver sa peau" ou le peu qu'il lui en reste. On le voit déjà avec ceux qui sont tentés de faire une année ou deux de plus, de se lancer dans une CPA etc... Pas la peine de vraiment rechercher des motifs et des motivations. (que dire aussi de ceux qui continuent à partir sur les qualifs éxécution B et C... après 30/35 ans de carrière : 1200 euros...et encore) (Et oui tout le monde ne part pas à la position 35 (cadre) avec 3.000 euros de pensions voir plus...) ce qui resoort le plus c'est l'individualisation de la pensée et le recul d'un état d'esprit collectif et sociétal.
  2. Et le service minimum ... Il est où le service minimum ??? Tiens pourquoi les TGVA vers la Bretagne (leMans Nantes Rennes Brest Quimper) n'ont pas pris la ligne classique... ?? lotrela
  3. caisse d'épargne mon espoir ==>> crise financière
  4. plus de noisettes (pour l'hiver) ==>> écureuil mon ami
  5. mdrmdr Controverse après un vote des députés de droite sur l'âge de la retraite repoussé à ... 70 ans. Thierry Lévêque Un vote nocturne à l'Assemblée nationale entérinant la possibilité que la retraite soit repoussée à 65 ans dans le transport aérien et 70 ans dans d'autres secteurs suscite samedi les protestations de la gauche et des syndicats. UN VOTE DES DÉPUTÉS DE DROITE SUR L'AGE DE LA RETRAITE CRÉE LA POLÉMIQUE Les Verts et le PCF dénoncent un allongement insidieux de la durée légale du travail et en soulignent les risques pour la sécurité posés dans le transport aérien. Le gouvernement insiste de son côté sur le fait que la possibilité de partir à 60 ans si les 41 ans de cotisation sont réunis, demeure. Il ne s'agit à ses yeux que de permettre à ceux qui le souhaitent de travailler plus longtemps et de supprimer les mises à la retraite d'office à 65 ans. Ces nouvelles dispositions, ainsi qu'une extension de la possibilité de cumuler un emploi et une retraite, ont été votées par les députés de la majorité peu avant minuit, la veille du week-end de la Toussaint, dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). Ce projet doit encore faire l'objet d'un vote solennel le 4 novembre, puis passer devant le Sénat mi-novembre. Les dispositions prendraient effet en 2010. Dans le système actuel, les employeurs sont contraints à une mise à la retraite d'office à 65 ans maximum pour ceux qui refusent de partir. "L'âge de la retraite est insidieusement repoussé à 70 ans. Gageons que dans quelque temps, cette limite deviendra l'âge officiel de départ en retraite", a estimé dans un communiqué Martine Billard, députée des Verts. "L'équipe de Nicolas Sarkozy repousse insidieusement l'âge de la retraite à 70 ans. Comme pour le travail du dimanche, le pseudo-volontariat est avancé pour justifier ce scandale", a estimé de son côté le Parti communiste. Le PCF estime que les futurs retraités dont les revenus sont faibles n'auront guère le choix. Il remarque que les députés n'ont pas fait de différence suivant la pénibilité des métiers. Le PS, principal parti d'opposition, n'avait pas encore réagi samedi en milieu de journée. GRÈVES À AIR FRANCE EN NOVEMBRE ET DÉCEMBRE Les pilotes de ligne gardent le droit de partir en retraite à 60 ans, mais ils pourront aller jusqu'à 65 ans s'ils le veulent, avec la condition qu'un seul des deux pilotes d'un vol de ligne pourra avoir plus de 60 ans, ont décidé les députés. Le SNPL, principal syndicat de pilotes, a lancé un mot d'ordre de grève pour la période au 14 au 17 novembre. Les hôtesses et stewards, qui partent actuellement en retraite à 55 ans, pourront aussi aller jusqu'à 65 s'ils le veulent, ont dit les députés. Mais surtout, l'allongement de la durée de travail devient pour eux quasi-automatique de 55 ans à 60 ans s'il peut leur être proposé un reclassement au sol. Huit syndicats d'hôtesses et de stewards d'Air France -la CFDT-PNC, la CFTC, FO, le SNPNC, SUD aérien, l'UGICT-CGT, l'UNAC et l'UNSA) ont repoussé samedi à la période du 5 au 8 décembre une grève annoncée initialement du 4 au 8 novembre, a-t-on appris auprès de Martial Barbara, de SUD aérien. L'objectif est de "mettre la pression sur les sénateurs", a-t-il expliqué. Les syndicats soulignent par ailleurs les problèmes de pénibilité et de sécurité que poserait selon eux le maintien en activité de personnels navigants âgés. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a défendu la réforme sur France Info samedi. "Il faut aujourd'hui considérer que nos sociétés évoluent, on vit de plus en plus longtemps, il faut aussi que nos règles évoluent", a-t-il dit. Il a pris pour exemple l'entraîneur de football Guy Roux, empêché un temps de poursuivre sa carrière en raison de la limite d'âge, avant de pouvoir poursuivre brièvement au début de la saison 2007-08. Il avait temporairement pris les commandes du RC Lens, avant de jeter l'éponge au bout de quelques semaines. Le ministre a aussi cité le cas du professeur Luc Montagnier, parti selon lui aux Etats-Unis car atteint par la limite d'âge. Prix Nobel 2008 de médecine, Luc Montagnier, 76 ans, a certes participé à la création de sociétés aux Etats-Unis mais aussi en France. Il est professeur émérite à l'Institut Pasteur et directeur de recherches honoraire au CNRS. Thierry Lévêque
  6. http://www.teamcostes709.fr/ Ce sera plus simple avec un lien direct
  7. http://www.cheminots.net/forum/index.php?a...st&id=10838 A l'instant sur le forum : communiqué de presse CGT sur le 6/11 RH-Fret-dialogue social
  8. Personne n'a le relevé de conclusions de la DCI ?
  9. Juste un truc : si il y a appel à la grève pour le 6 c'est qu'un préavis de grève a été déposé dans les délais légaux si un préavis a été déposé c'est qu'il y a eu auparavant négociations entre la ou les OS ayant déposé cette DCI et la Direction ... donc il y a eu négociations sur les points de la DCI mais ces négociations ne semblent avoir rien donnéés : quelqu'un a-t-il le relevé de conclusions de cette DCI (Demande de Concertation Immédiate) ?
  10. Tes réponses sont intéressantes mais tu conditionnes l'avenir du syndicalisme et son éventuelle reconstruction unitauires aux évolutions politiques de la gauche de la gauche. Ce ne sera jamais à mon avis suffisant pour résoudre le dilemme actuel.
  11. Cadencement : le grand retour des 5300 sur Rambouillet Montparnasse en heures de pointe... (les 27300 et VB2N sont affectées sur Plaisir -Dreux et Mantes en totalité en heures de pointe... Sur Rambouillet le cadencement ne va quasiment rien changé : un omnibus au quart d'heure le cadencement sur Chartres Paris étant déjà en place par contre pas sûr que la qualité suive : temps de parcours réduit temps de ccrochet (retournemùent en terminus) plus court On revient à la situation de 90 qui s'était soldée par une catastrophe en terme de régularité (et avait été abandonné dès 1992: Les temps de crochets (arrivée -départ) sont parfois réduit au minimuml 7 ou 8 minutes entre l'arrivée et le départ (actuellement environ 20/22 minutes) donc impossible de récupérer un retard éventuel à l'arrivée.
  12. un ==>> par ... un... Histoire de faire avancer le schmilblick...
  13. 8 femmes (le film...) ==>> 8 hommes
  14. mer ==>> baltique
  15. bleues ==>> couleur iroise
  16. Tu as raison Audrey. Voila le fond du problème aujourd'hui. Il nous faut reconstruire des perspectives et un projet face à ce qui nous tombe sur le coin de la figure depuis quelques dizaines d'années mais plus particulièrement depuis 7 ans... et qui se traduit aujourd'hui par une crise financière gigantesque d'un côté et de l'autre une recomposition, restructuration des entreprises ( plus particulièrement la notre...), et une explosion de nos statuts et de nos droits sociaux. La question qui est posée non seulement aux responsables et militants syndicaux mais plus largement à tous les adhérents des syndicats mais encore plus largement aux salariés, c'est la question de l'unité syndicale mais pas seulement en terme d'intersyndicale. La réforme de la représentativité (la loi de 1963 ne correspond plus à rien aujourd'hui par rapport aux réalités) peut être l'occassion de créer les conditions de véritables rapprochements entre les différentes organisations et ce en dépassant les querelles de clochers et les intérêts personnels. Mais pour cela il faut ôter nos oeillères et élever notre regard vers un nouvel horizon. Les salariés ont besoin d'une perspective syndicale neuve (ça ne veut pas dire que tous l'attendent ou la souhaitent...). Mais face au rouleau compresseur du patronat, de l'UMP et la droite, mais également de la sociale-démocratie, pour ne serait-ce que résister il faut être uni et pour avancer il faudra être encore plus fort. Et on voit la difficulté dans laquelle se trouvent les salariés : des forces syndicales faibles, dispersées, qui passent plus de temps à s'opposer qu'à se rassembler et à agir, des mobilisations difficiles (on le constate face à la crise, sur la questions des salaires, des retraites, de l'emploi...) une communication totalement inaudible malgré des propositions novatrices sur la crise financière par rapport au discours officiel relkayé par les médias aux ordres. Pour moi, le fait que certain syndicats se posent la questions de rapprochement (dans le cadre de la réforme de la représentativité) est une bonne chose en soit mais il est dommage que les plus grands syndicats (CGT CFDT SUD FO CFTC, FSU, UNSA...) ne se posent pas, ne posent pas à leurs adhérents et aux salariés la question en grand (on est à un mois des élections prud'hommales c'est vrai...) Un grand syndicat :ça n'empêcherait pas de défendre les spécificités, les aspects particuliers, les besoins propres de chaque catégorie, tout en s'inscrivant dans la défense des intérêts de tous et du plus grand nombre, en particulier de ceux qui travaillent par millions dans des petites boîtes du privé et qui eux et elles sont souvent sans droits, sans liberté. Alors que la fgaac s'adosse à la CFDT pourquoi pas : c'est un premier pas, un rapprocghement Unsa, CFTC, CGC pourrait en être un autre... Il y a des convergences très fortes entre la CGT et la FSU et je ne désespère pas de FO et SUD pour créer les conditions d'un rapprochement unitaire...
  17. Jardin ===>> anglais
  18. Thé pas folle... aux filles
  19. Le dessin du jour :
  20. http://www.dailymotion.com/video/kQzCLzHzP4lS6qOuxA Le Clip qui déchire
  21. http://www.europe1.fr/popup/reecoute/(idco...dsequence)/1119 chroniques de Bonnaud sur Europe1 à 13h10 du 21 octobre dernier. Il a ressortit un discours de 2006 du candidat Sarko de retour d'un voyage aux Stades et ventant les mérites du système de crédit américain. Un moment de pur bonheur.
  22. Livret A : la droite embarrassée, la gauche crie au scandale Frédéric DUMOULIN et Samir TOUNSI Imprimer La baisse probable du taux de rémunération du Livret A a plongé mercredi les députés de droite dans l'embarras voire la colère, tandis que la gauche était vent debout contre une mesure "scandaleuse" dans un contexte de crise. Dès la matinée, le patron du PS François Hollande a jugé qu'une telle baisse du taux de rémunération à 3,5%, voire 3%, en février -contre 4% actuellement- serait "inopportune économiquement et choquante socialement". Le porte-parole du gouvernement Luc Chatel a tenté d'éteindre l'incendie en expliquant à la mi-journée que, "compte tenu de la conjoncture actuelle", il était trop tôt pour déterminer si le taux baissera effectivement, mais les dégâts étaient déjà faits dans les couloirs de l'Assemblée. "C'est un scandale sans nom", a dénoncé le député Maxime Gremetz (PCF). "On fait payer les millions de petits épargnants, qui se sont rabattus sur ce qu'il y a de plus sûr, le Livret A. Ce sont les banques qui ont spéculé et ce sont les Français qui paient". En écho, son collègue PS Henri Emmanuelli s'est "demandé si on n'est pas en train de faire payer aux épargnants les prodigalités des pouvoirs publics". Allusion au plan de sauvetage, qui garantit les banques, à hauteur de 360 milliards d'euros. Proche de Ségolène Royal, Jean-Louis Bianco (PS), a lui aussi mis en garde le gouvernement: "c'est choquant sur le plan social et dangereux sur le plan économique et psychologique". A gauche, seul Didier Migaud, président PS de la commission des Finances, estime que "si l'inflation baisse, on peut concevoir que la rémunération du Livret A baisse". Mais, à droite aussi, cette baisse programmée -qui doit encore être confirmée- embarrasse. Les plus libéraux l'ont cependant justifiée au nom des règles économiques. Ainsi François Goulard (UMP, villepiniste) "entend déjà les démagogues dire l'inverse mais aujourd'hui, l'économie a besoin qu'on baisse les taux". C'est "un simple mécanisme d'adaptation sur l'inflation", avance Charles de Courson (NC). "Les gens peuvent comprendre cette mesure. Le Livret A reste une bonne affaire... Dans un univers où l'on considère que l'économie, c'est de la magie, cette baisse n'est pas justifiée. Mais j'ai le péché de penser que l'économie, ce n'est pas de la magie", a ajouté Hervé Mariton (UMP). A l'inverse, Maurice Leroy (NC) "trouve cela indécent". "Ce n'était pas le moment ! C'est un mauvais signal donné à la population", a renchéri Bernard Debré (UMP). Même son de cloche chez Pierre Lellouche qui, "choqué", dénonce une mesure "pas très habile politiquement". "Alors que les banquiers ont multiplié les erreurs, cette mesure va toucher les gens modestes", a-t-il lancé, en jugeant qu'il est "plus que temps que le groupe UMP s'empare de la question de la crise". "Ca concerne aussi les députés, pas seulement l'exécutif !", a-t-il tempêté. Président UMP de l'Assemblée, Bernard Accoyer a estimé sur LCI que le livret A resterait "l'un des tout meilleurs placements".
  23. infractions ==>> diffraction
  24. Mattrach virtuose de la guitare : http://www.youtube.com/watch?v=eCMSydlCNhA
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