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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. COMPTE RENDU DE LA REUNION BILATERALE DIRECTION / CGT SUR LA GRILLE SALARIALE DU 07 JUILLET 2008 2008_07_21_cgt_fede_08.07.08_CR_bilaterale_Direc_CGT_grille_salaires_du_7_juillet.pdf
  2. Prière de ne pas confondre la fabuleuse Saucisse de Molène (viande de porc et algues inclues, avec un soupçon d'embruns de Mer d'Iroise par grand frais) et la Vraie de Vraie Merguez (boeuf et/ou mouton)... http://monsite.wanadoo.fr/charcuterieleon/page4.html
  3. Cliquez sur "mon assistant" (en haut de la page à droite...) pour avoir quelques infos ...
  4. Chacun comprendra qu'il s'agit là d'un sujet sensible chez nos Camarades Cheminots et que nous avons un rôle primordial à jouer pour défendre cette revendication essentielle... France : la merguez doit contenir exclusivement de la viande de bœuf et/ou de mouton Par Zigonet Zigonet.com -France – Selon la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), 53% des merguez vendues en France contiendraient de la viande de porc. Telles sont les conclusions d’une enquête nationale menée en 2007 par la DGCCRF sur le territoire français. L’année passée, 206 établissements produisant des merguez ont été contrôlés, et ce, dans 52 départements. Sur les 181 échantillons analysés, 96 contenaient de la viande de porc (53 %). Pour 20% d’entre eux, la quantité de viande de porc dans le produit s’élevait à plus de 6%. Selon le code des usages de la charcuterie, la merguez doit contenir exclusivement de la viande de bœuf et/ou de mouton. De nombreux professionnels utiliseraient intentionnellement de la viande de porc dans les merguez qu'ils fabriquent, cette viande étant meilleur marché que le bœuf ou le mouton Titre modifié le Dimanche 26 juillet 2008 à 20h24
  5. Moins de 24h après le vote... Après avoir brasser du vent, on commence à s'occuper du contenu du texte et là il y a comme qui dirait du ...vent... Institutions: avantage à la majorité UMP, sous contrôle de l'exécutif Par Béatrix BACONNIER et Frédéric DUMOULIN AFP - La réforme des institutions visant à rééquilibrer les pouvoirs devrait surtout profiter aux groupes majoritaires des deux chambres, actuellement l'UMP, mais n'empêchera en rien l'exécutif de garder la haute main sur le Parlement. Le patron des députés UMP, Jean-François Copé, ne s'en cache pas: lui qui revendique depuis des mois la "coproduction législative" estime être le grand gagnant de la réforme. "On a toutes les cartes en main pour faire un travail fantastique", jubilait-il, après l'adoption ric-rac de la révision constitutionnelle, dont les principales mesures entreront en vigueur en mars 2009. Et de citer trois modifications "majeures": ordre du jour partagé, examen en séance publique des textes de loi amendés par les commissions et contrôle de l'action du gouvernement. "Pour l'exécutif, il va falloir plus argumenter et convaincre que faire acte d'autorité" sur la majorité, estime le constitutionnaliste Didier Maus. Mais pour son collègue Dominique Rousseau, la réforme renforce le "pouvoir présidentiel" et constitue non pas "un pouvoir gagné par le Parlement, mais un pouvoir supplémentaire" pour les députés UMP. Certains, d'ailleurs, à l'UMP, grincent des dents: "le pouvoir va passer au groupe", redoute un responsable du parti. Sous-entendu: M. Copé aura plus d'influence que Patrick Devedjian. "D'où l'intérêt porté par Nicolas Sarkozy aux députés UMP", déclarait récemment M. Rousseau à Libération. Pour Nicole Borvo (PCF) il n'y a que "propagande" sur l'ordre du jour car "c'est un partage qui n'est pas à 50-50 entre majorité et opposition". Qui plus est, certains verrous sont maintenus qui permettent à l'exécutif de reprendre la main. Il a en effet toujours les moyens de bouleverser l'ordre du jour à son profit. Cela n'a pas échappé aux sénateurs: Jean-Jacques Hyest (UMP) a évoqué "des garanties très insuffisantes" et "de nombreuses possibilités d'empiètement" pour l'exécutif. Par ailleurs, le travail en commission se fait aujourd'hui sans les ministres. Cela offre une certaine liberté aux parlementaires, à l'origine d'"amendements d'appel", qui font, certes, souvent long feu. Or, avec la nouvelle donne, "on ne peut pas imaginer qu'un texte arrive en séance sans que les ministres aient dit ce qu'ils en pensaient" en commission, prévient Roger Karoutchi (Parlement). Pour l'initiative des lois, "la pratique ne devrait pas changer, 98% des textes resteront d'initiative gouvernementale", prédit un expert à l'Assemblée. Calculette en main, Jean-Claude Sandrier (PCF) affirme que l'opposition et le Nouveau Centre (NC) vont passer "de 3% à 7,5%" de temps de débat incluant les propositions, les résolutions et le contrôle. De toute façon, l'UMP "refuse toujours" de discuter les textes de la gauche, note-t-on au PS. Autre hic, les textes d'initiative parlementaires, même votés par une chambre, ne seront pas automatiquement inscrits, contrairement au souhait du Sénat, à l'ordre du jour de l'autre, condition sine qua non pour une adoption définitive. Quant au contrôle, reste à savoir si la majorité s'en saisira pleinement alors qu'elle ne le fait pas aujourd'hui, tout en en ayant déjà les moyens.
  6. Rien que le nom de l'auteuir ça refroidit... Tu me diras : commences à faire chaud... Ouai mais ça sent le coup de bambou là...
  7. Sur les pas de Geronimod e Corine Sombrun et Harlyn Geronimo [biographie] Editeur : Albin Michel Publication :2/5/2008 Combattant légendaire, Geronimo (1829-1909) fut l'un des derniers chefs indiens à déposer les armes après avoir tenu en échec près de la moitié de l'armée des Etats-Unis. Malgré les promesses qui lui ont été faites, il ne reverra jamais sa terre natale : les restes du vieux guerrier Chiricahua seront ensevelis dans le cimetière militaire de Fort Sill, en Oklahoma. Aujourd' hui, Harlyn Geronimo, son arrière-petit-fils, engagé dans la défense des droits de son peuple, continue de se battre pour honorer la mémoire de son aïeul et pour que soit réalisé son ultime souhait. Né de la rencontre entre une Française, Corine Sombrun, et Harlyn Geronimo, ce livre présente le portrait croisé du héros indien et de son descendant. Au fil d'un voyage vers la Gila River, mêlant le récit intime et l'histoire d'un peuple, les auteurs évoquent la 'mémoire apache' mais aussi les défis auxquels cette communauté doit faire face de nos jours.
  8. "La laïcité expliquée à M. Sarkozy... et à ceux qui écrivent ses discours" Jean Bauberot S'il y a un intellectuel français non suspect de rage laïcarde, qui peut juger en toute lucidité les déclarations de Nicolas Sarkozy sur la laïcité, c'est bien Jean Bauberot, devenu au fil du temps le grand spécialiste de la question. Il s'est en effet toujours distingué par son approche non dogmatique: au-delà des principes républicains et de l'exception française, il est partisan d'une application souple et pragmatique, qui pourrait s'inspirer ici et là de pratiques ayant fait leurs preuves à l'étranger, par exemple au Québec, qu'il a beaucoup étudié, et qui se trouve à la jonction entre les visions française et anglo-saxonne de la laïcité. Or, cet observateur impartial, prié par "Les Inrockuptibles" de noter les discours litigieux de Nicolas Sarkozy, celui du Latran et celui de Riyad, leur a donné respectivement 3/20 et 5/20. Et, sur son blog très visité, il a analysé en quoi ces prises de position représentent une rupture gravissime avec une tradition d'équilibre qui, bon an mal an, faisait fonctionner la République, et induisent toute une vision tronquée de la laïcité. Il y a danger, dit-il sans ambages, et même sur un ton persifleur qu'il semble assumer avec humour. Jean Bauberot, né en 1941, haute figure du protestantisme français, historien et sociologue des religions, est titulaire de la chaire d'histoire et sociologie de la laïcité depuis 1991 à l'Ecole pratique des hautes études (EPHE), dont il est président d'honneur. On lui doit une vingtaine d'ouvrages, dont une "Histoire de la laïcité en France" (Que sais-je? PUF). Il convient d'ajouter ­et ceci explique-t-il peut-être cela- qu'il a été aussi conseiller de Ségolène Royal (1997-1998) et membre de la Commission Stasi sur la laïcité dans la République (2003), dont il fut le seul membre à s'abstenir sur le rapport final.. Ed. Albin Michel (262 pages; 16 euros) http://jeanbauberotlaicite.blogspirit.com/ http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Baub%C3%A9rot
  9. Je te conseille (que tu aies raison ou tort, je ne prends pas parti) de tout noter par écrit en ordre chronologique pendant que tu as tout en mémoire : les lieux, le moment, les paroles (les tiennes, ta femme, les interlocuteurs), les gestes, les gens présents (qui auraient pu entendre ou intervenir etc...) etc... et ceci du début à la fin de l'incident pour ce qui te concerne. et conserves le document. Vu comment les choses tournent en ce moment sur les questions disciplinaires. Surtout qu'ils vont te sortir le code de déontologie interne de la direction sncf (qui a ma connaisance n'a jamais fait l'objet d'une négociation dans l'entreprise). Ceci étant si sanction il y a tu pourras également toujours la contester devant un tribunal mais il faudra avoir des billes et des preuves... Si tu es convoqué par ton DET ou représentant par rapport à cette question fais toi accompagné par un délégué ou un collègue (toujours avoir un témoin) Attention enfin aux procédures disciplinaires : on sait comment ça commence : un 7P1 (demande d'explication) on ne sait jamais comment ça finit : de l'avertissement à la radiation...
  10. petit exercice 1/ soit 1 litre d'essence à 1 euros sur lequel on prélève des taxes appelons les TIPP/TVA de 50 % : cherchez le montant en euro de cette taxe 2 /soit 1 litre d'essence à 1,50 euros sur lequel on prélève des taxes appelons les toujours TIPP/TVA de 50% : cherchez le montant de cette taxe en euro. Que constatez-vous...? merci de rendre vos copies rapidement vous pouvez utiliser la calculatrice de votre ordinateur... Pour ceux qui sont doués, cherchez sur internet le montant réel de la taxe TIPP et décortiquez les notions de Tipp fixe et Tipp flottante...
  11. y compris les riches qui arrivent à ne pas payer d'impôts sur le revenus grâce aux fameuses niches fiscales et exonérations fiscales et pour ceux qui en payent ils arrivent à se faire rembourser grâce au fameux paquet fiscal de l'été 2007...
  12. et la TIPP, la célèbre TIPP...
  13. L'une des revendications populaires depuis de nombreuses décennies est l'instauration d'un référendum d'initiative populaire Que trouvons nous dans le projet de réforme de la constitution présenté à l'initiative du Président de la Rpublique : À L’ARTICLE 11 (référendum) : Le président peut soumettre au référendum toutes réformes relatives à la politique « environnementale ». Un référendum peut être « organisé à l’initiative d’un cinquième des membres du Parlement, soutenue par un dixième des électeurs inscrits sur les listes électorales ». Une loi détermine « les conditions de sa présentation ». « Si la proposition de loi n’a pas été examinée par les deux assemblées dans un délai fixé par la loi organique, le président de la République la soumet au référendum. » Commentaire. C’est le fameux référendum d’ « initiative populaire », bien mal nommé, puisqu’il est en fait « organisé à l’initiative d’un cinquième des membres du Parlement ». Même « soutenue par un dixième des électeurs » (soit plus de quatre millions), la proposition de loi devra d’abord être soumise au Parlement, qui pourra la rejeter, et l’épisode sera clos. C’est seulement au cas où le Parlement « oublierait » de s’en saisir que le référendum aurait lieu, c’est-àdire une possibilité quasi nulle.
  14. En attendant, on ne parle pas beaucoup du fond de cette réforme constitutionnelle... mais le marchandage et les petits compromis en disent long... Réforme des institutions: ultimes pressions sur les récalcitrants, l'exécutif confiant Par Frédéric DUMOULIN - PARIS (AFP) - A la veille du Congrès, ce week-end était le théâtre d'ultimes pressions sur les élus récalcitrants, selon les intéressés, de la part de la majorité et de l'exécutif qui, en privé, se montrent désormais raisonnablement confiants sur l'adoption de la réforme des institutions. Si Nicolas Sarkozy n'est pas à l'abri, lundi, d'un rejet du texte, qui constituerait un revers personnel, l'UMP et le gouvernement s'emploient en tout cas à maintenir jusqu'au bout le suspense pour ne pas démobiliser les parlementaires de la majorité, pour certains peu enthousiastes à l'idée de voter cette révision constitutionnelle, la 24e depuis 1958. La plupart des responsables de droite se relaient dans les médias pour affirmer que le scrutin se jouera à quelques voix près, situation inédite. La réforme doit être votée aux 3/5e des suffrages exprimés (60%) des députés et sénateurs réunis en Congrès à Versailles. "C'est bon, ça passera. Le plus dur est derrière nous", assurait samedi un ministre. Un responsable UMP affirme même qu'au final, le oui disposera d'une majorité "supérieure à 10 voix". Après le ralliement symbolique de Bernard Debré, fils du père de la Ve République, le camp des oui s'est agrandi samedi de deux députés villepinistes, Georges Tron et Hervé Mariton, qui refusent de participer à un "piège pour la majorité". Dans un entretien au JDD, François Fillon affirme qu'il ne s'estimerait pas "désavoué" par un rejet de la réforme, excluant donc implicitement de démissionner de Matignon dans cette hypothèse. "Je serais désavoué si j'étais désavoué par la majorité. Ce qui ne sera pas le cas (...) Avec Nicolas Sarkozy, nous aurons fait tout ce qui est en notre pouvoir pour assurer la réussite" de la réforme, ajoute-t-il en prenant bien soin de souligner: "cette réforme nous est totalement commune". Selon certains députés, joints par l'AFP, le chef de l'Etat appelle lui-même, depuis Marrakech où il se repose jusqu'à dimanche, les derniers hésitants, tentant aussi sa chance auprès de ceux qui sont considérés, à l'UMP, comme "irrécupérables". "Aux uns on a promis des secrétariats d'Etat, aux autres des avantages pour leur circonscription, d'autres encore ont été menacés d'un redécoupage leur faisant perdre leur siège. On a distribué carotte et bâton. Ce chantage s'est fait à ciel ouvert", dénonçait samedi dans Le Parisien François Bayrou (MoDem). "C'est du jamais vu !", renchérit le député chiraquien Henri Cuq. Evoquant des "appels" fréquents, la députée MPF Véronique Besse, qui entend toujours voter non, se dit "admirative" de ses collègues UMP "qui résistent encore": "on me demande ce que je veux", "on me demande si une mission sur la famille me ferait plaisir, en me disant qu'on s'arrangera sur les conditions" financières. Au-delà de la droite, alors que le camp des non devrait faire le plein au PS, au PCF et chez les Verts, les efforts se concentrent sur les centristes, les radicaux sans oublier les élus des DOM-TOM. "Difficile pour un élu domien, y compris de gauche, de résister au rouleau compresseur du gouvernement qui lui promet des kilomètres de bitume dans sa circonscription enclavée !", déclare une source socialiste. "C'est une semaine qui risque de coûter cher aux finances publiques...", persifle un parlementaire UMP, "atterré" par de tels "marchandages" pour une réforme "qui ne mérite pas tant d'énergie".
  15. Douce France ... Sans-papiers: la révolte des serfs contre leur châtelain http://www.rue89.com/2008/07/19/sans-papie...-leur-chatelain
  16. Je vous propose quelques liens sur le sujet qui fait débat en ce moment, si vous avez des liens intéressants, merci de les mettre dans ce fil : La constitution actuelle: http://www.assemblee-nationale.fr/connaiss...sp#preambule_46 Décryptage du projet http://www.humanite.fr/Le-projet-de-reforme-decrypte Ségolène Royal http://www.desirsdavenir.org/segolene-roya...lise/20-07-2008 UMP - Interview Sarkozy au Monde http://www.u-m-p.org/site/index.php/ump/s_...in_du_staut_quo Agoravox http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=42397 De nombreux autres liens en bas de cette page d'Agoravox
  17. Heureusement que tu tapes lentement parce que si tu tapais ... fort... Ceci dit tu peux toujours ouvrir un nouveau topic... sur la base de ta réponse. Normalement il ne devrait pas être dressé au pilori ni guillotiné...
  18. jument ==>> Bourin
  19. 548.000 déclarations imposables* à l'impôt de solidarité pour 3.750 millions d'euros encaissés par les fisc soit 6.843 euros en moyenne par déclarations imposables... Pas à dire la France est un pays pauvres... (de mémoire 27.000.000 de déclarations sur le revenus dont 50% imposables en france) Première baisse des recettes de l'ISF depuis 2004 PARIS (Reuters) - Le rendement de l'impôt de solidarité sur la fortune a baissé de 5,3% cette année, à 3,75 milliards d'euros hors contrôle fiscal, alors que le nombre d'assujettis progresse d'un peu moins de 6% par rapport à la même époque de 2007, selon un premier bilan de la campagne 2008 communiqué samedi par le ministère du Budget. "Le nombre de déclarations imposables à l'impôt de solidarité sur la fortune s'établit à ce jour à plus de 548.000 et le montant de l'impôt total s'élève à 3.750 millions d'euros", précise le ministère dans un communiqué, confirmant des informations du Figaro. Le journal souligne qu'il s'agit de la première baisse depuis 2004 du rendement de cet impôt qu'il qualifie d'"enfant terrible et tabou de la fiscalité française". A la même période de 2007, le premier bilan du ministère du Budget faisait état de 518.000 foyers redevables de l'ISF, un chiffre en hausse de 17%, pour un montant de 3,96 milliards d'euros (+22%). Les données publiées samedi ne sont pas définitives puisqu'elles n'intègrent pas les contribuables à l'étranger, qui disposent d'un délai supplémentaire pour faire leur déclaration. En France, la date limite était le 15 juin. "Le montant des encaissements d'impôt de solidarité sur la fortune pour l'année 2008 sera, compte tenu des recettes encore attendues, conforme à la prévision de recettes en loi de finances initiales", souligne le ministère. BAISSE "SPONTANEE" EN 2009 A l'automne 2007, au moment de la discussion au Parlement du budget 2008, le gouvernement tablait sur une croissance spontanée des recettes de l'ISF de 10%, rappelle Le Figaro. Mais compte tenu des effets de la loi Tepa votée à l'été 2007 (augmentation de l'abattement sur la résidence principale, réduction de l'impôt en cas d'investissement dans une PME), la direction de la législation fiscale avait calculé que le rendement de l'ISF baisserait finalement de 5%, avec un manque à gagner de 660 millions d'euros. "92.000 redevables ont en effet bénéficié des réductions d'impôt pour investissement dans une PME ou pour don à un organisme d'intérêt général, pour un montant total de 656 millions d'euros, après application des plafonds de réduction", confirme le ministère en ajoutant qu'un bilan complet sera établi d'ici la fin de l'année. Au total, la seule réduction de l'ISF au titre des dons et des investissements réalisés dans les PME a permis de générer plus d'un milliard d'euros de versements (480 millions au titre des souscriptions directes au capital des PME, 450 millions via des holdings ou des fonds et 50 millions au titre des dons), précise le communiqué. Selon le Figaro, le fait que l'ISF "ne baisse ni trop, ni trop peu (est) ce qui pouvait arriver de mieux dans le contexte actuel de flambée des étiquettes et de baisse du pouvoir d'achat". "Comme les recettes ne baissent que très légèrement, l'électorat de droite va avoir le sentiment que le gouvernement, à défaut de supprimer cet impôt, est intervenu pour le canaliser", analyse un expert des questions fiscales cité par le quotidien. "Ces premiers résultats seront certainement critiqués par la gauche, mais beaucoup moins que si le rendement avait été en chute libre". Selon le journal, il est peu probable que le budget pour 2009 contienne de nouvelles mesures ISF. "Avec la dégringolade des marchés financiers et la baisse de l'immobilier, beaucoup de redevables vont voir leur ISF baisser 'spontanément'", explique-t-il. Véronique Tison
  20. capsule ==>> fusée
  21. PPPfffffuuuuuuuuuuuuiiittttttttttttttttttt... Suivez mon regard, les yeux levés vers le plafond... Créer un fonds souverain français: pourquoi pas, mais avec quel argent ? Par Antoine AGASSE PARIS (AFP) - L'idée de Nicolas Sarkozy de créer un fonds souverain français pourrait permettre de protéger certains secteurs stratégiques de l'économie nationale, estiment des économistes, qui soulignent cependant le manque de moyen de l'Etat pour se lancer dans un tel projet. "J'ai bien l'intention de faire de la Caisse des dépôts un fonds souverain. Il n'y a pas de raison que la France n'en ait pas", a lancé le chef de l'Etat début juillet dans un discours prononcé au Creusot (Saône-et-Loire). Créés pour certains d'entre eux il y a plusieurs dizaines d'années, les fonds d'investissement publics des pays pétroliers ou asiatiques sont apparus sur le devant de la scène avec la crise financière dite du "subprime". Entre mai 2007 et février 2008, ils ont investi plus de 50 milliards de dollars dans un secteur financier américain et européen en difficulté, relève ainsi l'économiste Benoît Coeuré dans un récent article. Selon le FMI, les fonds souverains gèrent aujourd'hui entre 2.000 et 3.000 milliards de dollars d'investissements, qui pourraient atteindre entre 6.000 et 10.000 milliards de dollars d'ici cinq ans. La présence des fonds souverains dans des secteurs sensibles de l'économie et leurs intentions jugées parfois ambiguës inquiètent les dirigeants occidentaux. Ces craintes sont cependant jugées très exagérées par les économistes qui soulignent que les fonds souverains ont d'abord des objectifs de rentabilité financière et qu'ils ne cherchent pas à prendre le contrôle des entreprises dans lesquelles ils investissent. "Dans leur quasi-totalité, les tentatives de contrôle récentes (d'entreprises occidentales) étaient le fait d'entreprises publiques ou privées et non de fonds souverains", rappelait en mai l'inspecteur des Finances Alain Demarolle dans un rapport sur le sujet. "Monsieur Mittal, monsieur Tata, c'est plus important que les fonds souverains", abonde Patrick Artus, chef économiste chez Natixis, en référence aux deux industriels indiens. Alors, la France a-t-elle besoin d'un fonds souverain? "Oui", répond sans hésiter Olivier Pastré, professeur d'économie à Paris VIII. "La France a un capitalisme extrêmement déficient et fragile. Il lui faut un investisseur de long terme pour stabiliser le capital de ses entreprises". Le problème réside surtout dans le manque de moyens pour le faire. Les fonds souverains ont été créés par des pays qui disposaient d'un excès d'épargne, du fait d'importantes ressources pétrolières (Moyen-Orient, Norvège, Russie...) ou d'excédents budgétaires ou commerciaux (Asie). Or en France, "l'Etat n'a pas d'argent et la balance commerciale est déficitaire: on n'a pas un euro à mettre dans un fonds souverain", souligne Patrick Artus. Mobiliser les 35 milliards d'euros d'actifs de la Caisse des dépôts? "C'est bien mais il manque un zéro", tranche Olivier Pastré. La CDC ferait en effet pâle figure face au principal fonds souverain du monde, l'Abu Dhabi Investment Authority (ADIA), qui gère 875 milliards de dollars d'actifs. Les ambitions d'un fonds souverain français devraient donc être extrêmement limitées. En janvier, Nicolas Sarkozy avait avancé l'idée de faire de la Caisse des dépôts "un instrument de la politique de défense" des entreprises nationales, un objectif bien différent de celui des fonds souverains étrangers. "Cela implique d'afficher une doctrine: définir un ou deux secteurs stratégiques, comme l'énergie ou l'armement, qu'on défendra en cas de raid étranger hostile", avance Patrick Artus. "Pour l'instant, on fait des grands discours et il ne se passe rien!", remarque-t-il.
  22. L'exemple vient d'en haut ? Compagnies aériennes "low cost": la France toujours à la traîne Par Brigitte HAGEMANN PARIS (AFP) - A l'heure où le recours aux compagnies aériennes à bas coûts explose en Europe, la France accuse du retard par rapport à ses voisins, alors que le gouvernement table sur la clientèle "low cost" pour doper le tourisme dans les régions. Le Conseil national du tourisme a évalué à 4 milliards d'euros par an le montant des dépenses (hors transport) des quelque 8 millions de touristes étrangers "low cost" atterrissant en France, dans un rapport au gouvernement publié vendredi. Les freins au développement des "low cost" en France sont multiples: position dominante de la compagnie aérienne nationale, Air France, niveau trop élevé des taxes aéroportuaires et manque de créneaux horaires en région parisienne. Cependant, Air France risque de voir de nouveaux concurrents surgir dans le ciel français: Hervé Novelli, secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, a prôné en juin l'ouverture de nouvelles dessertes "low cost", afin de "faciliter l'arrivée" des touristes "sur l'ensemble du territoire". Si les compagnies à bas coûts représentent environ un quart des vols réguliers en Europe, leur part dans l'activité des aéroports français n'a été que de 15,7% en 2007. "La France se fait doubler par l'Espagne qui mise sur les low cost pour devenir la première destination touristique en Europe", a commenté à l'AFP Jacques Sabourin, délégué général de l'Union des aéroports français et président du groupe de travail en charge du rapport. Les "low cost" n'ont pris leur envol en France qu'à partir de 2001: quatre compagnies desservaient alors 15 aéroports métropolitains, contre 23 compagnies et 38 plate-formes en 2007. Dans le même temps, le nombre de passagers est passé de 2 à 23 millions par an. Près de 70% d'entre eux ont été transportés en 2006 par les deux principales compagnies, Easyjet (40%) et Ryanair (27%). Pour M. Sabourin, "la France n'est pas compétitive en termes de taxes imposées aux passagers, nettement plus élevées qu'ailleurs en Europe". Selon les calculs de Ryanair, les charges pour un billet de 44 euros sont de 25 euros sur un aéroport français, contre 7 euros sur l'ensemble de son réseau. Le retard de la France est surtout sensible sur le réseau intérieur: le rapport évoque la "position ultradominante d'Air France", qui a bénéficié "pendant longtemps du soutien des pouvoirs publics soucieux de disposer d'un champion national", avant de lancer en 2007 sa propre "low cost", Transavia. Quant au trafic aérien entre la France et le reste de l'Europe, ce retard est moins prononcé: entre 2001 et 2006, la part des "low cost" a bondi de 4,4% à 21,6% sur ce créneau. Les retombées économiques des "low cost" sur le tourisme dans les régions sont "unanimement reconnues" au point de conduire les collectivités et gestionnaires d'aérodromes à leur donner un coup de pouce financier. La ville de Bergerac, prisée par les visiteurs anglais, évalue à 73 millions d'euros par an la manne touristique pour la Dordogne liée aux passagers "low cost", sans tenir compte des achats immobiliers. Les rapporteurs prônent la création d'un nouvel aéroport à bas coût dans la région parisienne, après celui de Beauvais (Oise), et l'ouverture d'aérogares spécifiques dans les aéroports provinciaux. Mais la conquête du touriste "low cost" est loin d'être gagnée: si "les régions se plaignent de ne pas avoir assez de compagnies aériennes, celles-ci regrettent de ne pas avoir un produit touristique suffisamment attractif dans les régions", prévient Didier Bréchemier, consultant du cabinet Roland Berger.
  23. Néo-libéralisme économique, ouverture à la concurrence, entrée du privé, droit de péage à RFF comme pour le FRET sauf que ce sera plus compliqué... parceque cela ne se limitera pas à des locs + des mécanos mais on peut parier sur la sous-traitance pour toutes les activités d'entretien et commerciales . Côté SNCF : la direction colle à la roue comme pour le fret : réduire les coûts sur le dos du personnel : diminution des effectifs, augmentation de la productivité, réduction des acquis sociaux, création de filiales... elle s'y prépare déjà avec des filiales comme EFFIA
  24. bar à gouiner ==>> sévère (la cuite) Plus la musique est forte, plus on picole...
  25. La gauche bataille au Sénat contre le projet de loi sur le temps de travail PARIS (AFP) - Les sénateurs PS, PCF et Verts ont continué à batailler vendredi contre le projet de loi sur la représentativité syndicale et le temps de travail, dont l'examen en première lecture ne devrait s'achever que mardi 22 juillet. Le Sénat a terminé l'examen du premier volet du texte consacré à la réforme de la représentativité syndicale, volet relativement consensuel. Il a notamment ajouté un dispositif dérogatoire pour les journalistes afin qu'un syndicat non affilié à un syndicat inter-professionnel comme le SNJ (Syndicat national des journalistes) soit représenté. Les sénateurs ont par ailleurs supprimé une disposition sur le financement du dialogue social contestée par le Medef et la CGPME et qui visait à inscrire dans la loi la possibilité d'étendre "pour financer le dialogue social" une taxe existant pour les entreprises artisanales. La Haute assemblée a commencé à discuter du volet temps de travail, ajouté unilatéralement par le gouvernement et très sévèrement critiqué par les syndicats. La gauche a défendu des dizaines d'amendements, la plupart rejetés sur les articles 17 et 18 traitant des heures supplémentaires et des repos compensateurs. "Vous allez frapper les plus démunis en faisant du repos compensateur un objet de négociation alors qu'il s'agit d'une question de santé publique", a dénoncé Jean-Pierre Godefroy (PS), tandis que Guy Fischer (PCF) a accusé le gouvernement de "faire fi de ce qui a été négocié pour imposer la déréglementation généralisée". Jean Desessart (Verts) a déploré pour sa part "une régression sociale sans précédent". Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a accusé la gauche de "faire de la désinformation". "Comment profiter des jours de RTT quand on a pas les moyens de faire des heures supplémentaires, il y en a qui ont les moyens de profiter des RTT et d'autres non, ceux là vous ne les avez jamais pris en compte", a-t-il lancé. Le rapporteur Alain Gournac (UMP) a cependant tenu à préciser dans un amendement qui a été adopté que le nombre de jours travaillés devait être compatible avec les dispositions du code du travail "relatives au repos quotidien, au repos hebdomadaire et aux jours fériés chômés dans l'entreprise et relatives aux congés payés". Le projet de loi, inscrit en urgence (une lecture par assemblée) a été déjà adopté en première lecture par l'Assemblée nationale.
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