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PLANONYME

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  1. un message dans un sujet a répondu à PLANONYME dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
  2. un message dans un sujet a répondu à PLANONYME dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
    Pour SUD-Rail, dans le même esprit c'est encore raté. On comprendra que la direction n'ait pas souhaité vraiment négocier avant la grève. Maintenant qu'elle a accordé ça (on notera que c'est grâce à la mobilisation, l'honneur est sauf !), elle peut attendre la prochaine grève. Avec 35 % de grévistes ce 6 juillet (chiffre CGT), elle a de quoi voir venir et peut-être ne pas trop s'inquiéter. Encore que ce genre d'exercice n'est pas une science exacte, loin de là...
  3. un message dans un sujet a répondu à PLANONYME dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
    Ça commence à filtrer. Sur un réseau social, aujourd'hui 6 juillet à 12h30 (copié/collé) : En direct de la table ronde salariale, seconde proposition de la direction !! - Augmentation générale des salaires de 1,2% brut, pour la PR4 : +258€ brut annuel, PR16 : + 350€ brut annuel, PR36 : + 744€ brut annuel - Majoration uniforme de 400€ brut (+100€) annuel, PR4 : + 2% annuel, PR16 : + 1,4% annuel, PR36 : + 0,65% - Augmentation de la gratification de Vacances de 80€ (+10€), +20€ au premier enfant, + 20€ au second, + 10€ au 3e,4e… - Revalorisation de l’ensemble des EVS de production de + 4% (indemnités de nuits, week-end et fêtes), sorties astreintes et nuits (+6%) - Revalorisation des salaires à l’embauche, classe 2 : + 4%, classe 3 : + 2%, classe 4: + 1% - Revalorisation de la prime de travail pluriannuel (2023,2024,2025) de 5 à 8% par an sur 3 ans. - Allocation de déplacement régime général et roulant + 1,5% - Ouverture des discussions sur la revalorisation de l’indemnité résidence sur la NAO de fin d’année. Les augmentations salariales en pourcentage et sommes uniforme seront également appliquées aux contractuels.
  4. un message dans un sujet a répondu à PLANONYME dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
    Pour avoir peut-être une grève quand même ? Il arrive un moment où l'entreprise (via ses conseillers aux affaires sociales, d'anciens syndicalistes souvent, si, si !) se dit que la grève elle ne l'évitera pas. Et que même si certaines organisations (plus souples, plus dociles ? aucun jugement de ma part dans ces termes) acceptent le compromis, c'est à dire la proposition de l'entreprise nécessairement en-dessous (très ?) des revendications et se retirent ainsi du mouvement ce n'est pas forcément leur faire cadeau car elles vont se prendre une volée de bois vert des non-signataires qui maintiendront l'appel à la grève et les désigneront à la vindicte populaire, les rendant responsable aux yeux du corps social et électoral cheminot de tous les reculs, les vilenies... Et cela pendant longtemps ! Suivez mon regard avec l'accord collectif classification / rémunération (même pas besoin de l'avoir lu, si les salaires sont bas et n'augmentent pas dirons certains c'est à cause de la signature des traîtres, tous réformistes... un gros mot à la SNCF). Dans le meilleur des cas, la grève est ainsi vue par la direction comme une soupape de sécurité nécessaire qui permet de relâcher de la pression. Car l'expérience prouve que la grève c'est assez souvent un fusil à un seul coup. Parfois, elle n'a d'ailleurs pour objectif que de permettre de passer à autre chose... Pepy avait institué la règle : on négocie avant et signez-là sinon vous n'aurez rien. Mine de rien cette doctrine a fonctionné. Farandou * n'est certainement pas Pepy mais le corps social cheminot est toujours ce qu'il est. Et surtout sa représentation est très affaiblie, ce qui rend encore plus compliqué l'exercice. * Entendu l'autre jour sur un radio, un chroniqueur humoriste dire que "Farandou, ça ne fait pas PDG ; ça sent bon la province, ça fait trop gentil".
  5. un message dans un sujet a répondu à PLANONYME dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
    Et la grève... avant la grève ?
  6. Bien vu ! Je viens de refaire la simulation de gilles_tagada. Avec une correspondance, le forfait est bien facturé deux fois.
  7. un message dans un sujet a répondu à PLANONYME dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
    C'est sur ce constat qu'au moins deux organisations syndicales présentes autour de la table des négociations avaient développé dans le passé l'idée d'augmentation en somme uniforme (ou fixe), résumé par le slogan "priorité aux bas salaires". Je viens de faire tourner les moteurs de recherche sur ce sujet et ça ne me ramène qu'à des prises de position anciennes : 2017 et avant... Surprise, je lis dans une explication / mobilisation pour cet appel à la grève du 6 juillet 2022 d'une autre organisation (et non des moindres) qu'elle prévient qu'elle n'acceptera pas une augmentation en somme fixe car c'est injuste. Cette organisation souligne que c'est pourtant dans cette voie que s'achemine la direction. De son côté, la SNCF considère aussi que échelon d'ancienneté, position de rémunération, 2ème niveau dans la qualification, toutes choses qui ne s'accompagnent pas d'un changement d'emploi, de responsabilités... sont bien des augmentations de salaire et qu'il n'y a donc pas eu gel des salaires. Les affres de la négociation salariale.
  8. J'ai toujours préconisé de vérifier périodiquement le relevé de carrière même plusieurs décennies avant l'âge de la retraite. Il est plus aisé d'obtenir les rectifications qui s'imposent quand ce n'est pas trop ancien. Même à la SNCF, j'ai déjà vu des années manquantes. Un trou de deux ou trois années sans aucune explication alors que l'intéressé n'avait même pas changé de lieu d'affectation ! Tous les lecteurs de ce sujet, encore en activité, vont de ce pas aller vérifier leur relevé de carrière "tous régimes". C'est prudent.
  9. Et que, comme il est dit plus haut, que l'agent ne déménage pas. Ceci ajoutant alors à ses contraintes avec un allongement de parcours quotidien domicile-travail. L'esprit du texte c'est que si l'agent déménage il fait son affaire de la distance entre son nouveau domicile et son nouveau lieu de travail.
  10. C'est de l'ancien temps. Ce n'est pas tant la CPRPSNCF qui vous versait des allocations chômage à la suite d'une privation involontaire d'emploi (c'est une caisse de retraite et d'assurance maladie comme chacun sait) mais le SATRAPE - Service Aux TRAvailleurs Privés d'Emploi - autrement-dit la caisse d'assurance chômage "maison" de la SNCF. Service RH qui était à l'époque niché au sein de la Caisse de Prévoyance. Depuis quelques années (une bonne dizaine) la SNCF a passé une convention de gestion avec Pôle Emploi pour que ce soit ce service public qui s'en occupe (la SNCF restant néanmoins son auto-assureur en la matière : https://www.pole-emploi.fr/employeur/vos-declarations-et-cotisations/vous-etes-un-employeur-public/lassurance-chomage-des-employeur.html). Mais on s'éloigne de la question et de la problématique sur ces allocations post-rupture du contrat de travail avec la SNCF qui n'ont pas été portées au relevé de carrière, tous régimes de retraite. Les erreurs, les anomalies, les manques constatés sur un relevé de carrière doivent faire l'objet d'un demande de correction. Normalement, vous avez gardé (comme des bulletins de paie) les avis de paiement du SATRAPE. Vous les ferez donc valoir.
  11. Le document RH de référence c'est le Statut pour les agents du cadre permanent (pour les contractuels c'est du gré gré mais on s'en inspirera). Voilà tout y est : les emplois disponibles, la chronologie des demandes, les critères de priorité. Mais, de notoriété publique, ces dispositions sont bafouées tous les jours. Peut-être parce que les demandeurs d'un changement de résidence (tout le monde dit à tort mutation) n'invoquent pas ces dispositions, n'y ayant eux-mêmes pas forcément intérêt sauf à laisser le mouvement de personnel qu'ils espèrent à un(e) collègue mieux placé. L'idéal est de lier les deux mouvements de personnel. Si la mutation du conjoint répond aux intérêts majeurs de l'entreprise (gestion des parcours professionnels, gestion des emplois et des compétences) il ne faut pas hésiter à mettre au pot le second mouvement simultané ou rapproché. Sinon, le risque est que le deuxième mouvement de personnel ne se fasse... jamais !
  12. Voilà qui clot le débat. Plus aucun flou, tout devient clair. Tel que dans un extrait de lettre publié sur ce forum, un rédacteur de la CPRPSNCF a donc eu raison de souligner que les bénéficiaires d'une pension de réforme de la SNCF n'étaient pas concernés par le sujet qui nous interrogeait. Du fait de réponses différentes et à géométrie variable parfois ayant pu être faites par la CPRPSNCF, on peut craindre que certains de ses collaborateurs aient donc perdu le fil retrouvé ici. C'est assez fréquent dans les administrations et assimiilées. Y compris à la SNCF pour sa propre réglementation d'ailleurs. On s'invente un truc, on se répète à l'envie quelque chose qui est faux mais à la longue ça devient une vérité et plus personne ne songe à aller vérifier à bonne source. Une interpellation "point sur les i" de la CPRPSNCF va suivre je suppose.
  13. Vous ne demanderez pas au conciliateur des renseignements mais vous contesterez auprès de lui la réponse (ubuesque) qui vous a été faite. A savoir que pour répondre à vos questions vous devez attendre que votre réforme soit effective.
  14. Bonne lecture. Effectivement, la question ne se pose pas non pas parce que c'est une pension de réforme mais parce que si on l'assimile à une pension de retraite elle a été liquidée avant 55 ans. C.Q.F.D. Il n'est toutefois pas dit qu'une réforme ne puisse intervenir au-delà de 55 ans, non ? Et la question redevient donc toute entière. Et c'est pour çà qu'à mon avis la CPRPSNCF a pu souligner dans les courriers précités qu'aucune limite ne s'appliquait. Vous pouvez saisir le conciliateur : https://www.cprpsncf.fr/saisir-le-conciliateur Et/ou aussi un représentant des affiliés au sein du Conseil d'Administration : https://www.cprpsncf.fr/composition-du-conseil-d-administration#Représentants affiliés salariés
  15. J'ai connu SUD-Rail (et la CFDT dont bon nombre de militants étaient issus) qui revendiquaient des augmentations en somme uniforme plutôt qu'en pourcentage. L'inflation sur les produits de première nécessité ou de consommation courante ne pèse en effet pas du tout de la même façon selon un revenu proche du SMIC ou plus élevé, jusqu'à 5 fois à la SNCF. A chaque époque et génération militante ses revendications. Je ne porte aucun jugement ici. Je ne fais que relever.
  16. Ce sont des extraits anonymisés de lettres reçues par des affiliés de la CPRPSNCF admis à une pension de réforme. Dans ces paragraphes (type ?) ici publiés, la CPRPSNCF (du moins le rédacteur qui tient la plume de la réponse) souligne au sens propre comme figuré que le bénéficiaire d'une pension de réforme n'est pas concerné ni pas les règles ou limites de cumul avec une activité (et pourtant la notice idoine de la CPRPSNCF ne dit pas exactement la même chose !) ni par l'impossibilité d'acquérir d'autres droits dans un autre régime.
  17. Ce n'est pas ce que disent les Conditions Générales de Vente qui font plutôt référence à une notion de forfait. Un forfait c'est pour un voyage de bout en bout même si emprunt de trains différents. Ça vaut le coup d'une question au Ministre de tutelle ? Comme à chaque fois que la SNCF modifie une disposition tarifaire au nom du marketing elle a bénéficié d'une campagne de communication médias plutôt positive ici car c'est moins cher. Si c'est pour maintenant atténuer l'annonce avec un "vous n'avez pas compris, c'est 7 € par train", ce serait assez contre-productif. Au journal télévisé à 20h00 qui est-ce qui va s'y coller ? Mais c'est aussi assez typique de la SNCF comme on l'aime (ou pas). Qu'en disent les grands prêtres et les grandes prêtresses qui, de leurs doigts agiles sur le clavier et leur regard perçant sur l'écran, savent parler à la Machine de vente ? Et les contrôleurs, gardiens des Tables de la Loi tarifaire et de la sauvegarde des recettes ? Je vois que l'honorable contributeur qui me précède et qui me contrarie est de la L.A.F. - lutte anti-fraude. J'en tremble déjà pour les voyageurs. Car, je connais la maison, à tort ou à raison il y aura bien des endroits où on leur dira un seul billet, un seul forfait. Et ailleurs, non "par train emprunté".
  18. J'en ai une autre dans un dossier porté à ma connaissance : Le souligné est de la CPRPSNCF. Or, dans votre cas, la CPRPSNCF a écrit autre chose : J'ai vraiment l'impression que le rédacteur picore dans plusieurs lettres type en perdant le fil de son propos. D'ailleurs à bien y regarder (vous l'avez vous même remarqué) la lettre que vous avez reçue concerne une pension de retraite... normale (si ce n'est prise un peu tôt et donc avec le maximum de décote) et non pas une pension de réforme. Par définition les pensions de retraite liquidées à un âge où les droits sont ouverts mais que la carrière n'est pas considérée complète permettent une reprise d'activité (du moins jusqu'à un certain âge, 62 ans je crois) sans plafond de revenus et en générant de nouveaux droits. C'est au-delà de cet âge considéré comme normal et si toutes les pensions ont été liquidées qu'il n'est pas possible de revenir sur le calcul des droits des différents régimes et que le cumul de pension(s) de retraite et de revenus d'activité est limité à un certain plafond (le précédent revenu d'activité ou 1,6 fois le SMIC, au plus favorable). Toutes choses qui ne s'appliquent pas (normalement) à un pension de réforme, sauf à ce que la CPRSNCF réponde à ses affiliés à géométrie variable. Mais je ne saurais être plus pointu sur le sujet que la CPRPSNCF. Donc, mon conseil : retour de tout ça à la CPRPSNCF pour une meilleure réponse davantage circonstanciée. Et que le rédacteur comprenne bien qu'il s'agit d'une pension de réforme et non de retraite ! Il trouvera sans doute les paragraphes qui vont bien dans ses lettres types. Ah mais, c'est qu'on finirait par s'énerver... Les droits à l'Allocation de Retour à l'Emploi sont calculés sur un revenu de référence calculé sur les 12 derniers mois. Ce sont les montants figurant sur l'attestation Pôle Emploi qui a déjà été émise. Comme je ne crois pas avoir lu que vous étiez à demi-solde, votre rémunération mensuelle de référence n'a pas été affectée par vos arrêts de travail. Ce n'est pas forcément le cas chez tous les employeurs et c'est pour ça, je pense, que Pôle Emploi demande une attestation de la sécurité sociale (sic) pour réintégrer un différentiel dans la détermination du salaire de référence. Cette demande de Pôle Emploi vaudrait sans doute si vous étiez passée à demi-solde. Auquel cas l'APF devrait bien être capable d'en justifier. Si vous étiez à solde entière, faites-là simple. Il n'y a pas d'attestation (de la sécurité sociale, disons comme ça) puisque vous n'avez pas eu de perte de salaire. Et donc vous ne réclamez rien à ce sujet à Pôle Emploi pour le calcul de vos droits à l'A.R.E. Après tout, ce sont les éléments de rémunération déclarés par l'employeur et sur lesquels il a cotisé (vous aussi via la CSG). Pôle Emploi ne fait que servir les droits à l'assurance chômage du personnel SNCF sous couvert d'une convention de gestion. Il me semble qu'au sein des agences paie il y a un référent national pour faire le lien entre la SNCF et Pôle Emploi à chaque fois qu'il y a quelque chose qui coince.
  19. Il s'agit donc a priori de l'indemnité spéciale d'éloignement prévue dans le RH00910. Elle est destinée aux agents qui changent d'affectation alors qu'ils ne déménagent pas. Or ici avoir quitté Paris Nord pour le Sud (c'est pas mal ! sans réorganisation et suppression de poste, ça aurait sans doute été difficile à obtenir...) implique certainement d'avoir déménagé.
  20. Sauf si la procédure ou les pratiques ont changé, il t'appartient de saisir de nouveau sur le fond avec le formulaire Cerfa idoine : https://www.formulaires.service-public.fr/gf/cerfa_15586.do Je ne crois pas qu'après une décision de la formation disant "qu'il n'y a pas lieu à référé" que le dossier initial suive son cours automatiquement. Un nouveau numéro de saisine (répertoire général) sera d'ailleurs attribué. Première / prochaine étape : la tentative de conciliation (obligatoire) c'est à dire un nouveau tour de chauffe.
  21. Les animaux ont toujours fait les grandes heures de la relation client à la SNCF et donc des réclamations diverses et variées. Je ne suis pas sûr, contrairement à ce que relaient les médias, que les reptiles et amphibiens relèvent bien de la définition des petits animaux domestiques au sens de la SNCF. Définition que les Conditions Générales de Vente ne donnent (toujours) pas ! On notera que les CGV soumettent la présence d'un chien à l'acceptation des autres voyageurs. Quid des chats ? Et aussi, si réellement autorisés ou tolérés, des éventuels serpents... (je ne cite que ces N.A.C. - nouveaux animaux de compagnie en raison de l'ophiophobie - peur panique - fréquemment répandue). Pour la route des vacances... en train, cette anecdote :
  22. Quand la CPRPSNCF est interrogée sur le sujet, elle écrit à propos du cumul pension de réforme / salaire (une lettre type je suppose) qu'il n'y a aucune limite de plafond. L'agent réformé relevant du régime spécial SNCF ne perçoit aucune pension d'invalidité (c'est pour lui une pension de réforme !) mais cette invalidité est simplement prise en compte, autant que de besoin, dans le calcul de la pension de réforme afin qu'elle ne soit pas inférieure à ce qu'aurait été une pension d'invalidité du régime général (50% du revenu de référence). Ce faisant les éléments trouvés ci-dessus sur service-public.fr ne relèvent donc pas de notre sujet. Et je vais donc dire comme la CPRPSNCF qu'il n'y a pas de limite à ce cumul. Les voies de la protection sociales étant parfois impénétrables, c'est toujours mieux et plus prudent de faire confirmer par écrit.
  23. Lorsqu'elle est expressément interrogée là-dessus, la CPRPSNCF indique (par écrit) que cette restriction ne s'applique pas au bénéficiaire d'une pension de réforme. Lequel peut donc, le cas échéant, reprendre une activité salariée hors de la SNCF et acquérir au régime général des droits à pension qui seront liquidés à part le moment venu et selon les règles du régime général. Sous toutes réserves. Je n'ai jamais réussi à savoir (ou à trouver) la source légale ou réglementaire. Mais puisque c'est la CPRPSNCF qui le dit...
  24. Depuis jeudi, la SNCF a mis en place un tarif fixe et unique pour les « chiens, chats, rongeurs, lapins domestiques, oiseaux de volière, reptiles et amphibiens » : 7 euros en TGV Inoui et Intercités, 10 euros en Ouigo. Quels que soient l’animal, son poids, ou la longueur de son trajet. ----- Extrait des nouvelles Conditions Générales de vente : https://medias.sncf.com/sncfcom/pdf/tarif-voyageurs/Tarifs_voyageurs_juin_2022.pdf Quid des TER ?
  25. Par téléphone, c'est bien le risque majoré d'une réponse approximative, d'une question ou d'une problématique mal comprise de l'interlocuteur (de sa réponse aussi le cas échéant) et surtout d'une erreur d'analyse. J'imagine que vous allez poser de nouveau les questions qui vous préoccupent à la CPRPSNCF, par écrit cette fois. Vous pouvez le faire sur le formulaire de contact de votre espace personnel (ça arrive ainsi directement à un gestionnaire sans rester plusieurs jours au tri et à la répartition du courrier postal). Le nombre de caractères étant limité sur le formulaire (ce que vous découvrez qu'après que vous ayez saisi votre message ! un irritant dans la relation usager...), l'astuce est de développer votre sujet, aussi longuement que nécessaire, sur un courrier que vous placez en pièce jointe (format PDF exclusivement). Dans le message sur le formulaire proprement dit, vous inviterez à se référer à la pièce jointe. Et afin que les visiteurs de ce Forum qui viendraient à lire ici ce fil de discussion sur une problématique similaire (ou pour leur gouverne personnelle) puisse profiter de votre retour d'expérience, ce serait bien que vous veniez indiquer ce qu'il en est finalement sur le cumul pension de réforme / revenu d'activité, les cotisations et l'acquisition de nouveaux droits dans un autre régime de retraite et le maintien, quoiqu'il en soit, en tant qu'affiliée du régime spécial d'assurance maladie.

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