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PLANONYME

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Tout ce qui a été posté par PLANONYME

  1. Même pour les candidatures que recueilleraient "ceux qui veulent aider" puisque, selon eux, "la SNCF n'y arrive pas" (sic), ça risque d'être pareil !
  2. Le service recrutement reçoit au moins 2000 candidatures par jour !
  3. https://www.sncf.com/fr/groupe/newsroom/regime-retraite-2019 Par ailleurs, j'ai trouvé ça (source : FGAAC). Normalement, les agents de conduite hyper sensibles au sujet, connaissent ça par cœur. Sous toutes réserves que ces sources ne soient pas caduques. Mais je ne trouve pas un document officiel où tout ça est marqué et expliqué. Un accord a priori. C'est le problème à la SNCF. Les accords signés sont plus facilement ignorés et oubliés que ceux qui ne l'ont pas été !
  4. A priori non, s'il n'y a pas concomitamment une réorganisation en cours.
  5. RH00910 Dispositions pour accompagner la mobilité résultat des mesures d'organisation et d'évolution de l'emploi. Sous réserve d'ajustement à la marge des montants. Ce sont ceux de 2021.
  6. C'est typiquement l'emploi dont les horaires correspondent à ceux de l'activité de la gare. C'est à dire tous les jours, de bonne heure le matin à tard le soir, en 2 X 8. S'il est annoncé une embauche à la réserve c'est que sur le site à rejoindre ceux et celles qui sont déjà en poste sont en roulement et souhaitent a priori le rester (c'est toujours mieux pour son organisation sociale et familiale, sauf mode de vie adapté à cette variation des horaires le jour le jour sans guère de prévisibilité). Pour assurer la continuité du service du fait d'absences, d'aléas, de congés, de formation, des R.T.T., de renforts ponctuels ... il faut en effet bien un effectif numériquement supérieur au nombre de postes. C'est la réserve. Pour vendre le truc, une prime (de réserve) a été promise ? Soit. Mais de combien ? La question est légitime. Personne dans les commentaires autorisés qui précèdent n'a réussi à répondre. Moi, pas davantage ! C'est que, comme beaucoup de choses sur le plan RH à la SNCF actuellement, ce n'est pas simple car c'est en pleine transformation. Sans refaire toute l'histoire sociale, depuis le 1er janvier 2020 il n'y a plus d'embauche sous Statut du cadre permanent. Il n'y a plus que des embauches comme contractuels et en outre dans le cadre de contrats dits de "gré à gré". C'est à dire qu'à l'embauche employeur et postulant s'entendent sur la valeur de ce dernier sur le marché du travail pour lui octroyer la juste rémunération correspondant à ses prétentions à condition que l'entreprise les accepte et en ait les moyens. Le gré n'est souvent que d'un seul côté ! C'est une rémunération globale annuelle qui sera ainsi fixée, dans laquelle il n'y a pas de prime de travail. Cette prime de travail qui provoque parfois des réactions caustiques à l'extérieur de la SNCF du genre : ne voilà-t'il pas que les cheminot(e)s perçoivent une prime quand ils travaillent ! En vrai et pour faire simple, c'est la variation de la rémunération mensuelle selon le nombre de jours de présence. Tous les mois n'ont pas le même nombre de jours de travail effectif. Mais quid alors de l'indemnité d'utilisation à la réserve locale (c'est son nom) qui est un pourcentage de la prime de travail : - 40% la première année, - 60% la seconde année, - 80% à partir de la troisième année et au-delà, s'il n'y a pas de prime de travail ?!!! (cf. les nouveaux contractuels) Une organisation syndicale a interpellé la direction à ce sujet. Pour ne pas faire de prosélytisme, j'ai biffé son nom : La simulation d'une prime de travail pour le calcul de cette prime de réserve (ce que la direction a donc l'air de considérer être la bonne pratique puisqu'elle dit vouloir faire un rappel), pourrait être la valeur moyenne théorique mensuelle de cette prime de travail (la partie qui compte pour la retraite du régime spécial des agents qui en relèvent encore). Dans les emplois d'exécution et de maîtrise, on doit être sur une valeur moyenne théorique de prime de travail de quelques 210 ou 220 €. C'est donc sur ce montant simulé que serait calculé la prime de réserve selon le pourcentage applicable cité plus haut. Bon, ça ne va pas chercher bien loin... Et s'il faut se battre pour l'avoir... Voilà, ce fil aura permis de définir assez largement ce qu'est la réserve. C'était la question initiale. Il y a parfois des volontaires mais en général ça ne se bouscule pas trop, sauf à ce que l'indemnité qui va avec finisse pas être indispensable dans la gestion de son budget. On voit à peu-près de combien sera cette indemnité d'utilisation à la réserve locale, sous réserve qu'elle soit bien versée et que quelques arguties ne vienne pas la mettre à mal ici ou là. Dans les premiers commentaires, parmi ceux qui ont témoigné et plus ou moins vanté l'intérêt de la réserve, à bien lire entre les lignes il ne s'agissait pas d'emploi de réserve locale mais de ce qu'on nomme en interne être intérimaire (rien à voir avec les sociétés du même nom qui mettent à disposition de la main d'oeuvre). Du personnel qui n'est pas affecté à une gare mais à une zone et qui, de jour en jour, se rend ici ou là avec les compensations financières d'un régime de déplacement. Ces allocations sont réputées être des remboursements de frais mais chacun sait bien que, bien géré en bon père de famille, il y a de quoi dégager un revenu supplémentaire non négligeable, exempt de cotisations sociales et d'imposition. Une catégorie à part parmi le personnel, parfois enviée (à tort ou à raison). Engagée dans des économies tous azimuts sur la masse salariale, l'entreprise (essentiellement SNCF Réseau) fait d'ailleurs tout pour réduire la voilure de ces intérimaires en jetant les bases d'une organisation locale plus stable nécessitant moins le recours à du personnel extérieur au site.
  7. Cette affectation à la réserve ne sera en tout état de cause pas un clause essentielle du contrat de travail, c'est dire que même si c'est la première affectation ça pourra changer à tout moment au gré des mouvements de personnel, des réorganisations, des reclassements, de l'intérêt du service, des desiderata exprimés (parfois) ... Dire à un postulant qu'on lui propose un poste de réserve c'est le prévenir qu'il n'aura pas d'horaires fixes et réguliers (ni même le cas échéant de lieu de travail à un endroit précis et immuable). C'est comme prévenir aussi qu'il y aura du travail le dimanche, les jours de fête, la nuit... Si ça se trouve, ici ou là, il n'y aura rien de tout ça. Je suis étonné qu'en phase de recrutement on puisse faire cette annonce d'un poste de réserve. Je me demande si ce n'est pas pour tester la résilience à des organisations du travail qui ne sont pas de tout repos ! En fait il faudrait dire à tout candidat qu'il va à un moment ou un autre de sa carrière se retrouver avec telles et telles contraintes (toutes celles des emplois de production au chemin de fer, dans l'absolu 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24) et qu'on ne lui demandera pas forcément son avis. Comme dit plus haut, on ne sait pas de quel métier il s'agit. Il n'est donc pas possible d'éclairer davantage par un exemple de ce que ça peut donner au quotidien.
  8. C'était une livraison pour la Coopérative Le Gouessant, ceci expliquant alors le silence des premiers cités. https://www.reussir.fr/train-de-cereales-attaque-les-details-donnes-par-la-cooperative-le-gouessant Source : Réussir Site dédié à l’information du monde agricole et des filières agroalimentaires.
  9. Sur la carte MIMAUSA, j'en ai retrouvé un où j'allais jouer enfant (est-ce que c'est grave ?). Aujourd'hui, le secteur est dans une zone classée NATURA 2000. Les écologistes ont eu un coup d'avance !
  10. C'est la bonne pratique en effet. Mais il faut quelqu'un pour l'organiser (trouver le transporteur de substitution, que ce dernier ait confiance dans le paiement ultérieur de la facture s'il n'est pas coutumier de ce type de demande ou s'il n'est pas déjà en contrat avec la SNCF). Et c'est souvent là que ça coince. Soit l'agent présent en gare n'est pas rompu aux procédures, soit le service "au-dessus" lui dit non pour telle ou telle raison, bonne ou pas. C'est bien l'agent de la gare qui a le voyageur sur le dos mais il est tributaire de la décision et des initiatives d'une autorité qui est ailleurs. De là, souvent la solution opérationnelle de facilité : payez votre transport et envoyez la facture au Service Relations Clients. Et là, ça passe ou ça casse. A 30 € ça passe puisque le coût de traitement est déjà supérieur. A 800 €, il y a bien entendu des interrogations sur ce qui a été promis ou pas au voyageur en rupture d'acheminement et les solutions plus économes qui lui auraient été proposées et qu'il aurait le cas échéant refusées.
  11. En 2020, dans le périmètre de la S.A. SNCF Voyageurs, il y a eu 1 685 recrutements. Départs en période d'essai (ce qui couvre à la fois les démissions et les ruptures à l'initiative de l'employeur insatisfait de l'essai) : On est à 7 % de l'effectif recruté cette année-là. Pour 2019 et 2018, je retrouve respectivement 6,45 % (116 départs sur 1797) et 8,84 % (165 sur 1866). Sources : bilan social.
  12. Un agent réformé, que ce soit à sa demande ou sur initiative de l'entreprise, est un pensionné / un retraité. Il est donc éligible à un maintien de ses droits à facilités de circulation en fonction de son ancienneté de service comme n'importe quel retraité. Et si cette réforme est consécutive à un accident du travail, dans l'hypothèse ou son ancienneté aurait été insuffisante pour conserver la libre circulation (Carmillon) à la retraite, celle-ci lui est maintenue comme s'il était toujours en activité. Il n'y a aucun distinguo entre réforme médicale à la demande de l'agent ou pas. Tout ça est dans le RH00246.
  13. Tu ajoutes une condition ou une restriction qui n'est pas dans le texte.
  14. C'est exact quand le contrat de travail avait été rompu par démission. Sources : RH00246 (facilités de circulation des pensionnés). Pour les lecteurs à venir du sujet, certains "départs volontaires" et les "ruptures conventionnelles" sont soumis à d'autres dispositions.
  15. un message dans un sujet a répondu à PLANONYME dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
    La cour d'appel de Paris a infirmé un jugement de première instance qui avait condamné le magazine VSD pour "injure publique" à l'encontre de la SNCF pour avoir comparé les grèves dans la compagnie ferroviaire aux pratiques du groupe jihadiste Etat islamique. L'injure n'est pas caractérisée, a tranché la cour d'appel en notant que les propos incriminés étaient "délibérément provocants, démesurément exagérés, les privant de tout sérieux". Ces propos "ne dépassent pas les limites de la liberté d’expression", a indiqué la cour dans son arrêt consulté vendredi par l'AFP.
  16. Automaticien dans une centrale nucléaire, je te jure que dans ses montages, ses réparations, ses opérations de maintenance, on se méfierait des "gens (trop) agiles et inventifs". Je cite ce métier, à titre d'exemple, car les compétences de base sont celles de l'électronique, de l'hydraulique, de la mécanique, de l'électricité. Celles d'un agent de maintenance (qualifié) du Matériel à la SNCF et peu prou celles d'un agent de conduite aussi ne serait-ce que pour comprendre comment ça marche (roule).
  17. Sous réserve de vérification sur la clause de dédit formation que vous avez signée (vérification que vous devez faire !), la logique voudrait que ce soit à partir du moment où vous avez pu exercer les fonctions pour lesquelles vous avez été formé avec "en échange" une telle clause. C'est à dire à partir de l'examen qui marque le terme de la formation et le début de la période dans votre nouveau métier pour que l'employeur puisse amortir son investissement. Ça ne saurait être à partir de votre date d'embauche comme l'a écrit Yellow car avant même cette formation vous étiez à la SNCF depuis 10 ans. Cette clause n'aurait donc pas de sens. Or elle est imposée pour avoir du sens, justement !
  18. Pour un recruteur, vous auriez déjà les pré-requis pour conduire un tram, un métro... (les trains des entreprises concurrentes ont déjà été évoqués dans les commentaires précédents). Sur un embranchement particulier d'une entreprise, d'un port, d'une infrastructure ferroviaire privée ou assimilée quelconque (lire hors réseau ferré national) vous seriez aussi a priori à votre aise. Et puis vous étiez auparavant au Matériel (10 ans, qualif. D donc agent de maîtrise) ce qui implique une certaine expérience avec laquelle vous êtes plus ou moins pointu sur tel ou tel domaine du matériel roulant, sachant les conduire étant un plus. Excellent candidat pour un constructeur ferroviaire ou une entreprise chargée de la maintenance de ces matériels roulants. Et puis en dehors du domaine ferroviaire, un agent de conduite est perçu comme un candidat qui a déjà été trié sur le volet (par la SNCF), qui a des aptitudes particulières sur le plan technique mais aussi psychologiques avec la capacité d'ingérer une réglementation abondante et complexe et de savoir en faire une "application passive et immédiate". Il y a plein de domaines où ces pré-requis sont nécessaires et recherchés : par exemple tout ce qui est surveillance du bon fonctionnement d'installations techniques complexes susceptibles de se mettre "hors sécurité" (c'est pour ça qu'elles sont surveillées, soit à pied d'oeuvre, soit derrière un pupitre).
  19. Finalement, ça ressemble beaucoup aux revendications du cheminot lambda de la SNCF historique. Un truc à relever quand même, bien que ce soit du domaine de l'anecdote : Des gros mots à la SNCF sous en-tête CGT ! Je ne sais pas à quelle fédération de la CGT est rattachée ce syndicat d'entreprise. Si quelqu'un sait, je suis preneur pour ma gouverne personnelle.
  20. Il y a toujours en un mois plus de candidatures (spontanées) qu'il y a de besoins de recrutement en un an ! Ce n'est donc pas forcément un problème de volume de candidatures mais peut-être plutôt de critères de sélection. A un moment donné, l'entreprise sera peut-être amenée à s'interroger là-dessus ? Elle veut ce qu'il y a de meilleur sur le marché du travail, c'est légitime, mais ce qu'il y a de meilleur a déjà sinon un emploi, sinon tout au moins le choix pour en trouver un. Et c'est là que je rejoins le propos sur le fait qu'il va peut-être (sans doute ?) devenir de plus en plus compliqué de trouver du monde. Car quand une entreprise ne reste pas suffisamment attractive, eh bien elle doit se contenter de ce qu'il y a... Je n'ai pas l'impression que lorsque j'ai été recruté au fin fond de ma Bretagne natale, avec réponse définitive et affectation (logement provisoire avec) le jour même des tests, j'étais si exceptionnel que ça ! Je penserais même plutôt le contraire car à peine 20 ans à l'époque, pas le bac, pas d'expérience professionnelle...
  21. En pièce jointe, le texte de cet accord collectif. Signatures majoritaires CFDT + UNSA + CFDT, donc accord applicable et opposable. Accord_Handicap_signe_ 2022-2024.pdf
  22. Absolument ! Il m'est également arrivé d'en mettre en ligne sur ce forum. Récemment les accords liés à la convention collective nationale du ferroviaire "classifications rémunérations" et "garanties sociales" (et on ne m'a rien dit ! 😉). Tiens, je les remets ici en pièces jointes. ----- Pour l'administration du forum : ce serait bien de créer une rubrique dans laquelle seraient rassemblés au fur et à mesure tous ces accords collectifs. Ça amènerait assurément des visites sur ce site et ce serait bon pour sa notoriété et l'accueil de nouveaux membres. accord branche classifications rémunérations.pdf accord branche garanties sociales.pdf
  23. Oui, j'ai entendu ça aussi. Sur le réseau social de l'émission, de nombreux commentaires venant manifestement de cheminot(e)s laissaient pourtant entendre de manière a priori autorisée, étayée et circonstanciée qu'une nuitée d'hôtel avait été proposée au voyageur et qu'après s'y être rendu il s'est ravisé et que c'est lui qui a passé commande d'un taxi. Circonstances qui peuvent effectivement justifier que la SNCF ne voulait pas assumer la charge d'un acheminement par moyen de substitution (taxi ici) dont elle n'a pas pris l'initiative. L'obligation de prise en charge d'un voyageur en rupture d'acheminement se limite en effet au raisonnable. En opérationnel, ce raisonnable c'était certainement de loger les voyageurs pour la nuit et de les placer sur le premier train utile au matin. A priori, c'est le service de presse qui a été l'interlocuteur des animateurs de l'émission radiophonique. Le refus de remboursement a été présenté comme un problème de forme : la facture du taxi ne comportant pas toutes les mentions requises. Effectivement, un chauffeur de taxi ne fait que remettre à son client un bout de papier pour le meilleur usage que ce dernier pourra en faire, mais ce n'est pas une vraie facture. Notamment, elle ne comporte pas la TVA (puisque cette TVA n'est pas récupérable par le client ordinaire). Mais ici il s'agit d'un transport pour le compte d'un autre transporteur. C'est un taxi mais si c'était un autocar c'est pareil. Et il faut donc une (véritable) facture pour enregistrer la dépense en comptabilité avec récupération de TVA. J'espère simplement une chose, pour l'image médiatique de la SNCF, c'est qu'après avoir demandé au voyageur réclamant la facture qui va bien, on ne vienne pas lui dire quand il la produira que non, finalement ça ne change rien on ne peut pas lui rembourser quelque chose qu'il a décidé et commandé de sa propre initiative. J'ai connu ça plus d'une fois dans mes fonctions professionnelles. Le coup classique : un client demande un remboursement. Il n'a pas fourni de RIB/IBAN. On lui envoie une lettre type pour lui demander ce RIB/IBAN afin de pouvoir mener à bonne fin ce remboursement. Et quand il a envoyé ce RIB/IBAN, on lui explique (parfois) que non, il n'a pas droit au remboursement pour telle ou telle raison tarifaire ou contractuelle. La SNCF comme on l'aime ! Je pestais régulièrement contre ça et je demandais aux petites mains qui traitaient les dossiers d'analyser la demande sur le fond avant de demander des justificatifs. Car s'il n'y avait rien à rembourser, ce n'était pas utile de faire du formalisme ! On verra s'il y a un rebond dans cette affaire.

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