Cyril83

Une idée : rajouter "Je suis un spam" en première position dans la liste des entreprises... comme ça ce serait plus rapide et plus clair.

Oui, mais moi, je n'étais pas inscrit sur ce forum l'année dernière à cette époque. Et puis, cette discussion, si elle n'est pas nouvelle, n'en est pas moins toujours d'actualité...

Ça se discute. L'objectif prioritaire est sans doute de vider les Lunéa, et tous les voyageurs clients qui désertent les Lunéa n'iront pas forcément remplir les TGV. Même chose que pour les TAC...

Au-delà du cas particulier évoqué et sur lequel je ne peux pas trop juger, j'ai l'impression que tous les ASCT ne sont pas toujours très bien informés : - En Aquitaine, je suis monté à une halte sans point de vente ni distributeur, située peu après la gare de départ. L'ASCT passe juste après, je lui indique où je suis monté, et il me demande : "Vous n'avez pas eu le temps d'acheter un billet ?" J'ai fini par me demander un bref instant si ce n'était pas moi qui avait loupé le distributeur planqué dans un coin... - En Rhône-Alpes, un ami a eu une expérience différente, avec un ASCT qui lui a fait payer le tarif de bord (10 euros) alors qu'il était monté à une halte sans vente de billets. Argument de l'ASCT : "Vous n'aviez qu'à prendre vos dispositions et acheter un billet à l'avance." (Pour 10 euros "seulement", il n'a pas pris la peine de faire une réclamation.) Pour en revenir à la question de départ, à Clermont-Fd, la halte de Clermont la Rotonde a un composteur sur un seul des deux quais. J'ai déjà vu un usager traverser les voies pour aller composter son billet sans faire un grand détour...

Si les 6500 A n'avaient pas été prématurément ferraillées, on n'en serait pas là : http://www.cheminots.net/forum/index.php?/topic/28235-les-prototypes-oublies/

Y a-t-il des consignes particulières à appliquer pour la conduite des TGV qui font l'ouverture des LGV ? Quelle est l'utilité d'avoir un TGV non commercial qui fait l'ouverture (avec le coût que cela doit supposer) ?

Au moins, la remise, en ayant trouvé une nouvelle utilité, a pu être à peu près sauvegardée... Sans quoi, elle serait sans doute tombée en ruine depuis longtemps, ou encore aurait été démolie.

Sur la ligne Sens - Troyes ?

J'admets ! (début du mode troll) D'ailleurs, j'ai une question. L'autre jour, je suis arrivé sur le quai alors que les portes étaient fermées et que le chef de service était en train de donner le signe du départ. Du coup, comme c'était un train à réservation obligatoire, j'ai dû acheter un nouveau billet. Seulement voilà : je suis certain que le chef de service n'avait pas la tenue réglementaire. Du coup, il n'aurait pas du donner le départ du train, et du coup, j'aurais pu monter dedans malgré le fait que je sois à la bourre. Est-ce que vous pourriez m'aider à demander le remboursement de mon billet, en publiant sur ce site les documents internes SNCF qui régissent la tenue des chefs de service ? (fin du mode troll)

Région Centre ?

Sans vouloir nourrir les trolls réels ou supposés, je dois dire que ça m'arrive souvent de monter sans billet composté (parce que je suis souvent à la bourre) et ça n'est pas toujours facile de trouver le contrôleur qui ne passe pas toujours dans la rame : - À l'époque où des Corail circulaient encore sur Lyon - Clermont-Fd (d'ailleurs, on devrait ouvrir un sujet sur le thème de la disparition des rames tractées... comment ? il y a déjà une cinquantaine de sujets ouverts là-dessus ? bon, si vous le dites... ) il m'est arrivé de parcourir la rame en entier deux fois de suite pour trouver l'ASCT (fort sympathique d'ailleurs, mais lors de mon premier passage, je n'avais pas plus prêté attention que ça à cette voyageuse en veste grise dans un compartiment dont la porté était fermée). - Dans les UM d'AGC (ah, ces AGC, ça ne vaut pas les Corail... quoi ? je me répète ?), il m'est déjà arrivé de ne pas trouver l'ASCT et d'en déduire qu'il se trouvait dans l'autre rame. Sauf qu'en réalité je n'avais pas assez fait attention, mais il était compréhensif et ne m'a pas verbalisé lors du contrôle.

Il est normal que tout prévenu soit défendu par un avocat, et il est normal que l'avocat cherche des motifs d'atténuation de la responsabilité de son client. Mais de là à raconter n'importe quoi... heureusement, le ridicule ne tue pas ! Si je me souviens bien, le gus n'était pas assuré, et ça semble assez logique, je ne vois pas quelle assurance couvrirait un conducteur sans permis.

ça ne ressemble pas du tout à Massy.

Et il faut aussi engager d'urgence un gigantesque chantier, au niveau national, pour mettre au bord de toutes les autoroutes, nationales, départementales et chemins vicinaux, des glissières et des bandes réfléchissantes. Même chose en ville sur les façades ou au bord des trottoirs. Une sortie de route est si vite arrivée ! même sans parler des vilains TGV qui déraillent exprès pour écraser les voitures (sûrement un coup des syndicats !).

Et quand quelqu'un soupçonné d'être l'auteur d'une infraction est ensuite blanchi, le STIC n'est pas toujours mis à jour... sans parler des confusions entre victimes et suspects.

Il y a une chose que je ne comprends pas, c'est pourquoi les agents de la SNCF devraient bénéficier d'un régime plus dur que celui applicable aux salariés du privé. Il me semble qu'il n'y a que trois situations possibles : - Celui des agents de sécurité (vigiles...) qui en bonne logique devrait aussi être celui des agents de la Suge : ils doivent avoir un agrément préfectoral délivré après consultation du fichier STIC. Mais la délivrance et le retrait éventuel de l'agrément sont l'affaire du préfet, pas de l'employeur (qui n'a besoin que d'une seule information : savoir si son employé est agréé ou non). - Celui des fonctionnaires, pour qui lors de l'embauche, le bulletin n° 2 est consulté (par l'administration, qui seule peut avoir accès au bulletin n° 2). - Celui des autres salariés, à qui l'employeur peut demander la copie du bulletin n° 3. Dans ce troisième cas, je ne vois pas pourquoi le salarié devait déclarer des condamnations ou des informations autres que celles figurant au bulletin n° 3. À vérifier avec un avocat...

Le fait qu'il y ait un litige n'enlève rien aux obligations des deux parties. Tu dois donc continuer à payer ton loyer, de même que ton bailleur doit continuer à te délivrer des quittances. S'il ne délivre pas les quittances (qui, rappelons-le, doivent être envoyées gratuitement au locataire), saisis le tribunal d'instance d'une demande d'injonction de faire. C'est une procédure sans assignation et sans avocat, il suffit de remplir ce formulaire et de l'adresser au tribunal : http://www.vos-droits.justice.gouv.fr/art_pix/form11723v05.pdf Pour ce qui est du toit, qu'est-ce qui prouve que ton chat est en cause ? N'hésite pas à te faire conseiller : - les ADIL (associations départementales d'information sur le logement) délivrent des conseils juridiques gratuitement (elles sont financées par l'État, par les bailleurs institutionnels comme les offices de HLM...) mais elles ne prennent pas en charge la procédure ; - les associations de consommateurs (UFC, CLCV...) peuvent t'assister dans tes démarches, voire relayer ta demande auprès du bailleur (bien sûr il faut adhérer, et verser une petite participation financière pour les courriers envoyés par l'association).

Île-de-France ?

On devrait surtout faire payer aux imprudents les désagréments occasionnés à la SNCF et à de nombreux autres usagers. Sans compter que ça n'en finit pas puisque plus il y a de gens sur les voies plus les trains sont en retard, et plus les trains sont en retard plus leurs passagers descendent à leur tour sur les voies... C'est vraiment n'importe quoi. Ce qui me surprend est qu'on puisse ouvrir les portes à l'arrêt. C'est le cas sur les Corail, mais est-ce le cas sur les Z2N et Z5300 ?

L'article du Parisien : http://www.leparisie...011-1411460.php

Oui mais son financement n'est pas encore bouclé.

Voilà ce que dit Infolignes : Les perturbations se sont en fait poursuivies après 16 heures puisque c'est vers 18 heures que mon train a été bloqué à Villeneuve.

Devant prendre le 5971 (Bercy 15 h 58 - Clermont-Fd 19 h 33), je suis passé par Châtelet où un message annonçait qu'il n'y avait aucun train sur le RER D. J'ai cru que cela ne me concernait pas puisque je ne prenais pas le RER D... et quand je suis arrivé à Bercy, la salle des pas perdus était pleine, mon train affiché comme étant à l'heure, sauf qu'il n'y avait pas une seule rame en vue dans la gare. Et quand on est enfin partis, on a été à nouveau bloqués pas mal de temps à Villeneuve-St-Georges à côté d'un TER Bourgogne car il y avait à nouveau une personne sur les voies.

Certes mais comme cela a été relevé dans les (nombreux) sujets sur la disparition des rames tractées, la question n'est pas seulement de savoir par quoi remplacer les vieux diesels affectés au service voyageurs (72100, 67300-67400...) mais aussi par quoi remplacer les voitures Corail qui, quel que soit le sort (peu brillant) qui leur est réservé, n'ont de toute manière qu'une espérance de vie limitée. Donc, si les rames tractées disparaissent et que les Bibi n'ont pas une capacité suffisante, que verra-t-on d'ici 5 ou 10 ans sur des relations telles que Paris-Troyes ? Des Regiolis ?

Oui, c'est tout à fait ce que je pensais en disant que ces limites (du point de vue du client) n'ont pas dû échapper à la SNCF, au contraire...