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Le Web des Cheminots

pompon

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Tout ce qui a été posté par pompon

  1. Etait-il possible de constater l'état de la victime depuis un quai ou à la rigueur depuis une piste? Lui proposer de venir voir l'aurait peut-être, sinon calmé, du moins fait ravaler sa rage. Bon c'est vrai que c'est pas très drôle de s'imposer ça pour calmer un con... Mais je crois qu'il se serait tu dès que tu lui aurais fait la proposition. J'ai eu affaire une fois à un voyageur un peu dans le même genre, la loco était en panne, et il commençait à râler : "en panne, tu parles, c'est encore un fainéant qui vient de se mettre en grève!" Je lui ai proposé de venir avec moi pour parler avec l'ADC, essayer de le convaincre de reprendre le travail ou l'aider à dépanner sa loco... pas de réponse. Fou de rage, il est descendu sur le quai pour se calmer...
  2. Tu peux le faire en tant que vilain droito non syndiqué dictateur... cartonrouge
  3. J'ai lu (dans LVdR je crois) qu'Alstom annonçait plus de 20 MW de puissance potentielle. Qu'en est-il exactement ???
  4. Le problème du PAC, c'est surtout que ce n'est pas adapté aux vitesses élevées parce que ça n'a aucune souplesse. Le fil de contact doit être "parfaitement" rectiligne (en profil; en travers il est bien sûr en zig-zag) MAIS il doit aussi être capable d'absorber les inévitables variations de pression du pantographe. Tout "point dur" est à proscrire. Or, sur un PAC, chaque raccord constitue un point dur potentiel. Sur la ligne C intra muros, je ne crois pas que les vitesses soient supérieures à 80 km/h. Au delà, il faut obligatoirement une caténaire, c'est-à-dire un fil de contact suspendu à un fil porteur, l'ensemble des forces (poids + tension) étant équilibré de façon à ce que le fil de contact soit rectiligne en l'absence du pantographe. Lorsque le panto passe, il soulève nécessairement légèrement le fil de contact. Sur une caténaire, cela produit la fameuse onde. Sur un PAC, pas de soulèvement mais sans doute un léger choc à chaque raccord. Pas grave à moins de 80 km/h, la rigidité de la poutre permet au fil de contact de le supporter. A priori, je dirais que c'est l'archet qui déguste. A plus de 100 km/h, j'imagine que la fatigue devient excessive pour une exploitation commerciale. A 300 et plus, on n'en parle même pas.
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