Probablement un audit de l'exploitation actuelle qui avait été radicalement modifiée.
Le rapport charge le conducteur tout en évoquant un grave problème de sécurité et d'ergonomie. Il souligne également l'inadaptation de la réglementation applicable par défaut aux trains à crémaillère (considérés comme remontées mécaniques et non pas comme transports guidés). Les carences de l'exploitant en matière de formation des conducteurs sont également soulignées.
Rien en revanche sur les différents incidents survenus au cours de la première année d'exploitation, ni sur l'organisation actuelle. Comme fort heureusement aucune victime n'était à déplorer, le rapport ne secouera pas les décideurs auvergnats.
Sur le plan administratif, le BEA TT invite le législateur à rattacher les chemins de fer à crémaillère à la réglementation des transports guidés.