Aller au contenu

cheminot retraité

Membre
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par cheminot retraité

  1. Pour info : Google Chrome ou Firefox. Mais, à la réflexion et à l'observation (et la répétition sur un autre site), ça vient de la touche du clavier qui revient mal et reste enfoncée. Besoin d'un nettoyage / décrassage.
  2. La question de la publication initiale était : "Quels recours ou démarches sont possibles pour contester cette réforme ?". Le régime de travail en temps partiel thérapeutique au moment où la procédure a été engagée ou que la commission idoine (de réforme) a statué est sans incidence. Ce temps partiel thérapeutique n'était pas le sujet.
  3. Le droit à F.C. de l'ascendant est ouvert dès que l'ouvrant droit en a fait la demande, sous réserve de délai de traitement de rigueur de 15 jours comme mentionné dans le référentiel RH. Il peut arriver que la demande soit incomplète ou ait besoin de précisions et que l'agence famille sollicite des compléments mais sa pratique n'est normalement pas de remettre en cause la date de la demande conditionnant l'ouverture des droits au prorata de l'année en cours. Pour un ascendant, normalement il n'y a pas trop matière à dossier incomplet, du moins du fait du demandeur ouvrant droit. La procédure n'exige de cet ouvrant droit que ceci : On ne peut exclure qu'en raison d'une situation particulière et au cas par cas l'agence famille ait besoin d'un autre justificatif mais sans incidence pour la suite. Je ne suis donc pas du tout convaincu que les 2 F.C. de 2024 aient été attribuées par erreur.
  4. J'ai eu du mal à citer une sélection dans une publication. Le passage s'effaçait immédiatement, le curseur dans le texte collé revenant en arrière sans pouvoir l'arrêter. En m'y reprenant à plusieurs reprises, j'ai enfin réussi à fixer le texte. Peut-être un problème de mon côté (un comportement de virus) ? Sinon, c'est la configuration technique du forum. Je le signale au cas où il y aurait d'autres cas similaires.
  5. La rupture du contrat de travail par admission à une pension de réforme passe nécessairement par l'avis d'une commission.
  6. Echelon Or, 200 €. Echelon Vermeil, 145 €. Echelon Argent, 92 €. Ce sont les montants du barème 2024, mais je ne crois pas que ça ait changé en 2025. C'est une seule fois, sans incidence sur la rémunération. Deux jours de congés supplémentaires (cf. RH00143) :
  7. En cas de désaccord avec la décision de mise à la réforme un recours peut être exercé auprès : du Conseil des Prud’hommes, si la contestation porte sur la décision de mise à la réforme ; du Tribunal Judiciaire (affaires de sécurité sociale), si la contestation porte sur le rattachement de la réforme à l’exercice des fonctions (accident du travail ou maladie professionnelle) ou si la contestation porte sur la décision de la CPRPSNCF relative à la catégorie d’invalidité retenue par le médecin-conseil. Les voies de recours et les délais sont mentionnés sur la notification de la mise à la réforme. De mémoire, ils sont assez courts. C'est un type de contentieux aux frontières du droit civil (code du travail) et du droit administratif. La procédure judiciaire est pleine de chausses trappes. Pour ne pas avoir à se coltiner le Conseil d'Etat (dans combien d'années ?) il faut surtout se garder de contester le droit pour la Sncf via l'avis de la commission de réforme puis l'avis conforme du médecin conseil de la Cprpf de prononcer la rupture du contrat de travail par admission à la réforme car ce sont des dispositions statutaires et relevant du régime spécial de retraite . C'est seulement le strict respect de la procédure de réforme et le caractère réel et sérieux des motifs qui y ont conduit qui feraient l'objet d'un contrôle par le Conseil de prud'hommes. Et ça se résoud en dommages et intérêts (article L.1235-3 du Code du travail : entre 3 et 15,5 mois d'indemnités pour licenciement sans cause réelle et sérieuse ici en fonction du préjudice subi, chiffré et établi). Idéalement une procédure de réforme, ça s'aborde, ça se contrarie, ça se conteste en interne dans l'entreprise avant que la décision ne soit prise. Notamment en s'appuyant sur les obligations de recherche d'un reclassement et de maintien dans l'emploi. Il y a même un accord collectif d'entreprise sur le sujet. Dans ses recommandations et guides pour les acteurs RH, l'entreprise le rappelle bien :
  8. A t'on le droit à 2 FC au titre de l'année 2024 ? La réponse est oui puisqu'elles ont été accordées ! La règlementation dit qu'il n'y a pas d'attribution rétroactive. C'est à dire que si l'ouvrant droit n'a pas demandé le bénéfice des F.C. pour son/ses ascendant(s) il n'y aura pas de rattrapage sur la/les dotation(s). Ici la demande a été faite par l'ouvrant droit (l'agent en activité) en octobre, donc une dotation à attribuer pour 3 mois. D'où le calcul arithmétique refait plus haut par ADC01. Après arrondi, une dotation de 2 F.C. Certes le dossier n'était complet qu'en décembre. Parce qu'il manquait des pièces, qu'il y a eu des errements dans le traitement de la demande, un retard peut-être. L'agence famille n'aura pas considéré que cela reportait la date à laquelle la demande a été faite. C'est heureux finalement.
  9. C'est moi qui ne comprends pas bien ici les interrogations. Mfcd cumule les droits et en valide l'utilisation au fur et à mesure sans qu'il ne soit ni nécessaire, ni utile de savoir si c'est une dotation de telle ou telle année. A un moment, le compteur a affiché 4 puis 6. Puis ce solde a baissé au fur et à mesure d'une utilisation. Utilisés ou pas, les droits de l'année précédente sont perdus au 31 juillet. Entretemps, une nouvelle dotation de 4 arrive (en janvier). Celle-ci est valable jusqu'au 31 juillet de l'année suivante. En conséquence, entre janvier et juillet de la même année s'il y a encore des cases de la dotation de l'année précédente elles se cumulent.
  10. Oups, non ! Pas de réduction 90 % pour un ascendant. Argument valable pour un actif ou retraité et ses ayants droits (conjoint et enfants à l'exclusion des ascendants).
  11. Il s'agit ici des facilités de circulation d'un ayant droit ascendant. Lesquels n'ont une dotation annuelle de facilités de circulation que de 4 dates. La règlementation parle encore de "cases" par référence au temps où ces F.C. dématérialisées aujourd'hui étaient encore sur suppport papier (des cases quoi...). Dans le décompte de 6 exposé, il y en a eu 2 pour l'année 2024 (période octobre - décembre, un prorata) et 4 la dotation annuelle 2025 (valable jusqu'au 31 juillet 2026). La validité de chaque dotation annuelle s'étend du 1er janvier de l'année d'attribution au 31 juillet de l'année suivante. Le compteur se met à jour automatiquement soit à échéance de validité, soit à l'occasion de la validation d'une F.C. (sur Mfcd - Mes facilités de circulations dématérisalisées). Les ayants droit ascendants ne sont pas bénéficiaires de la réduction permanente de 90 %. Ils n'ont d'ailleurs pas de carte de circulation pour en justifier. Pour un ayant droit, Sncf Connect ne sait pas à qui il à affaire. Des options tarifaires sont proposées. Il appartient au voyageur - à l'ayant droit sous le contrôle et la responsabilité de l'ouvrant droit - de sélectionner le bon tarif selon les droits ouverts. Surtout pas de réduction 90 % pour un ayant droit ascendant !
  12. Lu en diagonale, le médecin du travail se trompe. Le temps partiel thérapeutique (pas nécessairement un mi-temps), avant d'être un temps de travail à temps partiel comme bien nommé, c'est un arrêt de travail maladie mais il n'implique pas une suspension totale du contrat de travail ni donc de l'activité professionnelle. Je n'ai pas connaissance d'un autre référentiel que le RH00359 (plus ou moins caduc d'ailleurs mais personne ne semble avoir eu le courage de le réécrire *), lequel ne prévoit pas la restriction dont le médecin du travail fait état. Donc, renvoyer ce dernier à la lecture du référentiel ! Plus facile à dire qu'à faire. La cellule d'expertise RH pourra utilement être consultée par ce médecin ou les acteurs RH. gilles_tagada est hors sujet avec ce qu'il cite venant de l'article L.3123-27 du Code du travail. La durée minimale du temps partiel lors de la conclusion d'un contrat de travail est en effet réglémentée et fixée à 24 heures. Ce n'est pas le sujet ici. Le minima de cet article n'est donc pas opposable pour déterminer le temps de travail résiduel lors d'un temps partiel thérapeutique. Il y a des temps partiels thérapeutiques à 65 %, à 70 %, à 80 % (...) comme à tous les pourcentages, même conduisant à une durée de travail inférieure à 24 heures hebdo. ____ * Réécrire le RH00359 pour le mettre en totale conformité avec la législation sociale de droit commun, ce serait comme le jeu du Mikado. Des éléments jetés en tas. En retirer un sans en faire bouger aucun autre.
  13. Globalement, le corps social cheminot est satisfait qu'une version des faits différente de celle de la voyageuse verbalisée soit diffusée et commentée.
  14. La suite... (deuxième version comme titré) : https://www.20minutes.fr/societe/4170141-20250829-comportement-odieux-temoins-chat-miaule-tgv-racontent-scene?xtor=EREC-182-[actualite]
  15. Ce sont les positions de rémunération de fin de carrière. Ce n'est applicable que depuis avril 2025 et donc peut-être pas encore très vulgarisé. En substance : OMS = Objection Motivée du Service.
  16. Nous vous offrons ce quiz. https://www.alternatives-economiques.fr/quiz-etes-prets-bataille-de-louverture-trains-a-conc/00115815?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_content=02082025&utm_campaign=quotidienne
  17. Le plus sûr et le plus efficace, c'est toujours de faire une demande en ligne sur le site de la Cprpf (espace personnel). https://secure.cprpf.fr/EP/fr/group/guest Reste à trouver la bonne rubrique - du moins la plus approximative - mais quelle que soit la manière dont la question aura éré répertoriée parmi les rubriques et sous-rubriques ça finira par être soumis rapidement à qui de droit. Tandis que par le courrier postal, ça risque de se perdre dans les méandres de la Cprpf.
  18. Ton temps de travail annuel sera de 1589 heures ou 1568 heures selon ton régime de travail. Ce qui fait donc autour de 200 jours de travail si le temps de service journalier est de 8 heures. Le reste ou le surplus (au bas mot 165 jours quand même !) ventilé en repos (périodiques, hebdomadaires), congés, compensations, RTT, fériés. Au sein de la SNCF, c'est calculé et quantifié de manière assez spécifique (et précise, à la minute près !) mais ce n'est somme toute pas si différent que ce qui se fait ailleurs avec un temps de travail hebdomadaire légal de 35 heures. Selon que la journée de travail serait de 7 heures (5 fois 7 le compte est bon) ou de 8 heures ou autour, le nombre de jours de travail variera automatiquement à due proportion. Le cheminot lambda, puisque c'est de lui qu'on parle ici, sera parfois à 48 heures hebdo (6 journées successives de 8 heures). Il faut bien qu'il reste à la maison ensuite pour compenser. Quand on a compris ça, on a (presque) tout compris ! Je ne suis pas totalement sûr que les collègues qui disent combiner aient quant à eux forcément tout compris.
  19. Pour les cinéphiles : HAL 9000 dans 2001, l'Odyssée de l'espace. Il a fallu le débrancher pour reprendre le contrôle !
  20. Bon, pour essayer de faire plus simple et plus juste. Tes nuits de travail sont trop longues ! Si, si. Donc pour réduire, des repos compensateurs te sont accordés. D'où le compteur de RN qui tourne pour réduire le temps de travail et compenser la pénibilité. Tout ce qui est RU, RQ, RN (il y en a d'autres ? je ne sais plus...) vise à réduire le temps de travail. Il y en a plus ou moins selon que la durée journalière moyenne de service est de 7h25, 7h45, 8h02, 8h23, 8h51, ... C'est le régime de travail qui définit cette durée moyenne. Le travail de nuit, puisque c'est de lui qu'on parle ici, étant par ailleurs soumis à un certain nombre de taquets. La règlementation du travail est somme toute extrêmement flexible à la SNCF. C'est parce que les trains roulent 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. C'est donc parce que c'est très flexible et par nécessité souvent très dérogatoire au droit social commun (Code du travail) qu'il y a des règles, des, limites, des taquets, des compensations, des exceptions... Sinon il n' y a plus de limites ! Environ une quarantaine de règles de base à assimiler (idéalement) en matière d'organisation et de répartition du temps de travail. Tu vas finir par en savoir plus que le chef qui te demande de prendre des congés (terme générique qui dans l'esprit du chef ne sont pas forcément que les congés payés de droit commun). Il y a un gestionnaire de ton temps de travail (le chef ?) qui connait normalement tout ça. Peu à peu, il expliquera. Les collègues aussi. Encore que les collègues s'inventent parfois des règles qui n’existent pas !
  21. Le directeur de la CPR dispose de 15 jours pour former une opposition motivée à la mise à la réforme et informer l’entreprise de sa décision. S'il n'a pas répondu dans ce délai, il est forclos (perte définitive des droits de la caisse de s'opposer pour avoir laissé passer un délai impératif pour agir). A la réflexion, je ne suis même pas sûr qu'il y ait une réponse de la CPR si son directeur ne s'oppose pas. Comme il a été dit précédemment, la rupture du contrat de travail aura déjà été notifiée. L'attente de la position éventuellement contraire de la CPR c'est seulement pour invalider cette mise à la réforme et la stopper net avant que le contrat de travail ne soit définitivement rompu au terme du préavis. S'il n'a rien à dire, il n'est rien attendu de sa part.
  22. Les congés payés (on dit réglementaires dans le vocabulaire RH maison) : 28 jours. Soit 2,5 jours par mois. C'est somme toute le droit social commun. Pour le reste, en sus des repos hebdomadaires et périodiques, il s'agit de repos complémentaires et autres réductions du temps de travail. Voir le détail dans l'accord colectif sur l'organisation du temps de travail. Lecture difficile mais on s'y fait ! 01 - Accord collectif organisation temps travail GPF.pdf
  23. Question éminemment juridique à laquelle je ne saurais répondre. J'ai quand même regardé un peu. Sur la base de l'article 15 du Règlement Général de Protection des Données, la CNIL dit que oui. A bien lire, c'est quand même limité au besoin de justification ou de preuve de la conclusion d'un contrat (lire une commande à distance) en cas de litige. Pas sûr que le client simplement mécontent, mal reçu, ait ce droit d'accès. Faudrait essayer ! Avis aux amateurs... pour qui connait la maison !
  24. Le cadre légal c'est 6 mois pour l'enregistrement lui-même, 12 mois pour l'analyse et l'évaluation qui en ont été faites. La préconisation de la CNIL c'est de ne les conserver qu'à faible délai ("enregistrement tampon") comptabible avec la finalité (contrôle qualité). https://www.cnil.fr/fr/lecoute-et-lenregistrement-des-appels-sur-le-lieu-de-travail#:~:text=Sauf texte imposant une durée,conservés jusqu'à un an. Dans les centre de RCAD, il y a un cadre pour tout ça. Je me souviens, il y a longtemps, avoir été dans la boucle de la concertation. Il va falloir demander au délégué du coin, sinon au dirigeant local.. Idéalement aux deux pour confronter leurs informations si des fois elles divergent. Il est admis qu'un usage managérial abusif constituerait un risque psycho-social en raison du stress qu'il occasionne. A tous les coups, ça fait l'objet d'une entrée dans le document unique d'évaluation des risques professionnels mais comme pas grand monde ne sait ce que c'est... La question "c'est enregistré je suppose", si elle vient de quelqu'un travaillant en RCAD, est troublante et interroge sur l'information à la prise de poste. Les clients qui appellent entendent un message vocal à ce sujet. Normalement, ils sont invités - s'ils le souhaitent - à s'opposer à l'enregistrement lequel n'est qu'une éventualité, la pratique n'étant pas systématique et serait impossible vu le volume. En tout état de cause, les enregistrements systématiques et en continu sont prohibés (il n'y a que les services de secours qui font ça pour des raisons légales). Le fait que la question soit posée me fait donc penser que l'opérateur qui serait saisi d'une objection à tout enregistrement par le client ne sait pas quelle procédure il doit mettre en oeuvre pour que ce refus soit effectif. Or il doit bien y avoir une procédure, sinon à quoi bon ?
  25. Le préavis débute à la date à laquelle la SNCF notifie la réforme (le 11 juillet dans l'exemple qui précède). Cette rupture du contrat de travail est soumise à un avis conforme de la Cprpf qui, s'il n'était pas délivré, suspendrait (annulerait même) la décision déjà notifiée par la SNCF (pure hypothèse d'école). L'invalidité de 2eme catégorie (a fortiori 3eme catégorie) porte le minimum de pension garanti à 50 % de la rémunération de référence. Dans la pratique il n'y a jamais d'invalidité réduite à la 1ere catégorie (plus du 1//3 de capacités résiduelles de travail ou de gain) puisque inaptitude totale et définitive à tout emploi à la SNCF. Sinon il faudrait sérieusement s'interroger non pas tellement sur l'invalidité mais sur l'impossibilité de tout reclassement.

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.

Configure browser push notifications

Chrome (Android)
  1. Tap the lock icon next to the address bar.
  2. Tap Permissions → Notifications.
  3. Adjust your preference.
Chrome (Desktop)
  1. Click the padlock icon in the address bar.
  2. Select Site settings.
  3. Find Notifications and adjust your preference.