
cheminot retraité
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https://www.20min.ch/fr/story/suisse-les-cff-tournent-la-page-du-coca-cola-a-bord-des-trains-103362915?fbclid=IwY2xjawK63glleHRuA2FlbQIxMABicmlkETBHaUt6OVF0RnNUMmFMU2hLAR59LqOWsB9YmUOsejpSNbeQDchotCb5110gAqMn-CFfrOQgB6-yX9xfPyKSjw_aem_HCxRnbxd-IUMYcEAlko4xg _____ On me souffle dans l'oreillette qu'Eurostar (Thalys) avait déjà remplacé le Coca Cola par un Ritchie Cola et au bar par un cola Organic.
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Je n'ai pas situé ce que pouvait signifier VC. J'ai donc zappé en citant.
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Le modèle historique de Ouigo (une marque de service seulement de Sncf Voyageurs) c'était auparavant IdTGV). Pour faire simple : (IdTgv) opérateur distinct de la maison-mère (même si elle a mis au pot la mise de fond et par la suite épongé la perte très significative de capital), à charge de se débrouiller avec son matériel, sa distribution, ses clients. Sncf "maison mère" ne fournissant que la traction, fort opportunément car la rame IdTGV étant l'unité multiple d'un TGV (de la Sncf, la vraie), il y avait une économie d'échelle. J'imagine en comptabilité analytique un partage de la dépense mais il n'aurait sans doute pas dû aller trop fouiner. Mais bon, IdTGV a vécu. Il a aura au moins permis de capitaliser (à défaut de gagner des sous) une certaine expérience de tous les problèmes et aléas qui peuvent survenir à un nouvel opérateur (suivez mon regard !). Comme on ne refait pas deux fois les mêmes erreurs (encore qu'avec IdTGV il s'agissait sans doute seulement de tenter le Diable pour apprendre), Ouigo est aujourd'hui soigneusement niché dans les comptes de Sncf Voyageurs. De sorte que quelque autorité européenne ou de la concurrence serait sans doute bien en peine de savoir si c'est vendu à perte ou pas ! Pourvu que ça dure ? Mais pour que ces pertes ne se voient pas, ou alors qui sait qu'il n'y en ait pas ou le moins possible, il n'est pas impossible qu'en opérationnel les boulons soient serrés de toutes part. La stratégie de l'inspiratrice de Ouigo (je l'ai eue comme DRH) était d'optimiser. La disponibilité des rames (davantage de circulations avec moins de matériel roulant), leur capacité (davantage de voyageurs à bord), des roulements de personnel (service à bord et agents de conduite ici pour le coup tendus.. mais socialement sa passe visiblement au prix sans doute de quelques arrangements cachés, je connais la maison !). Bon revenons à notre "grosse panne" (sic) Ouigo. Je n'ai pas suivi quel chat noir ou autre Murphy (et sa loi) est responsable. Le matériel, l'infra, la faute à pas de chance ? Un peu de tout ça ? Toujours est-il que Ouigo est vraiment dans l'embarras avec ces aléas majeurs. Car qui dit Ouigo, dit transbordement des voyageurs et réacheminement des voyageurs par / sur Ouigo. Sinon, le guichet Sncf Voyageurs est ouvert ! Bientôt (?) à l'ouverture du Journal Télévisé lorsque des voyageurs Ouigo (qui je le répète n'est pas distinct de Sncf Voyageurs et peut donc compter sur une certaine solidarité interne qui de TGV Inoui, qui même de TER) se retrouveront en rade à regarder les autres trains passer. Maintenant à chacun de transposer avec un opérateur qui ne sera pas de la famille Sncf !
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Alerte phishing Sncf Connect
un sujet a été posté par cheminot retraité dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
SNCF Connect ne vous demandera jamais de renseigner vos données personnelles (nom, âge, adresse, données bancaires, mots de passe, infos compte client...), ni par mail ni par SMS. https://www.sncf-connect.com/aide/alerte-email-et-sms-frauduleux?eml-publisher=adobe&eml-name=nl_fr-
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Le train Paris-Nantes, avec 700 personnes à son bord, s'est arrêté un kilomètre avant la gare de Beaugency, en raison d'un sinistre électrique. Face à cette "grosse" panne, la décision a été prise de faire sortir les passagers des wagons en attendant qu'une solution soit trouvée. Vers 23 h 15, un nouveau train est arrivé sans pouvoir rallier Saint-Pierre-des-Corps ! https://www.larep.fr/beaugency-45190/faits-divers/un-train-bloque-a-la-hauteur-de-beaugency-avec-700-personnes-a-son-bord_14703759/?fbclid=IwY2xjawK5hnVleHRuA2FlbQIxMQBicmlkETBHaUt6OVF0RnNUMmFMU2hLAR7z3CmajkGUfqaPgvw6C2mVyKgZJeEMEdvQ54XjL4aPaaoRAxD8xq8oUt2U0A_aem_UVLvlmtzEGW4Yqo_54TfaQ
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CFDT Cheminots - RCAD
cheminot retraité a répondu à Infos CFDT Cheminots situé dans Informations syndicales
L'admission à une pension de réforme est une disposition du régime spécial de retraite. Pour faire simple, c'est le pendant de l'invalidité dans le régime général. Ici "inaptitude totale et définitive à tout emploi à la Sncf". C'est une disposition pérenne pour le personnel sous Statut transféré à un nouvel opérateur. -
C'est de la segmentation du marché. Dégrader (modérément ou dans les limites acceptables par le client) sur certaines offres pour donner une valeur supplémentaire à d'autres. Les voies du marketing sont par nature parfois impénétrables. Ce qui compte c'est l'agilité à modifier les offres pour optimiser le marché et prendre des clients au concurrent (mais pas trop sinon il y a risque d'abus de position dominante).
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CFDT Cheminots - RCAD
cheminot retraité a répondu à Infos CFDT Cheminots situé dans Informations syndicales
Il s'agit de centres de relation client à distance de la Sncf (S.A. Voyageurs). Si un centre est dédié à TER et qu'il n'y plus de clients TER de la SNCF puisque ce n'est plus elle qui exploite se pose effectivement la question du maintien dans l'emploi. Le nouvel opérateur TER entrant n'aura pas manqué de lister les moyens (humains ici) dont il a besoin. Auquel cas, il y aurait bien transfert des contrats de travail sauf mobilité en rapport pour les agents SNCF qui ne l'accepteraient pas. Un nouvel opérateur peut aussi souhaiter sous-traiter cette relation client auprès de la SNCF qui deviendrait alors son prestataire de service. C'est un métier ! Ça demande des équipements, des outils télécom, informatiques... -
Il n'y a rien de conflictuel. Personne ne va rien lui dire, surtout pas la CPRPF si d'aventure il était absent lors d'un contrôle médical inopiné à son domicile alors qu'il serait en mesure de justifier de la raison de son absence. A la limite c'est son établissement (son employeur donc ce que n'est pas la CPRPF) qui lui ferait grief d'une absence ponctuelle s'opposant à son propre contrôle administratif. Il en justifierait de la même façon.
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Je crois que j'ai déjà raconté l'anecdote. Une collègue, enceinte jusqu'aux dents. En arrêt maladie avant le congé que de droit. Contrôle médical à l'initiative de l'établissement (DRH). Aucune raison objective mais la DRH fera valoir que pour pouvoir contrôler des habitués des arrêts de travail en veux-tu en voilà et lutter contre l'absentéisme (une mission qui lui tenait à cœur), il lui fallait pour ne pas être suspectée de discrimination par les méchants syndicalistes contrôler aussi à tout venant, n'importe qui ! Ça tombe sur la collègue (mandatée syndicale, membre du CHSCT mais ça c'est pour l'ambiance sur la suite...). Le médecin contrôleur (celui à 115 € la consultation) sonne à l'interphone. L'interphone ne fonctionne pas, elle n'entend pas (sieste), peu importe, elle ne répond pas. Le médecin réussit à s'introduire dans le hall d'accueil à la faveur de l'entrée ou de la sortie d'un résident. Il cherche le nom sur la boite à lettres pour y déposer un avis de passage. L'intéressée ne reprendra contact avec son établissement que plusieurs semaines après. Pourquoi ? Il y a des homonymes dans l'immeuble. Et le médecin a glissé son avis de passage dans la boîte d'un autre résident parti en vacances. Ce n'est qu'à son retour qu'il portera le pli à sa voisine en lui disant : "je crois que c'est pour vous" (lui il était retraité). Quand elle reprend contact avec son établissement, première réaction hiérarchique : "Ah quand même ! Nous sommes en droit de vous suspendre le maintien de salaire". La suite vous devinez : "Stop, stop, stop ! Vous direz à votre médecin d'éviter de se tromper de boite à lettres. Et quand il n'a pas de réponse à l'interphone, de monter les étages (avec ascenseur d'ailleurs) pour sonner à la porte des fois qu'on lui ouvre". Affaire classée sans suite bien sûr puis ayant fait les grandes heures de toutes les réunions abordant les contrôles à domicile de l'établissement. Les statistiques révélèrent d'ailleurs que depuis que cette DRH était partie en croisade contre l'absentéisme, celui-ci avait augmenté ! Si elle me lit elle va se reconnaitre.
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Quand il s'agit de partir séjourner à une adresse différente pendant l'arrêt de travail, il y a effectivement une procédure à suivre et un accord préalable à obtenir. Mais là, signaler (comment ? par téléphone ? par courrier postal ? par message sur l'espace personnel ?) une sortie dans les horaires visés par l'obligation de présence à domicile, qui est-ce qui va prendre attachement de ça ? Personne. C'est mal connaitre le fonctionnement d'une caisse d'assurance maladie comme l'est la CPRPF. A la rigueur auprès de l'établissement : "Hé, ho, si des fois vous me contrôlez, je serai sorti tel jour de tel heure à telle heure". Je crois que ça va aussi étonner. Et où noter ça ?
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Si le contrôle est diligenté par la CPRPF c'est pour savoir si vous êtes malade et de quoi. C'est rarement fait au domicile ! L'assuré social est convoqué pour se rendre en consultation chez un médecin agréé. Et puis si un tel contrôle est réalisé (sans prévenir) au domicile, il sera toujours temps de justifier de l'absence momentanée avec le motif qui va bien, tiré des impératifs et nécessités de la vie courante, pour remettre ça à meilleure date. L'autre type de contrôle, beaucoup plus fréquent celui-là, c'est le contrôle dit administratif. Un dirigeant, un acteur RH... de l'établissement, dûment mandaté pour ça, qui ne vient pas vérifier si vous êtes souffrant ou pas mais vient simplement s'assurer que vous êtes à votre domicile et qu'a priori vous ne vous adonnez pas à des activités incompatibles avec votre état de santé. En cas d'absence, un avis de passage est laissé dans la boite à lettres invitant à prendre contact avec l'établissement rapidement pour faire le point et justifier du motif de cette sortie. On ne peut exclure non plus le contrôle médical à l'initiative de l'employeur dans le cadre de la lutte contre l'absentéisme car il n'y a pas d'autre justification. 115 € la consultation (tarif habituellement constaté) à la charge de l'établissement (mais bon certains négocient un tarif de gros). Dans tous les cas, en cas d'absence ponctuelle même pendant les heures de présence au domicile censées être obligatoires, il est assez aisé pour le salarié en arrêt de travail de justifier où il se trouvait, à quelle heure et pourquoi.
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Bon, un juriste dira :" Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites". Vous êtes donc dans le cadre d'un contrat accessoire au contrat de travail qui déroge au droit commun des baux locatifs. Sur le fond c'est peut-être discutable - et vous le discuterez sans doute - car le droit locatif est d'ordre public. Ce qui ne permet pas pour un bailleur (de fait ici) de l'appliquer, de l'interpréter ou d'y substituer autre que chose que ce que le législateur a voulu. Les conseilleurs ne sont pas les payeurs mais j'ai bien quelques idées sur la manière dont vous pourriez agir. Je vous envoie ça en message privé.
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Un pass Carmillon se présente comme ça : Image d'illustration (fictif). Et on ne se connecte pas (sic) à son pass Carmillon. Par contre, comme tout un chacun, sur Sncf Connect, on crée un compte client. Et comme il est associé à des droits tarifaires spécifiques (les facilités de circulation bien nommées), le code confidentiel 5 chiffres du pass Carmillon sera à l'occasion demandé pour vérification. Idem sur les automates. Parfois aussi je crois à un point de vente physique en face en face pour certaines opérations mais comme je fais tout sur Sncf Connect, je ne sais plus...
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Je reviens ou je relance le sujet car mes entrées ici et là m'ont permis de soumettre le montant cité dans la promesse d'embauche et d'avoir la bonne réponse et la bonne explication. Il m'est confirmé (de source sûre) ce qui suit. La grille de salaire minimum annuel garantie à la SNCF est bien a minima à 10% au-dessus du SMIC. Le SMIC n'est donc pas la référence à la SNCF, il faut regarder la RAG (Rémunération Annuelle Garantie) issue de l'accord de branche, mais plus précisément de l'accord d'entreprise plus avantageux. Pour le cas des agents de conduite, un document de transposition indique que : "Les salariés en formation initiale après leur embauche relèveront de la classe 1 conformément à l’article 6 de l’annexe à l’accord de branche durant cette période de formation. Cette exception au principe général de détermination de la classe en référence à l’emploi type exercé n’emporte pas de conséquence sur la fixation de la rémunération en référence à l’emploi type ciblé par la formation." Un agent de conduite de ligne sera classe 4 après l'examen donc selon la grille 26165 € annuel garanti. Il faut inclure la prime de traction. La Valeur Moyenne Théorique lors de la formation initiale d'un conducteur de ligne est de 631,90 € / mois. 631,90 X 12 = 7582,80 € Si l'on rajoute au salaire de 21500 € annoncé, nous serions pendant la formation à 21500 + 7582 = 29082 € / an. Là-dedans il n'y a pas les éléments variables de solde (autres que la prime de travail / traction). Par rapport aux 2500 € brut mensuel espérés, ça devrait donc le faire. Le souci est que la prime de travail est payée à M+2, donc les deux premiers mois peuvent effectivement être en dessous du SMIC mais une indemnité compensatrice serait alors versée. Voilà, c'est plus clair comme ça même si pour ma part je commence à m'y perdre un peu... (la prime de traction, aux mécanismes de calcul de laquelle je n'ai jamais trop rien compris - et je ne suis pas le seul ! - mais ce n'est pas grave puisque je n'étais pas ADC).
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Je vois (enfin je lis...). Ce n'est pas un reproche. Ça signifie peut-être que c'est fort mal expliqué. Comme il a été dit, les facilités de circulation, le pass Carmillon, ce n'est pas payant (sic). Par contre c'est dorénavant un avantage en nature. Ci-dessous les explications à ce sujet (extraits) qui furent adressées à l'ensemble du personnel, ce qui sera peut-être plus clair ? Pour la petite histoire (sociale), l'impact moyen et théorique de ces cotisations sociales et de la fiscalité inhérente a été compensé à la louche sur la rémunération de base. Mais ça un nouvel embauché ne le voit pas. Pour un ascendant, ce qui était une partie du propos ici, les droits à facilités de circulation sont ceci : Sur la complémentaire santé (Mutuelle) Humanis il s'agit d'un contrat collectif d'entreprise. L'affiliation y est donc obligatoire, sauf dispense légale (notamment celle d'être ayant droit d'une autre couverture collective obligatoire similaire, par hypothèse via le conjoint). Dans ton cas, ton employeur actuel ne va pas continuer à financer la Mutuelle de ton secteur d'activité. Tu en seras donc radié. Ça risque sans doute de se faire automatiquement. Tout comme ton affiliation à Humanis sera aussi automatique puisque obligatoire en tant que salarié de la Sncf. C'est pareil dans toutes les entreprises. Quelques options (surcomplémentaires) sont proposées. C'est un peu pour ça que le services RH te sollicitent. Et il y a aussi la prévoyance complémentaire (comme tu avais peut-être déjà aussi chez ton employeur actuel ?). Tu écris qu'on te propose. Non, on t'informe. Pour notamment que tu exerces tes droits d'option. Pour le principal, ce sera par défaut puisque obligatoire.
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C'est présenté comme ça pour attirer et retenir le candidat ? C'est plus compliqué ! Si intéressé, et comment ne pas l'être légitimement quand on postule, lire l'accord collectif sur l'organisation du temps de travail * en pièce jointe. Génération Y ou Z ? Les générations d'avant ne se posaient pas toutes ces questions ! Je comprends que ça devient compliqué pour les recruteurs... ____ * Comme sur ce forum il est souvent rappelé à bon escient de ne pas publier des documents internes à la SNCF, je précise à toutes fins utiles que s'agissant d'un accord collectif d'entreprise c'est un document public dûment déposé afin que toute personne intéressée puisse y avoir accès. 01 - Accord collectif organisation temps travail GPF (6).pdf
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On comparera toujours en brut. Vous enlèverez grosso modo 23 % de cotisations sociales et vous trouverez le net. Avec tous les éléments variables, c'est impossible. Aucun RH ne s'engagera là-dessus. Ça sera au mieux du domaine du on dit, on constate, ça pourrait... Comme ce sont des éléments variables tels que bien nommés, d'un ADC à l'autre ça ne sera jamais pareil. Le travail les dimanches et fête, les heures de nuit, la prime de traction (j'y reviens plus bas), d'une affectation à l'autre... ça va varier sensiblement. Pour donner une vague idée, sur l'ensemble de l'effectif (toutes anciennetés donc), la rémunération moyenne constatée est de 3827 € dans le premier grade de la traction en 2023 (source : bilan social 2024). Sachant qu'il y a déjà quelques 30 % d'écart de rémunération liée à l'ancienneté entre le nouvel embauché et l'ADC en fin de carrière, il faut faire un correctif pour avoir une idée de la rémunération de début de carrière. En tablant sur 2679 € mensuel brut en début de carrière (après formation), vous ne devriez pas être trop loin. Sous le contrôle des ADC en activité présents sur ce forum. La somme citée ci-dessus (c'est celle du Président de la SNCF et de la Direction en général devant les médias) intègre toutes les primes de ceci ou de cela (notamment la fameuse prime traction... vous découvrirez et vous revendiquerez peut-être sur ce qui est somme toute une prime au rendement !). En sus il y a les allocations de déplacement du régime spécial des roulants qui sont assimilées à des remboursements forfaitaires de frais. Il va falloir faire avec ces indications très imparfaites ou aller voir ailleurs. De tout temps, ça se sait que l'un des freins au recrutement c'est de ne pas être en mesure d'annoncer d'avance une rémunération totale garantie. Car mis à part le traitement de base, il n'y a rien de vraiment garanti !
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Certes, c'est pourquoi je voudrais en savoir davantage sur le terrain des particularités évoquées par un ADC dans la place. "J'ai la chance d'avoir un contact en conducteur de train, il m'a confirmé que c était la petite particularité de la SNCF". Pour pouvoir profiter aussi (comme les autres lecteurs de ce forum) de cette chance (sic).
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ICF NOVEDIS se place donc ici sur le terrain juridique de l'accessoire au contrat de travail. Étonnant car d'ordinaire le bailleur conteste justement cet "accessoire au contrat de travail" lorsque le locataire quitte la Sncf (par démission, retraite, décès... par rapport aux occupants de son foyer), rompant ainsi d'autorité et sans ménagement le droit d'occupation (versus un bail). La question qui se pose ici est donc de savoir s'il s'agit bien d'un accessoire au contrat de travail ? Ce n'est pas dit du tout ! J'étais resté sur l'idée que la SNCF (via ICF NOVEDIS ici) ne proposait plus de logement accessoire au contrat de travail justement parce que juridiquement c'est toujours très périlleux. Ce qui ne l'empêche pas de choisir un locataire "par préférence" parmi le personnel de la SNCF. Ce qui a certainement été le cas ici. Vous avez un bail en bonne et due forme ? Et non pas une simple autorisation d'occupation avec redevance (et non pas loyer) bien en-dessous du prix du marché ? Logiquement, le différentiel devrait être déclaré (par la SNCF) en avantage en nature mais on ne va pas lui donner des idées... C'est juste pour souligner que l'accessoire au contrat de travail ce n'est pas clair du tout. Ce logement est-il nécessaire ou présente-t-il un avantage réel pour assurer vos fonctions professionnelles et donc honorer votre contrat de travail avec la SNCF ? Dans l'esprit de l'accessoire au contrat de travail, un avantage (le logement ici) profite d'abord à celui qui l'accorde. On notera au passage que ICF NOVEDIS n'a jamais été votre employeur alors, sous cet angle, l'accessoire au contrat de travail ça commence à se discuter sérieusement ! Sur le fond c'est assez incompréhensible car lorsqu'il y a bien accessoire au contrat de travail le bailleur (on va l'appeler comme ça même s'il n'y a peut-être pas de bail) est très heureux de pouvoir récupérer le logement très vite. Pour le remettre sur le marché à son prix. Et en zone tendue, ça ira vite ! Sauf à ce que le prix soit déraisonnable pour le cheminot lambda mais ICF NOVEDIS opère dans le logement dit libre et loue donc à qui elle veut et peut payer. Je suis désolé, il y plus de questions dans ma réponse que de solution. L'expérience prouve que si vous titillez ICF NOVEDIS sur ses contradictions de fait et de droit (accessoire au contrat de travail versus bail), elle n'insistera pas forcément.
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Pour la gouverne de tout le monde on peut savoir quelle est "la particularité de la Sncf" ? Je ne nie pas qu'il y en ait beaucoup des particularités. Mais rapport au SMIC et la rémunération minimale annuelle issue de l'accord salarial, les sujets ici ? Par principe, quand on parle de rémunération ce sera toujours en brut. Ça vaut ici pour les mentions d'une promesse d'embauche car il est impossible de préjuger ce que sera l'évolution des cotisations sociales que de droit.
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Matériellement et techniquement impossible ! La gestion de la paie est centralisée. Un salarié, une classe, une ancienneté = une rémunération conforme à la grille de salaire. La promesse d'embauche n'a pas intégré le dernier accord salarial, ni le prochain non plus (les partenaires sociaux commencent tout juste à s'y coller).
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Une légende sociale. Je ne pensais pas qu'elle avait cours à la SNCF. Ton arrêt de travail se termine un vendredi. Si tu travailles habituellement les samedi / dimanche (si tu es programmé sur un poste), tu es censé te présenter à ta prise de service pour faire tes horaires. Sauf à te mettre en délicatesse avec ton assiduité et être potentiellement en absence irrégulière. Mais sinon, il n'y a pas lieu de se préoccuper de ce weekend de repos.