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cheminot retraité

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Tout ce qui a été posté par cheminot retraité

  1. "Les catastrophes ferroviaires sont une infime proportion de celles qui auraient pu se produire". Je ne sais plus qui a dit ça mais c'est un quelconque PDG ou DG de la SNCF (historique) en son temps.
  2. un sujet a été posté par cheminot retraité dans Le site www.cheminots.net
    Je ne sais pas si c'est moi ou pas (ma configuration) mais sur la boite de dialogues Chatbox ces icones en bout de ligne empêchent lors de la saisie du messsage de voir (pour relecture) ce qui est en cours de publication.
  3. La procédure de récupération d'un code (celui du pass Carmillon) est celle-ci : Mais ce n'est pas la question puisqu'il est dit que ce code a été retrouvé. Sitôt ce code retrouvé ou récupéré, j'ai envie de dire que ça fonctionne de nouveau sans délai. Mais si la question est posée, c'est sans doute que ça bloque encore. En première intention, se déconnecter (réellement - pas seulement quitter ou fermer - de Sncf Connect et vider l'historique du navigateur). (bas de la page d'accueil de Sncf Connect) Et se reconnecter en s'identifiant de nouveau comme ouvrant droit avec ce code. N'importe comment si c'est bloqué en raison de la répétition de codes faux, au bout de quelques heures l'accès va de nouveau être permis.
  4. Vu cette publication sur un réseau social cheminot.
  5. J'ai envie de dire : comme l'intitulé du poste. Un technicien, quelqu'un qui connait la technique. Pour les installations télécom. Celles de la SNCF ici (Sncf Réseau sans doute). Dont la configuration sur le terrain n'est a priori pas différente que pour les autres réseaux grand public ou d'entreprises. Finalité : il faut que ça fonctionne. Et si ça ne fonctionne pas en raison d'un quelconque aléa il faut aussi vite fait que possible remettre tout ça en route. Ces techniciens interviennent aussi à l'occasion sur des opérations de modernisation des installations. Le cas échéant en surveillance de travaux réalisés par des entreprises extérieures des fois qu'elle branchent tout à l'envers ou que ça ne fonctionne pas quand elle s'en vont (qui n'a pas connu ça chez lui ?). Venez comme vous êtes. Avec votre bagage technique et votre expérience antérieure (ça ne s'invente pas). Pour le reste, c'est un entretien d'embauche. Il faut que le courant passe. Possible d'ailleurs que le recruteur ne connaisse rien à votre domaine.
  6. Pour commencer, rappel ci-dessous des dispositions du régime spécial d'assurance maladie. Je souligne souvent que le / la cheminot(e) lambda surestime largement ses droits en matière de maintien de salaire. Vu de l'extérieur, la problématique ici c'est que le médecin conseil considère (à tort ou à raison mais c'est lui le médecin) qu'aucune reprise d'emploi ne peut plus être envisagée. Ce faisant il n'accorde pas le régime dit de longue maladie (au sens du régime spécial). En conséquence, dans l'esprit des textes pour que l'agent ne se retrouve pas sans revenu, une procédure de réforme doit être engagée en temps et en heure. Procédure qui, à 3 mois de la fin de droits à prestation en espèces (le maintien même partiel de la rémunération), aurait déjà dû être envisagée par l'établissement. Dans la pratique, si les délais nécessaires n'ont pas été ménagés, le rétablissement de la rémunération sera rétabli en attente de l'avis de la commission de réforme. La CPR est votre régime d'assurance maladie obligatoire. Que vous ayez un revenu ou pas, vous restez affiliée (c'est le principe de la Protection Universelle Maladie - PUMA ; vous ne pouvez pas être exclu d'un régime d'assurance maladie sans avoir des droits ouverts ailleurs). Les agents réformés restent également affiliés au régime spécial. Je ne saurais trop vous conseiller de vous rapprocher d'un acteur RH de votre établissement rompu à tout ça sur le plan administratif. Car je ne suis pas sûr que le service social maitrise tout dans les détails.
  7. Ça ne me dit toujours pas d'où vient ce tableau. Je n'ai pas trouvé de lien, seulement une pièce-jointe de source inconnue. J'ai regardé de mon côté sur le site de l'agence famille (celle des retraités pour ce qui me concerne) : rien trouvé de tout cela. Mieux vaudrait éviter de voyageur en 1ère classe à l'international avec une CIR 2ème classe. Ça nous fera un sujet de discussion sur ce forum en cas de régularisation manu-militari.
  8. Ça ? Un tableau venant de l'agence famille ? (pas sûr mais pourquoi pas ?). Quoiqu'il en soit "pas de surclassement" ne signifie pas que bénéficiaire des facilités de circulation voyage indifféremment en première ou deuxième classe. Ça signifie qu'il n'est pas possible (contrairement aux F.C. nationales) d'acquitter une différence de prix pour voyager en première avec des F.C. de seconde classe. Ben, si c'est marque seconde classe sur la carte, c'est seconde classe !
  9. Comme indiqué par ADC01 mais, pour le retour d'expérience, venir nous raconter s'il y a eu des difficultés pour les obtenir au guichet Transilien. Pour mémoire, la contremarque est censée être remise sur présentation du fichet de voyage dématérialisé (QR code) valable pour le jour. Essayer d'obtenir celle du trajet retour aussi... _____ La publication a été placée dans la rubrique RATP. Il serait plus opportun qu'elle soit dans :
  10. Pour rappel, les règles relatives à la classe sont celles-ci (toujours le RH00261) : En décembre 2022, lors d'un renouvellement général de cartes FIP devenues CIR, il y avait eu une erreur sur les cartes éditées par rapport à la classe. Relire ici : https://www.cheminots.net/topic/50182-carte-fip-2022-2025/#comment-939764
  11. Pour l'Italie, c'est ça les règles tarifaires (source : référentiel RH00261) :
  12. Tel que développé dans le fil de discussion, vu de l'extérieur il ne semble pas qu'il doive y avoir de problème et peut-être même que la question ne se pose pas, sous réserve de la disposItion ci-dessous sur les conditions d'aptitude physique.
  13. C'est le médecin traitant qui préconise formellement un temps partiel thérapeutique (lequel s'inscrit dans l'accompagnement d'une perspective de guérison avec une reprise progressive). C'est ensuite le médecin du travail qui valide ou pas la reprise dans ces conditions s'il considère qu'elles lui permettent de notifier une aptitude (éventuellement sous réserve d'autres aménagements). L'employeur peut s'opposer si ça ne correspond pas à ses contraintes et impératifs d'organisation et de production. Mais à la Sncf, les acteurs RH n'osent pas trop vu la diversité des emplois, des régimes de travail, des horaires, des affectations possibles... Vu de l'extérieur sans tourner autour du pot, la position en voix off du médecin conseil de la CPR annonce qu'à partir du 185ème jour d'arrêt il n'émettra pas un avis favorable au régime dit de longue maladie (ne pas confondre avec une éventuelle A.L.D.) permettant le maintien de l'ensemble des éléments fixes de la rémunération. Ce qui signifie un passage aux 2/3 de solde (il n'y a pas si longtemps, jusqu'en 2023, c'était demi-solde). Au-delà du 365ème jour d'arrêt, ça serait... plus rien. La procédure de réforme aura idéalement été engagée avant par l'établissement pour ne pas conduire à l'absence totale de revenu de remplacement. J'écris souvent sur ce forum que "le cheminot lambda (du cadre permanent) surestime assez fréquemment la protection sociale qu'il tient de son Statut et de son régime spécial d'assurance maladie".
  14. C'est très flexible comme toute la règlementation relative à l'organisation du travail et à la continuité du service public ferroviaire, laquelle permet donc de nombreuses dérogations au droit social commun. On ne parle d'ailleurs pas de congés annuels, mais de congés règlementaires (règlementaires c'est au sens du droit administratif et non pas du droit commun du Code du travail). J'ai pioché dans la règlementation maison les règles essentielles. A chacun d'apprécier si obtenir les congés que de droit c'est compliqué ou non. Ce qu'il faut surtout retenir c'est que ça ne sera pas forcément aux dates choisies ou préférées. Dans les autres entreprises aussi, l'employeur fixe l'ordre des départs en congés (c'est toutetois davantage cadré).
  15. Par hypothèse, c'est pour une procédure d'indemnisation d'un accident de trajet qui est somme toute aussi un accident de la circulation et qui fait donc intervenir des assurances et leurs garanties en parallèle de la protection sociale de droit commun. La Sncf n'a aucun préjudice à attendre de la communication de ces documents et il n'y a rien d'interdit (pas d'interdit sans texte !). Ce sont des documents qui vous ont été communiqués. Vous en faites le meilleur usage que vous voulez.
  16. Il n'y a rien de la sorte dans le projet de loi. Simplement, comme cité plus haut, une limitation de la durée de l'arrêt de travail initial, à renouveler autant que de besoin pour une durée encadrée aussi sauf justification médicale spécifique. Le principal problème, ce sera dans les déserts médicaux la multiplication des consultations pour le renouvellement d'un arrêt maladie. Quant à la limitation à un an, ça existe indirectement dans le régime spécial d'assurance maladie du personnel du cadre permanent (Statut). De base 6 mois à plein traitement, puis 6 mois aux 2/3 de traitement puis plus rien (sauf admission discrétionnaire au régime de longue maladie, ne pas confondre avec A.L.D.). Comme je le souligne souvent, nombre de cheminot(e)s du cadre permanent surestiment leur protection sociale en cas de maladie.
  17. C'est l'arrêt initial qui pourrait être limité dans sa durée. Mais de renouvellement en renouvellement, l'arrêt de travail sera reconduit s'il y a lieu. La limite sera toujours la fin du droit à indemnisation avec maintien total ou partiel de la rémunération. Si un agent du cadre permanent n'est pas en mesure de reprendre son emploi ou un emploi au sein de la Sncf en raison d'une maladie grave mais non curable (cf. Statut et son régime spécial d'assurance maladie), il sera réformé. Personnellement, je trouve d'ailleurs qu'il y a trop de réformes et trop facilement. C'est tellement plus facile que de rechercher et mettre en oeuvre un reclassement ou un aménagement de poste. Les contractuels, relevant du régime général, sont quant à eux le cas échéant déclarés inaptes à leur emploi par la médecine du travail. Et ensuite éventuellement placés en invalidité. Ce que sur quoi le régime général d'assurance maladie est beaucoup plus regardant.
  18. Vous avez un pass Carmillon. Qu'est ce qui vous fait penser qu'il est désactivé et que vos droits sont suspendus ? Pourquoi demander des F.C. pour l'année 2026 ? Le pass Carmillon est le support permanent de vos facilités de circulation, année après année sans autre formalité. Avez-vous fait un test - pour vérification de votre parfaite identification (et donc ouverture de droits) - sur Sncf Connect ? Votre identificaion comme agent Sncf (assimilé retraité ici) est-elle reconnue avec votre numéro de CP ? Les profils tarifaires des bénéficiaires de F.C. sont alimentés par un fichier RH. Ceci vous permettra de vérifier si ce n'est pas simplement le pass Carmillon qui est défectueux (si à tout hasard il vous a été opposé un quelconque problème lors d'un contrôle au cours d'un voyage). Vu de l'extérieur je ne vois en effet pas ce qui, dans votre cas, pourrait correspondre à un pass désactivé (lire fermeture ou suspension des droits). Tel qu'exposé, vous conservez bien le bénéfice des F.C. d'activité avec votre pass Carmillon. Admis à une pension de réforme, vous êtes assimilé à un retraité. Avec 15 ans de service ici, c'est donc bon. RH00246 Les facilités de circulation des retraités (et assimilés) sont gérées par l'agence famille du même nom (ne pas confondre avec l'agence paie / famille des actifs, là ou vous avez d'ailleurs travaillé...). https://services-aux-retraites.sncf.com/site En passant par le formulaire en ligne, votre demande sera directement transmise au bon interlocuteur. Sinon (hypothèse par laquelle votre numéro de CP ne serait pas reconnu du site de l'agence famille dédiée aux retraités), il vous reste les moyens de contact habituels. Tel que vous l'exposez, je pense que vous êtes dans un dialogue de sourds avec des interlocuteurs qui ne sont pas les bons. Parfois des prestataires extérieurs qui, entre-nous, n'y connaissent pas forcément grand chose en matière de facilités de circulation. Le numéro de téléphone indiqué est notamment un centre de réception et de gestion des appels entrants, lequel se contente de prendre note de votre demande et de la codifier afin qu'elle soit orientée via une file d'attente informatique vers le gestionnaire qui va bien (au sein de votre agence famille, celle des retraités et aucune autre et surtout pas la CPR !). Là, je fais une réponse de première intention pour vous remettre sur la bonne voie si tant est que vous vous égarez. Je pressens qu'il va y avoir des rebonds avec d'autres explications que vous ne manquerez pas de donner pour mieux situer où serait le problème. Ancien d'une agence paie famille, vous connaissez sans doute du monde parmi vos ex-collègues toujours en activité, non ? Lesquels devraient être en mesure de vous mettre en relation avec l'agence famille "service aux retraités" si tant est qu'il y a un problème d'identification à ce niveau.
  19. ICF HABITAT, ce n'est pas forcément que du logement social HLM. Le groupe est constitué de 7 filiales. Seules 4 sont des S.A. HLM. Dont notamment ICF LA SABLIERE en Ile de France. Mais ça ne peut pas être du logement accessoire au contrat de travail ou alors il y a quelque chose qui m'échappe !
  20. A ma connaissance, la SNCF ne pratique plus la mise à disposition d'un logement comme "accessoire au contrat de travail". Trop périlleux juridiquement et c'était régulièrement source de contentieux. Il y a encore ici ou là quelques cheminots logés en A.C.T. mais ce n'est plus renouvelé. Soit c'est du logement HLM (Icf La Sablière S.A. HLM de son intitulé complet au registre du commerce et des sociétés, ou autre société HLM aussi partenaire au sein d'Action Logement) et ces logements sont donc loués dans le cadre des dispositions et règlementations propres au secteur social (l'entrée d'un cheminot n'étant qu'une préférence dans la limite du nombre de logements dont la Sncf a la réservation via le 1% Logement). La cessation du contrat de travail avec la SNCF n'est jamais un motif légal de rupture du bail. Soit c'est dans le parc libre (Novedis), et c'est soumis aux dispositions de droit commun sans aucune dérogation. La situation professionnelle du locataire n'étant pas un critère tant qu'il paie le loyer (onéreux chez Novedis !). L'accessoire au contrat de travail supposerait que le logement soit absolument nécessaire à l'exercice des fonctions professionnelles (et pas seulement une simple facilité ou commodité) et qu'il soit mis à disposition non pas moyennant un loyer mais seulement une redevance d'occupation. La SNCF en tant qu'employeur se devant d'ailleurs normalement de déclarer en avantage en nature ce différentiel, ce qu'elle n'a jamais fait. Dans les contentieux juridiques, c'est en général sur ça qu'elle a perdu malgré l'apparence (et la signature !) d'un contrat accessoire au contrat de travail.
  21. Pas compris ! (RO c'est quoi, versus bail classique ?) ICF La Sablière (Immobilière des Chemins de Fer), en tant que S.A. HLM ne loue par définition que dans le cadre de cette législation sociale. Disons, pour faire simple, que 40 % du parc locatif est attribué en priorité au personnel de la SNCF. C'est la contrepartie au fait que la Sncf fournit historiquement le foncier et qu'elle est par ailleurs un gros financeur via le (mal nommé) 1% Logement - participation des employeurs à l'effort de construction -. Mal nommé ainsi car ce n'est plus que 0,45 % de sa masse salariale, ce qui n'est pas rien ! Le sujet logement fait par ailleurs l'objet d'un accord collectif d'entreprise (groupe), notamment pour les nouveaux embauchés et tout particulièrement en Ile de France. Je crois avoir déjà écrit dans ce forum que les dipositions de cet accord étaient assez méconnues autant des acteurs RH que du corps social cheminot. L'interlocuteur naturel d'un cheminot en recherche de logement dans le parc immobilier SNCF (ses filiales) ou chez ses partenaires (le dispositif Action Logement sert à faire un pot commun permettant ainsi de diversifier l'offre) reste l'Agence Logement (Optim'Services). ICF La Sablière (HLM) ou Novedis (parc libre) ne sont que les bailleurs. Ils n'ont pas la main sur les candidats que propose la SNCF conformément à sa politique en la matière (et à ses besoins de personnel ne résidant de préférence pas trop loin des sites ferroviaires de prise de service). Cela-dit, les candidats proposés par la Sncf dans le (son) parc social peuvent se trouver en concurrence avec d'autres demandeurs de logement. Il faut souvent 3 ou 4 ans d'attente avant que les premières propositions ne soient faites à un cheminot lambda. En attendant, l'entreprise propose des résidences temporaires meublées (les foyers PARME essentiellement, association Loi 1901 dont elle est le principal bailleur de fonds).

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