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Le Web des Cheminots

fermeture ça continu


Invité jackv

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bonjour

voici un extrait du monde

PSA Peugeot Citroën va fermer d'ici à 2012 un site de gestion de pièces détachées situé à Melun-Sénart, indique, mardi 13 avril, la direction du constructeur automobile. Le site de Seine-et-Marne emploie 398 salariés, qui se verront proposer des solutions de "mobilité interne".

Ce projet de fermeture s'inscrit dans une "réflexion sur l'organisation de la logistique des pièces de rechange", explique la direction, qui souligne également que "l'activité du site est en baisse depuis plusieurs années". Les activités du site de Melun-Sénart, spécialisé dans les pièces de rechange à destination des concessions françaises et étrangères, seront transférées à Vesoul.

De leur côté, les syndicats assurent que c'est "la première fois qu'un site en activité est fermé par PSA en France". "On était habitué chez les donneurs d'ordre à des plans de départ volontaires, avec des effectifs fondant année après année. Là ils enclenchent la vitesse supérieure."

Cette fermeture sera examinée le 20 avril en comité central d'entreprise dans le cadre du "plan de redéploiement des emplois et des compétences", qui sera prolongé pour l'occasion.

Sur le même sujet :

PSA en passe de signer avec un nouveau partenaire chinois Entretien Automobile : "Partager des coûts de développement, sur le papier cela a du sens"

Vincent Rambaud pressenti à la tête de Peugeot

il ferme en France il vont surement ouvrir une autre usine en asie...ou en Amérique du sud...

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Invité louis44

Allez à Longueville (77)

Il y avait un dépot, une briquetterie, deux glaisières, un dépot SNCF avec rotonde, et une énorme brasserie à coté de la gare, formant quartier avec cantine et église, + l'usine Degond en plein milieu de la brasserie, L'usine Degond est la plus ancienne usine créée à Longueville, consécutivement à l'introduction du chemin de fer dans le Provinois. Elle produit des tubes sans soudure en cuivre. Étroitement assujettie aux impératifs de transport et de manutention, elle s'installe à proximité de la gare. Cette usine métallurgique participe au développement économique du village, dans la seconde moitié du XIXe siècle et la première moitié du XXe siècle, en fournissant des tubes sans soudure à l'aviation et à la marine, ainsi qu'aux entreprises de production de biens ménagers. . C'était une ville assez importante : passage de la ligne en direction de Bâle, bif des chemins de fer locaux sur Provins, autre bif en sortie de gare etc. Devant la gare, deux auberges : celle de la gare avec le buffet et une autre. Puis le château d'eau de l'arrière de la brasserie à droite, et des fermes ouvrières à gauche.

Le village se développe sous l'impulsion des usines qui s'installent près de la gare, construite en 1856, et connait, jusqu'en 1936, la plus forte croissance démographique du Provinois. Le 17 décembre 1888, un décret entérine la décision de transférer le chef-lieu de la commune, fixé à Lourps pendant la Révolution, à Longueville. Cette même année, l'industrie emploie presque autant de Longuevillois que le secteur agricole.

Aujourd'hui :

- la Briquetterie, fermée, a encore sa cheminée et ses bâtiments devenus agricoles; on la voit en venant de Nangis par train

- le dépot SNCF a été transféré à l'AJECTA, avec sa rotonde MH 1911, et sert de musée du train

- la gare SNCF a un personnel nettement inférieur à ce qui a été : c'est le garage des bibis, il y a plusieurs agents de voie, mais enfin... la modernité est passée par là.

- une des deux auberges est ruinée telle quelle, l'autre a été rénovée et sert encore

- la brasserie est fermée depuis 1995, ses nefs, sa cantine, sont encore là et participent à l'état de ville-ruine. Sa chapelle sert occasionnellement.

- l'usine Degond est fermée et ruinée

- les autres usines aussi

- si la mairie et l'école (surdimensionnées) sont encore auprès des usines, la vie paroissiale s'est redéplacée dans le village près l'église du XVe, qui, après avoir été abandonnée, a été restaurée entre 1966 et 1999.

- les glaisières sont fermées et leur raccord déferré

- le premier employeur est l'agriculture.

Voilà le résultat d'une politique systématique de démission industrielle.

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PSA Peugeot Citroën va fermer d'ici à 2012 un site de gestion de pièces détachées situé à Melun-Sénart

[...]

Sur le même sujet :

PSA en passe de signer avec un nouveau partenaire chinois Entretien Automobile : "Partager des coûts de développement, sur le papier cela a du sens"

Vincent Rambaud pressenti à la tête de Peugeot

il ferme en France il vont surement ouvrir une autre usine en asie...ou en Amérique du sud...

Non, c'est mieux que ça. Tout comme Renault S.A., Peugeot S.A. va exporter son savoir faire (enfin celui qu'il n'avait pas encore "externalisé" chez les sous-traitants) en Chine, avec des ingénieurs et techniciens à bas coût salariaux (mieux que ces looseurs de roumains!) , le tout pour nous revendre à prix d'or leurs bagnoles qui tombent en panne au bout de 3 kilomètres.. Moi je dis qu'il ne faut plus s'emmerder et qu'il faut acheter directement des voitures chinoises garanties 5 ans (Volvo ?).

Y.

Modifié par Yannix
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Bonjour,

Volvo, ça n'est pas plus chinois d'origine que Renault ou Peugeot, sauf erreur.

Si Volvo sait faire fabriquer en Chine des voitures qu'il peut garantir cinq ans, c'est peut-être parce que les Volvo ont toujours été des voitures solides, alors que Peugeot et Renault ...

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Dans le privé, y'a pas de problème... y'a que des solutions...

et heureusement y'a pas beaucoup de syndicats...

Dans le Finistère en trois jours : 5 fermetures d'entreprises annoncées + 3 plan de restructurations avec baisse d'effectifs...

Tout va bien Madame la Marquise (J'allais dire Monsieur le Baron...HiHiHi)

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Accord à l'usine Sodimatex de Crépy-en-Valois Reuters Le ministère de l'Industrie s'est félicité mercredi de l'accord conclu entre la direction et les représentants des 98 salariés de Sodimatex, sous-traitant automobile de Crépy-en-Valois (Oise), qui menaçaient de faire sauter l'usine. Les employés ont obtenu, selon le ministère, une prime de 22.000 euros en plus des indemnités légales obligatoires. En moyenne, chaque salarié partira avec 51.000 euros au total, une somme qui varie selon l'ancienneté, a dit le ministère. La fermeture de l'usine de moquettes pour automobiles, propriété du groupe Trèves, est programmée depuis un an et doit intervenir dans le courant du mois d'avril. Les salariés menaçaient de faire sauter l'usine pour faire aboutir leur demande d'une prime extra-légale de licenciement de 21.000 euros, semblable à ce qu'avaient touché leurs collègues d'une autre usine Sodimatex fermée en 2006. "La menace est une impasse. Le dialogue et la raison seront toujours les meilleurs alliés des salariés", a déclaré le ministre de l'Industrie Christian Estrosi dans un communiqué. Une année de manifestations et d'actions diverses n'avaient pas permis d'aboutir à l'ouverture de négociations. Depuis le début de la crise, des salariés d'entreprises vouées à la fermeture n'hésitent plus à recourir à des méthodes extrêmes, comme la menace de destruction ou la séquestration, pour faire entendre leurs revendications. Thierry Lévêque, édité par Sophie Louet

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bonjour

citation

" Les employés ont obtenu, selon le ministère, une prime de 22.000 euros en plus des indemnités légales obligatoires. En moyenne, chaque salarié partira avec 51.000 euros au total, une somme qui varie selon l'ancienneté,"

qui as dit: les syndicats" c'est nul", "c'est d'un autre temps"?

qui dit que l'action ne sert à rien il n'y a qu'a laisser faire ? il sera toujours temps demain....

c'est vrai que maintenir l'emploi ce serait mieux..mais beaucoup s'aperçoivent que l'action est nécessaire lorsqu'ils sont le dos au mur,que cela va fermer, quant ils se sentent BIEN concerné!

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Invité louis44

Et voilà, on continue à fusiller l'industrie... à Saint-nazaire, si les russes commandent, y aura deux bateaux pour nous... mais c'est l'Etat qui maintient le truc dans sa main, pas STX ou Aker, y gèrent rien, ça n'a pas changé depuis la "privatisation"... ils sont censés passer toutes les commandes de navires de croisière à SN, dans les faits, tout va au chantier de Finlande...

Bref, les deux bateaux, Brest, Indret ou Lorient ne les auront pas, on deshabille donc Pierre pour habiller Paul... mais si SN se casse la gueule, le département coule avec... cestachier

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bonjour

citation

" Les employés ont obtenu, selon le ministère, une prime de 22.000 euros en plus des indemnités légales obligatoires. En moyenne, chaque salarié partira avec 51.000 euros au total, une somme qui varie selon l'ancienneté,"

qui as dit: les syndicats" c'est nul", "c'est d'un autre temps"?

qui dit que l'action ne sert à rien il n'y a qu'a laisser faire ? il sera toujours temps demain....

c'est vrai que maintenir l'emploi ce serait mieux..mais beaucoup s'aperçoivent que l'action est nécessaire lorsqu'ils sont le dos au mur,que cela va fermer, quant ils se sentent BIEN concerné!

+1

:)

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Volvo, ça n'est pas plus chinois d'origine que Renault ou Peugeot, sauf erreur.

Ca viendra.

Si Volvo sait faire fabriquer en Chine des voitures qu'il peut garantir cinq ans, c'est peut-être parce que les Volvo ont toujours été des voitures solides, alors que Peugeot et Renault ...

Oulala. Faudrait arrêter avec les mythes ! Volvo a une certaine réputation (historique) de ce point de vue. Mais est-elle justifiée (procès pour un problème de frein en FR actuellement) ? Bombardier (Canada) à Valencienne (59) finance des études et des crash-tests sur les trains qu'il fabrique. Est-ce que Alstom a une politique industrielle équivalente ? Si oui, où ?

X.

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Salut,

Oulala. Faudrait arrêter avec les mythes ! Volvo a une certaine réputation (historique) de ce point de vue. Mais est-elle justifiée (procès pour un problème de frein en FR actuellement) ? Bombardier (Canada) à Valencienne (59) finance des études et des crash-tests sur les trains qu'il fabrique. Est-ce que Alstom a une politique industrielle équivalente ? Si oui, où ?

X.

Je te prête ma 240, tu vas voir si c'est un mythe ! :)

Modifié par cc6572
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Je te prête ma 240, tu vas voir si c'est un mythe ! cestachier

Salut,

Si tu tiens à la réduire en bouillie contre un mur avec des mannequins à l'intérieur , c'est envisageable.

:)

Bon allez, sérieusement, ce genre de tests, de crash-test, ne se fait jamais aujourd'hui qu'avec des voitures ou des trains qui ont étés calculés *avant* à grand coup de calculateurs "Méga-flopiques" minimum. Pourtant, j'ai pu voir des vidéos de mes collègues où les ceintures de sécurité à l'arrière lâchaient lamentablement (malgré les calculs Giga-Flop) et les passagers de l'arrière qui passaient à travers le pare-brise ! ...On rigole bien de nos conneries à ce moment là. :-)

Bien sûr, ca donnait lieu à des modifications, des recalculs et toussa, et on appelle ceci *travailler*. Mais bon, pour toi, la Volvo 240, c'est le mieux qu'on puisse faire. Alors, c'est plus la peine de se faire ch.er ...

X.

Modifié par Yannix
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Salut,

Si tu tiens à la réduire en bouillie contre un mur avec des mannequins à l'intérieur , c'est envisageable.

:)

C'est sûr à 90 Km/h contre un mur, elle ne fait pas le poids, honnêtement, est ce qu'une voiture récente fait mieux ? (certes, la sécurité des passagers est bien meilleure)

Celà dit, la 240 a été la pionnière sur beaucoups de points. Les zones de déformations par exemple, c'est elle. Aujourd'hui toutes les voitures en disposent...

Colonne de direction téléscopique, barres de renfort dans les portes, 4 freins à disque ventilés (bien des voitures neuves ont encore 2 freins à tambours), espérance de vie moyenne de 22 ans.... OUI, la Volvo 240 est une voiture exceptionnelle. cestachier

Quand on ferme une porte, au moins on l'impression de fermer quelquechose. cestachier En cas de choc mineur, la voiture s'en sort sans dégât majeur, bref ce n'est pas une voiture en plastique ! cestachier

Modifié par cc6572
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C'est sûr à 90 Km/h contre un mur, elle ne fait pas le poids, honnêtement, est ce qu'une voiture récente fait mieux ? (certes, la sécurité des passagers est bien meilleure)

Un choc à 90 Km/h contre un mur, sans des mètres d'acier à plier pour amortir le choc, et t'es mort. C'est une certitude. Volvo 240 ou pas.

Je crois que tu parles de ce que tu ne connais pas....

:)

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Un choc à 90 Km/h contre un mur, sans des mètres d'acier à plier pour amortir le choc, et t'es mort. C'est une certitude. Volvo 240 ou pas.

Je crois que tu parles de ce que tu ne connais pas....

cestachier

Ai-je dis le contraire dans le morceau de texte que tu as cité ? :)

Sur internet il existe une vidéo montrant le choc frontal de 2 véhicules à 80 mph , une volvo 940 et une Renault Modus, l'habitacle de la Modus ressort presque intact... Des progrès ont été fait depuis 15 ans...

Modifié par cc6572
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Ca viendra.

Oulala. Faudrait arrêter avec les mythes ! Volvo a une certaine réputation (historique) de ce point de vue. Mais est-elle justifiée (procès pour un problème de frein en FR actuellement) ? Bombardier (Canada) à Valencienne (59) finance des études et des crash-tests sur les trains qu'il fabrique. Est-ce que Alstom a une politique industrielle équivalente ? Si oui, où ?

X.

Ou as tu vu des crash test grandeur nature de train ? Bombardier fait comme Alstom et comme les autres et réalise des test sur calculateur,

Les seuls crash test grandeur naturesont réalisée sur les parties avant, l'habitacle, et les zone d'absorption sur des crash reconstitué (j'arrive plus a remettre la main sur la video de test du nez de l'AGV ...). En gros ils placent la structure à tester sur un lanceur l'équipent de capteur et lancent la machine !

Sinon ben dis toi que à Valenciennes sur le campus ya une vraie catapulte crash test pour automobile et que regulierement des test sont réalisé. Sinon la vitesse d'impact est de 56 km/h pour le test officiel. Et contre un mur n'importe quelle voiture a mal !<br><br>Voici un petit lien avec quelques video pour les crash test train : http://www.webmag.transport.alstom.com/eMag/externe/international/UK/WCRR/2003/content/index.asp?mode_impression=mode_true<br>

Modifié par zoreil41
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Ou as tu vu des crash test grandeur nature de train ? Bombardier fait comme Alstom et comme les autres et réalise des test sur calculateur,

Les seuls crash test grandeur naturesont réalisée sur les parties avant, l'habitacle, et les zone d'absorption sur des crash reconstitué (j'arrive plus a remettre la main sur la video de test du nez de l'AGV ...). En gros ils placent la structure à tester sur un lanceur l'équipent de capteur et lancent la machine !

Sinon ben dis toi que à Valenciennes sur le campus ya une vraie catapulte crash test pour automobile et que regulierement des test sont réalisé. Sinon la vitesse d'impact est de 56 km/h pour le test officiel. Et contre un mur n'importe quelle voiture a mal !<br><br>Voici un petit lien avec quelques video pour les crash test train : http://www.webmag.tr...n=mode_true<br>

Tu travailles chez Alstom/Pour Alstom ? Tu défends ton bifteck de Valenciennes ? C'est ça ? Je te comprends camarade. bigbisous

Bon, je m'éclipse !lapleunicheuse

X.

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  • 1 mois plus tard...

Allez à Longueville (77)

Il y avait un dépot, une briquetterie, deux glaisières, un dépot SNCF avec rotonde, et une énorme brasserie à coté de la gare, formant quartier avec cantine et église, + l'usine Degond en plein milieu de la brasserie, L'usine Degond est la plus ancienne usine créée à Longueville, consécutivement à l'introduction du chemin de fer dans le Provinois. Elle produit des tubes sans soudure en cuivre. Étroitement assujettie aux impératifs de transport et de manutention, elle s'installe à proximité de la gare. Cette usine métallurgique participe au développement économique du village, dans la seconde moitié du XIXe siècle et la première moitié du XXe siècle, en fournissant des tubes sans soudure à l'aviation et à la marine, ainsi qu'aux entreprises de production de biens ménagers. . C'était une ville assez importante : passage de la ligne en direction de Bâle, bif des chemins de fer locaux sur Provins, autre bif en sortie de gare etc. Devant la gare, deux auberges : celle de la gare avec le buffet et une autre. Puis le château d'eau de l'arrière de la brasserie à droite, et des fermes ouvrières à gauche.

Aujourd'hui :

- la Briquetterie, fermée, a encore sa cheminée et ses bâtiments devenus agricoles; on la voit en venant de Nangis par train

- le dépot SNCF a été transféré à l'AJECTA, avec sa rotonde MH 1911, et sert de musée du train

- la gare SNCF a un personnel nettement inférieur à ce qui a été : c'est le garage des bibis, il y a plusieurs agents de voie, mais enfin... la modernité est passée par là.

- une des deux auberges est ruinée telle quelle, l'autre a été rénovée et sert encore

- la brasserie est fermée depuis 1995, ses nefs, sa cantine, sont encore là et participent à l'état de ville-ruine. Sa chapelle sert occasionnellement.

- l'usine Degond est fermée et ruinée

- les autres usines aussi

- si la mairie et l'école (surdimensionnées) sont encore auprès des usines, la vie paroissiale s'est redéplacée dans le village près l'église du XVe, qui, après avoir été abandonnée, a été restaurée entre 1966 et 1999.

- les glaisières sont fermées et leur raccord déferré

- le premier employeur est l'agriculture.

Voilà le résultat d'une politique systématique de démission industrielle.

Une brasserie à Longueville ???

Je ne pense pas !!!

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  • 1 mois plus tard...

bonjour

fermeture programmée dans un ou 2 ans ??? (extrait le monde)

Trois des quatre syndicats de l'ex-usine Général Motors de Strasbourg, dont la CFDT majoritaire, ont donné leur accord, jeudi 22 juillet, au projet de reprise présenté par le constructeur automobile américain.

Les syndicats doivent signer formellement l'accord vendredi, date-butoir fixée par le groupe. L'attitude de la CGT, qui refuse le projet d'accord, pourrait toutefois être déterminante, la firme de Detroit ayant demandé à ce que le texte soit paraphé par les quatre organisations syndicales.

UN ACCORD CONFORME AU PROJET APPROUVÉ PAR LES SALARIÉS, SELON LA CFDT

Le texte de l'accord présenté jeudi au comité d'entreprise est conforme au projet approuvé à plus de 70 % par les 1 150 salariés consultés par référendum lundi, à l'initiative des syndicats, a déclaré Jean-Marc Ruhland, secrétaire du comité d'entreprise et délégué CFDT.

Il prévoit un gel des salaires pendant deux ans, un renoncement à l'intéressement durant trois années et la suppression de six des seize jours de RTT contre la promesse de poursuivre la fabrication de boîtes de vitesses automatiques sur le site jusqu'en 2020. Les syndicats ont fait préciser dans le texte que l'accord ne concernait pas l'annualisation du temps de travail que la direction avait tenté d'imposer au lendemain du référendum.

Une première échéance étant fixée à 2013, le groupe s'engage à rembourser dans le plan social les efforts salariaux consentis en cas de fermeture à cette date.

"UNE GROSSE ARNAQUE", POUR LA CGT

"On a toujours fait valoir qu'on était sur un recul social mais que nous étions d'accord, CFDT, CFTC et FO, avec les conditions de reprise pour préserver l'emploi et la pérennité du site", a expliqué Jean-Marc Ruhland.

Le secrétaire de la CGT, Roland Robert, continue pour sa part de qualifier le texte de "grosse arnaque". "Il reste toujours des points d'ombre dont les salariés se rendront compte l'année prochaine", assure-t-il. Selon lui, rien n'empêcherait General Motors, qui aura racheté son usine pour un euro symbolique, de la revendre d'ici quelques années, sans être lié par l'accord.

Modifié par jackv
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  • 1 année plus tard...

Et une de plus....

http://www.ville-rail-transports.com/content/16845-avis-de-publication-fermeture-de-ligne

28/12/2011

AVIS DE PUBLICATION

PROJET DE FERMETURE D’UNE SECTION DE LIGNE DU RESEAU FERRE NATIONAL

Depuis 1987, la section de Cournonsec à Montpellier de la ligne ferroviaire de Paulhan à Montpellier ne reçoit plus aucun trafic fret et voyageurs TER.

En 2006, RFF a accordé à la communauté d’agglomération de Montpellier une convention d’utilisation d’une partie de cette section pour l’exploitation des services de la ligne 2 du tramway de l’agglomération de Montpellier.

RFF a procédé à un examen de la situation de cette section de ligne, notamment du point de vue de l’analyse socio-économique du territoire, de l’évolution des besoins de déplacement, des caractéristiques techniques des infrastructures concernées et des perspectives d’une nouvelle utilisation de cette section de ligne pour des circulations ferroviaires. Cet examen a fait apparaître un potentiel de transport local de voyageurs important correspondant à une demande de transport urbain.

La communauté d’agglomération de Montpellier envisage l’utilisation de cette section de ligne pour le prolongement de la ligne 2 du tramway précité.

L’absence d’avenir pour le transport fret et voyageurs grandes lignes ou TER et l’existence d’un projet de transport urbain adapté au potentiel voyageur local sous la responsabilité de la communauté d’agglomération de Montpellier conduisent RFF à envisager la fermeture de cette section de ligne entre les points kilométriques 500,870 et 517,900, de Cournonsec à Montpellier en vue de la mise à disposition de ses terrains d’emprise pour le projet d’extension du tramway, et ce, en application des dispositions de l’article 22 du décret n°97-444 du 5 mai 1997 modifié relatif aux missions et aux statuts de Réseau ferré de France.

Conformément à ce décret, la Région Languedoc-Roussillon, autorité organisatrice des transports ferroviaires régionaux, a été saisie de ce projet pour avis.

En application des dispositions du décret précité, RFF publie le présent avis à l’intention des entreprises ferroviaires, des gestionnaires d’infrastructure de réseaux raccordés au réseau ferré national ou embranchés. Ces entreprises et gestionnaires peuvent faire connaître leurs observations éventuelles sur ce projet de fermeture, dans un délai de trois mois à compter de la parution du présent avis.

Ces observations doivent être adressées à la direction régionale de RFF (185 rue Léon Blum – 34043 Montpellier Cedex 1 ou fabrice.carayon@rff.fr) qui pourra délivrer toute information complémentaire sur ce projet.

Date limite de dépôt de candidature 27/03/2012

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