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Le Web des Cheminots

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Hello!

Une des bonnes résolution de la boite pour 2011.

Bonne année à tous les collègues (même aux autres concurents ou pas).

Pierrot

Et bien bonne année également à tous les cheminots & les autres, concurrents ou pas.

Quels genres de problémes ont-ils rencontré?Ou plutôt ont-ils provoqué !!!

A quoi faites-vous référence ? Je suis mécano OSR (CRL élève), je n'ai pas eu connaissances de problèmes. C'est ECR qui a perdu le marché des trains complets qui nous a fait perdre le marché de la manoeuvre.

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c est mis souvent a jur et la formation elle se passe comment(durée,logement,salaire,lieu,etc....... )

Oui c'est souvent mis à jour, je ne pense pas qu'il y aura une nouvelle formation dans un avenir proche puisque une formation viens de se terminer... Au niveau déroulement la formation se passe au siège à Lille, le salaire est le smic sur 35h.

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  • 5 mois plus tard...

Je reviens sur ce sujet après lecture d'un article sur OSR dans le dernier numéro de "Le Train". Cette entreprise fait essentiellement de la sous-traitance pour SNCB Logistics: beaucoup d'opérations au sol, le reste de la desserte. Est-ce une vraie EF ou bien a-t-elle le statut d'OFP? J'aimerais avoir les réponses des spécialistes du sujet!

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Je reviens sur ce sujet après lecture d'un article sur OSR dans le dernier numéro de "Le Train". Cette entreprise fait essentiellement de la sous-traitance pour SNCB Logistics: beaucoup d'opérations au sol, le reste de la desserte. Est-ce une vraie EF ou bien a-t-elle le statut d'OFP? J'aimerais avoir les réponses des spécialistes du sujet!

Nous sommes une EF à part entière même si quasi tout nos trafics sont de la sous traitance pour B-Cargo, notre seule propre trafic pour l'instant est la carrière de Stinckal entre Boulogne et Calais pour le port de Gennevilliers.

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  • 5 mois plus tard...
  • 3 semaines plus tard...

Un article de WK-Transport-Logistique : OSR France devient opérateur ferroviaire de proximité dans le port de Strasbourg

OSR France devient opérateur ferroviaire de proximité dans le port de Strasbourg

OSR France, filiale de SNCB Logistics, opère depuis décembre 2011 en tant qu'opérateur ferroviaire de proximité (OFP) dans le port de Strabourg. L'entreprise envisage ensuite d'étendre ses activités en Alsace.

Depuis décembre 2011, l'entreprise ferroviaire OSR France est active en tant qu'OFP dans le port de Strasbourg.

Elle se charge de la traction entre la gare de triage et les terminaux et raccordements ferroviaires pour le compte de deux clients, l'un concernant un trafic combiné et l'autre un trafic conventionnel. OSR France s'occupe également des opérations de triage et de manoeuvre des wagons sur le site d'un client.

Une vingtaine de trains par semaine

"Dans un deuxième temps, OSR France, qui est également active comme opérateur ferroviaire indépendant dans le nord de la France, étendra ses activités sur un territoire plus large en Alsace", précise l'entreprise dans un communiqué. Ce développement est espéré d'ici fin 2012.

Actuellement, la filiale de SNCB Logistics traite une vingtaine de trains par semaine dans le port. Elle y emploie sept personnes et dispose de plusieurs locomotives.

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  • 4 semaines plus tard...

Un article de WK-Transport-Logistique : Fret ferroviaire : OSR France ambitionne de tripler son activité en 2012

Fret ferroviaire : OSR France ambitionne de tripler son activité en 2012

L'opérateur de transport ferroviaire OSR France prend sa place au nord d'une ligne Le Havre - Troyes - Strasbourg. Treize mois après son premier train de fret, la filiale du groupe SNCB Logistics espère tripler son chiffre d'affaires en 2012.

Treize mois seulement après avoir assuré son premier train de fret entre Aulnoye et Calais, l'opérateur de fret ferroviaire OSR France, filiale de SNCB Logistics, estime pouvoir passer à la vitesse supérieure.

Implantée à Lille, la société répond en effet actuellement à trois appels d'offres dont deux majeurs. Le premier concerne l'acheminement d'un million de tonnes de granulats alors que le second porte sur un trafic de 700 000 tonnes. Le troisième apparaît plus modeste avec 300 000 tonnes.

Comme le confirme son directeur Olivier Deprez, "OSR France devra procéder à une extension de son certificat de sécurité si elle obtient tout ou partie de ces nouveaux contrats. Nous attendons la réponse dans le courant du premier trimestre 2012".

Montée en puissance

L'obtention de ces nouveaux marchés consoliderait encore un peu plus la montée en puissance de la fin d'année 2011. Cinq nouveaux trains complets hebdomadaires ont, en effet, été mis en marche à l'occasion du changement de service annuel. Trois sont assurés pour le compte du producteur d'engrais Yara entre Le Havre et Tergnier. À la plus grande satisfaction du client puisque ce dernier envisage de passer à la cadence de cinq trains par semaine dès le second semestre 2012. "Notre nouveau partenaire nous garantit une livraison le jour B. Grâce à la rapidité de ce service, nous pouvons d'ores et déjà envisager une réduction de notre parc wagons courant 2012", souligne Claudy Dalne, responsable transport ferroviaire Europe de Yara.

Deux autres trains sont acheminés sur le même parcours pour la branche pétrochimique de Total. Alimentant les hubs de Tergnier et d'Aulnoye spécialisés dans l'acheminement des wagons isolés, ces nouveaux trafics sont venus s'agglomérer aux premiers trains complets de céréales et d'acier lancés fin avril 2011.

Rentabilité visée pour 2013

Cette accélération du développement au travers notamment des trains complets va considérablement modifier la répartition du chiffre d'affaires de la société. Les opérations au sol, qui représentaient encore 34% de l'activité de la société en 2011, ne compteront plus que pour 10% en 2012, alors que le trafic diffus et les trains complets se partageront, à parité, les 90% restants.

Si la société n'a pas souhaité indiquer le montant de son chiffre d'affaires, elle confirme cependant que celui-ci devrait être multiplié par trois cette année. Son effectif devrait franchir la barre des 100 personnes à la fin 2012. Les moyens de traction, dix locomotives Diesel pour l'heure, devraient être renforcés par l'arrivée de trois unités supplémentaires.

Intégralement détenu auparavant par IFB, le capital de la société a été considérablement augmenté à la fin 2011, passant de 300 000 à 3,5 millions d'euros. À cette occasion, Xpedys, filiale de SNCB Logistics assurant l'offre commerciale d'OSR France, est devenu le seul actionnaire de la société française. Selon Pascal Herroelen, PDG d'Xpedys, "les premiers bénéfices d'OSR France sont attendus en 2013".

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... donc actuellement, ils travaillent A PERTE !

Non, ils sont en deficit... pas assez de recettes face aux depenses engagées.

Travailler à perte, c'est ajuster des tarifs en fonction des commandes, qui ne couvrent pas les depenses. On a dejà du en discuter ..))

Fabrice

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je ne comprends pas trop la différence. Les tarifs sont ajusté trop bas d'origine, pour capter des marchés. C'est la même chose non ?

Modifié par 5121
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je ne comprends pas trop la différence. Les tarifs sont ajusté trop bas d'origine, pour capter des marchés. C'est la même chose non ?

Non ce n'est pas pareil.

Le prix de vente peut etre correct, mais le volume d'affaire encore insuffisant, c'est le cas de

toutes les boites qui se lancent, dans tous les domaines d'activité.

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je ne comprends pas trop la différence. Les tarifs sont ajusté trop bas d'origine, pour capter des marchés. C'est la même chose non ?

Ajustement des tarifs:

la base de reference en fret reste le camion, or sur du train complet, le ratio des coûts est d' 1 pour 2 en faveur du train...

un AR semi 29T payante sur 800 kms province paris province est aux alentours de 1000€. pour l'équivalent d'un train, c'est 46 semis..

Un tel train, avec marge et sans fret retour, c'est 25 000€.

Il y a plus de demandes de transport, que d'offres disponibles. Le marché est au benefice du transporteur.

la guerre peut se livrer sur l'embranchabilité, ou non, du chargeur...

Fabrice

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Non ce n'est pas pareil.

Le prix de vente peut etre correct, mais le volume d'affaire encore insuffisant, c'est le cas de

toutes les boites qui se lancent, dans tous les domaines d'activité.

et même si une autre entreprise propose un prix plus bas, comment le prix de vente peut-il être correct s'il ne couvre pas les frais réels ??? Lancement ou pas, le volume traité ne changera rien à l'affaire si ce prix est inférieur au coût de production, même si ce coût a tendance à diminuer avec le volume traité

Par contre ce dumping une fois réussi et cette boîte ayant capté les marchés, gare à la hausse ! C'est le pari des dirigeants de la DB qui souhaitent mettre la main sur la partie la plus profitable du fret français et soutient à bout de bras son cheval de Troie, malgré quelques doutes de certains sur l'intérêt de cette démarche . ( on a oui dire qu'ECR coutaît un peu cher à la maison mère ...)

NB : c'est ma réponse à vous deux

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dans le Fret ferroviaire, il y a actuellement plus de demande que d'offre...

les dirigeants SNCF n'ayant les yeux de Chimène que pour Sa Majesté TGV, le fret est le cadet de leur soucis...

le réveil risque d'être douloureux : il n'y a pas que la SNCF qui a la compétence TGV !

pour revenir au dumping, il me semble que la loi l'interdit, non ?

un train peut être rentable, pris isolément (si on prend le ratio coûts de sillon + carburant + personnel + hébergement + location des EM + etc., face au prix à la T/Km) mais c'est le volume de trafic réalisé qui assurera la pérennité de l'entreprise.

louer une paire de G 1000, par ex. ça a un coût mensuel. si on y rajoute la maintenance, le carburant, les locaux, la formation (initiale et continue), les frais de personnel, etc., c'est facile de comprendre qu'un seul trafic (même régulier et bien rémunéré) ne peut pas suffire.

Modifié par TRAM21
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Tu peux avoir parfaitement raison 5121, sur le comportement d'ECR: faire feux de tout bois, pour rafler un max de marché avant que d'autres puissent apparaitre....

Fabrice

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Pour que ca tourne, il faut du chiffre d'affaire pour amortir les frais fixe et la structure.

Pour que ca dure il faut faire de la marge, pour dégager du cash et satisfaire le banquier

L'idéal est de démarrer les 2 en même temps

ECR a commencé par prendre des parts de marché et du volume pour assurer son developpement

peut etre au détriment de la rentabilité, quelle recherche , et qu'elle atteinds en 2011 d'après ce qui s'est dit ici

Pour Europorte la tactique a peut etre été différente, je ne connais pas leurs chiffres ni leur methodologie

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  • 1 mois plus tard...

Une info "piquée" sur un autre site : Le Havre : OSR France lance une nouvelle offre ferroviaire

Le Havre : OSR France lance une nouvelle offre ferroviaire

Filiale du commissionnaire de transport international Xpedys, qui appartient lui-même au groupe SNCB Logistics, OSF France propose depuis Le Havre un nouveau service ferroviaire vers l'Est de la France et l'Europe. Organisée autour d'un hub, cette solution offre aux clients de la pétrochimie notamment, une palette de services vers de multiples destinations intra‐européennes. Les trains exploités par OSR France, constitués pour le moment de wagons citernes adaptés aux vracs liquides, transitent vers la plateforme de Tergnier, en Picardie. Sur place, les nouveaux convois sont recomposés selon la demande et les besoins du client, pour être ensuite acheminés vers leur destination finale. Cette solution offre à la fois souplesse, régularité et réduction des délais de livraison pour les chargeurs spécialisés dans la chimie, qui fonctionnent habituellement en « flux tendu ». La prestation d'OSR constitue ainsi une alternative au système « classique » de « train bloc », permettant de transporter des marchandises du départ à l'arrivée sans hub ferroviaire. « Au regard de la forte concentration d'industries de la (pétro)chimie sur la région du Havre, OSR a inauguré une liaison ferroviaire de 5 trains par semaine entre Le Havre et les hubs situés dans le Nord de la France desservant quotidiennement la Belgique, la France et des destinations internationales. Xpedys confirme ainsi la volonté d'introduire des solutions ferroviaires innovantes et de qualité pour l'industrie » commente Jan Vermassen, chargé d'affaires chez Xpedys.

Développer le secteur de la chimie et de la pétrochimie

Au Grand Port Maritime du Havre, on se félicite du lancement de ce nouveau service. « L'arrivée de cette prestation montre que Le Havre offre des conditions optimales pour l'accueil de toutes les solutions innovantes. OSR France a pu mettre en place ses prestations en moins de 6 mois, de l'étude de marché jusqu'à leur concrétisation », témoigne Didier Simon, responsable du pôle Réseau ferré portuaire du GPMH. « Rappelons qu'au Havre, les faisceaux ferroviaires de la plaine alluviale ouverts aux grandes lignes connectent les trains du secteur de la chimie directement au pied des entreprises ».

En 2010, l'offre ferroviaire conventionnelle au Havre comptait 16 trains par jour, les produits pétroliers et chimiques représentant 45% des tonnages transportés globaux. Selon le GPMH, « la diversité des offres de services ferroviaires constitue un atout supplémentaire dans un contexte où le secteur de la chimie représente un axe fort de développement du port du Havre et de l'Axe Seine ». L'union des trois ports du Havre, de Rouen et de Paris constitue en effet le premier bassin pétrochimique de France avec, en 2010, plus de 13% de l'emploi et près de 14% des établissements de la filière chimie sur le territoire national.

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Vu comme ça, on pourrait presque croire qu'ils viennent d'inventer le triage des wagons...

Tant mieux pour le rail, si on peut former quelques trains au Havre, et je pense surtout aux gars du Fret qui connaissaient tout ça depuis des decennies, et qui ont vu fondre " leur" travail, comme d'ailleurs dans beaucoup d'autres endroits en France...

Le discours pompeux nous prouve bien que les journalistes n'ont pas pigé ( ce n'est pas vraiment leur travail..) toutes les données de la problematique du fret en France, sinon un peu de modestie n'aurait pas nuit...

Fabrice

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