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Le Web des Cheminots

Oh , Jeannette.....c'est quoi ça ?


Invité Gnafron 1er

Messages recommandés

Invité necroshine

Au plateau du grand Journal sur canal +,

On lui a posé une question, prefere-t'elle :

- Jacques Chirac qui quand on lui a dit "Connard", a répondu, enchanté moi c'est Jacques Chirac....

ou,

- Le casse toi pov'con de Sarkozy....

Jeannette, très génée, a mis de nombreuses secondes a dire qu'elle preferai la méthode Sarkozienne....

Vive les Chupa Chups !!!!! Matin midi et soir !!!!

Pour moi, une de plus de cataloguée !!!

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Invité Gnafron 1er

Au plateau du grand Journal sur canal +,

On lui a posé une question, prefere-t'elle :

- Jacques Chirac qui quand on lui a dit "Connard", a répondu, enchanté moi c'est Jacques Chirac....

ou,

- Le casse toi pov'con de Sarkozy....

Jeannette, très génée, a mis de nombreuses secondes a dire qu'elle preferai la méthode Sarkozienne....

Vive les Chupa Chups !!!!! Matin midi et soir !!!!

Pour moi, une de plus de cataloguée !!!

Moi qui croyait que tu regardais le télé achat ....

wouharf !

Modifié par Gnafron 1er
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Jeannette, très génée, a mis de nombreuses secondes a dire qu'elle preferait la méthode Sarkozienne....

Rien d'étonnant.

Comme son modèle, elle a multiplié par deux son salaire de Présidente de la HALDE (de 6900 à 14000 euros/mois) quelques semaines après sa prise de fonction.

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Une vidéo montrant le coup de colère d'une journaliste arabe envers les islamistes :

http://www.dailymotion.com/video/x470uj_journaliste-arabe-demonte-l-islam_news

Gnafron 1er si ça te gêne une vidéo sur ton sujet, vois avec un modo mdrmdr mdrmdr

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Au plateau du grand Journal sur canal +,

On lui a posé une question, prefere-t'elle :

- Jacques Chirac qui quand on lui a dit "Connard", a répondu, enchanté moi c'est Jacques Chirac....

ou,

- Le casse toi pov'con de Sarkozy....

Jeannette, très génée, a mis de nombreuses secondes a dire qu'elle preferai la méthode Sarkozienne....

Vive les Chupa Chups !!!!! Matin midi et soir !!!!

Pour moi, une de plus de cataloguée !!!

A t elle le choix ?

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Invité Gnafron 1er

Ok J.B est de droite , elle ne s'en cache pas ...mais le fond ?

Pour mémoire , elle avait pris position contre Hosni Moubarak et Fifi l'avait obligé " à se fourvoyer dans la presse ....

Donc , pas 2 fois ......

Nos réponse se sont croisées ,mon cher Michael02.C'est ce que je voulais dire , en fait !

Modifié par Gnafron 1er
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Invité necroshine

A t elle le choix ?

Le choix de la conscience,

dire qu'elle preferait la méthode chirac, plus classieuse, n'etait pas une insulte en soit envers le Président actuel...

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Histoire de se souvenir de ce que l'on parle ...

(Oh, Marc, tu d*c*nn*s, mets l'article avec le lien ;) )

«Je ne soutiendrai jamais un parti islamiste. Jamais. Au nom des femmes qui sont mortes (...) parce qu’elles ne portaient pas le voile», déclare Jeannette Bougrab, secrétaire d'Etat à la Jeunesse, dans une interview au «Parisien». | (LP/JEAN-BAPTISTE QUENTIN.)

182 réactions Réagir

Dans une interview au «Parisien» - «Aujourd'hui en France» à paraître ce samedi, Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat à la Jeunesse, s’inquiète du succès des partis islamistes au Maroc, en Tunisie et en Egypte. Fille de harki, elle pousse un coup de gueule contre la montée de l’islamisme après le Printemps arabe.

Une voix isolée au sein du gouvernement.

En Tunisie, au Maroc et en Egypte, on assiste à une poussée des islamistes. Cela vous inquiète-t-il ?

JEANNETTE BOUGRAB. Oui. C’est très inquiétant. Je ne connais pas d’islamisme modéré.

Il ne faut pas croire ceux qui se présentent - ou que l’on qualifie - de « modérés » ?

Non. L’égalité ne peut pas être à géométrie variable. L’Etat de droit se mesure notamment en fonction du degré ou du respect des droits des femmes et je n’accepte pas l’idée qu’on puisse fonder une Constitution sur la charia, système religieux fondamentalement inégalitaire. La démocratie n’est pas un supermarché où l’on pourrait prendre uniquement ce qui nous fait plaisir.

Ces « modérés » disent que la charia peut n’être qu’une source d’inspiration...

Il n’y a pas de charia light. Je suis juriste et on peut faire toutes les interprétations théologiques, littérales ou fondamentalistes que l’on veut, mais le droit fondé sur la charia est nécessairement une restriction des droits et libertés, notamment de la liberté de conscience, car l’apostasie est interdite. Il n’est pas possible de se convertir. Les mariages mixtes ne sont pas reconnus. Une femme musulmane ne peut pas se marier avec un non-musulman. Aux yeux de certains, ce n’est peut-être pas grave si des femmes doivent désormais être voilées ou si demain elles n’ont plus les mêmes droits. Pas pour moi. Je ne transige pas sur cette question de l’égalité juridique. Et il faut être attentif au double langage.

Le discours de la diplomatie française, plutôt mesuré envers ces régimes, devrait être plus ferme ?

Je ne suis pas ministre des Affaires étrangères. Je réagis en tant que citoyenne, en tant que femme française d’origine arabe. Je sais le prix qui a été payé par les gens qui sont restés de l’autre côté de la Méditerranée, notamment au moment du terrorisme islamiste qui a fait plus de 200 000 morts en Algérie. Je suis d’ailleurs contente de voir qu’à Alger une loi est adoptée pour interdire la constitution de partis politiques par les anciens du FIS.

Alain Juppé a félicité les dirigeants d’Ennahda en Tunisie et du Parti de la justice et du développement au Maroc…

Il ne s’agit pas de rompre les liens diplomatiques avec le Maroc. En 2003-2004, dès les premières années de son règne, Mohammed VI a modifié la Moudawana (Code de la famille) pour réduire la polygamie, la répudiation et interdire les mariages précoces. Va-t-on revenir sur ces textes ? En Egypte, on a vu les violences dont sont victimes les chrétiens coptes. Aujourd’hui, sur la place Tahrir, des femmes sont agressées parce que ce sont des femmes. Ben Ali ou Moubarak avaient agité le chiffon rouge des islamistes pour obtenir le soutien des pays occidentaux. Mais il ne faudrait pas tomber dans l’excès inverse. Moi, je ne soutiendrai jamais un parti islamiste. Jamais. Au nom des femmes qui sont mortes, de toutes celles qui ont été tuées, notamment en Algérie ou en Iran, par exemple, parce qu’elles ne portaient pas le voile.

La France aurait-elle dû être plus exigeante au moment où les nouvelles autorités libyennes ont parlé de charia ?

Le président de la République a assuré que la France serait très vigilante sur la question du droit des femmes et de la liberté religieuse. Les manifestations d’ouvriers, de femmes, de jeunes qui se déroulent en ce moment à Tunis ou au Caire, pour réclamer le respect des principes d’égalité et de laïcité, montrent que les choses ne sont pas jouées. Je me refuse à croire qu’il y aurait une sorte de malédiction sur ces pays arabes, que le choix devrait se résumer entre les dictateurs et l’islamisme, entre la peste et le choléra.

Mais il y a eu des élections…

Parfois la dictature est venue des urnes. Je fais partie de celles qui estiment qu’on peut interdire des partis politiques fondés sur des pratiques qui portent atteinte à une Constitution. C’est ce qui se passe en Allemagne avec l’article 21 de la loi fondamentale. L’histoire a montré aux Allemands que la démocratie peut être fragile.

Plus de 30 % des Tunisiens de France ont voté pour Ennahda aux législatives…

Oui et cela montre un vrai échec. Alors que les jeunes en Tunisie ont risqué leur vie pour la liberté, les forces conservatrices sont aussi venues de France. Je trouve choquant que ceux qui ont les droits et libertés ici aient donné leur voix à un parti religieux. Je pense à ceux qui, dans leur pays, ont été arrêtés, torturés pour défendre leurs convictions. On leur a en quelque sorte volé la révolution.

Souvenez vous que l'intégration de cette, heu, population (?) passera par les femmes qui refuseront la joug, que dis-je, la tyrannie séculaire d'une religion qui se ne base que sur de l'oral (pour la charia, elle n'existe pas en tant que telle et jamais le Prophète ne l'a édicté ainsi, ce n'étaient que des préceptes dites aux fils du temps ...).

Les mots en gras sont valables dans les 2 sens ^^ ... vite, Marine !!! (désolé, j'ai pas pu résisté :jesuisdehors: ...)

C'est pas tout à fait le sujet mais cet article concerne les "crimes d'honneur" en Agleterre : http://www.lefigaro....royaume-uni.php

Peu importe la religion, ici, malheureusement, ils sont tous à mettre dans le même sac et d'urgence s'en débarrasser :Smiley_55::sleep: ...

Modifié par Bearcat
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Invité Gnafron 1er

Bougrab accusée de « haute trahison »

Publié le 06.12.2011,Le Parisien

«Je ne soutiendrai jamais un parti islamiste. Jamais. Au nom des femmes qui sont mortes (...) parce qu’elles ne portaient pas le voile», déclare Jeannette Bougrab, secrétaire d'Etat à la Jeunesse, dans une interview au «Parisien». | (LP/JEAN-BAPTISTE QUENTIN.)

L’interview parue samedi dans nos colonnes dans laquelle Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat à la Jeunesse, disait s’inquiéter du succès électoral des partis islamistes dans les pays arabes n’a pas du tout plu à Matignon.

Jeannette Bougrab : «Je ne connais pas d’islamisme modéré»Tous les indiscrets du Parisien-Aujourd'hui en France

S’exprimant à titre personnel, en tant que « femme d’origine arabe » et non comme ministre, elle a réfuté la notion d’« islamisme modéré », défendue par le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé. Elle a aussi mis en garde contre toute restriction des droits des femmes. Cette prise de position lui a valu un coup de fil incendiaire de Jean-Paul Faugère, le directeur de cabinet de François Fillon. Il lui a reproché de remettre en cause la politique étrangère de la France, allant jusqu’à l’accuser de « haute trahison

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  • 3 mois plus tard...
Invité Gnafron 1er

http://www.atlantico...0.html?page=0,0

Jeannette Bougrab : "Ceux qui accusent la France d’islamophobie nous empêchent de voir l’obscurantisme qui gangrène notre pays"

Pour la Secrétaire d'État à la Jeunesse et à la Vie associative, "les musulmans doivent davantage dénoncer les actes barbares comme ceux de Mohamed Merah avant de craindre l’amalgame".

Atlantico : La mort de Mohamed Merah et les mesures annoncées par Nicolas Sarkozy ce jeudi remettent la question de l'islamisme sur le devant de la scène médiatique. Est-il selon vous possible de parler aujourd'hui sereinement d'islam et d'islamisme en France ?

Jeannette Bougrab :
Il convient de distinguer islam et islamisme. L’islamisme est l’utilisation à des fins politiques de la religion musulmane. Il s’agit d’une lecture fondamentaliste du texte coranique. Peut-on en France parler aujourd’hui sereinement d’islamisme ?

Une démocratie est mûre lorsqu’on peut aborder tous les sujets sans tomber dans une hystérie collective. Hélas en France, des sujets sont devenus tabous, domaine préempté du Front national. Si on décide, même simplement, de les effleurer (immigration, laïcité…), on est accusé du pire par l’opposition de gauche.

Vous aviez déclaré "il n'y a pas d'islamisme modéré". Des proches du Premier ministre vous avaient alors taxé de "haute trahison". Comment l'avez-vous vécu ? Qu'est-ce que cela révèle du climat qui entoure ces questions en France ?

Je suis une femme de conviction. Je ne fais jamais de compromis avec ce que je crois être juste. Les États occidentaux ne veulent pas voir les dérives dangereuses de l’islamisme. Des femmes sont lapidées, aspergées d’acide, battues, victimes de crimes d’honneur qui n’ont d’honneur que le nom. Ces actes barbares n’ont pas seulement lieu au Pakistan ou en Afghanistan. L’Europe est aussi touchée … Selon une étude de l’ODFIK, près de 3000 jeunes femmes résidant au Royaume-Uni auraient été victimes de crimes d’honneur en 2010. C’est la raison pour laquelle il ne faut ne faire aucun compromis et ne pas hésiter à expulser les imams étrangers qui tiennent des propos extrémistes et attentatoires à la dignité et l’intégrité du corps des femmes.

Vous comprenez que rien ne pourra entamer ma détermination à combattre les fondamentalismes qui dévoient les religions et s’attaquent aux principes républicains. N’ayons pas la mémoire la courte. Madrid, Londres ou encore Paris ont connu des attentats sanglants.

De nombreux commentateurs ont évoqué un climat "islamophobe" en France aujourd'hui. Mais n'est-ce pas plutôt l'inverse : doit-on être taxé "d'islamophobie" dès que l'on aborde un sujet lié à l'islam ?

La France est une République laïque. C’est un État de droit où les libertés sont consacrées et protégées : liberté de pensée, liberté de conscience, liberté cultuelle... Je dénonce ceux qui accusent la France d’islamophobie car leur finalité est politique. Ils veulent nous empêcher de voir l’obscurantisme qui gangrène notre pays au nom d’un différentialisme et d’une culpabilité postcoloniale. Les musulmans doivent davantage dénoncer les actes barbares comme ceux de Mohamed Merah avant de craindre l’amalgame. Les musulmans ne doivent plus rester en retrait face à l’ignominie des régimes islamistes qui sont les véritables fossoyeurs de l’islam.

Finalement, ces non-dits sur la question de l'islam ne sont-ils pas contre-productifs et conduisent-ils à l'impossibilité d'avoir une vision claire de la situation de cette religion en France ?

Ils sont évidemment contre-productifs. La disparition de Mohammed Arkoun, spécialiste d’herméneutique coranique crée un immense vide dans la vie intellectuelle française. Laissant toute la place à Tarik Ramadan. Je ne comprends pas les intellectuels français qui refusent d’entrer dans la bataille des idées. Ce n’est pas en construisant des mosquées que nous allons éteindre les feux qui commencent à prendre ici et là et qui mettent en cause la sûreté des personnes et de l’Etat. Nous devons créer des chaires à l’Université sur l’histoire des religions, l’enseignement des faits religieux, développer des lieux de savoir et de culture, et non des lieux cultuels
.
Des intellectuels étrangers notamment au Pakistan ont été assassinés pour avoir osé suggérer que l’on pouvait lire le Coran différemment des quatre écoles classiques d’interprétation. Mais pas seulement. Au Pays-Bas, Théo Van Gogh, en 2004, a été assassiné pour avoir réalisé un film polémique dénonçant le traitement infâme des femmes en Afghanistan. Son amie, la député d’origine somalienne, Hirsh Ali a dû se réfugier quant à elle aux États-Unis parce qu’elle dénonçait le fondamentalisme.

Une lecture littérale d’un texte religieux est une absurdité. Pour moi, le seul rempart contre le fondamentalisme est la raison. Comment, dans le pays de Voltaire, n’a-t-on pas pris la mesure des attaques ? Comment la tolérance a-t-elle laissé place à l’obscurantisme? Il est temps "d’écraser l’infâme". Tel Saint Just qui affirmait : "Pas de liberté pour les ennemis de la liberté". Pour moi, pas de laïcité, pour les ennemis de la laïcité.

Modifié par Gnafron 1er
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