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katamiaw

Messages recommandés

Je note la réaction, en résumé : "on est super content, on pourra bloquer tout ce qui vient de ces vilains méchants pas beau de la droite". Bah ouais, c'est bien connu, tout ce qui vient de l'autre camp est forcément mauvais.

Vous pensez qu'un jour les politiques, quelque soit leur camp, sortiront de ce genre de gamineries ? J'aurai bien aimé être aussi bien payé qu'eux, quand j'étais en maternelle !

"I have a dream..."

Gom

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Sur le blog de Michel Noblecourt sur Le Monde

Toujours entre amusement et ambiguïté

Le coup de sang de François Chérèque

http://social.blog.lemonde.fr/2011/09/26/le-coup-de-sang-de-francois-chereque/

François Chérèque est un syndicaliste pondéré. Il lui arrive de s'emporter, d'être en colère mais il s'exprime généralement avec mesure. Ce n'est pas un "fort en gueule" comme l'était son père, Jacques Chérèque, lorsqu'il dirigeait la fédération CFDT de la métallurgie,avant de devenir le numéro deux de la confédération puis le ministre de Michel Rocard. Pourtant, dimanche 25 septembre, le secrétaire général de la CFDT, invité de l'émission "12/13" sur France 3, a piqué un vrai coup de sang. Evoquant l'affaire Karachi, qui défraye la chronique judiciaire et politique, il a estimé qu'on était en présence d'"une affaire d'Etat".L'attentat de Karachi, dans le sud du Pakistan avait fait 15 morts, le 8 mai 2002, dont 11 salariés français de la Direction des constructions navales qui travaillaient à la constuction d'un sous-marin. Dans cette affaire, la CFDT, qui comptait plusieurs adhèrents parmi les victimes, s'est portée partie civile. A la suite des derniers rebondissements de ce feuilleton, dans lequel deux proches de Nicolas Sarkozy, Nicolas Bazire et Thierry Gaubert, sont poursuivis, les soupçons portant sur un financement illégal de la campagne d'Edouard Balladur pour la présidentielle de 1995, François Chérèque a réclamé la "levée totale du secret défense". "Nous avons le devoir d'aller jusqu'au bout et de connaître la vérité, a martelé le dirigeant syndical.S'il s'avère que ces personnes sont mortes non pas parce que c'était un attentat islamiste, mais parce qu'il y a eu des financements occultes de parti politique, ça serait une vraie catastrophe. Cela voudrait dire que des personnes, l'Etat, a envoyé des salariés français travailler à l'étranger et qu'ils sont morts de leur faute. Je crois que ce serait quelque chose d'insupportable".

Avec le basculement à gauche du Sénat, le coup de sang de François Chértèque est passé inaperçu. Il est pourtant un nouveau signe de la rupture entre la CFDT, dont la grande majorité des adhèrents votent à gauche, et Nicolas Sarkozy. Il est vrai que tout avait trés mal commencé entre le président élu en 2007 et le syndicaliste. D'emblée François Chérèque refuse toute connivence avec un chef de l'Etat prompt à user d'un ton familier et à tutoyer ses interlocuteurs. Lors de l'une de leurs premières entrevues, l'idée d'une "amnistie générale" est évoquée en faveur des bénéficaires des retraits d'argent liquide effectués, dans le but de "fluidifier les relations sociales", par l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM). Au nom d'une certaine idée de la morale et de l'éthique, François Chérèque s'en scandalise. Pire encore, il raconte la scène dans un livre, Si on me cherche (Albin Michel, 2008). Depuis Nicolas Sarkozy, qui préfére les rapports de force et le langage musclé avec la CGT, lui bat froid.

La CFDT a certes applaudi à la réforme de la représentativité syndicale, qui résultait d'un accord avec la CGT et le Medef. Mais elle a détesté le bouclier fiscal, la défiscalisation des heures supplémentaires et les tentatives répétées de mise en cause des 35 heures. Aux côtés de la CGT et des autres syndicats, elle a bataillé, tout au long de l'année 2010, contre la réforme des retraites de François Fillon et l'abandon de la retraite à 60 ans. Les syndicats ont perdu la bataille - la réforme est passée - mais ils ont gagné la confiance majoritaire de l'opinion. Depuis, les relations avec le pouvoir sont inscrites sous le signe d'une défiance qui va en s'accentuant. Le 25 septembre sur France 3, François Chérèque a ainsi jugé "un peu pathétique" la démarche du premier ministre qui a souhaité une réouverture du débat sur les retraites pour arriver à une convergence sur l'âge de départ entre la France et l'Allemagne. "On nous a expliqué il y a un an, a-t-il ironisé, que c'était la réforme qui nous règlait le problème jusqu'en 2018 et puis, pan, le premier ministre revient sur ce sujet là".

Même s'il na pas apprécié que François Fillon ne prenne même pas la peine de répondre à sa demande de "sommet social", au moment où le gouvernement préparait des mesures de lutte contre les déficits publics, François Chérèque ne s'est pas pour autant métamorphosé en va-t-en guerre. Pour la journée interprofessionnelle d'actions du 11 octobre, organisée avec la CGT, l'Unsa, la FSU et Solidaires, il n'a pas cédé à la demande insistante de Bernard Thibault qui voulait que les syndicats appellent à une journée de grèves.

Mais à sept mois de l'élection présidentielle, l'enjeu au centre des relations entre le pouvoir et la CFDT est totalement politique. Depuis la présidentielle de 1988, la CFDT ne donne plus de consignes de vote. Cette fois encore, la CFDT va interpeller les candidats républicains - ce qui exclut le Front national - à partir de ses propres revendications et propositions. Le 31 août, sur France Inter, François Chérèque a indiqué qu'il n'irait pas voter à la primaire socialiste des 9 et 16 octobre. "Je n'ai pas, moi, à me marquer de façon partisane", s'est-il justifié. Le secrétaire général de la CFDT n'a guère apprécié la prise de position de son prédécesseur, Edmond Maire, dans Le Monde du 8 septembre, en faveur de Martine Aubry. L'histoire ne dit pas ce qu'il a pensé de la participation de son père, Jacques Chérèque, le 7 septembre à Longwy, à une réunion thématique organisée par la maire de Lille sur l'emploi et le travail. La CFDT affichera donc officiellement sa neutralité. Mais cette neutralité risque d'être de plus en plus teintée d'antisarkozysme.

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Invité necroshine

La provocation du jour !!! Diviser pour mieux regner, telle est sa devise qui l'a fait gagner !!!!

http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/nicolas-sarkozy-pense-a-l-industrie-plus-qu-aux-fonctionnaires-27-09-2011-1377943_240.php

Nicolas Sarkozy pense à l'industrie plus qu'aux fonctionnaires

VENETTE, Oise (Reuters) - Nicolas Sarkozy a jugé mardi de son devoir de penser d'abord aux salariés de l'industrie, dont les emplois sont exposés à la concurrence internationale, plutôt qu'aux fonctionnaires, protégés par leur statut.

Martine Aubry candidate à la primaire socialiste en vue de l'élection présidentielle, a jugé ces propos "inacceptables".

Le président de la République visitait une usine de carburant vert à Venette, près de Compiègne, alors que la quasi-totalité des syndicats d'enseignants du public et du privé organisaient en France grèves et manifestations pour protester contre les suppressions de postes dans l'Education.

"Aujourd'hui, il y a des protestations, c'est normal dans une démocratie", a-t-il déclaré aux salariés de l'usine Novance, du groupe Sofiprotéol au moment où les enseignants du public et du privé menaient une grève très suivie en France.

"Mais les emplois qui sont en cause, ce n'est pas les emplois de la fonction publique, c'est les emplois de l'industrie, c'est les emplois de l'entreprise, c'est les emplois qui sont exposés à la concurrence", a-t-il ajouté.

"Mon devoir de chef de l'Etat c'est d'abord de penser aux ouvriers, aux salariés et aux cadres qui sont lancés dans la compétition internationale et qui ont besoin du soutien de l'Etat, plus que de penser à ceux qui ont un travail difficile mais qui ont un statut qui les protège", a-t-il ajouté. "Vous, vous êtes exposés, c'est pour ça que je dois d'abord être avec vous plus qu'avec d'autres qui sont protégés dans leur statut."

Martine Aubry lui a répondu en marge d'une manifestation d'enseignants à Paris.

"Je crois vraiment que le président de la République sortant n'a rien compris. Ce que veulent les Français aujourd'hui, c'est d'être rassemblés", a dit la maire de Lille à la presse.

"Le président de la République n'a pas compris ce qu'était la France, il n'a pas compris qu'on conjuguait égalité et liberté et qu'on n'opposait pas les jeunes et les personnes âgées, les chômeurs aux travailleurs, le privé au public. Que la France, c'est justement tout cela réuni", a-t-elle ajouté.

"Il ne sait qu'opposer, il ne sait que diviser face au fiasco qui est le sien sur le plan économique, sur le plan social, sur le plan sécuritaire", a-t-elle conclu.

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Invité necroshine

Je viens de voir au Zapping un Edwy Plenel qui s'est payé un Henri Gaino !!! Hallucinant !!! ici

Pour ceux qui veulent revoir le debat !!!!! Mots croisés

Un commentaire que j'ai lu ici : http://forum.aufeminin.com/forum/actu1/__f106022_actu1--l-affrontement-henry-guaino-edwy-plenel-super.html

Plus fort que l'opposition edwy plenel g7.gif

Merci Monsieur Plenel de votre intervention hier soir dans Mots Croisés face à Henri Guaino, la voix de l'Elysée. Assurément c'était l'interlocuteur qu'il vous fallait : un discours contre un autre, deux langues différentes, celle des faits contre celle des promesses, les preuves contre les postures.

Evidemment le débat d'Yves Calvi a un peu volé en éclats, il a eu du mal à placer ses questions : ce n'est pas grave je trouve, l'actualité est trop brûlante, on ne peut plus faire semblant et respecter benoîtement les protocoles . Merci pour votre sourire goguenard, qui soulignait la force tranquille des réalités que vous mettiez sur la table : en effet, vous n'aviez pas besoin d'être offensif, simplement présent. Merci pour votre correction parfaite, dans le maniement de la langue comme dans la bienséance. J'aurais voulu vous entendre reprendre Guaino lorsque, à bout d'arguments, il a tenté de se retrancher derrière son quant-à-soi : "Moi ce que je sais c'est que..., mais je n'y étais pas, Bazire, Copé, Gaubert, Hortefeux c'est leur problème" ; qu'est-ce que c'est que cette histoire ? On met tout le monde sur écoute, on intervient dans les dossiers d'instruction, on fait pression sur les médias, tout le monde doit rendre des comptes, mais au plus haut niveau de l'Etat, tout à coup, on ne sait pas ce que font vos plus proches associés ??? Mais vous avez justement convoqué les allégations de "responsabilité" de ce gouvernement.

C'est ici que cela devient intéressant : nous avons assisté là à une merveilleuse démonstration de récupération linguistique. La propagande gouvernementale consiste essentiellement en une réappropriation des concepts : se décerner les palmes de la démocratie, se faire le champion des plus nobles valeurs morales, pour les confisquer à son interlocuteur. C'est ainsi que du même coup, on les vide de leur sens. C'est bien sur ce terrain qu'il faut se placer aussi : déconstruire le mensonge c'est évidemment aligner les faits, faire valoir le réel, mais il y faut une vigilance de chaque instant pour redonner aux mots leur sens historique et leur poids moral, rappeler constamment que ce que l'on dit engage des actes, que la parole nous lie, et que se servir de la langue comme d'un costume, c'est la pire des impostures.

Soulagement donc en entendant cette accusation : "Vous n'avez pas le monopole de la République", et Edwy Plenel de reconquérir la défense de la République à partir de Mendès France en énumérant toutes les infractions patentes à l'idéologie républicaine.

Difficile pour Henri Guaino, de rester debout devant l'évidence des faits : "Vous ne pouvez pas m'inviter sur un plateau avec Monsieur qui dit Là, voilà les preuves, et que je ne puisse pas répondre"... Ils sont donc fragiles, ces puissants ? C'est une bonne nouvelle.

Plenel-accuse-le-President-Guaino-tente-une-defense

Petit florilège des techniques d'évitement : le décentrement du débat : "je voudrais qu'on parle de la pratique et de la méthode". L'essai de caricature : "un système d'insinuations", "alimenter le tous pourris". Récupérations moralistes : "Arrêtons les insinuations qui détruisent la République". Personnalisation du débat, manière bien sûr d'évacuer les enjeux politiques : "Je vous mets au défi d'apporter une preuve du lien entre Sarkoy et Takiéddine", "Qu'est-ce qu'on vous a caché M. Plenel ?", "Vous vous prenez pour un justicier", "Mon jugement vaut le vôtre..." Argument de l'humaine faiblesse : "Vous quand vous proférez des insultes, il n'y a pas de micro", "Je m'énerve un peu, je dis des noms d'oiseaux". Banalisation des constats : "Oh je suis d'accord on n'a pas réglé tous les problèmes, oui il y a encore des injustices et des inégalités... les rémunérations dans la finance sont outrancières, inadmissibles". Déni pur et simple : "je ne peux pas vous laisser dire ... est un mensonge", "vous ne démontrez jamais rien, vous ne prouvez jamais rien, vous laissez filtrer des insinuations", etc...

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Très bien fait...

Recettes 289 milliards d'euros

Dépenses 367 milliards d'euros

déficit 78 milliards d'euros

Visualisez le projet de loi de finances 2012

http://www.lemonde.f...#ens_id=1567728

Modifié par Dom Le Trappeur
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Invité necroshine

Très bien fait...

Recettes 289 milliards d'euros

Dépenses 367 milliards d'euros

déficit 78 milliards d'euros

Visualisez le projet de loi de finances 2012

http://www.lemonde.f...#ens_id=1567728

78 milliards a jouter aux 1700 milliards actuels, donc on alourdit, on affaiblit, et dès mai prochain,

si c'est le PS ou autre que UMP qui passe.... Dégradation de la note française, et,

vous verrez les guignols de l'UMP dire que.... c'est de la faute aux nouveaux dirigeants,

et, que si c'etait eux, il n'y aurait pas eu cette dégradation....

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La dette publique atteint 1692 milliards d'euros

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/09/30/04016-20110930ARTFIG00675-la-dette-publique-atteint-16927-milliards-d-euros.php

Je crois avoir lu quelque part que la durée moyenne des emprunts contractés est de 7,5 années...

avec des extrèmes devant aller de 1 à 50 ans pour le remboursement du capital...

La gestion de la dette et des charges financières (les intérêts) est différent si on prend l'Etat (ou un organisme public comme RFF ou la SNCF par exemple) ou un particulier...

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Invité steakfrites

Manuel Valls est lié de manière éternelle à israel.... je pensais que c'était plutôt la France, pour un candidat à la présidentielle Française.

Ca ne choque toujours personne ce genre de propos dans notre pays?

PS: a voir dans le lien un bout de la déclaration de DSK en 91, déclaration scandaleuse. Sinon il faut changer de pays mr DSK

Manuel Valls : « Je suis lié de manière éternelle à Israël »

Modifié par steakfrites
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Invité steakfrites

La dette publique atteint 1692 milliards d'euros

http://www.lefigaro....rds-d-euros.php

Je crois avoir lu quelque part que la durée moyenne des emprunts contractés est de 7,5 années...

avec des extrèmes devant aller de 1 à 50 ans pour le remboursement du capital...

La gestion de la dette et des charges financières (les intérêts) est différent si on prend l'Etat (ou un organisme public comme RFF ou la SNCF par exemple) ou un particulier...

La dette? Quelle dette? Tu veux parler des intérêts d'emprunts qu'on doit à la loi pompidou de 1973? Les 1300 Milliards d'intérêts remboursés aux banques depuis 1979?

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Manuel Valls est lié de manière éternelle à israel.... je pensais que c'était plutôt la France, pour un candidat à la présidentielle Française.

Ca ne choque toujours personne ce genre de propos dans notre pays?

PS: a voir dans le lien un bout de la déclaration de DSK en 91, déclaration scandaleuse. Sinon il faut changer de pays mr DSK

Publié par raimane post non vérifié par la rédaction Manuel Valls : « Je suis lié de manière éternelle à Israël »

je ne comprend pas ton étonnement car dans la mentalité frnaçaise ce n'est pas choquant.

Par le passé on a donné des rôles importants à des personnages ayant double culture comme par exemple Gambetta.

Regarde aussi le parti écologiste qui a mis son destin entre les mains d'Eva Joly pas française 100% pur souche et regardant ausi son pays d'orignie.

Idem pour Cohn Bendit toujours à cheval entre France et Allemagne.

Tous ces personnages sont attachés à notre pays, à notre destin national mais, c'est humain, aussi lié de manière éternelle à un autre pays.

Pas de raison de s'en offusquer et me^me ce devrait être une fierté de savoir si bien accueillir et donner sa chance jusqu'au sommet.

Pour rappel, l'autrichien de naissance Schwartzeneger après sa carrière hollywoodienne fût élu gouverneur mais n'avait pas le droit de se présenter comme candidat aux élections présidentielles.

Notre président NS1er est quand même un "2e génération" ambitieux qui a réussit au sommet de l'état. Il est lié de manière éternelle au pays de son père comme nous l'avons vu lors de son voyage en Hongrie. Il est surtout lié de manière éternelle au pays de son épouse, l'Italie.

Pas de quoi fouetter un Valls, il y a d'autre contre-argument plus percutant qu'un procés ayant des relents xénophobes

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Invité steakfrites

je ne comprend pas ton étonnement car dans la mentalité frnaçaise ce n'est pas choquant.

Par le passé on a donné des rôles importants à des personnages ayant double culture comme par exemple Gambetta.

Regarde aussi le parti écologiste qui a mis son destin entre les mains d'Eva Joly pas française 100% pur souche et regardant ausi son pays d'orignie.

Idem pour Cohn Bendit toujours à cheval entre France et Allemagne.

Tous ces personnages sont attachés à notre pays, à notre destin national mais, c'est humain, aussi lié de manière éternelle à un autre pays.

Pas de raison de s'en offusquer et me^me ce devrait être une fierté de savoir si bien accueillir et donner sa chance jusqu'au sommet.

Pour rappel, l'autrichien de naissance Schwartzeneger après sa carrière hollywoodienne fût élu gouverneur mais n'avait pas le droit de se présenter comme candidat aux élections présidentielles.

Notre président NS1er est quand même un "2e génération" ambitieux qui a réussit au sommet de l'état. Il est lié de manière éternelle au pays de son père comme nous l'avons vu lors de son voyage en Hongrie. Il est surtout lié de manière éternelle au pays de son épouse, l'Italie.

Pas de quoi fouetter un Valls, il y a d'autre contre-argument plus percutant qu'un procés ayant des relents xénophobes

Et là ya pas de quoi être choqué peut être? Ouvre les yeux, on est gouvernés par des sionistes

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Invité steakfrites

Tiens, une dernière :

Réponse de Dominique Strauss-Kahn : Je considère que tout Juif de la diaspora, et donc c’est vrai en France, doit partout où il le peut apporter son aide à Israël. C’est pour ça d’ailleurs qu’il est important que les Juifs prennent des responsabilités politiques. Tout le monde ne pense pas la même chose dans la Communauté juive, mais je crois que c’est nécessaire. Car, on ne peut pas à la fois se plaindre qu’un pays comme la France, par exemple, ait dans le passé et peut-être encore aujourd’hui, une politique par trop pro-arabe et ne pas essayer de l’infléchir par des individus qui pensent différemment en leur permettant de prendre le plus grand nombre de responsabilités. En somme, dans mes fonctions et dans ma vie de tous les jours, au travers de l’ensemble de mes actions, j’essaie de faire en sorte que ma modeste pierre soit apportée à la construction de la terre d’Israël.

Donc, à la tête du FMI, ex-futur candidat à la présidentielle, figure de la politique française, il sert qui? La France? ou israel? Je suis désolé mais des propos comme ça sont inadmissibles venant d'une personne à hautes responsabilités. Il me semble que quand Marie-Luce PENCHARD a fait un discours ou elle disait favoriser la Guadeloupe, ça a provoqué un tolet. Pourquoi pas là?

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Au Choix :

- on n'en à rien à cirer...

- encore 23% qui en réclame encore et toujours plus...

- 23%...ça en devient ridicule,

- 23% Bon sang, quel bonhomme populaire...!

- 23% Bon sang quel type impopulaire...!

- Purée mais qu'il dégage...

2012: Sarkozy candidat de la droite pour 23% des Français

Près d'un Français sur quatre (23%) souhaite que le président Nicolas Sarkozy soit le candidat de la droite lors de l'élection présidentielle de 2012,

selon un sondage Ifop à paraître dimanche dans Sud-Ouest.

Ils sont 7% à plébisciter le Premier ministre François Fillon et son prédécesseur à Matignon Dominique de Villepin.

Le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, est cité par 5% des personnes interrogées

devant le président du Parti radical Jean-Louis Borloo (4%) et le président du MoDem François Bayrou (3%)

au coude à coude avec la présidente du Front national Marine Le Pen.

Dans la précédente enquête publiée en avril, le chef de l'Etat était déjà en première position (21%)

mais était talonné par son Premier ministre, alors considéré par 18% des sondés comme le candidat idéal de la droite.

Une large majorité des sympathisants de l'UMP (57%) estiment que Nicolas Sarkozy doit être le candidat de la droite, soit 5 points de plus qu'en avril.

Le sondage a été réalisé par téléphone les 29 et 30 septembre à partir d'un échantillon de 966 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Modifié par Dom Le Trappeur
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Le socialiste Jean-Pierre Bel élu président du Sénat

http://fr.news.yahoo...-152508752.html

PARIS (Reuters) -

Le socialiste Jean-Pierre Bel a été élu samedi président du Sénat français, devenant ainsi le premier dirigeant de gauche de la chambre haute du Parlement sous la Ve République.

Il a obtenu 179 voix contre 134 au président UMP sortant Gérard Larcher et 29 à la centriste Valérie Létard.

Les écologistes, qui disposent de dix sièges, ont finalement renoncé samedi à présenter un candidat et ont voté PS.

Jean-Pierre Bel, 59 ans, a obtenu deux voix de plus que le total théorique des voix de gauche. Il y a eu 347 votants et cinq bulletins blancs et nuls.

Dans son premier discours, le nouveau président a exprimé son "émotion" après cette élection, première victoire de la gauche au Sénat depuis 1958.

"Je ne serai jamais là pour servir un clan et une clientèle (...) Le Sénat doit prendre sa part à la longue marche vers le progrès social et la mutation écologique", a-t-il dit en promettant de lutter contre les discriminations.

...

Prenant la parole en premier en tant que doyen d'âge, le sénateur communiste de la Réunion, Paul Vergès, 86 ans, a déclaré :

"En cet instant, nous ressentons tous dans cet hémicycle, le coeur battant de la démocratie, de la démocratie prête à se renforcer. Nous voyons se dessiner l'espoir d'un Sénat à l'avant-garde des changements attendus".

...

***

Selon le décompte du Sénat, il a été élu dès le premier tour par 179 voix (soit deux voix de plus que le total des sénateurs de gauche). Le président UMP sortant,Gérard Larcher, a obtenu 134 voix, soit 6 de moins que le total UMP. Valérie Létard, 29 voix, soit 2 de moins que les 31 membres de son groupe centriste.

Jean-Pierre Bel a obtenu 7 voix de plus que la majorité absolue des suffrages exprimés, et surtout plus de voix qu'attendu, tandis que Valérie Létard a fait un score inférieur aux prédictions. Sur les 347 votants, on compte 5 bulletins nuls ou blanc, soit 342 suffrages exprimés. La majorité était donc à 172.

Modifié par Dom Le Trappeur
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Moins un,

Moins deux...

Jean-Louis Borloo renonce à être candidat en 2012

http://www.lemonde.f...#ens_id=1508557

Gérard Schivardi ne sera pas candidat à la présidentielle

http://www.lemonde.f...#ens_id=1508557

Modifié par Dom Le Trappeur
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Sécurité : la fabrique du bilan "favorable" pour 2012

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/10/03/securite-les-secrets-de-fabrication-du-bilan-pour-2012_1581408_3224.html#ens_id=1263607

Du ministre au gardien de la paix, comment la politique du chiffre s'impose aux policiers

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/10/03/du-ministre-au-gardien-de-la-paix-comment-la-politique-du-chiffre-s-impose-aux-policiers_1581438_3224.html#ens_id=1263607

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Moins un,

Moins deux...

Jean-Louis Borloo renonce à être candidat en 2012

http://www.lemonde.f...#ens_id=1508557

Gérard Schivardi ne sera pas candidat à la présidentielle

http://www.lemonde.f...#ens_id=1508557

Je viens d'apprendre pour Borloo dans "C dans l'air". Je pensais qu'il n'oserait pas annoncer qu'il allait se présenter contre vents et marées et.... se défiler... même si ce n'est pas ma crêmerie, il aurait pu fédérer et faire mal à droite et à gauche... et ceci explique peut-être cela.

Gérard Schivardi va nous manquer dans cette campagne. Il avait déjà sa marionnette des Guignols....

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Invité necroshine

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/10/03/sarkozy-et-l-industrie-un-quinquennat-jalonne-d-echecs_1581628_3224.html#ens_id=1581734&xtor=RSS-3208

Sarkozy et l'industrie : un quinquennat jalonné d'échecs

Le dernier haut-fourneau lorrain en activité a fermé, lundi 3 octobre, sur le site de Florange (Moselle). ArcelorMittal et le ministre de l'industrie, Eric Besson, assurent qu'il ne s'agit que d'une fermeture temporaire, et brandissent comme garantie la perspective d'un projet de reclassement de grande ampleur. Mais le scepticisme domine chez les 3 000 salariés, les syndicats et les élus locaux. Chez ArcelorMittal, on a déjà fait les frais de déclarations de soutien à l'industrie, non suivies d'effet, de la part de l'exécutif. La fermeture de l'aciérie de Gandrange est encore dans tous les esprits.

Cet épisode demeure emblématique des revers industriels du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Le 4 février 2008, le chef de l'Etat se rend en grande pompe sur place. Il promet à quelque 400 ouvriers qu'il empêchera la fermeture d'un site jugé non rentable par ArcelorMittal, et qu'il sauvera les emplois. "L'Etat préfère investir pour moderniser le site, plutôt que de payer (...) pour accompagner des gens soit en préretraite soit au chômage", martèle-t-il alors. Un an plus tard, près de 600 emplois sont supprimés. Et la CFDT érige une stèle à l'entrée de l'usine, en l'honneur des "promesses non tenues de Nicolas Sarkozy faites à Gandrange".

Avant son élection, Nicolas Sarkozy s'est positionné en adepte du volontarisme industriel. En campagne, le futur président de la République surveille de près le plan de restructuration drastique d'Airbus, Power 8, qui prévoit 4 300 suppressions d'emplois en France et la cession du site Airbus de Méaulte (Somme). Un plan qui sera mis en œuvre une fois le chef de l'Etat parvenu à l'Elysée. De même, Alcatel-Lucent a annoncé près de 1 500 suppressions de postes en 2007, 400 en 2008 et 850 en juillet 2009. Les syndicats affirment qu'avant son élection, en mars 2007, Nicolas Sarkozy s'était pourtant engagé à agir sur les suppressions d'emplois de l'équipementier télécoms.

"DANS LA VIE, ON TIENT SES ENGAGEMENTS"

D'autres échecs entachent le bilan présidentiel. Après la fermeture en 2008 de l'usine Michelin de Toul (800 salariés) en Meurthe-et-Moselle, Nicolas Sarkozy avait annoncé la création d'un "centre industriel" sur le site à l'horizon 2011, dont on n'a plus jamais entendu parler. En 2009, année noire : les usines Continental, à Clairoix, et Molex, à Villemur-sur-Tarn, annoncent leur fermeture, assortie du licenciement de dizaines de salariés. Le président prend alors position. En réaction à la décision de Continental, Nicolas Sarkozy promet qu'il fera respecter leurs engagements aux dirigeants. "Je n'ai pas été très content de l'attitude des gens de Continental, (...) dans la vie on tient ses engagements", déclare-t-il lors d'une visite de l'usine Alstom à Ornans (Doubs) en mars 2009. "Je ferai en sorte qu'ils respectent leur engagement, voilà."

En septembre 2009, le chef de l'Etat se fâche contre l'équipementier américain Molex : "Ce qui se passe chez Molex ne me va pas, affirme-t-il lors d'une table ronde sur l'emploi. Quand on part comme les propriétaires américains de l'usine Molex de Villemur-sur-Tarn, on part en assumant ses dettes (...). On doit respecter ses employés qui ne sont pas des marchandises." Le président de la République a par ailleurs affirmé que "l'Etat garantirait le repreneur". En novembre, Molex est placé en liquidation judiciaire ; la maison mère refuse de continuer à payer le plan social lié à la fermeture de l'usine.

Nicolas Sarkozy a insisté, le 27 septembre, lors d'une visite d'usine à Compiègne : "Mon devoir de chef de l'Etat c'est d'abord de penser aux ouvriers (...) qui sont lancés dans la compétition internationale et qui ont besoin du soutien de l'Etat", a-t-il déclaré. La veille, les syndicats de l'usine Continental de Clairoix l'avaient interpellé sur les promesses de reclassement des salariés, que plus de la moitié attendrait toujours.

On peut s'attendre à ce que l'industrie reste un axe prioritaire de la campagne à venir. Le projet de l'UMP pour 2012, en cours d'élaboration, évoque "la nécessité pour notre pays de réagir avec énergie pour sauver nos industries, indispensables au maintien de notre niveau de vie et de nos emplois". Mais le chef de l'Etat a certainement perdu de sa force de conviction dans le domaine.

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