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katamiaw

Messages recommandés

Royaume-Uni : vers la plus grande grève depuis 30 ans dans la fonction publique

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/11/29/royaume-uni-vers-la-plus-grande-greve-depuis-30-ans-dans-la-fonction-publique_1610662_3214.html#ens_id=1569464

Extrait ...

L'ampleur de la colère est donc inédite depuis une génération. L'explication vient de la réforme des retraites de la fonction publique. Le gouvernement négocie depuis neuf mois un changement radical : les salariés devront augmenter de 50 % leur contribution (qui passe de 6 % de leur salaire à 9 %) ; ils toucheront une pension plus faible, basée sur la moyenne des salaires plutôt que sur les dernières années ; et l'âge de la retraite, qui s'étale actuellement entre 60 et 65 ans, va être augmenté à 65 ans pour tous en 2018, puis 66 ans dès 2020 et progressivement jusqu'à 68 ans d'ici une trentaine d'années.

  • J'adore 1
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Borloo le retour...

Pour une Union Nationale : comme un appel du pied à Hollande, Bayrou et Villepin... au centre toute !

Jean-Louis Borloo appelle à l'"union nationale" en 2012

http://fr.news.yahoo.com/jean-louis-borloo-appelle-à-l-union-nationale-175114420.html;_ylt=AmOoNTKibLLJEXXrfD3xdZL.fcl_;_ylu=X3oDMTNsa2Y1djIwBG1pdANUb3BTdG9yeSBGUARwa2cDNjMwNzI3YmQtZWRlOS0zNmE4LTkwNzYtODIzYzQzOTEzMDVhBHBvcwMyBHNlYwN0b3Bfc3RvcnkEdmVyAzAzZTY4ODQwLTFiN2MtMTFlMS1iNWVkLWRjNGZhNWJkNDE0Mg--;_ylg=X3oDMTFyaHV1cGw5BGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDBHBzdGNhdANhY2N1ZWlsBHB0A3NlY3Rpb25zBHRlc3QD;_ylv=3

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Invité Gnafron 1er

On se doute qu'il a déjà appellé des écolos , notamment ses anciens potes.....car souvenez Jean-Louis Borloo est aussi un des fondateurs de

Génération Ecologie avec Brice Lalonde (Ministre de Mitterand ) , Noel Manère et Aroun Tazieef entre autre !

GE avait appelé à voter Chirac en 1995 !On a fait le tour ...wouharf !

Modifié par Gnafron 1er
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Invité necroshine

En parlant de Borloo : http://www.lepost.fr/article/2011/11/29/2649375_jean-louis-borloo-avait-peur-d-une-mauvaise-surprise.html

Jean Louis Borloo avait peur d'une mauvaise surprise !

D'après L'Express Jean-Louis Borloo a eu toutes sortes de sueur froides au moment où il a envisagé de se présenter à la présidence de la république.

Durant l'été invité a un diner,il est accompagné par son chauffeur .

Au retour il rentre en Taxi .

Quand un convive lui demande pourquoi il rentre ainsi l'ex-numéro deux avoue que

"Je suis sûr que la police est capable de glisser de la cocaïne dans le coffre de ma voiture et m'arrêter."

C'est début octobre que le maire de Valenciennes a lâcher prise .

Mais entre nous ce serait pas plutôt son image véhiculée dans les guignoles qui a ruiné sa crédibilité .

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En parlant de Borloo : http://www.lepost.fr...e-surprise.html

Jean Louis Borloo avait peur d'une mauvaise surprise !

...

Mais entre nous ce serait pas plutôt son image véhiculée dans les guignoles qui a ruiné sa crédibilité .

certainement pas!

souvenons-nous de la campagne SuperMenteur ou "mon boulot de dans 2 ans" ou "mangez des pommes"

Chirac est redevenu très sympathique

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Invité Gnafron 1er

Coluche disait :

"Dites nous de quoi vous avez besoin , on dira comment vous en passer !

wouharf !

http://www.lepost.fr...in-du-mois.html

Etonnant ....peut on faire un parallèle avec des sujets ouverts , tels que : nos pensions , certains salaires "non virés " etc....?

Les banques ne voudraient elles pas encore du pognon . Car ainsi , elles freinent l'économie et zou......une petite aide pour que le ralentissement ne soit pas trop violent ...

Modifié par Gnafron 1er
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Je le vois gros comme une maison la réelection de l'actuel président :Smiley_55:

pourtant il y a le choix à gauche et aussi à droite en préférant l'original que la copie au pouvoir depuis 5 à 10 ans.

Ce sont les "français qui sont des veaux que l'on mènent à l'abattoir" (1) s'ils ne font pas la différence entre les candidats dont un parti à usurper le terme "socialiste" au lieu d'avouer "centre républicain"

(1) @Charles De Gaule, pas le porte-avion !

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Lors de l'examen du budget 2012 a été votée une augmentation de TVA de 2 milliards

sur la consommation d'eau, les tickets de métro et les billets de train, les fournitures scolaires et les livres,

les logements sociaux, la rénovation des logement, les tickets d'entrée dans les salles de spectacles,

et même la collecte des ordures ménagères.

Le jour où Sarkozy nous annonce un énième discours historique à Toulon 2

Le Peuple sera ravi d'apprendre que le président protecteur,

qui promettait à Toulon 1

de ne jamais augmenter les impôts

leur a imposé dans la nuit à l'Assemblée nationale

une 35e taxe depuis le début du quinquennat.

Vive la Dîme !

Modifié par Dom Le Trappeur
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Invité necroshine

http://www.midilibre.fr/2011/12/01/un-deplacement-d-une-matinee-en-france-de-sarkozy-peut-couter-jusqu-a-284-614-euros,423918.php

Un déplacement d'une matinée en France de Sarkozy peut coûter jusqu'à 284 614 euros

La Cour des comptes, dans son dernier rapport sur le budget de l’Elysée, a chiffré plusieurs déplacements en province du chef de l’Etat.

284 614 euros pour une matinée en Haute-Marne, 129 544 euros pour une visite en Dordogne, sans compter la mobilisation de centaines de gendarmes et de CRS.

En fin de journée, Nicolas Sarkozy se rendra à Toulon (Var) pour y prononcer un "grand discours" sur l'avenir de l'Europe, au moment où Paris poursuit d'intenses tractations avec l'Allemagne pour tenter d'éviter une propagation dramatique de la crise de la dette. Le Zénith de la ville et ses 5 000 places ont été réservées.

La polémique a commencé sur les frais de déplacement du chef de l'Etat, assimiliés à "des actes de propagandes électorales" par l'entourage de François Hollande, candidat socialiste à la Présidentielle. Il a d’ailleurs porté plainte hier auprès de la commission nationale des comptes de campagne sur les frais de déplacement du président de la République.

"Une injustice"

Pierre Moscovici, le directeur de campagne de François Hollande, pense que Nicolas Sarkozy est "à la fois dans l’injustice puisqu’un candidat est favorisé par rapport aux autres, dans l’immoralité parce qu’il se sert des fonds publics qui ne sont pas fait pour ça, et aussi dans l’illégalité."

Notre confrère de Libération rapporte ce matin la réponse du président de la commission nationale des comptes de campagne ! "Au sens du code électoral Nicolas Sarkozy n’est pas entré en campagne. La commission ne peut se fier à une impression. On ne peut pas faire le reproche à Monsieur Sarkozy d’exercer sa fonction auprès des Français."

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Invité necroshine

Convergence France Allemagne voulu par Sarkozy !! http://www.lemonde.fr/politique/article_interactif/2011/12/01/retraites-impots-temps-de-travail-quelle-convergence-france-allemagne_1609495_823448.html#ens_id=1268560&xtor=RSS-3208

Retraites : des âges de départ effectifs moins éloignés que les âges légaux

Il y a quelques semaines, le premier ministre, François Fillon, a livré un plaidoyer pour la convergence France-Allemagne en citant l'âge de la retraite. Sans préciser s'il parlait de l'âge de départ légal ou effectif. Le 7 novembre, M. Fillon a annoncé l'accélération de la mise en œuvre de la réforme de 2010, ce qui veut dire que le gouvernement avance d'un an (2017 au lieu de 2018) le passage de l'âge légal de départ à 62 ans.

Dans son intervention du 27 octobre, M.Sarkozy s'est également référé à la retraite allemande, opposant avec détermination les réformes Schröder à la "folie" des socialistes français. "Quand en 1983, on a expliqué aux Français qu'on pouvait passer à la retraite à 60 ans, les Allemands, eux, faisaient l'inverse."

Il est vrai qu'en Allemagne, l'âge légal de départ à la retraite à taux plein a été reporté à 67 ans : à partir de 2012, l'âge sera progressivement augmenté d'un mois de travail de plus par année de naissance. Concrètement, ceux qui sont nés en 1947 seront obligés de travailler jusqu'à 65 ans et un mois, et ceux qui sont né en 1958 devront travailler jusqu'à 66 ans pour avoir la retraite sans prélèvements. En 2029, l'âge légal atteindra 67 ans pour tous les Allemands.

Pourtant, la majorité des Allemands ne part pas à la retraite à 65 ans. Selon les chiffres de 2009 d'Eurostat, l'office européen de statistique, les Allemands ont en moyenne 62,2 ans quand ils arrêtent de travailler.

En effet, il est possible de partir en retraite avant l'âge légal de départ à taux plein, en acceptant une décote de 0,9 % du montant par trimestre. En France, la décote est supérieure – de 2,5 % par trimestre manquant. Les retraites anticipées restent par ailleurs largement pratiquées en Allemagne, alors qu'elles sont découragées en France. Ainsi, en 2010, 46 000 Allemands ont pu bénéficier d'un dispositif de départ anticipé.

Au bout du compte, il est vrai que l'âge de départ effectif à la retraite en France est inférieur à celui de l'Allemagne : selon Eurostat, il se situe à 60 ans, légèrement en dessous de la moyenne européenne qui est 61,4 ans.

En revanche, contrairement à ce que M. Sarkozy prétend, il n'y a pas eu de loi allemande sur l'âge de la retraite dans les années 1980 ou 1990 : le report de l'âge de départ à la retraite à taux plein – fixé depuis 1916 à 65 ans – a été voté en 2006. Les réformes des retraites ont été entamées par le gouvernement Schröder en 2001 avec un renforcement des dispositifs de retraite privé. Mais la retraite à 67 ans n'a été votée que par la grande coalition sous Angela Merkel, en 2006.

Le temps de travail : des durées comparables au final

Selon les statistiques d'Eurostat de 2010, les Allemands employés à temps complet travaillent en moyenne 41,8 heures par semaine, les Français 41,1 heures. La moyenne de l'Union européenne se situait en 2010 à 41,6 heures par semaine. Dans les Vingt-Septe, les salariés ne travaillent pas moins de 38,8 heures par semaine – la moyenne du Danemark où, selon les chiffres d'Eurostat, les gens travaillent le moins.

Le 27 octobre, Nicolas Sarkozy a opposé avec détermination les réformes de Gerhard Schröder, le prédécesseur d'Angela Merkel, aux "folies" des socialistes français, parlant de la retraite et notamment des 35 heures : "Quand en 2001 on a fait cette chose étrange, les 35 heures, qui a ruiné la compétitivité du pays, dans le même temps, M. Schröder, pourtant socialiste allemand, faisait l'inverse, faisait le choix de l'emploi et faisait le choix de la compétitivité. "

La comparaison n'est pourtant pas tout à fait correcte. Il est certes exact qu'après avoir réduit la durée hebdomadaire dans les années 1970 et 1980, l'Allemagne a fait le mouvement inverse : "L'évolution du temps du travail en Allemagne était auparavant marquée par des réductions de temps de travail" écrivait l'Institut für Arbeitsmarkt und Berufsforschung (IAB) en 2005, avant de préciser : "Cette tendance s'est arrêtée au milieu des années 1990. "

Mais cela n'est pas lié aux réformes du gouvernement Schröder. Au contraire, le chancelier et les syndicats se sont opposés a une prolongation de la durée hebdomadaire du travail à 42 heures pour les fonctionnaires en 2004, qui était réclamée par les démocrates-chrétiens (CDU), au motif qu'une telle réclamation serait "démodée et déconnectée de la réalité". Mais dans le même moment, les syndicats ont parfois accepté dans certains secteurs un assouplissement des règles de temps de travail. Ainsi dans la métallurgie, un accord de branche signé en 2004 permet aux employeurs de faire passer leurs salariés aux 40 heures, "lorsqu'un renforcement de la compétitivité de l'entreprise est nécessaire".

Exportations : un déséquilibre récurrent

L'Allemagne réalise près de la moitié de son produit intérieur brut (PIB) avec les exportations. C'est le cœur de l'économie allemande, même si, depuis 2009, l'Allemagne n'est plus "championne du monde de l'export ", ce qu'elle était depuis 2003, avant que la Chine ne la dépasse. Selon l'office général des statistiques allemand, l'Allemagne a exporté pour 952 milliards d'euros de marchandises en 2010 et généré un excédent commercial de 154,9 milliard d'euros. Les pays de l'UE constituent son débouché le plus important avec 570,6 milliards d'euros, dont 386,2 milliards dans la zone euro.

De son côté, la France a exporté pour 388 milliards d'euros de marchandises en 2010, en important dans la même période 456,9 milliard d'euros – soit un déficit de 68,9 milliards d'euros.

"Notre appareil de production est à la fois trop faible à l'export et trop concentré sur le marché européen, a expliqué en septembre Pierre Lellouche, secrétaire d'État chargé du commerce extérieur. C'est ainsi que nous avons 91 000 entreprises sur plus de 3 millions qui exportent, contre plus de 400 000 en Allemagne et 200 000 en Italie. Donc nous avons un tissu industriel souvent de trop petite taille pour l'export. "

M. Lellouche se réfère également à Gerhard Schröder, chancelier entre 1998 et 2005, qui dans son "Agenda 2010" a baissé la fiscalité du travail. C'est grâce à ces réformes, dit Lellouche, que l'exportation allemande est aujourd'hui aussi forte : "Ces lois visaient en effet à réduire le plus possible les charges pesant et sur les salariés et sur les entreprises. "

Début 2010, c'était Christine Lagarde, à l'époque ministre de l'économie et des finances, qui a pointé ce déséquilibre : en mars 2010, elle a appelé l'Allemagne à développer sa demande intérieure, estimant que son excédent commercial menaçait la compétitivité d'autres pays de la zone euro. "Ceux avec des excédents pourraient-ils faire un petit quelque chose ? Chacun doit y mettre du sien", a-t-elle déclaré au Financial Times. Il est clair que l'Allemagne a accompli un extrêmement bon travail au cours des dix dernières années environ, améliorant la compétitivité, exerçant une forte pression sur ses coûts de main-d'œuvre. Je ne suis pas sûre que ce soit un modèle viable à long terme et pour l'ensemble du groupe. Il est clair que nous avons besoin d'une meilleure convergence. "

La France n'est pas la seule à reprocher à l'Allemagne de se créer un avantage compétitif avec des bas salaires aux dépens de ses voisins. Cet argument a connu un regain de popularité en période de crise, quand les différences économique se sont creusées. Le gouvernement allemand s'est montré insensible à ces critiques. De même que les exportateurs allemands. "Nous avions du succès parce qu'on a fait face à la compétition internationale et parce qu'on a fait nos devoirs, a dit le porte-parole de l'association du commerce extérieur, Andre Schwarz. Nous ne pouvions pas ralentir pour que les autres pays aient plus de temps pour faire leurs devoirs."

Salaire minimum : un petit rapprochement en vue

La concurrence internationale est peut-être la raison pour laquelle l'Union chrétienne démocrate (CDU) d'Angela Merkel vient de changer d'avis sur le salaire minimum, qui pour l'instant n'existe que dans certains secteurs allemands.

Le 14 novembre, après des semaines de débat interne, Mme Merkel a déclaré lors du congrès de son parti qu'elle envisageait l'instauration d'un salaire minimum. "Nous voulons un seuil limite en dessous duquel un salaire ne peut pas tomber dans les secteurs où il n'existe pas d'accord entre partenaires sociaux ", a expliqué Mme Merkel.

Malgré cela, la chancelière refuse d'employer les termes de "salaire minimum". Parce qu'en réalité, ce qu'elle a à l'esprit n'a rien a voir avec le smic français, actuellement à 9 euros de l'heure, soit 1 365 euros par mois, un des plus hauts en Europe.

Alors que les sociaux démocrates allemands du SPD veulent depuis des années instaurer un smic de 8,50 euros pour tout le monde, ce qui serait très proche du modèle français, ce n'est pas ce que Mme Merkel envisage. La chancelière veut que des salaires minimum soient négociés par les partenaires sociaux secteur par secteur, mais elle ne veut pas de salaire minimum unique au niveau national.

Dans les secteurs dans lesquelles des salaires minimums existent déjà, ils seraient conservés : ils vont de 6,53 euros par heure pour les services de sécurité dans l'Allemagne de l'Est à 13 euros pour les machinistes et les chauffeurs dans l'Allemagne de Ouest.

Mme Merkel ne veut apparemment pas toucher à ces différences régionales et sectorielles. Il s'agit donc plus d'un rapprochement que d'une convergence avec la France.

Impôts : une convergence en marche

Dans d'autres domaines, la convergence a déjà avancé. Le prmier ministre, François Fillon, a annoncé l'augmentation du taux de TVA réduit à 7 %, le même qu'en Allemagne. Le 27 octobre, Nicolas Sarkozy avait évoqué une convergence de la TVA "avec nos amis allemands". "Quand vous n'avez pas la même TVA d'un côté en Allemagne et de l'autre en Alsace, ou d'un côté des Pyrénées en Espagne et de l'autre en France, vous créez des distorsions de concurrence dans un monde ouvert. Nous devons réfléchir à la convergence de nos fiscalités."

En revanche, le taux normal restera à 19,6 % en France, contre 19 % en Allemagne, laquelle s'est rapprochée du taux français en augmentant son taux normal, qui était de 16 % en 2007. La convergence avec l'Allemagne est un des paramètres que la majorité prendra en compte quand elle va examiner la proposition UMP d'instaurer une "TVA anti-délocalisation", qui transfèrerait une part des cotisations sociales sur la TVA. Un transfert trop important ferait "déconverger" les deux pays.

Concernant les impôts sur les sociétés, la convergence est en route. Les ministres des finances des deux côtés du Rhin disent qu'un impôt franco-allemand sur les sociétés sera élaboré dès 2013. On entend "donner l'exemple" dans ce domaine, a dit Angela Merkel en août, après que M. Sarkozy a annoncé un tel impôt. Le président de la République a repris le sujet lors de son intervention télévisée : "Ça n'a pas de sens qu'on n'ait pas le même taux", a dit M. Sarkozy, sans préciser la direction vers laquelle les deux pays veulent aller.

Les impôts sur les sociétés sont plus élevés en France qu'en Allemagne, mais pas dans les proportions qu'un regard rapide laisse accroire : 34,4 % de taux standard français contre 15 % en Allemagne. Mais en comptant la surtaxe de solidarité et un impôt levé par les communes, les Allemands arrivent aussi à un taux environnant les 30 %. Ce taux est le résultat de plusieurs réformes appliquées au nom de la compétitivité par les gouvernements Schröder et Merkel, qui avaient d'abord baissé les impôts de 45 %. Au nom, là aussi, de la compétitivité.

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Invité necroshine

http://www.liberation.fr/depeches/01012374927-le-fisc-ne-portera-pas-plainte-contre-liliane-bettencourt-pour-fraude

Le fisc ne portera pas plainte contre Liliane Bettencourt pour fraude

PARIS (AFP) - Le fisc ne va pas porter plainte pour fraude au pénal contre l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt, qui fait déjà l'objet d'un important redressement fiscal portant sur une douzaine de comptes à l'étranger et des propriétés, a déclaré mercredi le ministère du Budget à l'AFP.

"Liliane Bettencourt a mis à disposition de l'administration toutes les informations nécessaires, qui ont abouti à un redressement fiscal important, incluant des pénalités telles que prévues par la loi", a-t-il expliqué.

"L'administration fiscale n'a pas porté plainte au pénal", a ajouté Bercy, confirmant une information du Nouvel Observateur.

La régularisation "est en cours, et toute la famille Bettencourt-Meyers souhaite maintenant tourner cette page et que son nom cesse d'être associé à des pratiques révolues et qui ne se reproduiront pas", ont souligné la fille de la milliardaire, Françoise Bettencourt-Meyers et ses deux enfants, Jean-Victor et Nicolas Meyers, désignés en octobre comme tuteurs de Liliane Bettencourt.

"C'est à la demande de Madame Bettencourt que toutes les informations nécessaires ont été communiquées à l'administration fiscale pour permettre la régularisation d'une situation ancienne en s'acquittant des sommes dues en conséquence", ont-ils ajouté dans un communiqué commun.

Liliane Bettencourt fait l'objet d'un redressement fiscal de plus de 100 millions d'euros en tout.

La milliardaire avait dû reconnaître son évasion fiscale après la diffusion, mi-2010, d'enregistrements pirates de conversations entre elle et son entourage.

Depuis, elle a coopéré avec le fisc, ce qui a permis de révéler l'existence de quelque 100 millions d'euros non déclarés sur douze comptes bancaires domiciliés en Suisse et à Singapour, ainsi que de propriétés comme l'île d'Arros, aux Seychelles.

Les fraudeurs du fisc ne font pas systématiquement l'objet de poursuites au pénal, surtout lorsqu'ils coopèrent avec l'administration.

En revanche, "l'administration fiscale apportera toute sa contribution à l'instruction judiciaire en cours à Bordeaux pour blanchiment de fraude fiscale" contre Liliane Bettencourt, a assuré le ministère du Budget.

© 2011 AFP

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Invité Gnafron 1er

AFP

Devant l'envolée du chômage en France, le président Nicolas Sarkozy a convié jeudi les partenaires sociaux à un sommet sur l'emploi en janvier, assurant que "tout n'a pas été essayé" dans ce domaine.

"En janvier prochain, j'inviterai tous les partenaires sociaux à participer à un sommet sur l'emploi pour que chacun puisse apporter des solutions, faire des propositions", a affirmé le chef de l'Etat lors d'un discours à Toulon.

"Sur l'emploi, on n'a pas tout essayé. Quand on voit monter le chômage on n'a pas le droit de dire qu'on n'y peut rien, même si tout ne dépend pas de nous", a-t-il souligné. "La crise ne doit pas nous faire baisser les bras".

"Et ce n'est pas parce qu'il y a une élection présidentielle qu'il faut attendre", a-t-il ajouté en mettant en avant la nécessité de "lever les tabous sur les freins à la compétitivité française".

C'est trois jours après l'annonce d'une nouvelle envolée du chômage à un niveau inégalé depuis 12 ans - 2,814 millions de personnes sans activité en quête de travail- que le président a appelé à la tenue d'un sommet.

Jeudi, l'Insee a confirmé la dégradation sur le front de l'emploi en annonçant une progression du taux de chômage de 0,2 point à 9,3% au troisième trimestre. Sur fond de crise et de ralentissement brutal de la croissance, le gouvernement a définitivement abandonné son objectif de faire passer le taux de chômage sous le seuil de 9%.

Côté syndical on a accueilli jeudi soir avec un certain scepticisme l'invitation du chef de l'Etat. Toutefois les centrales interrogées par l'AFP ont toutes accepté l'invitation.

"On ira à ce sommet social" mais "il faut aussi écouter les propositions", a affirmé auprès de l'AFP Véronique Descacq, secrétaire nationale de la CFDT. "Il faut un sommet social avec un esprit d'ouverture et pas pour la galerie", a-t-elle dit.

Le numéro un de la CFDT, François Chérèque, avait lui-même appelé à plusieurs reprises à la tenue d'un sommet social. Jeudi matin, il avait regretté que son "offre de dialogue" au ministre du Travail, Xavier Bertrand, pour discuter des mesures nécessaires, soit "refusée".

"Nous avons toujours demandé qu'il y ait un dialogue social permanent. On en à un peu marre d'être invité au coup par coup", a affirmé de son côté le numéro deux de la CFTC, Pascale Coton. Mais pas question de bouder le sommet: "Bien sûr que nous irons, puisque cela concerne l'emploi". "Il faut arriver à travailler ensemble".

Stéphane Lardy, secrétaire confédéral FO est également réservé: "Si c'est simplement pour refaire un sommet social comme les autres fois..." dit-il en allusion notamment aux précédents sommet convoqués en pleine crise financière en 2009 et en 2010.

Toutefois FO ira à ce sommet "car on est républicain", mais "ce n'est pas en une demi journée qu'on va régler la problématique du chômage dans ce pays", a-t-il dit.

Bernadette Groison, secrétaire générale de la FSU, principal syndicat de l'Education, "aimerait que le sommet parle aussi de l'emploi public" sans "sujets tabou".

Elle a déploré que le chef de l'Etat ait martelé qu'il allait "continuer" le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux. "Au contraire, il est utile d'investir dans le secteur public, il y a là des leviers indispensables en période de crise".

De son côté, le ministre du Travail Xavier Bertrand a déjà annoncé des mesures, comme la relance d'un dispositif de chômage partiel - financé en partie par l'Etat- pour permettre aux entreprises en difficulté de s'adapter a la chute de l'activité sans recourir aux licenciements de salariés.

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Ce qu'on peut retenir du discours de Sarko à toulon : On passe la vitesse supérieure pour emmener les citoyens vers le précipice .

Voici un résumé

DERRIERE LE BLA BLA, LA RECESSION ET LE MEPRIS POUR LE PEUPLE

Nicolas Sarkozy a fixé à Toulon un avenir à la France et à l’Union Européenne : la récession et les larmes pour les peuples.

En 2008, au même endroit, Nicolas Sarkozy avait émis quelques critiques hypocrites sur le système financier international. Aujourd’hui tout cela est oublié. En réclamant de nos concitoyens du “travail, des efforts supplémentaires et une maîtrise des dépenses”, le Président de la République insulte les français.

Plus d’effort ? Sous son quinquennat les français ont soit travaillé plus pour gagner moins, soit carrément perdu leur emploi...

Moins de dépenses ? La dette a explosé à coup de baisse des recettes de l’état et de cadeaux fiscaux aux plus riches.

L’intégration européenne qu’il propose c’est le traité constitutionnel européen puissance 10 dont le seul objectif est de contraindre les peuples à des politiques d’austérité généralisées. En proposant de donner à la cour de justice européenne le droit de juger et de punir les états contrevenants à la règle d’or, Sarkozy contourne définitivement la souveraineté des peuples.

Quant à la BCE, rien ne viendra enfreindre son indépendance. Les banques et le système financier peuvent continuer à spéculer et nous entraîner à la catastrophe.

Et Nicolas Sarkozy en rajoute en utilisant les armes classiques de la réaction en temps de crise : il s’essaie à diviser les travailleurs en pointant du doigt les immigrés et fustige les acquis sociaux.

Ce soir à Toulon, Nicolas Sarkozy a méprisé des français qu’il continue d’entrainer vers le précipice.

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Ce qu'on peut retenir du discours de Sarko à toulon : On passe la vitesse supérieure pour emmener les citoyens vers le précipice .

Voici un résumé

DERRIERE LE BLA BLA, LA RECESSION ET LE MEPRIS POUR LE PEUPLE

Nicolas Sarkozy a fixé à Toulon un avenir à la France et à l’Union Européenne : la récession et les larmes pour les peuples.

En 2008, au même endroit, Nicolas Sarkozy avait émis quelques critiques hypocrites sur le système financier international. Aujourd’hui tout cela est oublié. En réclamant de nos concitoyens du “travail, des efforts supplémentaires et une maîtrise des dépenses”, le Président de la République insulte les français.

Plus d’effort ? Sous son quinquennat les français ont soit travaillé plus pour gagner moins, soit carrément perdu leur emploi...

Moins de dépenses ? La dette a explosé à coup de baisse des recettes de l’état et de cadeaux fiscaux aux plus riches.

L’intégration européenne qu’il propose c’est le traité constitutionnel européen puissance 10 dont le seul objectif est de contraindre les peuples à des politiques d’austérité généralisées. En proposant de donner à la cour de justice européenne le droit de juger et de punir les états contrevenants à la règle d’or, Sarkozy contourne définitivement la souveraineté des peuples.

Quant à la BCE, rien ne viendra enfreindre son indépendance. Les banques et le système financier peuvent continuer à spéculer et nous entraîner à la catastrophe.

Et Nicolas Sarkozy en rajoute en utilisant les armes classiques de la réaction en temps de crise : il s’essaie à diviser les travailleurs en pointant du doigt les immigrés et fustige les acquis sociaux.

Ce soir à Toulon, Nicolas Sarkozy a méprisé des français qu’il continue d’entrainer vers le précipice.

En attendant, c'est pas lui qui doit serrer ses finances personnelles ni les patrons des entreprises du CAC40. C'est pas lui qui bosse des fois 8h en 1 nuit. C'est pas lui qui se demande s'il pourra boucler la fin du mois. C'est pas lui qui bosse des fois 16h par jour pour 1500€. C'est toujours les mêmes qui paient et c'est toujours ceux qui paient qui doivent encore plus se serrer la ceinture.

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Invité necroshine

Sarko et Fillon,

dans 6 mois au pire, ils partent de leurs palais respectifs, avec :

- rente a vie pour avoir effectuées ces fonctions a la tête de l'etat,

- Voiture a vie avec chauffeurs et garde du corps a vie...

...

...

Alors la crise, ils s'en contrefoutent un peu !!!!

Et dire qu'on paie encore les 2 privileges cités plus haut pour combien de 1er ministres, et de président encore vivants....

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Invité Gnafron 1er

Sarko et Fillon,

dans 6 mois au pire, ils partent de leurs palais respectifs,

ha bon , à quel titre ? Qlq'un va les déloger .......?c'est pas fait

avec :

- rente a vie pour avoir effectuées ces fonctions a la tête de l'etat,

- Voiture a vie avec chauffeurs et garde du corps a vie...

...

...

Alors la crise, ils s'en contrefoutent un peu !!!!

Et dire qu'on paie encore les 2 privileges cités plus haut pour combien de 1er ministres, et de président encore vivants....

Je touche bien encore ma prime de charbon

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