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Le Web des Cheminots

Big Brother


Dom Le Trappeur

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Un lien vers un fil ouvert par PasDid84

SNCF. Des contrôleurs refusent la nouvelle fiche anthropo-ethnique

http://www.lamarseillaise.fr/justice-faits-divers/l-agresseur-tait-de-type-gitan.html

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Images publiées

Je suis étonné  qu'aucun technocrate n'ait encore pensé à proposer :

-de greffer une puce électronique géolocalisable derrière l'oreille de chaque citoyen directement relié aux pensées intimes de son cerveau

(c'est vrai quoi ça permettrait de retrouver aisément tous les disparus...et de prévenir les actes délictueux)

-de greffer un oeil vidéo électronique sur toutes les personnes ayant autorité publique (les policiers, pompiers, les ministres et les maires, les juges, les contrôleurs de trains, de bus,les managers,  les conciergeset mêmes les éboueurs...) directement relié à un ordinateur central permettant de comparer tous les individus et objets entrant dans le champ de l'oeil-caméra avec les fichiers de recherche d'individus soupçonnés de faits délictueux ou de pensées troublant l'ordre public...ou tout objet volé...

Désolé, je me réveille juste, je cauchemarde...

j'ai du regarder un trop bon  film vidéo hier soir...

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ADN : 1,2 millions de personnes fichées en France...

Fichier génétique :

un maraîcher relaxé,

2% de la population fichée

http://www.rue89.com/2010/10/29/fichier-genetique-un-maraicher-relaxe-2-de-la-population-fichee-173739

Dans les commentaires j'ai retenu celui-ci...où on comprend mieux l'augmentation du nombre de Gardes à Vue en quelques années...

De diogene_

Arrêté à la suite de la manif sur les retraites du 19 octobre à Nice, je suis poursuivi pour refus de déposer mes empreintes et de me laisser prendre en photo.

Alors que les policiers m'ont annoncé que j'allais être libéré et qu'aucune charge n'était retenu contre moi, ils ont voulu prendre mes empreintes. Ca me semblait illogique, voire illégal, j'ai donc demander à consulter mon avocat par téléphone, ce qui m'a été refusé. Les policiers m'ont dit qu'ils avaient ordre de ficher tous ceux qui avaient été placé en garde à vue, or il y a eu l'année dernière 750 000 garde à vue qui n'ont donné lieu à aucune poursuite.

Bref, pour pouvoir justifier la prise d'empreinte par une infraction préalable, le Parquet de Grasse a décidé de changer d'avis et de me poursuivre quand même pour... "entrave à la circulation" (pour ma participation à une manif autorisée) ET le refus de déposer mes empreintes.

Les audiences auront lieu en décembre et février.

HALTE à la criminalisation de l'action revendicative.

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Invité Gnafron 1er

Je suis étonné  qu'aucun technocrate n'ait encore pensé à proposer :

-de greffer une puce électronique géolocalisable derrière l'oreille de chaque citoyen directement relié aux pensées intimes de son cerveau

(c'est vrai quoi ça permettrait de retrouver aisément tous les disparus...et de prévenir les actes délictueux)

-de greffer un oeil vidéo électronique sur toutes les personnes ayant autorité publique (les policiers, pompiers, les ministres et les maires, les juges, les contrôleurs de trains, de bus,les managers,  les conciergeset mêmes les éboueurs...) directement relié à un ordinateur central permettant de comparer tous les individus et objets entrant dans le champ de l'oeil-caméra avec les fichiers de recherche d'individus soupçonnés de faits délictueux ou de pensées troublant l'ordre public...ou tout objet volé...

Désolé, je me réveille juste, je cauchemarde...

j'ai du regarder un trop bon  film vidéo hier soir...

Chez moi , on manifeste que sur les boulevards où il y a des caméras ...peinards !

Maintenant , ils ont les gugusses qui ont jetté des oeufs sur le Medef ! !

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Encore mieux que Big Brothers... Auto-taggage... 

Y'en a qui rêve de faire la même chose pour les manifs rien que pour compter le nombre de participants ?

Record : Plus de 7 000 personnes taggées sur une photo de Facebook

Plus de 7 000 festivaliers ont établi un nouveau record en se taggant sur une photo via le site Facebook.Lire la suite l'article

Ce sont plus de 7 000 festivaliers qui ont brisé un nouveau record en se "taggant" sur une photographie prise lors du Glastonbury festival. C'est la marque Orange qui est l'initiative de ce projet. Plusieurs photographies en haute résolution ont ainsi été prises et assemblées afin d'obtenir un panorama sur les festivaliers. Sur la photo, prise le 23 juin dernier, les internautes ont pu zoomer suffisamment pour s'identifier parmi la foule de 70 000 festivaliers, et se "tagger" ainsi que leurs amis. Le Glastonbury festival est l'un des évènements musicaux les plus importants de Grande Bretagne. Il attire chaque année des milliers d'amateurs de musique. Les têtes d'affiches de cette année ont été Stevie Wonder et le groupe Gorillaz.  

7.000 sur 70.000 quand même...!

http://fr.news.yahoo.com/55/20101031/tod-record-plus-de-7-000-personnes-tagge-17baed7.html

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  • 3 semaines plus tard...

Facebook ? Site privé ? Site public ? partie privée ou publique ?

Réseau social ? Ami ou mauvais ami, traître ? dénonciation ? Réseau libre, libéré, liberté, liberticide ? 

Big Brothers...

Le plus risible ..." incitation à la rébellion"... 

Ils critiquent leur patron sur Facebook. Leur licenciement jugé fondé

Le licenciement de trois salariés d'une entreprise d'ingénierie de Boulogne-Billancourt pour dénigrement de leur hiérarchie sur Facebook, a été jugé fondé, ce vendredi, par le conseil des prud'hommes, a-t-on appris auprès des avocats des parties.

Le conseil des prud'hommes a jugé «fondé» le licenciement des deux salariés de la société Alten, société d'ingéniérie de Boulogne-Billancourt, à qui il était reproché d'avoir échangé des propos critiques à l'égard de leur hiérarchie et d'un responsable des ressources humaines de l'entreprise sur le réseau social Facebook.

La page Facebook, une preuve licite

Au total, trois salariés avaient été licenciés. L'un d'eux avait renoncé à des poursuites devant le conseil des prud'hommes, préférant une transaction à l'amiable.

«La page mentionnant les propos incriminés constitue un moyen de preuve licite du caractère bien-fondé du licenciement», a estimé le conseil des prud'hommes.

Les faits reprochés aux salariés remontent à décembre 2008. Lors d'échanges sur Facebook, l'un des salariés, s'estimant mal considéré par sa direction, avait ironisé sur sa page personnelle, en disant faire partie d'un «club des néfastes».

Deux autres employées avaient répondu: «bienvenue au club».

La direction d'Alten, prévenu par un autre salarié qui avait accès aux échanges sur le réseau social en tant qu'«ami», avait alors décidé de licencier les trois salariés pour«faute grave», considérant leurs propos comme un «dénigrement de l'entreprise» et une «incitation à la rébellion».

La société avait fait valoir qu'elle n'avait pas «violé la vie privée de ses salariés», les propos ayant été échangés «sur un site social ouvert».

En revanche, les salariés ont plaidé que l'échange entre les salariés avait un caractère strictement «privé».

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Ils-critiquent-leur-patron-sur-Facebook.-Leur-licenciement-juge-fonde_6346-1591654_actu.Htm

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Je suppose qu'il y aura appel de la décision...

En tout cas si c'est moins dangereux de critiquer son patron à la machine à café...

Comment ? y'a une caméra vidéo qui nous surveille...

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Facebook ? Site privé ? Site public ? partie privée ou publique ?

Réseau social ? Ami ou mauvais ami, traître ? dénonciation ? Réseau libre, libéré, liberté, liberticide ? 

Big Brothers...

Le plus risible ..." incitation à la rébellion"... 

Ils critiquent leur patron sur Facebook. Leur licenciement jugé fondé

Le licenciement de trois salariés d'une entreprise d'ingénierie de Boulogne-Billancourt pour dénigrement de leur hiérarchie sur Facebook, a été jugé fondé, ce vendredi, par le conseil des prud'hommes, a-t-on appris auprès des avocats des parties.

Le conseil des prud'hommes a jugé «fondé» le licenciement des deux salariés de la société Alten, société d'ingéniérie de Boulogne-Billancourt, à qui il était reproché d'avoir échangé des propos critiques à l'égard de leur hiérarchie et d'un responsable des ressources humaines de l'entreprise sur le réseau social Facebook.

La page Facebook, une preuve licite

Au total, trois salariés avaient été licenciés. L'un d'eux avait renoncé à des poursuites devant le conseil des prud'hommes, préférant une transaction à l'amiable.

«La page mentionnant les propos incriminés constitue un moyen de preuve licite du caractère bien-fondé du licenciement», a estimé le conseil des prud'hommes.

Les faits reprochés aux salariés remontent à décembre 2008. Lors d'échanges sur Facebook, l'un des salariés, s'estimant mal considéré par sa direction, avait ironisé sur sa page personnelle, en disant faire partie d'un «club des néfastes».

Deux autres employées avaient répondu: «bienvenue au club».

La direction d'Alten, prévenu par un autre salarié qui avait accès aux échanges sur le réseau social en tant qu'«ami», avait alors décidé de licencier les trois salariés pour«faute grave», considérant leurs propos comme un «dénigrement de l'entreprise» et une «incitation à la rébellion».

La société avait fait valoir qu'elle n'avait pas «violé la vie privée de ses salariés», les propos ayant été échangés «sur un site social ouvert».

En revanche, les salariés ont plaidé que l'échange entre les salariés avait un caractère strictement «privé».

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Ils-critiquent-leur-patron-sur-Facebook.-Leur-licenciement-juge-fonde_6346-1591654_actu.Htm

1ere réaction épidermique ..

-"fallait pas aller sur farcebouc "

on se plaint de bigbrother,vidéosurveillance ,fichiers de police ,etc..etc... puis on va s'épancher sur ces reseaux sociaux de merde, où tout est au vu et au su de tout le monde ,alors ,pas de surprises de retours de bâton !

en même temps je trouve ce jugement lamentable ,mais, là est un autre débat !

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La CNIL "réservée" sur le vote électronique

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/11/24/la-cnil-reservee-sur-le-vote-electronique_1444489_651865.html

http://www.journal-officiel.gouv.fr/frameset.html

mercredi 24 novembre 2010

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  • 2 semaines plus tard...

Avec Wikileaks, la surveillance change de campHier les pouvoirs surveillaient les citoyens. Aujourd'hui, ces mêmes citoyens ont les moyens avec la technologie de jeter un regard sur les rouages des pouvoirs.Jean-Marie Colombani (Slate, ancien directeur du Monde)

http://www.slate.fr/story/31199/wikileaks-fuites-droit-savoir-colombani

Une analyse intéressante même si je suis loin d'en partager tous les aspects...

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  • 2 semaines plus tard...

«WikiLeaks a ouvert une porte qu'il sera difficile de refermer»

http://www.liberatio...ssange-ou-demon

La justice anglaise a ordonné, mardi, la libération sous caution de Julian Assange. Olivier Tesquet, journaliste à Owni.fr, a répondu à vos questions sur les dernières péripéties de WikiLeaks.

http://owni.fr/#aujourd-hui

Modifié par Dom Le Trappeur
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«WikiLeaks a ouvert une porte qu'il sera difficile de refermer»

l'argumentation de Michael Moore

"On nous a entraînés dans la guerre en Irak à partir d'un mensonge. Des centaines de milliers de personnes y ont trouvé la mort. Imaginez un peu ce qui se serait passé si les hommes qui ont organisé ce crime de guerre en 2002 avaient dû être confrontés à un WikiLeaks. Ils n'auraient peut-être pas pu réussir leur coup."

"Or si WikiLeaks existe, c'est en partie parce que les médias grand public ont failli à leur responsabilité. Les propriétaires ont décimé les salles de rédaction de sorte que les bons journalistes ne peuvent plus faire leur travail. Il n'y a plus ni temps ni argent pour le journalisme d'investigation."

Et si, en 2003, les gens avaient pu lire les notes "secrètes" de Dick Cheney où il pressait la CIA de lui donner les "faits" qu'il voulait pour monter son dossier en faveur de la guerre ? Si un WikiLeaks avait révélé qu'il n'y avait de fait aucune arme de destruction massive, pensez-vous que la guerre aurait été lancée ? N'y aurait-il pas plutôt eu des appels à l'arrestation de Cheney ? Ouverture, transparence. Ce sont quelques-unes des rares armes dont les citoyens disposent pour se protéger des puissants et des corrompus. Et si, quelques jours après le 4 août 1964, alors que le Pentagone avait affirmé qu'un de nos navires avait été attaqué par les Nord-Vietnamiens dans le golfe du Tonkin, il y avait eu un WikiLeaks pour dire au peuple américain que cette histoire avait été montée de toutes pièces ? Je crois que 58 000 de nos soldats (et 2 millions de Vietnamiens) seraient peut-être encore vivants aujourd'hui.

http://www.courrierinternational.com/article/2010/12/15/michael-moore-pourquoi-j-aide-julian-assange

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"fichez moi ça " est le sous titre du sujet !

il semble que les poulets qui aiment bien ficher tout le monde (et ça fait parti de leur obligations) n'aiment pas trop qu'on les débusque ....

Un site internet, accusé d'être "antiflics", a décidé de publier des photos de policiers en civil, de les filmer et de les identifier en utilisant notamment leurs pages Facebook, provoquant la colère des syndicats de police qui réclament une action du ministre de l'Intérieur. L'irruption de ce site (paris.indymedia.org) inquiète d'autant plus les policiers qu'il subsiste "un flou juridique" sur de tels agissements.

http://www.midilibre.com/articles/2010/12/22/A-LA-UNE-Indymedia-le-site-qui-devoile-l-identite-de-policiers-en-civils-1489698.php5

ça promet de belle bagarres médiatiques !!

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  • 2 semaines plus tard...

pour les parisiens ,notez ......

250 caméras seront installées avant la fin de l'année, plus de mille sont prévues d'ici à fin 2012. La vidéosurveillance commence son grand déploiement à Paris. La préfecture de police a publié il y a quelques jours les arrêtés fixant les emplacements des futures caméras.

Si ces implantations étaient en grande partie déjà connues, elles sont désormais définitives.

Au final, les caméras seront placées dans les zones les plus sensibles : Champ-de-Mars, square Louise-Michel (butte Montmartre), place du Châtelet, place Vendôme… Retrouvez la liste complète des caméras dans la capitale, arrondissement par arrondissement...

http://www.leparisien.fr/paris-75/ou-seront-les-1106-cameras-de-videosurveillance-a-paris-03-01-2011-1211349.php

j'espère que le lien va etre actif quelque temps, sinon sur le site de la ville de paris peut etre !!!

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Peut-on évaluer un salarié en fonction de son « courage » ?

http://eco.rue89.com/2011/01/04/peut-on-evaluer-un-salarie-en-fonction-de-son-courage-183628

Extraits...

« Aujourd'hui, on privilégie la rentabilité sur la qualité du travail fourni, ce qui a des conséquences sur les conditions de travail, extrêmement dures dans certaines entreprises. Ces dernières utilisent ces critères pour sélectionner les employés qui sont les plus à même de supporter l'insupportable. »

« Je connais une entreprises où l'un de ces critères comportementaux est la “capacité du salarié à travailler dans un environnement dégradé”. C'est de l'eugénisme : on ne garde pas les plus compétents, mais ceux qui sont capables de survivre dans des situations invivables. »

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Arbeit macht frei est une expression allemande signifiant « le travail rend libre ».

Elle fut inscrite à l'entrée des camps de concentration et des camps d'extermination, notamment Auschwitz, Dachau, Gross-Rosen, Sachsenhausen par les Nazis et ou des millions d'esclaves moururent pour augmenter les profits des capitalistes allemands qui ne furent jamais inquiétés aprés la guerre.

Rien n'a vraiment changé depuis 70 ans ...

Modifié par Tonio92
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  • 4 semaines plus tard...

Le Figaro... toujours une bonne lecture...

ou comment ficher 40.000.000 d'individus d'ici 2033...

L'État prépare 40 millions de permis électroniques

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/01/31/01016-20110131ARTFIG00631-l-etat-prepare-40-millions-de-permis-electroniques.php

Ces cartes à puce biométriques permettront de consulter son historique de points depuis l'ordinateur familial. Et faciliteront beaucoup le travail de la police routière…

«Une révolution silencieuse.» La formule employée par le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, pour évoquer le futur permis de conduire tricolore en dit long sur les espoirs que fait naître dans l'administration cette nouvelle génération de documents. Déjà passée maître dans l'élaboration des passeports biométriques, qui ne requièrent plus en moyenne que sept jours pour être délivrés, la France se prépare à diffuser 40 millions de permis de conduire électroniques. Ils prendront la forme de cartes à puce semblables à des cartes bancaires, avec photo du titulaire gravée dans la masse, mais aussi enregistrée dans la puce, tout comme sa signature électronique. Éventuellement, pourront figurer ses empreintes digitales, et des perfectionnements dont Le Figaro a pu percer les secrets.

Une directive européenne du 21 décembre 2006 oblige la France, comme tous les pays de l'Union, à se tenir prête à éditer ses premiers permis numériques dès le mois de janvier 2013. Selon un cahier des charges draconien. La Direction de la modernisation de l'action territoriale, confiée au préfet Jean Benoît Albertini, doit en assurer le respect scrupuleux. Coût de développement estimé : 40 millions d'euros. Coût de fonctionnement du système d'édition des titres : 20 millions supplémentaires par an.

Les fonctionnaires de l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), à Charleville-Mézières (Ardennes), seront chargés de suivre la réalisation et surtout de garantir la certification de chacun de ces nouveaux permis. Car derrière se cache un fichier sécurisé où ces protecteurs de l'identité conservent précieusement les éléments attestant que celui qui présentera ses papiers est bien celui qu'il prétend être. «L'ancien permis rose était si facile à falsifier et la photo agrafée dessus datait souvent de Mathusalem», déplore le préfet Raphaël Bartolt, patron de l'ANTS. Quand le document ne tombait pas en lambeaux comme un vieux parchemin. Curieusement, 500.000 permis roses étaient déclarés perdus ou volés en France chaque année. De quoi nourrir bien des suspicions sur un système de fraude généralisé.

Que les nostalgiques de ce triptyque papier se rassurent toutefois: la France a jusqu'à 2033 pour en purger le stock. Les nouveaux permis européens en polycarbonate devraient donc être distribués au rythme de 2 millions par an. Et ils ouvriront droits à d'innombrables fonctions répondant aux trois objectifs fixés par Bruxelles: améliorer la lutte contre la fraude documentaire, faciliter la libre circulation des personnes et faire progresser la sécurité routière.

Depuis son domicile, le titulaire de ce nouveau permis pourra ainsi, grâce un lecteur de cartes guère plus gros qu'une souris, consulter instantanément son nombre de points, avec un historique des pertes et des gains, et peut-être même les motifs des retraits. Il n'aura qu'à se rendre via Internet sur un niveau dédié du site du ministère de l'Intérieur. «Quand on sait mieux où l'on en est avec ses points, on est plus vigilant sur la conduite à tenir au volant», se félicite Patrick Levaye, directeur du projet «titres sécurisés», Place Beauvau.

La police y trouvera aussi son compte, puisque ce système d'information fiable sur le titulaire lui sera accessible au niveau européen. «Fini le tourisme du permis de conduire, où les chauffards qui se le faisaient retirer dans un pays le repassaient dans un autre pour échapper aux rigueurs de la loi !» , prévient un commissaire de police parisien. Désormais, la police, munie de lecteurs embarqués dans ses voitures de patrouille, aura accès à l'historique en temps réel. Et les PV devraient suivre plus facilement en Europe. À supposer que les pays de l'Union s'entendent pour faire exécuter les poursuites au-delà de leurs frontières. Ce qui, pour de nombreux États, peut prendre encore un certain temps…

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Le Figaro... toujours une bonne lecture...

ou comment ficher 40.000.000 d'individus d'ici 2033...

ça les démange ,ça les démange ..............

"vive internet " quand les peuples se révoltent chez les arabes ,mais surtout ,dépêchons nous de ficher tout le monde chez nous ,qui n'avons aucunesraisons de protester !!! revoltages revoltages revoltages

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Recensement tout numérique au Brésil

Le Point

http://www.lepoint.f...1-135790_47.php

En quelques semaines, l'Institut brésilien de géographie et de statistique (IBGE) s'est forgé une réputation dans le monde du high-tech. Il est le premier à avoir réussi un recensement national entièrement numérique, entre août et novembre 2010. "Nous n'avons pas imprimé le moindre formulaire, rien n'a été fait sur papier", s'est félicité son président, Eduardo Nunes, vendredi à l'Unesco au cours du forum Netexplorateur. Près de 200 000 personnes ont participé au projet, nommé Censo, dans 7 000 centres autonomes répartis à travers le pays, pour étudier les 190 millions de Brésiliens.

Les enquêteurs ont été dotés de PDA (assistants électroniques) et de netbooks afin de récolter et de transmettre les informations de façon cryptée. Lorsque le réseau mobile était indisponible - et c'est le cas sur une partie non négligeable du territoire brésilien -, les enquêteurs ont utilisé des clés USB pour stocker les données. Tout cela a eu un coût : 800 millions de dollars, soit environ 4 dollars par habitant recensé. Mais c'est moins cher que le dernier recensement papier. Le prix sera réduit pour les prochaines échéances, puisqu'une partie du travail de recherche et d'organisation numérique sera réutilisable.

D'autres pays intéressés

L'ensemble du recensement n'a pris que trois mois, plus vingt-cinq jours de traitement des données. Une rapidité qui pourrait faire rêver, en France bien sûr, mais aussi aux États-Unis, où l'on a récemment renoncé à un tel défi technologique. Pour le Brésil, il ne s'agissait pas seulement de compter les habitants : il fallait aussi les géolocaliser, grâce aux coordonnées GPS des maisons.

Des informations démographiques étendues ont été recueillies et permettent, par exemple, au pays d'anticiper une évolution de sa pyramide des âges. "Il y a quelques années, notre population ressemblait à celle de certains pays africains, mais dans 40 ans, nous rencontrerons les mêmes problèmes que la France aujourd'hui : nous aurons moins d'enfants et plus de personnes âgées", explique Eduardo Nunes. "Nous avons donc 40 ans pour nous préparer", ironise-t-il.

D'autres pays sont intéressés par Censo. Les îles du Cap-Vert ont utilisé le même système, tout comme São Tomé et Principe. Certains voisins du Brésil, comme le Venezuela et le Paraguay, ont aussi exprimé leur intérêt auprès de l'IBGE.

Modifié par Dom Le Trappeur
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Licenciée pour faute à cause d'un mail

La Cour de cassation donne aux employeurs de nouvelles armes pour congédier des salariés auteurs de mails malintentionnés.

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/laurence-neuer/licenciee-pour-faute-a-cause-d-un-mail-10-02-2011-1294009_56.php

Extraits :

En clair : à partir du moment où un mail, quel qu'il soit et dès lors qu'il est légitimement ouvert par l'employeur (parce qu'il n'est pas estampillé "personnel" ou "privé"), présente un lien avec l'activité professionnelle, il peut être retenu contre le salarié.

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violeurs et assassins potentiels ,engagez vous dans la police pascontent

Et si on fichait l’ADN de tous les policiers ?

La semaine passée, L’Express révélait que “le ministère de l’Intérieur, en coordination avec les syndicats de police, a lancé une réflexion sur la création d’un fichier génétique spécifique dans lequel seraient intégrés les profils ADN de tous les enquêteurs” :

Cette base de données, appelée “base d’exclusion”, serait distincte de l’actuel Fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg), qui recense, lui, les personnes mises en cause et les condamnés.

L’objectif est d’éviter les erreurs sur les scènes de crimes, où les enquêteurs laissent parfois leurs propres traces biologiques. Le seuil de détection étant aujourd’hui très bas, plusieurs cas de “pollution” ont ainsi été observés ces dernières années, y compris dans des affaires sensibles.

On peut raisonnablement penser que les policiers sont aujourd’hui, de plus en plus formés, pour éviter de polluer ainsi une scène de crime ou de délit. Mais la réflexion initiée par le ministère de l’Intérieur démontre que le risque est loin d’être nul.

Un autre internaute, plus suspicieux, craint de son côté que “les policiers dont l’ADN sera retrouvé sur le lieu d’un crime seront automatiquement considérés comme innocents, l’ADN relevé étant consécutif à une “erreur”. Très pratique. Dans un état policier, evidemment…”

Le problème est ailleurs : en 2001, près de la moitié des policiers britanniques à qui leurs supérieurs avaient de même réclamé leur ADN avaient tout simplement refusé d’être ainsi fichés, pour les même motifs. Leurs craintes étaient doubles:

. que des malfrats mal intentionnés ne prélèvent intentionnellement des mégots de clope, mouchoirs ou verres de policiers pour les laisser sciemment sur une scène de crime afin de les incriminer, et au motif que rien n’empêchera la police d’utiliser la “base d’exclusion” afin d’y rechercher des suspects (on a en effet déjà vu des malfrats laisser ainsi sciemment des traces ADN de leurs meilleurs ennemis sur les lieux de leurs propres délits);

. que la base de données génétiques ne soit, à terme, utilisée par des assureurs et autres mutuelles, ou encore pour effectuer des tests de paternité. Une crainte a priori injustifiée si l’on s’en tient aux objectifs affichés du fichier. Une crainte pas si irrationnelle que cela lorsque l’on se penche sur l’évolution des fichiers génétiques.

On a ainsi longtemps pensé que les segments qualifiés de “non-codants” enregistrés dans le FNAEG interdisaient tout tri sélectif en fonction de caractéristiques génétiques (couleur de peau, maladie, etc.). Or, il semblerait qu’”il n’y a pas d’ADN “neutre“, et qu’à terme on puisse discriminer des empreintes génétiques en fonction de telles ou telles caractéristiques…

Plus important : depuis ses débuts, le fichier ADN n’a cessé de grandir, grossir, s’élargir et de dériver de ses finalités premières. Petit retour en arrière.

Les paranos ne sont pas ceux qu’on croit

Dans l’émission que TF1 lui a gracieusement offert, Nicolas Sarkozy a quelque peu travesti la réalité en déclarant qu’il était celui qui avait créé le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG) :

Les paranos ne sont pas ceux qu’on croient

Plus gênant encore : ce n’est pas Nicolas Sarkozy qui a créé le FNAEG, quoi qu’il en dise. Comme le rappelle Wikipedia, le fichier a été créé, par le gouvernement socialiste, au travers de la loi Guigou du 18 juin 1998 relative à la prévention et à la répression des infractions sexuelles, afin de ficher les personnes impliquées dans les infractions à caractères sexuelles.

En novembre 2001, ce même gouvernement socialiste élargissait son champ d’application dans sa loi pour la sécurité quotidienne (LSQ) aux crimes d’atteintes volontaires à la vie de la personne, de torture et actes de barbarie et de violences volontaires, aux crimes de vols, d’extorsions et de destructions, dégradations et détériorations dangereuses pour les personnes, et aux crimes constituant des actes de terrorisme.

Nicolas Sarkozy, lui, s’est contenté -si l’on peut dire- de l’élargir, non seulement aux personnes reconnues coupables de la quasi-totalité des simples délits, mais également aux personnes “mises en cause” dans ces types de délits.

Ce qui est reproché à Nicolas Sarkozy, ce n’est pas d’avoir créé le fichier génétique des délinquants sexuels, mais d’avoir élargi ce dernier aux simples suspects de la quasi-totalité des crimes et (surtout) des délits. D’où l’explosion du nombre de personnes fichées : 2100 en 2001, 1,2 million de personnes fin 2009, soit 1,86% de la population française. D’où le fait que près de 75% des personnes qui y sont fichées sont donc toujours “présumées innocentes“. D’où, enfin, les nombreux problèmes rencontrés depuis avec ces faucheurs d’OGM, manifestants et enfants que des gendarmes et policiers voulaient ficher....................................................................................................

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  • 2 semaines plus tard...

ADN...

et demain à qui le tour... ?

aux joueurs vidéo, aux forumeurs et autres blogueurs...?

Discrimination syndicale

Non au fichage des syndicalistes

lundi 28 février 2011La mission des syndicalistes est la défense des intérêts individuels et collectifs des salariés. Cet engagement est confronté à la violence des mesures de délocalisations, de fermetures d’entreprises, de plans dits « sociaux », de privatisations, de licenciements, de promesses non tenues, d’attaques contre les retraites, toutes ces décisions qui plongent des milliers de salariés dans la détresse.

C’est une violence inouïe qui brise des vies, ruine l’économie de régions entières et casse des acquis sociaux. Les conséquences dramatiques pour les salariés les poussent, faute d’être entendus, à des actions de plus en plus déterminées, des grèves, des manifestations de masse, des occupations…

Les syndicalistes, assumant les responsabilités confiées par les salariés, sont en première ligne des actions. Les pouvoirs publics ne s’y trompent pas et tentent, à travers eux, de briser toute résistance.

Plusieurs d’entre eux ont été condamnés à des amendes et de la prison suite à des actions dans le cadre de leur fonction syndicale. Ils ont été condamnés pour s’être opposés à la politique de casse de leur entreprise. Ces condamnations injustes ne suffisent pas au Gouvernement qui aujourd’hui permet le fichage des syndicalistes au même titre que de dangereux délinquants

En effet le fichage génétique par le prélèvement d’ADN mis en place en 1998 afin de lutter contre les crimes sexuels a été élargi en 2001 et 2003 à la plupart des infractions prévues au code pénal. Sont ainsi fichés des auteurs de crime, de viols, de trafics de drogue,... et des militants syndicaux.

La CGT ne s’était pas trompée en dénonçant les dangers de cette dérive sécuritaire qui permet le fichage de militants politiques, associatifs et syndicaux de même que des personnes simplement soupçonnées de délit.

Des syndicalistes refusent d’être assimilés à des criminels et ont décidé de ne pas se soumettre au prélèvement d’ADN mais ce simple refus est considéré comme un délit punissable jusqu’à 15 000 € d’amendes et 12 mois de prison.

Deux d’entre eux sont appelés à comparaître prochainement devant le tribunal correctionnel ;

Philippe Galano le 17 mars à Perpignan - rassemblement à 12 H devant le palais des congrès,

Xavier Mathieu le 3 mai à Compiègne - rassemblement à 8 H 30 devant le Tribunal de Compiègne.

C’est absurde et dangereux, absurde car ils ne représentent aucun risque pour la société, dangereux car c’est considérer les mobilisations sociales comme des délits. Le fichage des syndicalistes viseà instaurer un contrôle politique de l’action collective. En cette période de crise économique, de casse des acquis sociaux et de montée des inégalités le gouvernement tente ainsi d’intimider les salariés susceptibles de se mobiliser.

La CGT demande la relaxe pour Philippe Galano et Xavier Mathieu elle appelle à soutenir les actions de solidarités déjà engagées et demande le retrait du fichage ADN pour les salariés condamnés dans le cadre d’une action syndicale.

Montreuil, le 28 février 2011

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  • 3 semaines plus tard...

Le GPS peut-il servir pour licencier un salarié ?

Les preuves recueillies à l'aide des dispositifs de géolocalisation sont-elles suffisantes pour mettre fin à un contrat ?

Par LAURENCE NEUERhttp://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/laurence-neuer/le-gps-peut-il-servir-pour-licencier-un-salarie-16-03-2011-1307362_56.phpLe GPS l'a inventée, les employeurs l'ont adoptée : la géolocalisation se pratique de plus en plus dans les entreprises. Pour satisfaire des objectifs plus ou moins avouables. Résultat : les salariés pris en flagrant délit de dérapage professionnel sont épinglés et sanctionnés. Un salarié avait été licencié pour avoir utilisé le véhicule de livraison de l'entreprise pour son usage privé. Au dossier de l'employeur figuraient les preuves collectées par le dispositif de géolocalisation équipant ses véhicules. Preuves irrecevables, a jugé la cour d'appel de Dijon le 14 septembre 2010. Car l'employeur a omis d'informer ses salariés de l'existence du système de géolocalisation, comme le prévoit l'article L. 1222-4 du Code du travail. La note de service mentionnant que "le service exploitation dispose de moyens informatiques destinés à gérer plus facilement les déplacements et le suivi de clientèle" ne suffisait pas. Car "le mot géolocalisation n'y figure pas et ne peut que laisser dans l'expectative ses destinataires quant à la nature des moyens informatiques" visés. Les preuves obtenues au moyen d'un dispositif illégal sont donc inutilisables.Sanction pour non-déclaration à la Cnil

Les juges ont par ailleurs noté l'absence de déclaration du système auprès de la Cnil. La délibération Cnil n°2006-066 prévoit, en effet, que les représentants du personnel et les salariés concernés doivent être informés préalablement :

- de la finalité ou des finalités poursuivies par le traitement de géolocalisation ;

- des catégories de données de localisation traitées ;

- de la durée de conservation des données de géolocalisation les concernant ;

- des destinataires ou catégories de destinataires des données ;

- de l'existence d'un droit d'accès, de rectification et d'opposition de leurs modalités d'exercice ;

- le cas échéant, des transferts de données à caractère personnel envisagés à destination d'un État non membre de la Communauté européenne.

Exécution déloyale du contrat de travail par l'employeur

Le salarié a obtenu 1 000 euros de dommages et intérêts pour le préjudice causé par le "comportement fautif" de son employeur. "L'installation d'un système de géolocalisation à bord du véhicule du salarié, sans égard aux dispositions légales applicables, constitue une exécution déloyale du contrat de travail par l'employeur", souligne l'arrêt.

Quel sera l'impact de cette décision sur les velléités des entreprises à géolocaliser à tout-va ?<br style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; padding-top: 0px; padding-right: 0px; padding-bottom: 0px; padding-left: 0px; font-size: 14px; vertical-align: top; ">

"La cour d'appel de Dijon rappelle qu'il faut la réunion de quatre conditions pour se prévaloir de la preuve collectée à l'aide d'un dispositif de géolocalisation, précise l'avocat spécialisé Olivier Itéanu. Premièrement, informer préalablement l'ensemble du personnel par des dispositions précises et claires de l'existence de tels moyens de surveillance. Deuxièmement, recueillir l'avis préalable des représentants du personnel, lorsqu'ils existent, sur les moyens de surveillance mis en oeuvre. Troisièmement, respecter le principe de proportionnalité. Cela signifie deux choses : en premier lieu, il faut que le recours à la surveillance soit justifié ; en second lieu, il faut que cette motivation soit proportionnelle à l'atteinte aux libertés qui s'en suivra. En clair, géolocaliser pour prévenir un risque juridique grave, pourquoi pas, mais géolocaliser pour contrôler la productivité d'un salarié n'est pas licite. Enfin, quatrième condition, cette géolocalisation va amener l'entreprise à collecter des données susceptibles d'identifier une personne physique. Cette collecte est donc un traitement de données à caractère personnel qui doit être déclaré à la Cnil."

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  • 2 semaines plus tard...

Pisté par son portable, un politicien allemand se rebelle

http://eco.rue89.com/2011/03/31/piste-par-son-portable-un-politicien-allemand-se-rebelle-197948

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