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Le Web des Cheminots

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Comme quoi on sait faire des choses totalement logiques en France en ce qui concerne le CdF, à fortiori réouvrir une ligne dans nulle part sans la connecter à une autre plus fréquentée...

Ils ont fini par s'en rendre compte, d'où le projet de tram-train(hélas perfectible) Achères->Versailles :Smiley_15:

Si cette ligne avait existé il y a quelques années, elle m'aurait peut-être servi :Smiley_13:

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Ils ont fini par s'en rendre compte, d'où le projet de tram-train(hélas perfectible) Achères->Versailles :Smiley_15:

Si cette ligne avait existé il y a quelques années, elle m'aurait peut-être servi :Smiley_13:

on trouve toujours quelqu'un à qui ce genre de desserte aurait servi. Le problème, c'est que vous n'êtes pas si nombreux. La Grande Ceinture Sud Juvisy-Versailles a longtemps été sur le fil du rasoir, et il suffit de voir les rames à 6 caisses ... et 6 voyageurs pour se dire qu'en effet, là n'est pas la priorité d'un réseau ferré, ni d'une autorité régionale. Pourtant, j'en ai été utilisateur quotidien pendant plusieurs années

Après, un tram-train sur Achères-Versailles pourquoi pas, mais tu auras beaucoup de mal à atteindre St-Cyr, on voit mal ajouter ne serait-ce qu'une voie dans ce site mal foutu. Rajouter une branche au réseau Msse, avec toutes ces bifs qui ont déjà conduit à limiter certains C à Chaville-Viroflay pour qu'ils ne viennent pas mettre le souk à Versailles-Chantiers, n'y compte pas, ou alors par la "ville" entre St-Cyr et Versailles ! (encore un désert, au passage ...)

Modifié par 5121
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1) je pense que l'on vera jamais la lgv Normandie

2) résidant a coté de cherbourg , je sais bien ce que 1h05 veut dire sur cherbourg caen (que je fait 1semaine sur 2) , avec une lgv on gagne même pas 5 min sur la même distance !

3) toujours est il que le problème ne se pose pas sur la lgv pour le moment , la ligne de Caen a cherbourg et de Caen a st lo est en pleine réfection , et que la situtation devient urgente de refaire la ligne a neuf , et non pas de se payer une lgv qui au bout du compte ne servirai a rien pour gagner 30 min / 40min sur un cherbourg Paris.

au lieu de claquer le fric inutilement dans des débats et des études qui ne donneront RIEN , il ferait mieux de soigner l'infrastructure et de faire passer intégralement la ligne a V200 le voila le vrai gain de temps pour une hausse nulle du billet ..... 4) en sachant que les corail BN ne sont deja pas rentables , les tgv ne le seront pas non plus .....

5) cela me fait mal de voir autant de conneries accumulé par une entreprise

1) Qui vivra verra, en tous cas on l'étudie...depuis fort longtemps

2) Pour ce qui est de la branche de et vers la Basse Normandie, la partie étudiée en LGV a toujours été à l'Est de Caen

3) La région BN mène de front depuis longtemps les deux démarches : lobbying et étude LGV, améliorations des lignes, matériels et dessertes "classiques"

4) La région BN est déjà impliquée depuis longtemps dans le soutien à des opérations peu rentables financièrement, dont elle a supporté et supporte une part importante des coûts : elle a toujours indiqué que ses choix étaient des choix politiques assumés financièrement, dans le domaine des transports comme dans les autres domaines. "Charbonnier est maître chez lui".

5) L'étude d'une LGV Normandie n'a jamais été à ma connaissance une décision d'entreprise ("vieille SNCF" jusqu'en 1997, RFF+SNCF ensuite). Les demandeurs d'étude et de réalisation sont des élus, dans le passé majoritairement élus Bas et Hauts Normands (Régions, Départements, villes) depuis au moins ... 25ans, plus actuellement le Président de la République en ce qui concerne la reprise des études en cours (accès du Grand Paris à la mer vers le Havre, les élus de BN (pas seulement de la Région) ayant immédiatement demandé un Y . Depuis de nombreuses années, la Région BN paie à la fois des études de LGV et d'autre part des travaux très importants (à son échelle financière bien sûr, pas au coût d'un km de LGV) de réfection des infras et du matériel roulant "classiques", plus des subventions pour les TGV mis à l'essai. Cette position n'a pas fondamentalement changé quand la Région BN a changé de couleur politique, et la dernière brochure argumentant le besoin de LGV pour la BN n'est pas très ancienne.

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  • 1 mois plus tard...

Une réunion du comité de pilotage s'est tenue le 26 octobre.

Laurent Beauvais président du conseil régional de Basse Normandie s'exprime sur son blog à la suite de la réunion.

http://lbeauvais.typepad.fr/blog/2010/10/la-r%C3%A9gion-basse-normandie-et-la-ligne-ferroviaire-nouvelle-paris-normandie.html

LGV : quelle vitesse, quels services et quel coût pour la Région Basse-Normandie ?

Un nouveau comité de pilotage de la Ligne Nouvelle Paris-Normandie s'est tenu ce jour à Paris sous la Présidence de Jean-Louis DUPORT et en présence de très nombreux élus des 3 Régions concernées.

Bien entendu j'y assistais .

Confirmation a été donnée du lancement des études sur plusieurs options dont celle qui nous mobilise plus particulièrement, c'est-à-dire la liaison Cherbourg-Paris en 2h15.

J'ai rappelé que parmi les "fonctionnalités" que nous recherchions à développer avec ce projet figurait notamment la liaison Caen-Rouen en moins d'une heure qui permettait de mettre en meilleure relation les 3 grandes agglomérations de Normandie : Caen, Rouen, Le Havre C'est là toute la dimension "normande" du sujet ! Ces options définissent des choix de vitesse (200, 250 ou 300 km/h) associés à des services. Ainsi la plus ou moins grande vitesse à rejoindre Caen peut déterminer des services plus ou moins étendus sur le reste du territoire (Cherbourg, Granville, Alençon, Rouen).

J'ai aussi demandé confirmation que ces études seront assorties d'indications de coût pour préparer le débat public qui devrait intervenir en octobre 2011. Ce point est important car beaucoup de citoyens, "mis en appétit" par nos débats et par le volontarisme affiché par la Région et les autres collectivités, n'ont pas encore pris conscience du coût du projet qui sera gigantesque (entre 7 ou 9 millards d'euros) et des capacités qu'auront (ou pas) les collectivités à venir aider (c'est un faible mot ! ) l'Etat à prendre en charge ce projet d'intérêt national.

J'envisage ainsi de faire réaliser une étude d'ingénierie financière pour ce qui concerne la seule problématique bas-normande.

La prochaine réunion a été fixée au 15 décembre. Nous y examinerons la prise en charge financière du coût du débat public (3 milloins d'euros environ), eh oui !

Il y a apparemment des incertitudes sur la faisabilité compte tenu du montant élévé des travaux ; d'ailleurs Laurent Beauvais cite des vitesses qui pourraient être pratiquées. Avec des vitesses de 200 ou 250 km/h, l'hypothèse d'améliorer la ligne existante a sans doute été évoquée.

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  • 1 mois plus tard...

L'Express a consacré un numéro spécial à la LGV Normandie. Parmi plusieurs scénarios de tracé possible, 4 auraient été retenus lors du dernier comité de pilotage datant du 16 décembre dernier.

Le scan de la page de l'Express :

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  • 1 mois plus tard...

Un comité de pilotage s'est tenu le 15 février.

Toujours 4 options de tracé

L'article du Paris Normandie : http://www.paris-normandie.fr/article/economie/ligne-grande-vitesse-parisnormandie-entre-8-et-12-milliards-d%E2%82%AC

Ligne grande vitesse Paris/Normandie : entre 8 et 12 milliards d'€

Entre 8 et 12milliards d'euros, peut-être davantage. C'est le coût estimé de la ligne à grande vitesse (LGV) devant relier Paris à la Normandie d'ici 2020, et notamment Paris et LeHavre via Rouen. Réunis hier à Paris, à l'occasion d'un comité de pilotage, les élus normands et franciliens connaissent enfin la fourchette financière, ou plutôt les fourchettes en fonction des variantes qui se dessineront.

De fait, entre la traversée de zones urbanisées, de tunnels sous des zones forestières, de passages sous la Seine, de ponts à bâtir, le coût du tracé peut considérablement varier. Ainsi, pour la seule liaison Paris-Mantes, le coût peut varier entre 3,5 et 5milliards d'euros.

«L'heure est venue de dire ce que chacun est prêt à mettre sur la table, souligne Alain Le Vern, président socialiste de la Région Haute-Normandie. Il est temps que l'on ait un chiffrage et un phasage précis. Je suis prêt à ouvrir un fonds de concours que chacune des collectivités viendrait abonder chaque année. De mon côté, je m'engage sur 20millions d'euros par an d'ici 2020.»

Laurent Beauvais, président socialiste de la Région Basse-Normandie, concède de son côté que les sommes seront astronomique. «A partir de maintenant, le débat va basculer dans un deuxième registre: après la mobilisation et l'expression des projets, on va mettre les temps de parcours en face des coûts. C'est un débat salutaire pour mesurer l'écart entre les ambitions et les moyens possibles».

Pour les Normands, voyageant depuis des décennies avec le sentiment de faire du sur place - très loin de la grande vitesse en tout cas -, les enjeux sont importants. Il s'agit de placer les villes duHavre et de Caen à 1 heure 15 de Paris au lieu de 2heures à 2heures 15 aujourd'hui, Rouen à 45 minutes au lieu de 1 heure 15 minimum. A la clef également un nouvel accès à la Défense, en marge de la gare Saint-Lazare. Au passage, le président de la SNCF, Guillaume Pépy, a reconnu «la dette» due aux usagers de cette ligne victime «d'un effet de ciseaux avec une fréquentation croissante et une performance qui décroît».

Sur un plan politique, réunis en mai dernier, l'ancien maire UMP duHavre, Antoine Rufenacht, le président PS de l'agglomération de Rouen, Laurent Fabius, et le maire PS de Paris, Bertrand Delanoë, faisaient déjà front commun, demandaient à l'Etat «l'accélération» de la réalisation de cette LGV, signant au passage une déclaration en ce sens à l'issue d'un colloque consacré à «l'axe Seine».

Rappelons que leur démarche fait suite à des engagements pris en faveur de cette LGV en 2009 par le président de la République, Nicolas Sarkozy, dans le cadre d'un projet plus vaste de faire des ports duHavre et de Rouen «la façade maritime du «Grand Paris».

A noter cependant que dans les régions socialistes (Haute et Basse-Normandie), l'unanimité n'est pas toujours de mise. Avec au premier chef des élus d'Europe Ecologie (lire ci-contre) évoquant un problème d'équilibre général des moyens. Laurent Fabius, de son côté, entend que l'axe Seine joue dans la même cour que les grands pôles que sont Anvers, Rotterdam et Hambourg.

Pour Europe Ecologie, un coût démesuré « Gare au fantasme LGV ! »

«D'ores et déjà, il est admis que les hypothèses devraient varier entre 7 et 12 milliards d'euros (M€) », soulignent les élus Europe Ecologie-Les Verts (EELV) de la Région Haute-Normandie. Tout en se disant « évidemment favorables au développement du rail », ils évoquent un ordre de grandeur utile au débat : « Le coût moyen estimé par RFF de construction d'un kilomètre de LGV avoisine les 20 M€, alors que le coût moyen de modernisation d'un kilomètre de ligne sur le réseau secondaire est estimé à 1 M€, soit un rapport de 1 à 20 ». Pour les élus écologistes des trois régions concernées (Basse-Normandie, Haute-Normandie et Ile-de-France), la mobilisation de tels moyens passe à côté des enjeux urgents du transport ferroviaire. Cécile Duflot, présidente du groupe EELV au Conseil régional d'Ile-de-France, rappelle « la situation intenable vécue au quotidien par des millions de Franciliens dépendants de transports collectifs dégradés. La priorité est de répondre à ce problème, pas de nourrir une nouvelle fuite en avant sur les lignes à grande vitesse, sur lesquelles la France a déjà beaucoup misé ces vingt dernières années, laissant son réseau secondaire à l'abandon ».

Plutôt améliorer l'existant

David Cormand, président du groupe EELV en Haute-Normandie, enfonce le clou : « Il n'y a pour l'heure aucune hypothèse de financement crédible du projet. L'Etat, une fois passées les déclarations fracassantes du président de la République au Havre, n'a rien dit depuis 2009 ! Et il n'a pas mis le moindre euro sur la table ». Et de réclamer plutôt l'amélioration à court terme de l'existant, et aussi « la réalisation du Mantois et le nœud ferroviaire sur la rive gauche de l'agglomération de Rouen afin de garantir au plus grand nombre des trains qui partent et arrivent à l'heure. Le « fantasme LGV » retarde d'autant les initiatives à prendre d'urgence. L'enjeu du rapprochement de la Normandie à Paris ne peut pas conduire à sacrifier encore les lignes intermédiaires. »

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  • 2 semaines plus tard...

Le financement des LGV en projet à l'horizon 2020 soulève des inquiétudes aux décideurs.

Le Président du Conseil Régional de Haute Normandie suggère de constituer dès à présent un fonds commun de financement abondé par les collectivités. En quelque sorte il propose le principe de la tirelire.

Il a la réputation d'être un bon gestionnaire ; toujours est-il qu'il montre là un certain sens pratique.

L'article de la gazette des communes : http://www.lagazettedescommunes.com/57244/lgv-paris-normandie-la-haute-normandie-propose-un-fonds-de-concours-commun/

LGV Paris-Normandie : la Haute-normandie propose un fonds de concours commun

Quelques jours après l’estimation le 15 février dernier du coût de la future liaison ferroviaire rapide Paris-Normandie par son comité de pilotage, Alain Le Vern, le président de la région Haute-Normandie a annoncé la création d’un fonds de concours.

Ne sachant aujourd’hui qui paiera et le montant de la facture étant évalué dans une fourchette de 9 et 13 milliards d’euros en fonction de trois scénarios potentiels retenus, l’élu estime «qu’il vaut mieux prévoir un budget, les collectivités concernées par cette ligne étant à coup sûr appelées à mettre la main à la poche, quel que soit le projet retenu sur les trois finalement sélectionnés par le comité de pilotage qui seront soumis au débat public à l’automne prochain ».

Prévoir

La Haute-Normandie va mettre dans ce fonds 20 millions d’euros par an dès 2011 et invite les élus concernés à participer, selon leurs moyens, à ce fonds, « qui permettra le moment venu d’apporter des financements pour la réalisation du projet», explique le président.

Si cette somme peut paraître faible au regard de l’estimation, elle pourrait se révéler conséquente dans quelques années si toutes les collectivités y participaient.

Celles-ci sont en effet nombreuses à être concernées par ce projet. L’enjeu étant de relier en 2020 Paris à Rouen en 45 minutes, au Havre en 1h15 minutes, à Caen en 1h45 minutes, sont ainsi impliquées les régions Ile-de-France, Basse et Haute-Normandie, les départements du Calvados, de l’Eure, de la Manche (si prolongation de la ligne jusqu’à Cherbourg), de la Seine-Maritime et des Yvelines.

Mais aussi les villes de Paris dans le cadre du Grand Paris jusqu’au Havre, d’Evreux, de Caen, de Rouen…

Faire avancer les choses avant que le projet ne soit finalisé

In fine, le président haut-normand, toujours pragmatique, pense aussi, que disponible, de l’argent pourrait servir à faire avancer les choses, sans attendre que le projet ne soit finalisé au regard du calendrier.

Il pense surtout à deux éléments qui sont à la fois indispensables à la réalisation d’une LGV et au bon fonctionnement des lignes actuelles.

Il s’agit d’abord du doublement de la ligne entre Mantes-la-Jolie (Yvelines) et Paris, la nouvelle voie étant exclusivement réservée aux relations entre Paris, le réseau TGV et la Normandie.

Ensuite du déplacement de la gare de Roue, engorgée par le trafic, de la rive droite de la cité vers la rive gauche.

« Des réalisations pour lesquelles il faut engager dès maintenant les procédures ».

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  • 1 mois plus tard...

cette LGV na aucun intérêt de mon point de vu je suis de Mézidon le Paris-Caen-Cherbourg je le connais même très bien sa va nous couté beaucoup d'euros pour pas grand chose alors que l'on peut utilisé l'infrastructure existante pour augmenté la vitesse à v200-220-230 comme en Alsace ou en Bretagne maintenant certaine portion son apte à 200 pourquoi ne pas adapté notre ligne à ces vitesses sa nous coutera moins et sa sera plus rapide que 2020-2025

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Se qui serai pas mal en plus de relevé la vitesse c'est de faire roulé dessus des rames réseau électrifié Mézidon -Le Mans-Tours pour faire des liaisons tgv avec le sud ouest et la Méditerranée construire une ligne nouvelle Mantes-Paris se qui est déjà prévu il me semble quitte même à faire une nouvelle ligne entre Mantes et les lgv du Nord de l'Est de la Sud-Est Méditerranée pour des liaisons province-province électrifié Serquigny- Oissel, St Lô-Dol,et d'avoir un vrai projet pour la ligne Paris-Granville car la il y a un sérieux problème.

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Il y a pas longtemps a la télé ils disaient les 30 glorieuses du TGV se son terminées.

Mais il semble que pour les élus le TGV reste un fantasme revoltages

Il ne faudrait pas qu'ils oublient la rentabilité. Quel gain de temps par rapport aux milliards dépensés? Pour combien de voyageurs? Quelles conséquences sur l'existant??

Mais le mirage TGV a encore de l'avenir

PS: dans le reportage TGV était comparé au concorde car invendable a l'étranger

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Il y a pas longtemps a la télé ils disaient les 30 glorieuses du TGV se son terminées.

Mais il semble que pour les élus le TGV reste un fantasme revoltages

Il ne faudrait pas qu'ils oublient la rentabilité. Quel gain de temps par rapport aux milliards dépensés? Pour combien de voyageurs? Quelles conséquences sur l'existant??

Mais le mirage TGV a encore de l'avenir

PS: dans le reportage TGV était comparé au concorde car invendable a l'étranger

on a beau dire on a beau faire, c 'est hélas le constat factuel(a quelques exceptions prés...)!

Mais bon pas d'inquiétude...on est les meilleurs...tout le monde le sait...alors moi ça ne me choque pas....!

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Il y a pas longtemps a la télé ils disaient les 30 glorieuses du TGV se son terminées.

Mais il semble que pour les élus le TGV reste un fantasme revoltages

Il ne faudrait pas qu'ils oublient la rentabilité. Quel gain de temps par rapport aux milliards dépensés? Pour combien de voyageurs? Quelles conséquences sur l'existant??

Mais le mirage TGV a encore de l'avenir

PS: dans le reportage TGV était comparé au concorde car invendable a l'étranger

Haute Normandie 1, 8 millions d'habitants (dont Eure 0,6 million)

Basse Normandie 1,5 millions d'habitants

Rien au bout, sauf New York (très loin)

Tours Bordeaux est un tronc commun vers le Sud Ouest : la GV n'est pas un fantasme / mirage partout en France

En international, Hong Kong Canton, 30 millions d'habitants sur 170km. La GV n'est pas un fantasme / mirage partout dans le monde.

TGV vendable à l'étranger : à décomposer en études / réalisation / exploitation, puis en domaines : sol (ligne, gares), matériel roulant, télécommunications-signalisation, services à bord, services en gare, commercialisation, bagages, petits colis express, restauration, exploitation, maintenance sol, maintenance bord, etc : des entreprises françaises ont un savoir faire dans chacun de ces domaines (qu'on peut encore découper). Plein de choses sont à mon avis vendables à l'étranger (et le sont) par les entreprises françaises compétentes dans chaque case élémentaire. Il ne faut pas voir le système GV comme uniquement le matériel Alstom. Ainsi, une sous-filiale SNCF exploite du matériel Hitachi en Grande Bretagne, des ingéniéries françaises sont assistantes au maître d'ouvrage aux USA, en Chine, AREP conçoit des gares GV, Faiveley vend des pantographes, etc.

Je ne sais pas si les produits français sont les meilleurs sur chaque marché, mais (1) ils ne sont pas parmi les plus mauvais et (2) c'est à chaque industriel d'améliorer ses points faibles éventuels avant de se pointer sur un marché donné. Hermès vend en Chine, alors que les Chinois ont inventé la culture du ver à soie il y a plusieurs milliers d'années :-)

Modifié par PN407
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Un petit rappel historique quand même : la LGV Sud-Est a été construite certes pour aller beaucoup plus vite, mais aussi parce que l'artère impériale était sursaturée, et que les études de l'époque avaient estimé la réalisation d'une LGV tout à fait pertinente techniquement et économiquement en comparaison de coûteux quadruplements de la ligne historique, avec des performances bien supérieures.

Dans le cas de la LGV Atlantique, la rentabilité socio-économique était déjà bien plus discutable. Quant à la LGV Nord, on sait que sa rentabilité socio-économique a été largement surestimée au vu du trafic réel, même si cette réalisation prend tout son sens aujourd'hui avec le développement d'un véritablement réseau européen.

Dans le cas des LGV Auvergne et Limousin, c'est objectivement une faste fumisterie. Le désenclavement ne justifie pas des projets démesurés par rapport aux besoins, surtout quand les lignes historiques sont loin de la saturation et pas si mauvaises techniquement. Un relèvement à 220 km/h, quelques shunts, une amélioration de la pénétration en IdF et une bonne jonction avec le reste de la France peuvent amplement suffire.

Le cas de Sud-Europe Atlantique est très discutable, le gain de temps est peu élevé pour un coût assez délirant, l'infra classique est très performante et pas si saturée que ça (surtout si on continue à assassiner le fret !), bref, c'est un cas contestable.

En revanche dans le cas de la LGV Normandie, si le gain de temps à prévoir reste modéré, il faut rappeler que l'axe historique Paris - Le Havre est totalement saturé, et pas qu'en Ile-de-France. La réalisation d'une ligne nouvelle trouve alors sa pleine justification, même si la vitesse limite est plutôt de l'ordre de 250 km/h que de 350 km/h. Il faut plutôt voir ça dans ce contexte à mon avis. Et si on peut enfin mieux relier Caen à la vallée de la Seine, c'est plutôt pas mal.

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Des nouvelles du projet annoncées dans la presse : http://haute-normandie.france3.fr/info/ligne-sncf-le-havre-paris--debat-en-octobre-68290635.html

Ligne SNCF le Havre-Paris : débat en octobre

Comment la ligne peut-elle être améliorée ? Le projet de Réseau Ferré de France sera discuté à l'automne

Réduire le temps de trajet du parcours Rouen-Paris à 45 minutes, Le Havre-Paris et Caen-Paris à 1h15, c'est l'objet de ce débat technique complexe. La demande forte des voyageurs et des élus a permis de faire avancer ce dossier.

Six possibilités différentes de tracé entre Paris et Mantes-la-Jolie

C'est Réseau Ferré de France qui va élaborer ce projet. Il faut construire de nouvelles voies pour éviter la saturation du trafic banlieue de la gare Saint-Lazare.

Le débat va débuter en octobre, selon les informations du Maire de Rouen Valérie Fourneyron. Il sera organisé par la Commission du Débat Public. Elle sera présidée par Olivier Guérin, Magistrat honoraire de la Cour de Cassation.

La modernisation de cette ligne fait partie de projet "Grand Paris". Le prochain colloque aura lieu le 23 mai au Zénith de Rouen.

Six tracés possibles entre Mantes et Paris ; ça fait beaucoup quand même. Quelque chose me dit que les riverains ne sont pas encore au courant :blush:

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  • 2 semaines plus tard...

En 2009, Sarko a annoncé la construction d'une LGV Paris Le Havre. De retour au Havre hier, il annonce qu'il va falloir booster le projet pour une mise en service en 2017. La question du financement n'est pas à l'ordre du jour, hormis la somme nécessaire pour créer une commission ministérielle sous la tutelle de son pote Antoine Ruffenach ancien maire (UMP) du Havre.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Nicolas-Sarkozy-veut-un-TGV-normand-pour-2017..._39382-1773377_actu.Htm

Une Ligne grande vitesse en 2017

« Les experts les plus optimistes m'annoncent un TGV en Normandie pas avant 2017-2020. Je refuse ces délais, assène le Président. Je veux qu'il soit prêt pour 2017, année du 500e anniversaire de la création du Havre par François 1er. » Si les procédures administratives ne permettent pas de respecter ce calendrier, il promet une loi spécifique. Cinq ans pour concevoir puis construire une nouvelle Ligne grande vitesse. Le délai paraît très court. En 2017 la ligne ira-t-elle uniquement au Havre ? Caen et Cherbourg seront-elles déjà de la partie ?

Qui paiera ?

Les Normands attendent de l'argent de l'État pour financer la future Ligne grande vitesse. « Je ne suis pas venu avec un chèque », prévient Nicolas Sarkozy. Il n'a pas, pour autant, les mains vides. Il annonce le lancement d'une mission de financement de la Ligne nouvelle Paris-Normandie. Elle devra définir, pour début 2012, les principes de financement de l'opération. « Un gage de l'engagement fort de l'État. »

Modifié par kerguel
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  • 2 mois plus tard...

Un article du Parisien pessimiste sur l'avenir du projet de LGV en Normandie, la LNPN : http://www.leparisien.fr/yvelines-78/inquietudes-autour-du-futur-tgv-paris-mantes-rouen-05-07-2011-1520691.php

Inquiétudes autour du futur TGV Paris-Mantes-Rouen

Les nouvelles se succèdent de façon contradictoire autour de la future ligne de TGV Paris-Rouen. Lancé en octobre 2009 par l’ancien secrétaire d’Etat aux Transports Dominique Bussereau, annoncé pour 2020, le dossier avait acquis une plus grande consistance à la faveur d’un audit récent évaluant son coût à une dizaine de milliards d’euros.

On croyait donc le projet sur les rails, mais voilà qu’une nouvelle étude remet en cause sa faisabilité.

Le financement de certaines lignes critiqué

Le TDIE (Transport, développement, intermodalité, environnement), un groupe qui réunit des experts, des élus et des professionnels des transports, vient de publier un rapport critique sur le financement de certaines lignes TGV en France, dont le Paris-Mantes-Rouen. « Un certain nombre de problèmes sont relevés, note Olivier Deleu, délégué général de TDIE. Sur le plan financier, je ne crois pas que la Haute et Basse-Normandie puissent apporter un financement conséquent à l’heure où l’Etat réduit ses dépenses. »

Ce spécialiste s’interroge également sur l’intérêt réel d’une ligne à grande vitesse : en région parisienne, les TGV ne dépassent pas les 160 km/h, ce qui réduit leur efficacité à celle d’un train corail. Ce n’est donc qu’en quittant Mantes-la-Jolie que la vitesse d’un TGV entre en ligne de compte. Or, la ville n’est qu’à une vingtaine minutes en train de Rouen et à 150 km de Caen. « Est-on prêt à financer autant pour si peu? » demande un spécialiste. Ces doutes sont également partagés par le député de la Drôme Hervé Mariton (UMP), qui met en cause le manque de financement du schéma national des infrastructures de transport.

Mais des raisons d’être optimiste demeurent. La ligne Paris-Normandie est située dans l’axe du Grand Paris, l’un des dossiers prioritaires de Nicolas Sarkozy. Ce dernier vient d’ailleurs de lancer une mission de financement de la desserte. « La volonté politique est intacte et indiscutable, assure Cécile Dumoulin, députée UMP de Mantes-la-Jolie. Souvenons-nous du RER E : son prolongement était évoqué depuis vingt ans et il verra finalement le jour bientôt, et ce grâce à une volonté politique. »

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  • 2 mois plus tard...

Le débat public pour le lancement de la LNPN (Ligne Nouvelle Paris Normandie) débutera le 3 octobre prochain.

L'article de Paris Normandie annonçant les différentes étapes : http://www.paris-normandie.fr/article/societe/le-train-rapide-normand-cherche-sa-voie

Le train rapide normand cherche sa voie ?

Transport ferroviaire : le débat public est lancé du 3 octobre jusqu'au 3 février 2012

Colonne vertébrale du projet Grand Paris et du développement de l'axe Seine, la ligne nouvelle Paris-Normandie (ligne à grande vitesse) sera au cœur des préoccupations des Normands pendant quatre mois avec l'organisation de nombreux débats publics pour recueillir l'avis de la population et des usagers de la SNCF.

Enjeux

Améliorer le quotidien des voyageurs normands et franciliens par des trains plus rapides (200km/h) plus réguliers et plus fréquents qui permettront de rapprocher la Normandie de l'Ile-de-France. C'est par sa façade normande et l'ouverture sur la mer que le grand Paris pourra se développer sur cet axe.

Traces et couts

Quatre scénarios sont proposés en Ile-de-France:

Confluence-Les Mureaux: 57km de ligne nouvelle, 2 1km de raccordements (5,4milliards €).

Confluence-Chanteloup: 55km de ligne nouvelle, 21km de raccordement (4,4milliards €)

Confluence-Poissy: 59km de ligne nouvelle, 21km de raccordement (4,7milliards €)

Mantes direct: 55 km de ligne nouvelle, 2 & km de raccordements (4,5milliards €)

Trois scénarios existent pour la Normandie (voir notre carte):

Le A avec 215km de ligne nouvelle, 70km de raccordement, des gares nouvelles à Louviers, Val-de-Reuil, Rouen (6,5milliards €). Le B, avec 210km de ligne nouvelle, 60 kilomètres de raccordements, des gares nouvelles à Louviers, Val-De-Reuil, Rouen, Evreux (6,3milliards €)

Le C avec 200km de ligne nouvelle, 75km de raccordement, des gares nouvelles à Louviers, Val-de-Reuil, Rouen (9,5 milliards €)

Les scénarios A et C permettent une liaison Caen-Rouen en 45 minutes. Avec le B, Caen-Rouen passe à 1h07 mais ne permet pas de garder le principe de «gare de rendez-vous» assurant des correspondances efficaces. Le C offre une bonne liaison LeHavre-Caen et une possibilité complémentaire du trafic portuaire havrais, mais présente des contraintes techniques et environnementales sérieuses comme le franchissement de la Seine.

gares

Une gare à Confluence et une autre à Nanterre-La Défense seront les nœuds ferroviaires majeurs du dispositif francilien. En Normandie, à Rouen tout particulièrement, c'est l'option d'une nouvelle gare rive gauche, à Saint-Sever ou Sotteville-lès-Rouen, qui se démarque. Le coût serait de 300millions d'euros. L'actuelle gare rive droite ne servirait plus qu'aux trains régionaux.

Financement

Avec un projet global compris en 9 et 14milliards, tout le monde se pose la question de savoir par qui et comment il sera financé. Une commission nommée par le gouvernement vient de débuter ses consultations pour trouver des partenaires, publics ou privés…

Calendrier

La deuxième grande inconnue reste le calendrier entre la mise en chantier de la ligne et son inauguration. Une étape conditionnée aux réalisations dans le Mantois et à Rouen. Le président de la Région Haute-Normandie, Alain Le Vern, voit «dans le projet présidentiel de la gauche un nœud ferroviaire rouennais d'ici 2020…» Philippe Deslandes reste lui aussi prudent: «M.Rufenacht parle souvent de la date de 2017, ce n'est pas très réaliste… Nous savons tous que le calendrier d'une telle opération porte sur une dizaine d'années…»

Le débat public est officiellement lancé : donner l'information aux citoyens

Hier matin, à Rouen, les membres de la commission nationale et de la commission particulière du débat public ont dévoilé le calendrier et l'ensemble du projet ferroviaire mis en consultation auprès du public.

« Deux fois Le Havre pour Port 2000, Penly pour l'EPR, le débat public est connu en Haute-Normandie puisqu'ils se sont déjà tenus » rappelle Philippe Deslandes, le président de la commission nationale du débat public. « L'objectif est de traiter des questions d'environnement en donnant l'accès aux informations et en faisant participer les citoyens au processus de décision. » Philippe Deslandes insiste sur la neutralité et l'indépendance de sa commission : « Nous nous assurons que le dossier présenté par Réseau Ferré de France (RFF) est complet et compréhensible. Tous les intervenants sont égaux. Ce n'est pas un sondage ou un référendum mais une confrontation des arguments pour éclairer le maître d'ouvrage dans sa prise de décision. » RFF confirme ainsi que, dans le sud de la France, certaines options de projets ferroviaires qui avaient sa préférence n'ont pas été retenues à l'issue du débat public.

« Il appartient d'ailleurs à RFF d'apporter des réponses rapides aux questions qui seront posées et cela sous le contrôle de la commission. C'est le public qui pose les questions, ce n'est pas la commission qui encadre les débats », insiste le président de la CNDP.

Olivier Guérin, président de la commission particulière qui supervisera les débats locaux ne s'attend pas à « un débat aussi musclé que pour l'EPR de Penly… »

Le grand inconnu reste le financement. « Il sera évoqué mais pas tranché… » annonce Philippe Deslandes. « Il y aura un éclairage mais pas de décision. Une mission de financement mandatée par le gouvernement rendra un rapport en février prochain. Mais le fait rare qu'elle intervienne dans ses consultations en même temps que le débat public, on peut y voir une volonté politique forte de faire avancer le projet… »

Des reunions publiques

La CPDP organise 23 réunions publiques, de 19 h à 22 heures, au cours du débat : une réunion d'ouverture, 16 réunions locales, 5 réunions thématiques et une réunion de clôture.

La réunion d'ouverture, les 5 réunions thématiques et celle de clôture seront diffusées en direct sur internet (www.debatpublic-lnpn.org) et des questions pourront être posées au cours de la réunion. Voici les principaux rendez-vous dans notre région

lundi 3 octobre : réunion d'ouverture à Rouen, halle aux T oiles. Après une présentation générale du projet, cette réunion donnera lieu aux premiers échanges et prises de position.

jeudi 13 octobre : Le Havre, centre havrais de commerce iInternational quai Georges V.

jeudi 20 octobre : Evreux, Le Cadran.

mardi 8 novembre : Rouen, halle aux Toiles.

mardi 15 novembre : Dieppe, salle Paul-Eluard

mardi 29 novembre : Vernon, Espace Philippe-Auguste.

mardi 6 décembre : Bernay, salle des fêtes.

jeudi 8 décembre : Val-de-Reuil, théâtre des Chalands.

Des réunions thématiques diffusées en direct sur internet se tiendront également avec le public et des experts et acteurs du territoire autour des questions clés.

mardi 13 décembre : Caen, centre de congrès, aménagement du territoire.

jeudi 15 décembre : Rouen, halle aux Toiles, développement économique.

mardi 10 janvier 2012 : Le Havre, centre havrais de commerce international, transport de marchandises.

jeudi 12 janvier 2012 : Evreux, Le Cadran, impacts sur l'agriculture et l'environnement.

mardi 17 janvier 2012 : Paris, cinéma Max Linder, 24 bd Poissonnière, financement et rentabilité du projet.

lundi 30 janvier : Caen, centre de congrès, réunion de clôture diffusée en direct sur internet.

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Je voudrais bien savoir où 'nos chers décideurs' comptent caser la gare de Nanterre-La Défense. Au niveau de la grande arche c'est déjà bien rempli (ligne 1 du métro, RER A, lignes L du Transilien, T2, bus RATP, routes de désserte des immeubles,...). Il reste peut-être de la place en-dessous du RER A. Après, il faut rejoindre PSL. Les voies actuelles sont bien chargées sauf peut-être en heure creuse et la nuit.

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L'article de La Vie du Rail du 21 septembre révèle des informations que je n'avais pas encore lues :

- la ligne nouvelle ne serait pas dite à grande vitesse

- des trains Fret emprunteront la ligne nouvelle

- le matériel voyageur qui empruntera cette ligne sera d'un type particulier

Ces révélations ne sont pourtant pas hasardeuses ; l'auteur de l'article est le directeur de rédaction de LVDR.

Modifié par kerguel
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