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Le Web des Cheminots

katamiaw

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Messages publiés par katamiaw

  1. on peut donc en conclure que cela est realisable mais pour le moment tu n'as pas les outils adequats??

    il y a moyen que tu nous mettes quelques capture d'ecran un peu pour voir l'interface et suivre l'evolution

    Je suis justement en train d'étudier d'autres outils pour pouvoir faire avancer le projet... et apparement il y aurait des alternatives... Je vous tiens au courant.

  2. Bruxelles hésite sur la recapitalisation des activités fret de la SNCF

    La Commission européenne hésite à donner le feu vert mercredi prochain à la recapitalisation de 1,5 milliard d'euros de la division fret de l'opérateur français de chemins de fer SNCF, les différents commissaires n'étant pas d'accord sur le sujet, selon des sources concordantes.

    Une étroite majorité soutiendrait la commissaire européenne chargée des transports, Loyola de Palacio, qui souhaite donner son feu vert au plan présenté par la SNCF, selon des sources communautaires concordantes.

    Mais au moins une douzaine de commissaires sur 30 s'y opposerait, en estimant que le dossier mérite une enquête plus approfondie, qui renverrait la décision de plusieurs mois, sous le mandat de la prochaine Commission européenne.

    Une dernière réunion des chefs de cabinet des commissaires doit avoir lieu lundi pour rapprocher les positions. Le dossier est en tout cas maintenu pour l'instant à l'ordre du jour de la Commission européenne pour mercredi prochain.

    Romano Prodi, le président de la Commission européenne, a reconnu mercredi qu'il était "impossible de dire s'il y aura feu vert ou non".

    Le plan de recapitalisation du fret, annoncé en janvier 2004 et notifié à Bruxelles en septembre, prévoit que le gouvernement français injecte 800 millions sur trois ans avec un apport supplémentaire de 700 millions d'euros de la SNCF elle-même.

    Les récalcitrants au feu vert, dont le commissaire chargé de la Concurrence Mario Monti, ne s'opposent pas au plan sur le fond, mais réclament une enquête approfondie sur le dossier.

    Pour eux, les opérateurs de chemins de fer historiques, héritiers des grands monopoles de jadis, doivent désormais être considérées comme des entreprises agissant dans un contexte concurrentiel, et toute subvention publique doit être examinée à la loupe.

    Mme de Palacio estime, elle, que le plan de la SNCF présente d'ores et déjà suffisament de garanties, et garde espoir d'arracher une décision positive.

    Le plan présenté par la SNCF s'accompagne de clauses interdisant notamment que l'argent du fret ne serve à financer d'autres activités. Il prévoit également des cessions d'actifs et de filiales, pour financer les 700 millions d'apport en propre de l'entreprise publique.

    Si le dossier n'est pas tranché mercredi, il sera repris par le prochain commissaire aux Transports, le Français Jacques Barrot.

    Pour l'instant, le transport de marchandises par rail n'est ouvert à la concurrence que pour les trajets internationaux sur le réseau transeuropéen de fret ferroviaire, soit 50.000 kilomètres de voies ferrées à travers l'Europe.

    Il sera totalement ouvert à la concurrence sur les lignes internationales le 1er janvier 2006, et sur les lignes intérieures un an plus tard, le 1er janvier 2007.

    Le verdict sur la SNCF devrait s'accompagner d'une décision distincte de la Commission sur le Sernam, l'ex-service de messagerie de la SNCF. En 2001, la Commission avait autorisé une aide publique de 448 M euros au Sernam, pour permettre sa cession à Geodis, autre filiale de la SNCF cotée à la Bourse de Paris.

    Mais Geodis n'a finalement jamais repris le Sernam et a même totalement rendu les parts qu'il détenait à la SNCF.

    Selon une source communautaire, Bruxelles ne demanderait pas forcément le remboursement des aides perçues, à condition que la SNCF trouve rapidement un acquéreur pour le Sernam.

    Source: AFP

  3. Salut à vous tous,

    Je prépare une "nouvelle" version du Forum (un nouveau graphisme en réalité) et j'aurais besoin de personnes qui se dévouent pour la tester, m'indiquer les problèmes, les bugs, ainsi que pour me donner leur avis et sur d'éventuelles corrections ou changements à réaliser. :lol:

    Ce n'est pas quelque chose d'extraordinaire... et je remercie par avance ceux qui voudront bien se porter volontaires :blush2:

    :teddouille:

    KaTa

  4. Hello,

    En réponse à Scarlet : je fais avec ce que notre dévoué ouèbemasteur m'envoie : malheureusement, si ca a bien marché plusieurs fois (affichage immédiat de l'image), les dernières fois, ca n'a pas marché, et seul le lien s'est affiché.

    je ne suis pas assez calé en informatique pour savoir faire d'instinct ce qu'il faut faire.  :help:

    Dis, Katamiaw, je reviens à une de mes idées premières : ce serait pas plus simple de faire un copié/collé ? (depuis Imaging, ou un autre logiciel acceptant les formats d'image, genre Photoshop ?).

    Ce cerait tellement plus simple  :tenten:

    Sinon, oui, c'est en région parisienne, mais où ? Savir, Oxan, vous devriez connaître !!!!

    @ +

    TRAM21  :buba:

    Salut Tram21,

    Tu peux publier les photos comme bon te semble, de toute facon j'en fais une copie en local au cas où. Je ne connais pas Imaging, mais si tu as une solution alternative, tu peux l'utiliser.

    Sinon pour publier une image et non un lien, il suffit de cliquer sur le bouton "IMG" et d'insérer le lien que je te donne par mail.

    Sinon manuellement, il faut utiliser cette balise:

    [ I M G ] http://adresse_de_l'image.xxx [ / I M G ]

    (il faut enlever les espaces que j'ai mis ci-dessus)

  5. Raffarin défend sa loi et plaide pour la SNCF auprès de Romano Prodi

    Le Premier ministre français Jean-Pierre Raffarin a profité d'un dîner éclair avec Romano Prodi jeudi soir à Bruxelles pour défendre la loi qui porte son nom et limite les possibilités d'ouverture de grandes surfaces en France auprès du président de la Commission européenne.

    M. Raffarin a également abordé avec son interlocuteur le dossier du plan de restructuration de l'activité fret des chemins de fer français, sur lequel Paris attend le feu vert de Bruxelles à une recapitalisation de 1,5 milliard d'euros par l'Etat et la SNCF, a indiqué M. Prodi.

    Arrivé peu avant 20H00 (18H00 GMT) au siège de la Commission, le chef du gouvernement français est resté moins d'une heure et demie avec Romano Prodi, à qui il souhaitait "dire merci et parler de l'avenir de l'Europe" à un peu plus de deux semaines de la fin de mandat de l'actuelle Commission.

    Jean-Pierre Raffarin s'est refusé à la moindre déclaration au sortir de l'entretien. M. Prodi a laissé entendre de son côté que la Commission, qui suspecte la loi Raffarin d'enfreindre les règles communautaires, allait poursuivre ses discussions avec Paris avant d'arrêter son jugement.

    "Elle ne sera pas à l'ordre du jour la semaine prochaine. Nous avons une discussion en cours. Il ne faut pas prendre la décision avant la discussion. Il faut discuter et après prendre les décisions", a déclaré Romano Prodi à l'AFP.

    De sources concordantes, de nouvelles discussions entre les experts des deux parties sont prévues à Bruxelles le 19 octobre, ce qui devrait repousser tout verdict de la Commission au plus tôt à la dernière réunion de l'équipe Prodi le 26 octobre voire renvoyer le dossier à la prochaine Commission Barroso.

    La Commission a indiqué en début de semaine qu'elle s'intéresse de près à la loi Raffarin, se demandant si celle-ci n'enfreint pas les règles de liberté d'établissement et de prestation de services.

    A l'origine, Bruxelles s'apprêtait à envoyer mercredi un premier avertissement à la France, la mettant en demeure de fournir des explications sur cette législation, mais s'est ravisé au dernier moment.

    La loi "Raffarin", qui date de 1996, soumet à un système d'autorisation très contraignant toute demande d'ouverture ou d'extension de magasin de plus de 300 mètres carrés, ce qui a figé le nombre d'hypermarchés et supermarchés ces dernières années en France.

    Sur le dossier du fret SNCF, M. Prodi a jugé "impossible de dire s'il y aura feu vert ou non" de la Commission au plan de restructuration. "Maintenant, nous avons approfondi. Nous sommes allés (au fond du) problème et de ses implications", a-t-il dit.

    "La décision sera prise après toutes les discussions. Dans ce cas-ci, on va réfléchir sur les problèmes généraux et après, la discussion sera faite par les fonctionnaires sur les problèmes techniques", a-t-il ajouté.

    Le dossier est délicat à régler pour Bruxelles et Paris. La Commission a laissé entendre qu'elle poserait des "conditions" à son feu vert. Si son verdict n'intervient pas avant fin octobre, il reviendra après le 1er novembre au futur commissaire européen aux Transports, le Français Jacques Barrot.

    MM. Raffarin et Prodi se sont par ailleurs entretenus de la candidature de la Turquie à l'adhésion à l'Union européenne, vis-à-vis de laquelle l'Assemblée nationale française a confirmé jeudi après-midi ses réticences lors d'un débat en présence du Premier ministre.

    Source: www.agefi.com

  6. SNCF, le serpent de fer

    Le serpent de mer de la « route roulante » - ou ferroutage - refait surface. Ce concept écologique - installer des camions sur des trains spéciaux pour désengorger les routes - est expérimenté depuis un an dans les Alpes.

    Apparemment peu concluante, l'expérience ne semblait pas vouée à un grand avenir. Changement de ton cette semaine. Dans un bel ensemble, la SNCF, Réseau ferré de France (RFF) - qui gère les infrastructures ferroviaires - et la fédération des transporteurs routiers TLF ont annoncé la création d'une association pour étudier la viabilité de ce système sur des axes longs (plus de 650 kilomètres). « Nous nous donnons deux ans pour valider les techniques et réaliser des études de marché », explique le coprésident de TLF, Alain Bréau.

    Pourquoi ce regain d'intérêt ? Pour la SNCF, il s'agit d'explorer toute piste susceptible de redresser une activité de fret bien mal en point (450 millions d'euros de pertes en 2003). C'est qu'à force de laisser la priorité aux trains de voyageurs les trains de marchandises et leur vitesse de tortillard ont fini par décourager les clients...

    La SNCF doit faire mieux, et vite, car le marché français du fret pourrait être ouvert à la concurrence avec un an d'avance, dès 2006. RFF, qui croule sous la dette, est elle aussi à la recherche de nouveaux clients pour percevoir plus de péages. Quant aux transporteurs routiers, ils voient dans le ferroutage un gain possible en termes de main-d'oeuvre, les camions « roulants » n'ayant pas besoin de chauffeurs. Reste à convaincre l'Etat et les collectivités locales de mettre la main au pot pour aménager les voies. Et à attendre le résultat des études de marché

    Source: Le Point

  7. Bayonne: le trafic SNCF sera perturbé vendredi en raison d'une grève

    Le trafic régional de la SNCF dépendant de la gare de Bayonne sera perturbé vendredi en raison d'une grève du personnel pour protester contre un projet de restructuration locale, a-t-on appris jeudi auprès de la direction. Le trafic des TGV sera normal, assure la direction régionale de la SNCF dans un communiqué. En revanche, la grève entraînera des retards de 20 minutes pour les trains Corail en direction de Toulouse, ainsi que la suppression de la desserte de Peyrehorade sur cette ligne. Le trafic des TER entre Bayonne et Saint-Jean-Pied-de-Port sera lui remplacé par un service d'autocars, indique la SNCF, qui précise que la grève se déroulera de vendredi 04H00 à samedi à 06H00.

    Source: AFP

  8. Des salaires insuffisants

    « Toujours insuffisant ! » C’est ainsi que la Fédération CGT des cheminots a accueilli le 12 octobre la proposition de la direction de la SNCF d’augmenter les salaires de 1,8 % en 2004, 2003 restant une année sans revalorisation. La CGT, FO et SUD rail, majoritaires, se retrouvent sur les mêmes positions, faisant remarquer que « l’inflation atteint déjà 3,7 % fin août 2004 ». En revanche, les autres syndicats (CFDT, CFE-CGC, CFTC, FGAAC et UNSA) ont ratifié l’accord hier après-midi, modifiant ainsi les positions qu’elles avaient prises en juillet dernier lorsque la direction de la SNCF avait proposé 1,5 % d’augmentation. À ce moment-là, seule l’UNSA s’était déclarée favorable. Aujourd’hui, à l’instar de la CFDT, les syndicats signataires estiment qu’une « revalorisation salariale » est « en tout état de cause bienvenue, surtout après les efforts consentis par les cheminots dans le redressement des comptes de la SNCF ». Les divergences qui viennent de surgir à l’occasion des négociations salariales ne semblent pas pour autant fragiliser le front syndical qui s’est renforcé à

    la SNCF contre l’ensemble d’une politique de régression (effectifs, moyens matériels, plan fret...). Initiées par la frange la plus libérale du gouvernement et de l’Assemblée nationale, les pressions s’accentuent pour la libéralisation du rail au profit du routier, tout en réduisant les marges de manoeuvre du président de la SNCF, Louis Gallois, et même du ministre UDF des Transports Gilles de Robien.

    L’unité syndicale demeure. Lundi dernier, tous les syndicats de cheminots (CGT, CFDT, FO, CFTC, SUD rail, UNSA, CFE-CGC et FGAAC) ont confirmé qu’ils organisaient un colloque national sur le fret ferroviaire le jeudi 28 octobre à Paris au siège du Conseil économique et social. Ils se préparent également pour une manifestation nationale unitaire le 25 novembre à Paris en faveur de « la défense du service public, du fret, de l’emploi, des salaires et du droit de grève ». Enfin, ils saluent unanimement le retour de la négociation sur les salaires. « C’est lié à la mobilisation unitaire des cheminots que la CGT a poussé pour obtenir le feu vert du gouvernement », souligne Didier Le Reste de la CGT.

    Quant aux propositions salariales, la CGT parle « d’un léger plus par rapport au 1er juillet dernier », mais elle persiste à penser que « c’est notoirement insuffisant ». Rappelons que 57 % des cheminots gagnent moins de 1 800 euros net par mois.

    Source: www.humanite.presse.fr

  9. SNCF : un accord salarial qui ne fait pas l'unanimité

    La direction de la SNCF a obtenu hier, pour la première fois depuis dix ans, la signature d'un accord salarial, prévoyant une hausse générale des salaires de 1,8% pour 2004. Il n'est toutefois signé que par cinq syndicats minoritaires.

    Majoritaires, la CGT-Cheminots et Sud Rail, respectivement premier et deuxième syndicat, ainsi que FO n'ont pas signé cet accord, mais ne semblent pas envisager un recours au droit d'opposition autorisé par la loi.

    Après une année 2003 sans augmentation générale des salaires, une première proposition de hausse de 1%, en juillet dernier n'avait pas abouti. La SNCF s'en tenait alors aux annonces unilatérales faites en janvier d'1% d'augmentation pour 2004, provoquant la colère des syndicats.

    Les négociations ont été rouvertes la semaine dernière par la direction, qui a proposé une hausse générale de 1,8%, en trois temps : 0,75% de hausse rétroactive en janvier, 0,75% en juillet puis 0,3% en octobre, et enfin 0,3% au 1er février 2005. L'accord comprend aussi des mesures spécifiques pour les plus bas salaires, soit environ 22 000 agents, qui « seront majorés en moyenne de 3,8% ». Des mesures pour les retraités sont également prévues.

    Un certain dégel

    La CGT, qui se réunira demain, compte « maintenir la pression », dénonçant des mesures qui « ne maintiennent pas le pouvoir d'achat ». Sud-Rail refuse de valider « une perte sèche du pouvoir d'achat », tandis que FO dénonce des mesures « inférieures à l'évolution de l'inflation prévue (2,1%) ». « C'est davantage une démarche pragmatique qu'une d'adhésion », a commenté Bernard Aubin, de la CFTC, qui revendiquera des hausses de salaires lors de la manifestation nationale unitaire de cheminots le 25 novembre.

    Cet accord confirme tout de même un certain dégel du climat social dans l'entreprise, alors que les discussions sur la prévention des conflits doivent reprendre le 18 octobre.

    Source: www.dna.fr

  10. Comparatif:

    EVOLUTION du COUT de la VIE sur 10 ans en niveau

    EVOLUTION des SALAIRES à la SNCF sur 10 ans

    1994 => 1,6 % | 2,0 % => 0,4 % (+)

    1995 => 2,1 % | 1,2 % => 0,9 % (-)

    1996 => 1,7 % | 1,7 % => équilibre

    1997 => 1,1 % | 1,0 % => 0,1 % (-)

    1998 => 0,3 % | 0,9 % => 0,6 % (+)

    1999 => 1,3 % | 0,0 % => 1,3 % (-)

    2000 => 1,6 % | 0,8 % => 0,8 % (-)

    2001 => 1,4 % | 1,6 % => 0,2 % (+)

    2002 => 2,3 % | 1,6 % => 0,7 % (-)

    2003 => 2,2 % | 0,0 % => 2,2 % (-)

    TOTAL sur 10 ans => 15,6 % | 10,8 % => - 4,8 %

    Ainsi en 10 ans le pouvoir d'achat d'un agent SNCF a baissé de 4,8 % (sans prendre en compte l'année 2004).

    Pour Infos: Période de 1984 à 1993 (10 ans)

    EVOLUTION du COUT de la VIE sur 10 ans en niveau = 33,9 %

    EVOLUTION des SALAIRES à la SNCF sur 10 ans = 24,6 %

    TOTAL = - 9,3 %

    Soit une perte de 14,1 % du pouvoir d'achat en 20 ans.

    Chacun en tirera des conclusions évidementes.

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