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Le Web des Cheminots

katamiaw

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Messages publiés par katamiaw

  1. Liaison TGV par Amiens en projet

    24/09/2004

    Le ministre de l'Equipement, des Transports, de l'Aménagement, du Tourisme et de la Mer, Gilles de Robien, a signé hier, jeudi 23 septembre, avec les présidents de la SNCF, Louis Gallois, et de RFF, Jean-Pierre Duport, un protocole de lancement d'études concernant la ligne TGV Paris-Amiens-Calais.

    Cette signature fait suite à une réunion de travail, le jour même à Paris, avec les présidents de RFF et de la SNCF, les présidents des régions Picardie et Nord-Pas-de-Calais, les préfets de Picardie, Île-de-France et Nord-Pas de Calais, ainsi que d'autres acteurs des transports.

    Concernant la liaison à Grande Vitesse (LVG) Paris-Amiens-Calais (un projet mentionné dans la carte du Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire de décembre 2003), elle doit relier Paris et Calais en deux heures, ou à partir de 2007 Paris et Londres en moins de deux heures et vingt minutes. Un débat public doit être organisé dès que possible. Les études qui doivent être lancées porteront sur la réalisation éventuelle d'une nouvelle gare entre Calais et Amiens, la desserte d'Amiens et les modalités de raccordement à l'Île-de-France. Le préfet de Picardie doit coordonner ces études et mettre en place un Comité de pilotage qui associera les élus locaux concernés.

    Quant au projet de liaison entre Creil et Roissy, il doit permettre de relier la Picardie à l'aéroport de Roissy et à son réseau TGV européen, et mieux assurer les liaisons domicile-travail entre ces deux territoires. Pour répondre à ces deux besoins, deux solutions : l'utilisation du barreau dit "de Gonesse" reliant le RER D et le RER B jusqu'à la gare du parc des expositions et le barreau Creil-Roissy, à hauteur de Marly-la-Ville. Les études d'Avant-projet Sommaire concernant cette liaison Creil-Roissy pourront commencer à l'été 2005, à l'issue de la concertation et en tenant compte des résultats d'une étude d'optimisation.

    Source: ProxiNews

  2. La SNCF met en place un Observatoire de la solidarité

    23/09/2004

    La SNCF a mis en place un Observatoire de la solidarité, "lieu d'échanges et de réflexion sur les changements sociaux et sociétaux" qui ont "un impact sur le développement de l'entreprise", a-t-elle indiqué jeudi dans un communiqué.

    "Cet organisme sera un lieu d'observation des évolutions de la société ayant un impact sur le développement de l'entreprise", a expliqué la direction.

    L'observatoire "sera un lieu d'échanges et de réflexion sur les changements sociaux et sociétaux. Il mettra en perspective dans un contexte sociologique, les statistiques externes sur l'emploi, l'accès aux soins, la délinquance... et internes sur les actions menées par l'entreprise en matière de solidarité et de citoyenneté", est-il indiqué.

    L'Observatoire de la solidarité, "présidé par Christian Combe, directeur de la Mission solidarité, et Jean-Pierre Weinaug, représentant de la CFDT, est composé de membres issus de différents secteurs de la SNCF, d'un représentant de chaque organisation syndicale, et d'experts sollicités selon les besoins".

    Une "charte de fonctionnement", signée par la direction et les syndicats CFDT, CFTC, SUD Rail, UNSA, CFE-CGC, Fgaac (agents de conduite autonomes) et SNCS (cadres supérieurs), "fixe les principes d'un co-pilotage de l'observatoire: chaque année, une organisation syndicale différente assure la fonction de directeur adjoint", a précisé la SNCF.

    Source: AFP

  3. salut à tous, moi j'ai passer les tests pour etre technicien de circulation j'ai passer le 2 tests et après une lettre de regrets j'étais déçus pourtant j'avais bien reussi les tests c'est peut-etre au niveau du consultant en recrutement que çà n'a pas coller . Es-ce-que je peux refaire une demande de candidature tout de suit ou il faut attendre.

    :)

    Tu peux renouveler ta demande chaque année. Dans le cas d'un recrutement régionnal, tu peux aussi faire ta demande dans une autre région.

  4. 1er train: Nîmes => Lyon

    De nuit, relève au Poste E du triage de Nîmes qui s'est transformé en une remise en service... j'ai vérifié 10 fois que tout allait bien ! Heureusement j'avais une BB7200 (j'étais autorisé BB8100). Autorisation de départ dans les règles de l'art, mise en marche du train... et passé le 1er signal à voie libre, j'ai eu une grosse montée de pression ! qui a durée sur 800 mètres, ensuite je me suis dit que ça ne servait à rien de baliser....

    J'ai passé tout le trajet à vérifier que tout mes repères d'études de lignes étaient bons... on ne sais jamais que je me serais perdu... Arrivé à Sibelin, content et heureux de l'avoir fait sans soucis. Dés le lendemain rebelotte, mais avec la pression en moins....

  5. Bonjour,

    Vous aurez remarqué l'apparition d'une nouvelle rubrique Infos 24h/24 - 7j/7 , L'actualité ferroviaire et cheminote. Celle-ci peut être alimentée par tout un chacun, la seule contrainte étant d'indiquer clairement la Source d'où provient l'info (avec un lien si possible).

    Dans le cas d'infos personnelles, n'oubliez pas de signer votre écrit.

    Cette rubrique est en test, nous verons par la suite si elle a une utilité ou si elle ne sert à rien.... et nous déciderons de son avenir à ce moment là.

    KaTa.

  6. Un examen médical de trop pour les cheminots

    La médecine du travail s'oppose au dépistage de substances psychoactives imposé par le ministère.

    21 septembre 2004

    La SNCF fait-elle trop de contrôles, y compris parmi ses employés ? Un texte qu'on veut appliquer à la médecine du travail de certains cheminots est en tout cas au centre d'une polémique, et bientôt d'une bataille juridique entre professionnels et pouvoirs publics. «L'affaire est grave sur le plan éthique car c'est le principe même de l'indépendance de la médecine du travail qui vient d'être désavoué par le ministère des Transports», justifie Lionel Doré, secrétaire général du Syndicat national professionnel des médecins du travail (SNPMT), majoritaire dans la profession.

    Dépistage. L'affaire commence le 24 août 2003 avec la publication au Journal officiel d'un arrêté du ministère des Transports concernant l'aptitude des cheminots exerçant des «fonctions de sécurité» (soit une vingtaine de types de postes comprenant entre autres conducteurs, aiguilleurs, et agents de circulation). Le texte détaille les examens médicaux que doivent pratiquer les médecins du travail sur ces personnels, lors de leur embauche puis des visites de contrôle. C'est le principe de dépistage, et notamment l'examen biologique à la recherche de «substances psychoactives» (comprendre drogues, tranquillisants, stimulants, etc.) qui fait bondir les médecins du travail. Dont Lionel Doré : «Avoir des exigences au nom de la sécurité est tout à fait légitime, décrypte-t-il. Mais confier ces tâches de contrôle à la médecine du travail pose un réel problème. Les médecins du travail sont là pour faire de la prévention et veiller à la santé des salariés, et non pas pour les sélectionner. Le code de déontologie interdit clairement que les mêmes médecins pratiquent prévention et contrôle. Comment, en effet, pour les salariés être en confiance avec les médecins du travail s'ils savent qu'on les contrôle ?» Et d'ajouter : «Bien sûr, auparavant, on parlait déjà des aptitudes de sécurité à la SNCF, mais il n'y avait pas une telle officialisation, avec des normes.» Selon ce même médecin, le cas de la SNCF est radicalement à part puisque dans les autres professions avec exigence de sécurité (conducteurs de poids lourds, pilotes), les contrôles d'aptitudes sont effectués par des structures indépendantes de la médecine du travail.

    Droit du travail. C'est dans ce contexte qu'un médecin du travail de la SNCF, dubitatif sur la légitimité du texte qu'une note interne lui enjoint d'appliquer, décide de faire appel au médecin inspecteur de travail. «Celui-ci lui donne totalement raison en écrivant que l'arrêté ne doit pas s'appliquer à la SNCF car il est contraire à la déontologie et à l'éthique», raconte le secrétaire général du SNMPT, qui s'exprime au nom du médecin concerné. Une victoire éphémère, puisque la SNCF décide à son tour de déposer un recours auprès du ministre des Transports. Sa décision, rendue le 20 août, annule la décision du médecin inspecteur, et déclare le recours du médecin du travail irrecevable.

    «Aberration.» Pour le syndicat des médecins du travail, c'est une nouvelle atteinte à l'indépendance de la profession. «Cela revient à dire qu'un médecin du travail n'aurait plus le droit de faire appel à son médecin inspecteur, c'est une aberration», ajoute Lionel Doré. Au ministère des Transports, on explique que «la décision du médecin inspecteur a été annulée car celui-ci a outrepassé sa compétence. Il ne pouvait pas trancher ce différend». Et le représentant du ministère de préciser : «Dans cette affaire, nous ne nous sommes pas prononcés sur le fond. Mais nous estimons que la vérification de l'aptitude à la sécurité est le prolongement normal des fonctions des médecins du travail de la SNCF, et que le texte doit s'appliquer.» Le syndicat des médecins du travail, qui ne l'entend pas de cette oreille, s'apprête à porter l'affaire devant le tribunal administratif. «C'est l'occasion de lancer réellement le débat, conclut le SNMPT. Dans beaucoup d'endroits, la médecine du travail fait de la sélection sans le dire. Il faut mettre fin à tous ces flous, et clarifier les textes.»

    Source: Libération

  7. Les cheminots toujours mobilisés pour leurs salaires

    21 Septembre 2004

    Pétition et rassemblements à l'appui, les syndicats de cheminots ont annoncé mardi leur intention de continuer de réclamer l'ouverture de négociations salariales à la SNCF, idée que la direction n'a pas repoussée.

    "La direction de la SNCF ne ferme pas la porte à la reprise de nouvelles négociations salariales sans pour autant fixer une date", écrivent les fédérations CGT, CFDT, FO, CFTC, SUD Rail, CFE-CGC et FGAAC dans un communiqué publié au lendemain d'une réunion intersyndicale sur le sujet. "Elle conditionne, entre autres, la reprise des négociations salariales aux moyens de l'entreprise et à la conclusion d'un accord".

    Les syndicats annoncent leur intention "de poursuivre et d'amplifier la signature de la pétition unitaire" qu'ils remettront vendredi au président de la SNCF Louis Gallois lors d'une table ronde sur le dialogue social.

    Plusieurs dizaines de milliers de signatures ont déjà été recueillies, précisent-ils.

    Les sept syndicats prévoient également des "rassemblements unitaires de cheminots actifs et retraités, dans les établissements ou régionalement, le lundi 4 octobre".

    Début septembre, les mêmes syndicats annonçaient leur intention d'organiser une journée d'action et de manifestation à Paris le 25 novembre si la direction de la SNCF ne rouvrait pas d'ici là des négociations sur les salaires et l'emploi.

    La SNCF, qui devrait publier ses résultats semestriels mercredi, a renoué avec les bénéfices sur les six premiers mois de l'année, à 43 millions d'euros contre une perte nette de 243 millions d'euros il y a un an.

    Source: REUTERS

    • J'adore 1
  8. Redressement SNCF "au prix de massives suppresions d'emplois", selon la CGT

    22 Septembre 2004

    Le secrétaire général de la CGT-Cheminots, Didier Le Reste, a déploré mercredi que le redressement des résultats de la SNCF au premier semestre 2004 se fasse "au prix de massives suppressions d'emplois" et de "nombreuses dessertes fret".

    "Nous ne sommes pas dupes car ce redressement se fait au prix de massives suppressions d'emplois", a déclaré M. Le Reste à la presse, en marge d'une rencontre au ministère des Transports au sujet du service minimum.

    "La SNCF a plus supprimé d'emplois au premier semestre que ce qui était prévu" dans le budget 2004, et "nous souhaitons qu'elle réalise les embauches prévues au budget", soit 3.800 embauches, a ajouté M. Le Reste.

    Le budget 2004 prévoit au total 3.505 suppressions d'emplois, sans licenciement.

    Le responsable cégétiste a également regretté les "suppressions nombreuses de circulations fret: par rapport au premier semestre 2003, nous avons eu 15.500 dessertes supprimées, sans que la qualité de la production soit améliorée", a-t-il indiqué.

    "On ne peut pas rechercher l'équilibre économique par le bas en supprimant massivement des dessertes ferroviaires, en fermant des installations et en hypothéquant ainsi un véritable redressement de l'entreprise", a-t-il commenté.

    Selon la CGT, la SNCF a "besoin de présenter des comptes un peu plus porteurs eu égard aux pressions énormes de Bruxelles".

    Le président Louis Gallois a annoncé ce mercredi en conseil d'administration une amélioration des comptes, avec un résultat net en bénéfice de 43 millions d'euros.

    Source: AFP

  9. 22 Septembre 2004

    Dans un communiqué, la filiale à 99,8% de la SNCF, souligne qu'elle renoue avec un bénéfice net part du groupe pour la première fois depuis quatre ans.

    "Après une phase de restructuration et de consolidation de leurs métiers, les principales composantes du groupe sont en ordre de marche et devraient maintenir leur bon niveau de rentabilité durant le deuxième semestre. Malgré quelque foyers de pertes résiduels à traiter, le groupe devrait réaliser une bonne performance sur l'ensemble de l'exercice 2004", ajoute SNCF Participations.

    Source: REUTERS

  10. La SNCF proche d'un modèle "durablement bénéficiaire"

    22 Septembre 2004

    La SNCF a renoué avec les bénéfices au premier semestre 2004, avec un résultat net positif de 51 millions d'euros contre une perte de 318 millions il y a un an, et le transporteur public s'est montré optimiste pour les années à venir.

    "L'entreprise a accompli au cours du premier semestre une très belle performance. Nous sommes en avance par rapport à nos prévisions. Pour le second semestre notre objectif est de confirmer l'amélioration des comptes, en tout cas faire mieux que le budget", a déclaré mercredi Louis Gallois, président de l'entreprise.

    Visiblement heureux, il a ajouté que les résultats des six premiers mois de l'année étaient la concrétisation "d'actions menées depuis plusieurs années dans l'entreprise", soulignant qu'ils étaient également fondés sur "la pénétration de l'entreprise d'une véritable culture économique".

    "La SNCF n'est jamais à l'abri de coups de torchon mais le point mort de l'entreprise a été baissé ce qui entraîne une meilleure sécurité face aux aléas de la conjoncture. On se rapproche d'un modèle économique durablement bénéficiaire", a poursuivi Louis Gallois.

    Le premier semestre de l'année bénéficie d'une base de comparaison favorable puisque les six premiers mois de l'année 2003 avaient été marqués par un important mouvement social. Le résultat courant, qui s'est établi à 87 millions d'euros contre -242 millions il y a un an, intègre ainsi le manque à gagner de 237 millions d'euros liés à la grève.

    Et la masse salariale a également baissé pour la première fois depuis longtemps, à la fois à cause d'un nombre de départs - 4.200 - plus important que prévu et d'une modération des salaires, contribuant ainsi à la progression des bénéfices.

    Le directeur général Guillaume Pépy a toutefois souligné que les gains de rentabilité avaient représenté 185 millions d'euros au niveau du résultat courant, qui en outre intégré des charges d'électricité et de péage en hausse de 93 millions d'euros par rapport au premier semestre 2003.

    FORTE REDUCTION DES PERTES DU FRET

    "Pour la première fois depuis longtemps, la hausse du chiffre d'affaires se traduit directement dans les comptes", a poursuivi Louis Gallois, estimant que la SNCF est "à l'équilibre de manière saine".

    Les ventes de l'entreprise ont progressé de 2,9% (+6,9% à périmètre constant) pour atteindre 11,4 milliards d'euros, l'excédent brut d'exploitation a progressé de 67,2% à 814 millions d'euros et le résultat d'exploitation est passé d'une perte de 176 millions d'euros il y a un an à un bénéfice de 238 millions d'euros.

    La SNCF seule, hors les filiales, a dégagé un bénéfice net de 43 millions d'euros contre une perte de 243 et a fortement réduit sa perte courante, passée de 257 à 9 millions.

    La branche voyages France Europe (les grandes lignes) a vu son chiffre d'affaires progresser de 8,0% à 2,683 milliards d'euros et son bénéfice d'exploitation est passé de trois millions d'euros à 199 millions.

    La branche transports publics (lignes régionales) a enregistré une hausse de ses ventes de 12% à 3,433 milliards d'euros et une progression de 38% de son résultat d'exploitation à 190 millions.

    Les branches fret et infrastructure ont toutes deux, sur des chiffres d'affaires de respectivement 3,247 milliards (+4%) et 2,010 milliards d'euros (+5,3%), réduit leur perte d'exploitation à -111 millions (contre -274 millions il y a un an) et -40 millions (contre -70 millions).

    "Les fondamentaux de la branche fret sont en train de revenir progressivement", a estimé Guillaume Pépy, qui a rappelé que le plan fret 2006 se déroulait comme prévu.

    Avec l'ouverture à la concurrence du trafic fret en Europe, la SNCF a décidé de prendre à bras le corps les pertes de la branche, avec la division de celle-ci en 12 branches et la création de sept délégations commerciales sur les six premiers mois de l'année.

    La SNCF a également commandé 1.000 locomotives fret ces cinq dernières années, qu'elle commencera à recevoir en 2004 et 2005. "Le parc de locomotives fret sera plus moderne que celui des locomotives voyageurs", a souligné Guillaume Pépy.

    Le plan fret 2006 prévoit également une aide de l'Etat de 800 millions d'euros, un dossier qui est actuellement à l'étude à Bruxelles et au sujet duquel la SNCF, d'après Louis Gallois, n'a encore eu aucun retour de la part de l'exécutif bruxellois.

    Ce dernier a enfin laissé entendre qu'au vu des bons résultats, il n'était pas hostile à de nouvelles négociations sur les salaires, ajoutant qu'il s'engagerait s'il avait le sentiment "qu'un accord pouvait être trouvé".

    Source: REUTERS

  11. Alors pour les fichiers Rlt pour Calanque.

    Tu vas voir ton correspondant roulement, avec son logiciel pour les rlts , il extrait les roulements que tu veux sur des disquettes, il peut même les zipper.

    Il doit bien se trouver dans un bureau à droite de la feuille.........

    Merci, je vais sonder pour voir.

  12. Si Vraiment il est bon Il a fourni au graphiste un jeu de disquettes en prêt pour tous les CRL qui le demandent.

    Heu !!!!!!!!!!! Des "disquettes", c'est quoi ???

    :tgv:

    Vous faites comment pour récupérer les roulements pour Calanque ?

    Vous demandez et ben c pareil.

    On demande à qui ? Parcequ'à Nîmes (à la feuille) personne ne sais comment on récupère les fichiers... :laurent:

  13. moi perso ,je n'ai qu'un cap mécanique générale, bien loin de la nouvelle génération avec leur bac+++.

    dire que la formation est dure , je ne crois pas, il suffit de bosser normalement, la preuve est là... :lol:

    Moi je fais parti de la 'nouvelle' génération (les BAC+++). Je peux t'assurer que la formation est dure... Dure non pas qu'il faille avoir un cerveau et une intelligence hors normes, mais dure parce que cette formation est longue, que les modules s'enchainent à vitesse grand V, qu'il faut assimiler en une nuit ce que l'on apprend la journée... etc...

    Dure, oui. Parceque pendant 1 an, on vie SNCF, on manger SNCF, on dors SNCF etc.... Dans ma formation, ça s'est passé ainsi:

    - 3 semaines en salle pour 2 semaines sur le terrain (conduite avec un conducteur instructeur).

    - en salle du Lundi au Vendredi: 8h00/12h00 + 13h00/17h30; puis le soir aprés les cours on reste généralement réviser (17h30/19h00) puis pour ceux qui sont vraiment motivés c'est révision à nouveau aprés manger (21h00 à Minuit.. voir plus parfois).

    - en ligne (conduite): on suis le roulement du moniteur instructeur.

    La formation est découpée en 8 modules (modules 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7a et 7b). Aprés chaque module il y a un contrôle, c'est le système de la formation continue: pour pouvoir rester il faut avoir une bonne moyenne, il est accepté d'avoir une mauvaise note, mais en général à la 2nd... c'est mal parti pour aller jusqu'au bout !

    A la fin de la formation il y a l'examen (écrit puis conduite puis oral), sanctionné par une autorisation de conduite si on a la "moyenne" en cours (14 il me semble).

    Du côté du contenu de la formation, il faut avoir de bonnes bases en Maths, ainsi qu'en Physique et surtout en Electricité. Il faut un français impécable, car les conducteurs doivent rédiger un Bulletin de Servir (voir le logiciel de Savir) aprés chaque journée effectuée, et le tout est de bien arriver à se faire comprendre, de manière à ce que les chefs qui consultent ces bulletins n'aient pas à décrypter chaque mots, de plus c'est un document officiel. Donc en formation ils sont assez intrangisants là dessus. Le plus gros de la formation c'est moitié réglementation (circulation "normale", circulation avec incidents etc...) et moitié technique (les engins moteurs, les voies, etc...).

    Voilà en trés résumé comment cela se passe... je pense que d'autres pourront venir compléter ou rectifier, apporter leur expérience personnelle.

    KaTa.

    :unsure:

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