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Le Web des Cheminots

katamiaw

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Messages publiés par katamiaw

  1. Cheminots et enseignants appelés à se mobiliser cette semaine

    La mobilisation des cheminots, celle des enseignants, ainsi que de nouvelles rencontres entre le ministre délégué aux Relations du travail Gérard Larcher et les partenaires sociaux sur les 35 heures, les restructurations et la réforme du Code du travail sont au menu de l'actualité sociale cette semaine.

    Par ailleurs, la CFDT appelle à une semaine d'actions pour l'emploi à partir de lundi, afin d'attirer l'attention des pouvoirs publics sur l'importance du taux de chômage en France, et de réclamer «une véritable politique de l'emploi».

    Des meetings et des rassemblements doivent être organisés jusqu'à samedi dans la plupart des régions de France.

    Lundi, l'ensemble des fédérations syndicales de cheminots appellent à des rassemblements régionaux et à des assemblées générales à la SNCF -sans mot d'ordre de grève- pour exiger la réouverture des négociations salariales, la direction étant, jusqu'à présent, restée sur une augmentation de 1% pour l'année 2004.

    Les syndicats se montrent d'autant plus impatients que la direction a annoncé, le 22 septembre, un résultat net positif de 51 millions d'euros pour le 1er semestre 2004, précisant que les indicateurs commerciaux et financiers de l'entreprise «sont en progression dans toutes les branches d'activité, par rapport au premier semestre 2003».

    Egalement cette semaine, la direction de la SNCF espère parvenir, jeudi, à un accord avec les syndicats sur la mise en place d'une «alarme sociale» similaire au dispositif existant à la RATP pour prévenir les conflits, à savoir le déclenchement de négociations dans l'entreprise sans arriver, au préalable, au préavis de grève.

    Cela fait plus de deux ans que les syndicats de cheminots et la direction de la SNCF débattent de ce sujet. Un accord ratifié par une majorité de syndicats pourrait peser sur les projets du gouvernement en matière de «continuité du service public» en cas de grève.

    Mardi, le ministre délégué aux Relations du travail Gérard Larcher entamera de nouvelles rencontres avec les partenaires sociaux sur les 35 heures, la réforme du Code du travail, et le traitement social des restructurations. Le ministre devrait soumettre des propositions aux partenaires sociaux sur ces trois dossiers, selon son entourage.

    Ces rencontres, qui font suite à une première série d'entrevues du 26 août au 7 septembre, commenceront mardi en fin de matinée avec le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault, et s'échelonneront jusqu'à vendredi matin.

    Mercredi, l'ensemble des fédérations syndicales de l'Education, la Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE), ainsi que les deux principales organisations de lycéens (FIDL et UNL) appellent à une journée d'actions unitaire, qui sera marquée par des rassemblements régionaux, pour dénoncer les conditions de la rentrée scolaire 2004 et les orientations budgétaires 2005.

    Aucun mot d'ordre de grève n'a été lancé pour cette journée, au cours de laquelle les syndicats donneront le coup d'envoi de leur opération «Carton rouge au gouvernement» sur la question du budget de l'Education.

    Ils comptent adresser au Premier ministre Jean-Pierre Raffarin d'ici la fin octobre, un million de cartons rouges signés par la population pour dénoncer la politique éducative du gouvernement.

    Les syndicats ont prévu de se revoir jeudi pour faire le point sur cette journée, et décider des suites à y donner.

    Enfin samedi, La fédération de la Formation et de l'Enseignement Privés-CFDT (FEP-CFDT) appelle les enseignants travaillant dans des établissements privés sous contrat avec l'Etat, à une manifestation nationale à Paris pour exiger le même traitement que les enseignants des établissements publics en matière de salaires, ou encore de retraites.

    Source: Nouvel Obs

  2. merci de m'éclairer un peu mais par contre je ne sais ce qu'est une résistance pourrais-tu m'en dire plus? je te remercie d'avance !!

    Les résistances:

    Par résistance, on désigne un élément qui oppose une résistance au passage du courant électrique (lampe, résistance chauffante, etc...), Sa caractéristique est nommée la résistance. La résistance se note R .Elle s'exprime en Ohms et se mesure avec un ohmmètre.

    Les résistances servent à réduire la passage du courant, de la manière définie par la loi d'Ohm.

    Loi d'Ohm:

    La tension U aux bornes d'un conducteur ohmique est égale au produit de la résistance R du conducteur et de l'intensité I du courant qui traverse ce conducteur => U = R x I

    U en volt

    R en ohm

    I en ampère

    Pour plus d'infos:

    http://etudiant.univ-mlv.fr/~fmenetri/cours/cours.htm

    :stinker:

    C'est de la Physique qu'on apprend à l'école au Collège (si je me souviens bien).

  3. je vous remercie beaucoup pour ces précisions mais a la formation il ne faut savoir ke ca, transformer des metres cube en carré,...??? il ne demande que ça en math? ou il demande autre chose comme les équations par exemple? merci beaucoup

    Pour la formation, côté maths il n'y a rien d'extraordinaire, des additions, soustractions, divisions et multiplications (sans calculatrice bien sur), ainsi que savoir appliquer des formules de type "physique" (U=Ri etc...). Je ne me rappelle rien d'autre de bien compliqué en maths durant la formation proprement dite.

  4. Nouvelle offensive contre les régimes spéciaux de retraite

    Communiqué, SUD Rail

    Le sénateur UMP Marini, rapporteur de la commission des finances, dans une entrevue au Figaro, pense qu'il n'y a pas « de tabou en ce qui concerne les régimes spéciaux » des retraites.

    Rassurons les sénateurs. Pour lui, il ne s'agit pas de toucher à leur régime spécial. Outre les avantages substantiels qu'il procure, cette catégorie de privilégiés n'a ni obligation de résultat ni obligation de présence. Ce qui n'est pas le cas des 40 millions de salariés. Pour M. Marini, seuls sont concernés les régimes spéciaux de la RATP, de La Poste et de la SNCF.

    Son argumentation est simple :

    1) Ce serait des régimes déficitaires.

    C'est oublier que la SNCF a supprimé 40% de ses effectifs en 20 ans. Transférer les salariés de la SNCF au sein du régime général ne changerait ni le nombre d'actifs, ni celui des retraités.

    Demande-t-on aux seuls salariés de Thomson, de Vivendi ou de n'importe quelle autre entreprise de prendre en charge les retraites de tous leurs retraités ? Non, c'est la solidarité nationale qui joue.

    2) Ce serait par solidarité avec les autres salariés.

    C'est oublier un peu vite que jamais le nivellement par le bas des acquis sociaux n'a bénéficié aux moins bien lotis.

    La Fédération SUD-rail tient à rappeler que le Président de la SNCF, en accord avec le gouvernement Raffarin, a garanti le maintien du régime particulier des cheminots. Ce qui n'a pas empêché les cheminots de manifester et de se mettre en grève pour défendre les retraites de tous les autres salariés.

    La Fédération SUD-rail espère que la Direction de la SNCF, comme le gouvernement, ne tarderont pas à démentir les propos du sénateur Marini. Avec les cheminots et les autres salariés concernés, la Fédération SUD-rail avec l'Union Syndicale Solidaires ne resteront pas inactives en cas de remise en cause de nos acquis sociaux.

    Source: www.hns-info.net

  5. Transports/RER D Face à la SNCF, les voyageurs vident leur sac

    FORCÉMENT, il n'a pas fait le voyage pour rien. Jeudi soir, lors d'une réunion publique à Montgeron, Bernard Gardin, le directeur de la ligne D du RER, a dû faire face à une flopée de critiques plus ou moins virulentes des habitués de ce tronçon, unanimement reconnu comme étant le pire en termes de régularité. A l'entrée de la salle des fêtes, Nicolas Dupont-Aignan, député-maire UMP de la circonscription et maître de cérémonie pour l'occasion, affichait le sourire.

    Au moins 150 usagers en colère ont fait le déplacement pour exiger des explications et surtout des mesures. Dans le collimateur : les retards, mais aussi la saleté, la communication ou encore la sécurité.

    « Ça fait dix ans que ça dure » A 20 h 30, les débats sont ouverts. Pour accompagner le cadre de la SNCF dans la fosse aux lions, des représentants de Réseau ferré de France (RFF) et du Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif) sont également présents sur l'estrade. Histoire de se mettre dans l'ambiance, un tract de la Fédération des usagers des transports (FUT) est distribué à l'accueil, tirant la sonnette d'alarme sur le fonctionnement de « la ligne poubelle de la SNCF ». Bernard Gardin commence par tenter l'impossible : rassurer la salle. « La courbe de la régularité remonte depuis quelques mois », affirme-t-il, rappelant au passage qu'une bonne partie des retards sont dus à des causes extérieures (actes de malveillance, alerte à la bombe, etc.). « Ça fait dix ans que ça dure », crie une femme dans le public. « On ne peut pas tout régler à court terme, plaide le représentant du Stif. En 2010, nous aurons un RER qui marchera aussi bien que les autres. » C'est l'heure des questions. Micro en main, les usagers déclenchent les salves les unes après les autres. « Il faut un bulletin mensuel d'informations, soulève un homme. C'est scandaleux d'avoir augmenté les tarifs en août alors qu'il n'y a même pas eu de dégrèvement quand il y a eu les grèves du printemps. » « Les voyageurs devraient être représentés au sein du Stif », revendique un autre. « Beaucoup de retards sont provoqués, paraît-il, par le tunnel de Châtelet, mais pourquoi avoir relié le sud au nord de la banlieue puisque 95 % des gens descendent avant ? » interroge calmement une femme. Enervée, sa voisine hausse le ton. « Nous en avons marre de voyager comme du bétail, fulmine-t-elle. Demain, je fraude et j'invite tout le monde à me suivre. C'est le meilleur moyen de vous mettre la pression. » Suit alors un conducteur de train de la ligne D, qui souligne qu'une partie des retards vient aussi du matériel. « Les rames de type p'tit gris datent des années 1960 », rappelle-t-il. Sur le remplacement du matériel roulant, les représentants de la SNCF et du Stif se veulent rassurants. « Les appels d'offres sont en cours et le nouveau matériel arrivera sans doute en 2008, indiquent-ils. D'ici là, 23 millions d'euros vont être utilisés pour permettre aux p'tits gris de durer jusqu'à leur remplacement. » « On se couchera sur les voies s'il le faut, mais la ligne D doit être prioritaire pour les nouvelles rames », réplique Nicolas Dupont-Aignan, sous les vivats d'un public tout attaché à sa cause. Il est 23 h 30. Avant de se séparer, l'élu invite les participants à laisser leurs noms, pour créer des comités d'usagers sur la ligne D. Cela tombe bien, hier il y avait grève.

    Source: Le Parisien

  6. Source: Le ParisienLa SNCF considère que le site n'est pas adapté (Wagon mémorial)

    LA RÉACTION des services de communication de la SNCF n'a pas traîné après la publication dans nos colonnes (« le Parisien - l'Oise matin » du jeudi 30 septembre) de l'appel à la mobilisation d'Alain Lorriaux, président de l'Association pour le wagon mémorial de la déportation. Pour la SNCF, « le projet de réalisation d'un mémorial en gare de Compiègne, porté par l'Association pour le wagon mémorial de la déportation, a retenu dès le départ toute l'attention de la société ». Et de rappeler : « A l'occasion des nombreux contacts entretenus au cours des derniers mois avec ses promoteurs, nous avons régulièrement mis en évidence les contraintes qu'un tel projet devait surmonter.

    » Concernant la réunion du mercredi 22 septembre en gare de Compiègne, qui a provoqué la colère et l'indignation des responsables de l'association, Alain Lorriaux en tête, la SNCF précise : « Cette réunion sur le site a permis de préciser ces contraintes, à partir du résultat des études techniques préalables. Celles-ci font en effet apparaître que l'implantation envisagée, au milieu d'installations ferroviaires exploitées, n'est pas adaptée, en raison notamment des contraintes de fonctionnement de la gare ou des problèmes de sécurité pour le cheminement et l'accès des visiteurs. » Et la compagnie ferroviaire d'énoncer la solution préconisée : « Une implantation sur un espace public à proximité immédiate de la gare permettrait au contraire de s'affranchir des contraintes, tout en offrant au mémorial une visibilité et une accessibilité plus en rapport avec sa vocation de lieu de mémoire. »

    Le rassemblement du 16 octobre maintenu C'est justement là que les points de vue divergent entre l'Association pour le wagon mémorial et la SNCF. Alain Lorriaux et son équipe veulent implanter un mémorial sur le quai des Déportés, dans le prolongement des stèles déjà installées. « Un site classé et un lieu symbolique fort, pour rendre hommage à la mémoire de tous les déportés » qui sont partis de Compiègne à destination des camps nazis. « A un autre endroit que celui-là, le projet n'aurait plus de sens », ajoute Alain Lorriaux, qui persiste à demander à la SNCF « les contraintes et règles à respecter, pour ne pas gêner ses activités. Une sorte de cahier des charges ». En attendant, l'association maintient son appel au « rassemblement des personnes sensibles et favorables au projet, le samedi 16 octobre de 14 heures à 16 heures, sur place ».

  7. Les élus PRG s'alarment de la vétusté du matériel roulant RATP/SNCF en IDF

    Les élus du Parti Radical de Gauche (PRG) d'Ile de France se sont alarmés jeudi de "l'état vétuste" du matériel roulant de la RATP et de la SNCF sur la région, lors du débat en réunion plénière du Conseil régional sur le transfert des compétences en matière de transport public. Dans un communiqué, ils ont dénoncé un "équipement sujet à dysfonctionnement et trop vieux pour répondre aux nouveaux besoins des Franciliens". Les élus PRG ont obtenu de l'assemblée du conseil régional que cette question figure dans les négociations que la région mènera avec l'Etat, précise le communiqué.

    Source: AFP

  8. « PROJET DE FUSION »

    SNCF : L'étude qui fâche les syndicats

    Rapprocher les établissements traction de Dijon et de Besançon : « Une étude » pour la direction, « un projet de fusion » pour les syndicats CFDT, CGT, FGAAC et FO. Au-delà des mots, le désaccord a conduit, la semaine dernière, à une grève de 24 heures à l'établissement de traction (ET) de Besançon, mouvement suivi à 100 % chez les agents de conduite et à 90 % chez les sédentaires. Une manière, pour les syndicats, de marquer leur mécontentement et qui a débouché sur une rencontre de deux heures entre une centaine de cheminots et la directrice régionale, Josiane Beaud.

    « Nous en sommes au stade de l'étude afin de voir si un rapprochement entre les deux entités avait une valeur ajoutée », explique-t-on à la direction régionale. « Des forums sont organisés afin de discuter et de recueillir l'avis des uns et des autres. Tous les acteurs sont consultés », précise-t-on. La direction régionale affirme « jouer la transparence » : « Si cela n'apporte pas de valeur ajoutée, l'étude restera en l'état », insiste la direction régionale.

    « On ramène tout à Dijon »

    Du côté de l'intersyndicale qui rassemble la CFDT, la CGT, FO et la FGAAC, on ne partage pas la même vision des choses et l'on pense que la voie des cheminots concernés est déjà toute tracée. En somme, cette étude serait, selon eux, une manière de faire adopter en douceur un projet déjà bouclé.

    « Nous n'avons reçu aucune réponse sur le fond du dossier », note Florent Bernard, en charge du dossier pour le compte de la CFDT. « A quoi va mener cette étude ? Il est facile de demander à des agents de réfléchir à un projet. Surtout s'il est - comme nous le pensons - déjà bouclé. Nous allons, en Franche-Comté, perdre tous les centres décisionnels. On ramène tout à Dijon. A terme, la Franche-Comté va perdre des emplois qualifiés sur Besançon et sur l'unité de production-traction de Dole qui en dépend ».

    Pour Florent Bernard, qui travaille à Besançon, « l'étude est montée sans donner de pistes de travail réelles ». In fine, il ajoute : « Nous craignons pour notre parcours professionnel. A terme, nous ne conduirons plus que des trains express régionaux (TER), alors que le parcours professionnel veut que l'on débute par les TER, que l'on poursuive par les Grandes lignes et que l'on termine sur TGV ».

    Source: Le Bien Public

  9. Transports : le service minimum fait son chemin chez Robien

    Il y a pris goût, Gilles de Robien : des consultations à gogo, une cohorte d'experts, le «consensus» en maître mot. Hier, en début de soirée, le ministre des Transports a reconduit à la porte le président de la Fédération des usagers de transport et bouclé une nouvelle étape de son marathon du service minimum. Il avait commencé il y a un an par un tour d'Europe des dispositifs existants. Robien avait ensuite créé la commission Mandelkern, qui a reçu à son tour les acteurs du secteur avant de pondre un rapport de 100 pages. Sur les bases de ce rapport, le ministre a entamé une nouvelle série de rencontres.

    Engagé sur ce dossier par une promesse présidentielle, Robien a choisi la méthode douce. «Pour l'instant, il s'est bien débrouillé, il a dédramatisé le sujet, juge un responsable d'une entreprise de transport française. Mais s'approche le moment où il va devoir sortir quelque chose du chapeau...» Il reste une poignée de semaines à Robien pour rendre ses conclusions, l'Elysée lui ayant demandé de remettre ses propositions à la fin de l'année.

    Mollesse. Les libéraux attendent déjà le ministre de pied ferme. Emmenés par Hervé Mariton, député UMP de la Drôme (qui a déposé une proposition de loi mi-septembre pour accélérer le processus), ils n'ont eu de cesse de railler la mollesse du seul ministre UDF du gouvernement. Réponse de Robien : «Nous avons pris du temps ? Oui, parce que, sur ce sujet, nous partons de moins que rien. Depuis vingt ans, ce ne sont que des déclarations tribales et guerrières de part et d'autre, qui n'ont jamais rien fait avancer.» Quant à Mariton, l'entourage de Robien dégaine : «On a en mémoire ses déclarations selon lesquelles Robien a joué la montre avec la commission Mandelkern. Remarquons que ça lui a permis de pomper le rapport pour rédiger sa proposition de loi.»

    La semaine dernière, Robien a avancé ses premiers pions. En dépit de l'hostilité des syndicats, il est probable qu'il décide d'en passer par la loi. Lors de son apparition sur France 2 la semaine dernière, le ministre a affirmé : «Personne en France ne peut s'opposer à une loi de liberté.» L'éventuelle loi serait une «loi de couronnement» engageant les entreprises (la SNCF et la RATP, mais aussi les compagnies de transport urbain) à négocier les conditions d'exercice de la grève.

    Sur quoi porterait le texte ? Le chantier service minimum comporte trois volets. La prévention des conflits, d'abord, avec un allongement de la durée du préavis de grève et une obligation faite aux partenaires sociaux de prendre langue avant tout dépôt de préavis. Une autorité administrative serait créée pour cornaquer le dialogue social. Deuxième chantier, la prévisibilité : donner la possibilité aux entreprises d'optimiser l'organisation du trafic en période de grève et d'informer le mieux possible les voyageurs. Ces deux volets sont les moins polémiques, d'autant que Robien a enterré l'obligation faite aux futurs grévistes de se déclarer individuellement 48 heures, mesure suggérée dans le rapport Mandelkern.

    Service garanti. Dernier point, le plus épineux : le service garanti à proprement parler. Il s'agit de définir des besoins essentiels de transport justifiant, en cas de grève, d'éventuelles réquisitions de personnel. Outre les syndicats, les élus locaux (lire ci-contre) sont vent debout contre cette idée, que les libéraux défendent. Que fera Robien ? La manoeuvre est serrée : il ne faut pas mettre le feu aux transports français ni donner à la majorité l'impression que la promesse chiraquienne a été vidée de sa substance par une année de consultations.

    Source: Liberation

  10. Assassinat attribué à Rezala: la SNCF jugée en appel pour manquement

    La SNCF a été rejugée jeudi devant une chambre civile de la cour d'appel de Douai (Nord) pour manquement "à ses obligations de sécurité" après l'assassinat d'une jeune femme en décembre 1999, à bord du train Calais-Vintimille, attribué à Sid Ahmed Rezala.

    La SNCF avait fait appel de sa condamnation le 23 janvier 2003 par le tribunal de grande instance de Cambrai à 223.000 euros d'indemnisation pour le mari de la victime, Corinne Caillaux.

    Le jugement a été placé en délibéré au 10 novembre.

    En première instance, le tribunal de Cambrai avait estimé que "le fait pour la SNCF de n'affecter que deux personnes aux contrôles et à la sécurité des voyageurs dans un train de nuit, sur une distance telle que Calais-Vintimille, est une mesure insuffisante pour garantir la pleine et entière sécurité des voyageurs".

    L'avocat de la SNCF, Me Michel Bertin, a plaidé que l'entreprise publique n'était "absolument pas responsable" du meurtre et demandé à la cour de revenir sur la condamnation.

    "Avec quatre rondes de deux contrôleurs dans les quatre voitures, la SNCF n'a pas manqué à ses obligations", a-t-il affirmé, précisant que le meurtre avait été commis dans les 20 minutes entre la troisième ronde et l'arrivée en gare de Dijon, où il avait été découvert.

    L'avocat de Xavier Caillaux, Me Jean-Noël Lecompte, a estimé que "la SNCF aurait dû faire descendre Rezala", contrôlé sans titre de transport, parce que c'était environ la 40e fois pour lui.

    Des voyageurs avaient de plus signalé son "comportement suspect" aux contrôleurs. L'instruction sur le meurtre de Corinne Caillaux avait révélé que des témoins l'avaient vu fumer des joints à bord, a rappelé l'avocat.

    L'affaire Rezala avait débuté le 13 octobre 1999, quand une étudiante anglaise, Isabel Peake, avait été retrouvée morte à Chabenet (Indre) après avoir été défenestrée d'un train Limoges-Paris.

    Corinne Caillaux, 36 ans, était retrouvée égorgée dans le train Calais-Vintimille le 14 décembre de la même année. Trois jours plus tard, on découvrait dans une cave d'Amiens le corps d'une autre jeune femme, Emilie Bazin, vue en compagnie de Rezala, 20 ans, quelques semaines plus tôt.

    Le jeune homme, mis en examen pour le meurtre des trois femmes en France, avait été arrêté à Lisbonne le 11 janvier 2000. Il avait mis fin à ses jours le 28 juin 2000 dans sa cellule à Lisbonne, où il attendait son extradition.

    Source: AFP

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    L'intitulé du sujet doit :

    • donner une indication claire au lecteur potentiel du thème abordé
    • ne pas être une formulation générique ou un simple mot
    • poser la question et non demander quelqu'un qui pourrait savoir
    • être écrit dans un français concis mais correct
    • respecter les sigles et les conventions d'écriture

    Exemples :

    • Vous avez une question sur un point de réglementation.
      Ne nommez pas votre sujet « Article 23b » ou « Application du règlement » car on ne comprend pas de quel texte vous allez parler, de la population concernée, ni du genre de question que vous allez poser.
      Dites plutôt (exemple fictif) « Application de l'article 32.3 du référentiel traction XY1234 à l'ET de Z »
    • Vous souhaitez avoir des informations sur une procédure administration
      Ne nommez pas votre sujet « Question RH », c'est beaucoup trop générique pour capter l'attention de la personne qui connait l'info.
      Dites plutôt (exemple fictif) « Délai à respecter lors de la demande de l'allocation 93.2 suite à XYZ »
    • Ne nommez pas votre sujet « Aider moi pr validé examen »
      Utilisez un français correct et une formulation plus précise, par exemple « Aide pour préparer l'examen de chef d'équipe XY »

    Ne nommez jamais un sujet en majuscules comme « QUESTION AUX AGENTS DE LA GARE DE TRIFOUILLIS »

    Cela est agressif pour les lecteurs et laisse penser que vous êtes en colère ce qui met les lecteurs en mauvaise disposition.

    À l'inverse, utilisez les majuscules quand c'est nécessaire.

    Exemple (fictif) : « communiqué fret cgt-cgc-fgaac-unsa-sud »

    Cela ralentit la lecture et peut induire en erreur. Dites plutôt « Communiqué commun de la CGT, la CGC, la FGAAC, l'UNSA et de Sud Rail au sujet de Fret SNCF »

    N'oubliez pas également que vous pouvez ajouter une description au sujet : elle peut vous permettre de préciser le sujet sans le rallonger à l'excès.

    4. Relire son sujet

    Une fois votre message rédigé, relisez votre sujet et vérifiez :

    • qu'il correspond toujours à ce que vous demandez ou soulignez dans le message
    • qu'il respecte tous les points énoncés plus haut.

     

    La modération

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  12. Service minimum: les concertations s'achèvent, de Robien va devoir trancher

    Le ministre des Transports Gilles de Robien, qui achève mercredi ses principales concertations sur le service minimum, va devoir trancher sur la nécessité d'une loi, rejetée par la plupart des syndicats mais réclamée avec force par l'aile libérale de la majorité.

    Pendant près d'un mois, le ministre a consulté syndicats, patrons d'entreprises publiques, associations d'usagers, représentants des collectivités locales et parlementaires sur la »continuité du service public», appelée communément »service minimum» ou »service garanti», une promesse électorale du candidat Jacques Chirac.

    Les principaux rendez-vous , une vingtaine, s'achèveront mercredi, même si d'autres consultations »à la marge» sont prévues la semaine prochaine, a-t-on indiqué au ministère.

    Alors que le ministre n'a pas encore pris sa décision, certains parlementaires pressent le gouvernement, comme Hervé Mariton (UMP), qui a déposé une proposition de loi sur un »service essentiel» dans les transports.

    Mardi, le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a rappelé la »détermination totale» des députés pour mettre en place un service garanti, ajoutant: »Nous sommes prêts à légiférer, s'il le faut».

    risque de conflit

    Les consultations au ministère ont porté sur le rapport Mandelkern, remis fin juillet au gouvernement, qui prône un »nouveau cadre législatif» afin d'équilibrer respect du droit de grève, constitutionnel, et »continuité du service public», qui a aussi valeur constitutionnelle selon les experts.

    Tout au long du mois de septembre, les leaders syndicaux ont rappelé à M. de Robien leur opposition à ce rapport et à toute loi restreignant le droit de grève, Bernard Thibault (CGT) et Jean-Claude Mailly (FO) évoquant un conflit si le gouvernement voulait légiférer sur le service minimum. Même analyse d'Alain Olive (Unsa), pour qui une loi »provoquerait inévitablement un conflit dont les usagers seraient les premières victimes».

    François Chérèque (CFDT) a appelé les partenaires sociaux à négocier dans les entreprises pour éviter une loi, tandis que Jean-Luc Cazettes (CFE-CGC) a estimé lui aussi qu'une loi ne devait pas précéder la négociation.

    Même le président de la Fédération nationale des usagers des Transports (FNAUT), Jean Sivardière, a conseillé de ne »pas commencer par parachuter une loi», préférant, comme le Groupement des autorités responsables de transport (GART), »privilégier la forme conventionnelle».

    La présidente de la RATP, Anne-Marie Idrac, a souligné qu'elle n'avait »pas besoin de loi».

    Seul le patronat des transports urbains de province (UTP) s'est dit »plutôt favorable» à la loi.

    M. de Robien semble pour sa part tenté de légiférer sur la prévention des conflits, via une loi qui viendrait »couronner» des système d'alarme sociale internes aux entreprises, à l'image de celui de la RATP.

    Il a en revanche émis des »réserves» sur l'une des propositions les plus controversées du rapport, la déclaration individuelle de grève 48 heures à l'avance.

    Mais l'option d'une loi, même cantonnée à la prévention des conflits, risquerait de troubler la négociation en cours à la SNCF sur le dialogue social si elle intervenait trop vite, avertissent les syndicats de cheminots.

    Le président de la SNCF, Louis Gallois, souhaite avec cette négociation pouvoir élargir le nombre de signataires d'un protocole de prévention des conflits, signé voici un an par tois syndicats minoritaires. Une table ronde est prévue le 7 octobre.

    Source: Tageblatt

  13. Manifestation de cheminots à Reims pour défendre leurs emplois

    Environ 150 salariés de l'établissement industriel de maintenance du matériel (EIMM) SNCF de Champagne-Ardenne, où 300 emplois sont menacés, ont manifesté mardi à Reims à l'occasion de la visite du président de la SNCF Louis Gallois, a-t-on appris de sources concordantes. La direction de l'établissement, situé à Epernay (Marne), a annoncé aux salariés qu'en raison de la modernisation du matériel, seuls 150 emplois, sur les 414 de la région, seraient maintenus d'ici 2009, a-t-on appris de source syndicale. M. Gallois, qui a reçu en fin de matinée les représentants de l'intersyndicale CGT-SudRail-Unsa-FO, leur a assuré que la SNCF travaillerait à retrouver des charges de travail pour maintenir jusqu'à 50 emplois supplémentaires d'ici 2009, selon Christophe Pierrard, porte-parole de l'intersyndicale. La direction régionale de l'entreprise a confirmé que l'activité du site serait considérablement réduite d'ici 2009, les locomotives dont il assurait la maintenance étant progressivement remplacées par du matériel plus moderne. L'intersyndicale a souligné "l'impact sur l'économie locale" qu'auraient de telles suppressions d'emplois, une cinquantaine de sous-traitants travaillant sur le site et l'EIMM, ce qui représente plus d'un million d'euros

    Source: AFP

  14. Les cheminots rencontrent L. Gallois

    Une délégation de l'Intersyndicale des cheminots de Champagne-Ardenne devait rencontrer Louis Gallois ce matin, vers 11 h 20, au siège rémois de la direction régionale de la SNCF. Le PDG de la SNCF est en visite aujourd'hui sur le chantier de la ligne du futur TGV.

    « Les cheminots ne manqueront pas d'aller l'interpeller afin qu'il s'explique sur la fermeture annoncée des ateliers SNCF d'Epernay, alors qu'il y a un an, il avait lui même déclaré qu'il n'y aurait pas de problème pendant la décennie » indiquait hier Christophe Pierrard, porte-parole de l'intersyndicale, dans un communiqué.

    Par ailleurs, un préavis de grève pour ce mardi a été déposé par les syndicalistes.

    Source: L'Union

  15. Un TGV Genève-Paris immobilisé pendant 4 heures en rase campagne

    Un TGV assurant la liaison Genève-Paris avec à son bord 200 passagers a été immobilisé pendant près de quatre heures lundi en rase campagne, sur la commune de Peron (Ain), à la suite d'un incident mécanique, avant de repartir vers 21H00 "par ses propres moyens", a-t-on appris auprès de la SNCF. La panne est survenue à 17H09 sur un +pantographe+, le bras d'alimentation en énergie reliant le câble caténaire à la motrice, et elle n'a pas été immédiatement identifiée, selon la même source. Vers 21H00, le TGV a pu repartir "à vitesse normale", grâce à son +pantographe+ de secours, à destination de Paris. Les 200 passagers du TGV 6576 seront "indemnisés de leurs frais de transports", a précisé un porte-parole de la SNCF, Philippe Zana. Cet incident a provoqué d'importants retards dans le trafic des trains au départ et à destination de Genève.

    Source: AFP

  16. Pour ma part j'ai fini par choisir définitivement l'entivirus de Trend, nommé PC-Cillin. Il fonctionne en tache de fond, et les mises à jours se font automatiquements. Il y a une fonction Firewall, facilement paramétrable et désactivable.

    L'essayer... c'est l'adopter !

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