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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. L'administration française divise par 10 ses sites internet Le gouvernement français prévoit de diviser par dix le nombre des sites internet de ses administrations centrales en deux ans afin de "simplifier le paysage numérique de l'Etat", a déclaré mercredi le ministre du Budget et de la Fonction publique, François Baroin. D'ici 2012, l'ensemble des informations et des services de l'administration sera regroupé dans une soixantaine de sites, a-t-il précisé dans une communication en conseil des ministres, selon un communiqué gouvernemental. ... Donc si je compte bien il y a actuellement 600 sites pour les "administrations centrales"...Oups... Le gouvernement a aussi décidé d'accélérer le développement de services personnalisés sur internet. Ainsi, d'ici début 2012, le site "mon.service-public.fr" sera étendu au compte fiscal et à Pôle emploi et les Français pourront se connecter avec un même authentifiant aux principaux services en ligne de l'administration. La quasi-totalité des formulaires administratifs a d'ores et déjà été dématérialisée et mise à disposition sur ce site, ce qui représente 1,2 million de téléchargements par mois, a souligné François Baroin. Selon le ministre, le seuil des 10 millions de contribuables qui ont télé-déclaré leur impôt sur le revenu a été dépassé pour la première fois cette année. Les remboursements de soins sont dématérialisés à près de 84% grâce à la généralisation de la carte Vitale, ce qui représente plus d'un milliard de feuilles de soin transmises de cette manière, a-t-il ajouté. Emmanuel Jarry, édité par Yves Clarisse Il y a donc 1,2 milliards de feuilles de soin ... soit pour 64 millions de français, environ 19 feuilles de soin par français et par an...
  2. Vrai ou faux dérapage... Dérapage incontrôlé ou coup médiatique Ce dérapage fait-il partie de la propagande sarkozienne...? Si il y a un vrai problème c'est sur le fond... Pas un mot sur l'affaire de Karachi... Douteux Par LAURENT JOFFRIN - Libération «Amis pédophiles, à demain !» On comprend bien, en écoutant l'enregistrement des propos tenus par Nicolas Sarkozy, que le salut est au second degré, de même que le parallèle qu'il établit entre son propre sort et celui de journalistes qu'on soupçonnerait de pratiquer la pédophilie n'est pas une accusation, mais une sorte de métaphore, fort étrange au demeurant. On comprend encore que le Président puisse ressentir une forte irritation, alors que dans l'affaire de Karachi, comme nous l'avons écrit plusieurs fois, aucune preuve sérieuse ne vient démontrer qu'il aurait participé à un financement illégal. Pourtant, cette comparaison, outre qu'elle sied mal au «nouveau Sarkozy» dont il souhaite qu'on parle désormais, est de toute évidence douteuse. Elle vient surtout ponctuer un réquisitoire contre les journalistes qui pose question. Comme le journal intitulé «les Médias» n'existe pas, chacun doit répondre pour lui-même. Et donc répéter ici que dans l'affaire de Karachi, Libération, qui suit ce dossier depuis le début et publie régulièrement des informations nouvelles, s'en tient strictement aux documents qui entrent en sa possession et se garde, justement, d'extrapoler. Au vrai, fait-on le procès des dérapages médiatiques, ou bien, de manière plus contestable, celui de la curiosité légitime qui anime nos enquêteurs et ceux des autres journaux ? Il est une manière simple de régler le différend : rendre publiques toutes les pièces afférentes à l'affaire. On quittera alors le domaine des procès injustes et des comparaisons outrancières. http://www.liberatio...2304113-douteux
  3. Le sondage TNS-SOFRES A Regardez les estimations du 1er tour mais aussi les reports de voix entre le 1er et le 2ème tour...A http://www.tns-sofres.com/_assets/files/2010.11.23-intentions-vote-2012.pdf
  4. Et un second tour PS (pas obligatoirement DSK...) / FHaine... Pour qui votera le gros des troupes de droite... ? Pour la Déclaration de Blanchard sur le FMI ... on avait vu, l'info a été mis quelque part sur le forum (karcher nain ou journée du 23...) Je le répète depuis longtemps et régulièrement (95, 2002, 2007... le problème est bien d'ouvrir des perspectives politiques pour une alternative sociale et populaire nouvelle...
  5. Tu peux aussi à la pêche... Tout ça pour dire que l'important sera le premier tour...et même ce qui va se passer avant...
  6. Merci Patron, Merci Patron Au Pays de Sarkozy 1er... Travailler plus pour gagner...moins Quimperlé : 90 salariés de Nestlé Purina devant les prud’hommes http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Quimperle-90-salaries-de-Nestle-Purina-devant-les-prud%E2%80%99hommes_40771-1596709-pere-redac--29151-abd_filDMA.Htm 60 € par mois environ. Voilà ce que demandent les 90 employés de Nestlé Purina de Quimperlé qui travaillent, toutes les six semaines, dans la nuit de samedi à dimanche. Depuis le 19 janvier 2009, ceux-ci ne perçoivent plus de majoration sur les heures travaillées, cette nuit-là, entre minuit et 5 h. Auparavant, chacune de ces heures était augmentée de 36 %. Les salariés ont saisi le conseil des prud’hommes pour demander le rétablissement de cette majoration. L’affaire a été entendue, cet après-midi, à Quimper. Délibéré le 15 février.
  7. Ouai sauf que Sarko n'est peut être pas le meilleur candidat de la droite ?...
  8. Si Mélenchon est au 2ème tour... Pour qui votera DSK ?
  9. mobilisation sociale et nouvelles revendications Les syndicats français ont faiblement mobilisé mardi à l'occasion d'une nouvelle journée d'action contre la réforme des retraites, qui dessine de nouvelles revendications sociales. Les syndicats insistent sur la symbolique des quelque 200 actions organisées en France mais ont revendiqué près de 10.000 manifestants place de la Bourse à Paris, où le palais Brongniart était gardé par les forces de l'ordre. La préfecture a compté 3.200 manifestants dans le cortège parisien composé, comme ailleurs en province, de militants syndicaux plutôt que d'étudiants et lycéens. Selon les sources, les manifestants étaient entre 1.500 et 6.000 à Bordeaux, 2.500 à 10.500 à Toulouse, 3.500 à 7.000 à Lyon et environ 2.000 à Marseille selon la CGT. Les rares préavis de grève ont été peu suivis : de source ministérielle, le taux de grévistes était d'environ 1% dans la fonction publique comme dans l'éducation nationale. Les grèves à la SNCF - à l'appel de Sud-Rail - et dans les transports publics de 19 villes de province n'ont pas perturbé le trafic. Néanmoins, les cinq syndicats avaient le souci de relayer "le sentiment d'injustice des salariés" après huit journées ayant rassemblé plusieurs millions de manifestants et à quelques semaines de l'ouverture d'un chantier qui les inquiète particulièrement : celui du financement de la dépendance. "Nous sommes dans une séquence particulière, il y a eu énormément de monde de mobilisé, il n'est pas aberrant et surprenant qu'il y ait besoin de reprendre de la respiration", a dit Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT. Pour le dirigeant syndical, il faut "tenir l'engagement que nous avons pris : ce n'est pas parce que la loi a été adoptée par le Parlement que les choses sont closes sur le sujet". "LE DÉBUT D'UNE NOUVELLE DÉMARCHE" La CGT espère encore obtenir des avancées avant juillet 2011, date d'entrée en vigueur des mesures d'âge de la réforme, portant à 62 ans l'âge de départ à la retraite et à 67 ans l'âge de départ sans décote. Mais les autres syndicats évoquent davantage le nouveau débat qui s'ouvrira, selon le texte de la réforme, en 2013. Le fondateur du Parti de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, a répété sa demande à François Fillon de déposer la loi rendant possible un référendum d'initiative populaire sur le sujet. "La bataille ne finira pas tant qu'on n'aura pas épuisé tous les moyens à notre disposition", a-t-il dit à Reuters. Pour Olivier Besancenot, "les braises brûlent encore, c'est un piqûre de rappel qu'on est venu faire aujourd'hui". "La mobilisation sociale pourrait parfaitement rebondir, que ce soit sur les retraites, sur les salaires, sur les emplois, sur tous les autres dossiers, comme la dépendance, que le gouvernement a décidé de mettre sur la table", a estimé le porte-parole du NPA. De fait, les cinq syndicats - CGT, CFDT, Unsa, FSU, Solidaires - avaient à l'esprit des revendications plus larges. "Nous allons maintenant poser toutes les questions qui ont émergé autour des retraites : emploi, salaires, conditions de travail, justice sociale, service public", a dit Bernadette Groison, secrétaire générale de la FSU. "Aujourd'hui, on est en train de bâtir un socle. C'est le début d'une nouvelle démarche", a-t-elle ajouté. Les syndicats semblent déterminés à organiser de nouvelles journées d'action interprofessionnelles et se réuniront lundi prochain pour faire le bilan de la séquence des retraites. En parallèle, le nouveau ministre du Travail, Xavier Bertrand, reçoit à sa demande les dirigeants syndicaux, dont Bernard Thibault mercredi. "Je n'y vais pas avec un registre de revendications, dans la mesure où nous avons à faire face à un gouvernement qui se fout comme de l'an 40 des revendications syndicales", a dit le dirigeant de la CGT à veille de l'entrevue rue de Grenelle. avec les correspondants de Reuters en province, édité par Yves Clarisse
  10. DSk est le candidat des médias et des patrons libéraux... On verra si c'est celui du PS et de ses militants... les liens vers les articles de journaux cités plus haut... Quand DSK dévoile son plan secret pour l’Europe http://www.marianne2.fr/Quand-DSK-devoile-son-plan-secret-pour-l-Europe_a200027.html?com Jean-Claude Trichet et DSK font la leçon aux politiques http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/11/19/04016-20101119ARTFIG00569-jean-claude-trichet-et-dsk-font-la-lecon-aux-politiques.php Le plaidoyer choc de DSK pour plus d'Europe... et une TVA commune http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20101119trib000574546/le-plaidoyer-choc-de-dsk-pour-plus-d-europe-et-une-tva-commune.html
  11. Zarbi...Zarbi... La colère off de Sarkozy http://www.lexpress.fr/actualite/indiscrets/affaire-karachi-la-colere-off-de-sarkozy_939031.html Sarkozy à des journalistes: «Amis pédophiles, à demain» http://www.mediapart.fr/journal/france/221110/sarkozy-des-journalistes-amis-pedophiles-demain Affaire Karachi : le gros coup de colère de Sarkozy contre des journalistes lors du sommet de l'OTAN http://www.lepost.fr/article/2010/11/22/2313989_sarkozy-a-t-il-pique-une-colere-contre-des-journalistes-lors-du-sommet-de-l-otan.html#xtor=AL-235
  12. Samedi, c’était jour de paie pour les ex-Moulinex... http://humanite.fr/21_11_2010-samedi-c’était-jour-de-paie-pour-les-ex-moulinex-458228
  13. Cinq syndicats appellent à une journée d’action mardi 23 Novembre 2010 http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Cinq-syndicats-appellent-a-une-journee-d’action-mardi_6346-1595393_actu.Htm
  14. Sur Rue 89 Périple d'un tétraplégique « oublié » dans le train http://www.rue89.com/2010/11/22/periple-dun-tetraplegique-oublie-quatre-fois-dans-le-train-177188 Notre riverain Zig Blanquer est tétraplégique et analyste en matière de handicap. Après être resté coincé une énième fois dans un train, il nous a fait parvenir le courrier qu'il a récemment envoyé à la SNCF et à la société chargée d'accompagner les voyageurs handicapés. Il y retrace sa dernière galère en date. En juillet, je vous avais écrit pour vous expliquer que j'avais été oublié à trois reprises à la descente du train en gare de Lyon ces derniers mois. De ce fait, j'avais raté trois fois ma correspondance pour la gare Montparnasse. Le 8 novembre dernier, j'effectue le trajet Grenoble-La Rochelle. Mon assistante de vie [qui l'aide pour les tâches personnelles et professionnelles, ndlr] et moi-même arrivons donc comme convenu depuis Grenoble à la gare de Lyon à 13h16, avec pour objectif de sauter dans le bus accessible aux handicapés, la ligne 91. Je dois rejoindre ma correspondance prévue à 14h40 à Montparnasse en direction de La Rochelle, pour ensuite attraper le tout dernier bus accessible, vers 19h30, pouvant m'emmener à l'île de Ré. Evitons immédiatement la mauvaise foi dont a déjà fait preuve votre agent d'accueil : de 13h16 à 14h40, un homme en fauteuil électrique comme moi a tout à fait le temps d'effectuer les trente minutes de trajet en bus et d'arriver à la gare Montparnasse avec les trente minutes que l'on demande à tout voyageur handicapé pour se faire enregistrer. Les techniciens de ménage : « Qu'est-ce que vous faites là ? ! » Cette fois-ci, je pense tout de même avoir battu un record : je suis resté une demi-heure -même peut-être plus- bloqué à l'intérieur du wagon, le train étant à quai. Mon agent Effia [la société qui accompagne les voyageurs handicapés à la SNCF, ndlr] est bien là, mais il a oublié d'amener un élévateur. Pouvez-vous me dire pourquoi, lors de ma réservation, je coche « fauteuil électrique-élévateur obligatoire » ? L'agent Effia, après avoir mollement constaté la nécessité de l'élévateur du fait des 150 kg de mon fauteuil, s'occupe d'une autre femme handicapée en fauteuil manuel, m'expliquant qu'il l'emmène jusqu'à l'accueil (ce qui présage déjà d'une dizaine de minutes de retard dans mon programme, alors que de toute évidence, s'il y a deux personnes handicapées dans le wagon, il doit y avoir deux agents), puis qu'il revient « immédiatement avec l'élévateur ». « Immédiatement », c'est également ce que j'entends durant une grosse demi-heure sur les talkies-walkies de chacun des employés que je croise sur le quai, et à qui mon assistante de vie et moi demandons de prévenir un responsable de ma présence. Une fois de plus, je gêne amplement les nombreux techniciens de ménage qui vont et viennent dans le wagon (je me vois demander une dizaine de fois : « Mais qu'est-ce que vous faites là ? ! »). Je vous passe les détails. C'est mon assistante qui, au bout d'une vingtaine de minutes, part en courant chercher quelqu'un, me laissant seul -situation qui ne devrait absolument pas avoir lieu dans la mesure où je rencontre fréquemment des difficultés respiratoires, épisodes durant lesquels elle se doit d'intervenir immédiatement. Elle revient vers moi non-accompagnée : on lui a dit une nouvelle fois que « quelqu'un venait ». Il faut attendre encore une bonne dizaine de minutes pour qu'un agent Effia arrive avec l'élévateur, bredouillant des excuses, argumentant que le petit véhicule traînant l'élévateur est en panne… Est-ce qu'on se fout encore de moi ? Il ne faut pas que je me plaigne… Ajoutons maintenant au parcours les cinq minutes nécessaires pour rejoindre l'accueil de la gare de Lyon, minutes qui auraient dû être initialement prévues pour rejoindre le bus 91. C'est à ce moment-là que j'ai l'immense bonheur de rencontrer l'agent A. du service d'accueil de la SNCF… Sa capacité de culpabilisation est assez impressionnante : il m'explique qu'une de mes erreurs à été de ne pas appeler le service d'urgence« Accès Plus » pour me signaler dans le wagon lorsque j'y étais bloqué… Ce même agent m'explique ensuite que je dois rédiger un courrier de réclamation. Je lui réponds que je croule depuis une dizaine d'années sous ce genre de courrier en direction de la SNCF. Cette fois-ci, je veux voir un responsable immédiatement afin d'obtenir un remboursement et des garanties futures. Agacé, le dénommé A. me répond que si je « refuse » ( ! ) d'écrire une réclamation, il ne faut pas que je me « plaigne » s'il m'arrive fréquemment des problèmes en gare. 80% de mes trajets donnent lieu à un problème J'ai cette impression évidente depuis déjà plusieurs années : ce service « Accès Plus » permet désormais à toute une chaîne de professionnels de rabattre la faute sur les manquements administratifs qu'aurait commis la personne handicapée. Pour un voyage, j'effectue pourtant une longue série de démarches : je réserve via le formulaire web dédié aux personnes handicapées, ou bien en guichet dans une agence. Il est indiqué sur mon billet -et donc sur la réservation- que je suis un client handicapé nécessitant de l'accompagnement en gare et le matériel nécessaire ; je confirme ensuite par e-mail à « Accès Plus » ma référence de dossier, de façon à avoir en retour une confirmation de leur part de mon enregistrement ; j'arrive trente minutes plus tôt à la gare de départ pour me faire de nouveau enregistrer par une dépêche dont on me dit qu'elle sera transmise immédiatement à la gare d'arrivée ; la plupart du temps, une fois dans le train, je demande au contrôleur de téléphoner pour vérifier une énième fois que la prise en charge (d'ailleurs, qui est véritablement la « charge » dans l'expression « prise en charge » ? ) est bel et bien prévue… Désormais, il faudrait que, dès que je monte dans le train, j'appelle ce numéro d'urgence pour expliquer : « Bonjour, 80% de mes trajets donnent lieu à un problème. Je voudrais ainsi vérifier avec vous s'il va se produire un nouveau problème… » Ces sacro-saintes trente minutes d'avance… Je continue l'histoire de ce 8 novembre… Les cinq minutes qui viennent de défiler avec des discussions hautement stériles entre l'agent A. et le jeune responsable Effia nous font réaliser, à mon assistante et à moi, qu'il est encore temps que nous attrapions le bus 91 pour rejoindre la correspondance à Montparnasse. Ayant pleinement conscience que le sacro-saint délai de trente minutes pour l'enregistrement à Montparnasse sera peut-être grignoté de cinq ou dix minutes, nous demandons à l'agent A. d'appeler dès que nous sortons les agents Effia de la gare Montparnasse afin de prévenir qu'une personne en fauteuil électrique arrive immédiatement pour le train de La Rochelle et que, de ce fait, il faut prévoir un agent avec élévateur. J'arrive en effet à la gare Montparnasse entre vingt et vingt-cinq minutes avant le départ de mon train, soit une dizaine de minutes en moins que l'officielle demi-heure. Mon assistante et moi arrivons épuisés et essoufflés à l'accueil de Montparnasse, mais extrêmement soulagés de penser que nous allons pouvoir, tout compte fait, attraper la correspondance. Un tétra doit se lever quatre heures plus tôt pour prendre un train Mais c'était sans prévoir que l'agent A. n'a bien évidemment pas appelé Montparnasse pour informer de mon arrivée et de la procédure nécessaire… Nous entendons alors : « Ah mais il est trop tard pour faire la dépêche, il aurait fallu arriver une dizaine de minutes avant ! » Quelque chose d'évident que beaucoup de camarades handicapés constatent : alors que vous exigez que nous arrivions une demi-heure plus tôt, la plupart du temps, vos équipes ne viennent nous chercher qu'une dizaine de minutes avant le départ du train. Et je ne compte plus les fois où vous avez refusé de me faire monter dans le train parce que j'arrivais avec seulement vingt-sept minutes d'avance (véridique, à Dijon il y a trois ans) au lieu de vos fichues trente minutes ! Avez-vous la moindre idée qu'un client tétraplégique comme moi doit se lever au moins quatre heures avant de prendre un train pour effectuer ses soins du lever ? De toute évidence, non. Et de toute évidence, vous ne pouvez pas concevoir non plus à quel point il est accablant de s'être levé à 5h30 du matin pour aller à La Rochelle depuis Grenoble, et de se voir ajouter plus de deux heures de train pour vivre ça…
  15. Evo Morales : « plus aucune entreprise ne s’enrichira avec les caisses de retraite ». La Bolivie socialiste réforme les retraites. Réflexion sur la gauche Française http://www.legrandsoir.info/La-Bolivie-socialiste-approfondit-et-enterine-sa-reforme-des-retraites-Reflexion-sur-la-France-et-la-gauche-de-transformation.html
  16. L'Irlande était présentée il y a encore quelques mois comme le paradis du Libéralisme et le modèle européen... La panade irlandaise en cinq questions http://www.liberation.fr/economie/01012303078-tout-comprendre-sur-la-panade-irlandaise
  17. Plan d'aide à l'Irlande: une «ignominie» et une «capitulation» http://www.liberation.fr/economie/01012303684-plan-d-aide-a-l-irlande-une-ignominie-et-une-capitulation Des experts de l'UE et du FMI ont commencé lundi à Dublin à mettre au point les détails d'un vaste plan de sauvetage à l'Irlande, qui pourrait atteindre jusqu'à 90 milliards d'euros, perçu comme une «reddition» par une population largement réticente. «Une capitulation sans précédent», une «ignominie», «une reddition éhontée»: la presse celtique était unanime lundi à condamner l'appel à des bailleurs de fonds étrangers pour résorber la dette astronomique qui plombe l'Irlande. Dès l'annonce du plan, dimanche soir à Dublin, quelques manifestants s'en sont violemment pris aux voitures des ministres quittant leurs bureaux officiels. L'un des manifestants a été blessé quand il a dû être maîtrisé par la police. «Nous ne sommes pas en faillite», a cependant assuré lundi le ministre des Finances Brian Lenihan, démentant que le FMI allait dorénavant gérer les affaires de l'île et notamment exiger un durcissement d'un délicat plan de rigueur que Dublin doit annoncer mercredi. Réduction des allocations<br style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; padding-top: 0px; padding-right: 0px; padding-bottom: 0px; padding-left: 0px; font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; "> Brian Lenihan a indiqué que les instances internationales étaient«globalement satisfaites» des nouvelles mesures d'austérité, préalables au plan international de sauvetage. Elles prévoient 15 milliards d'euros d'économies d'ici à 2014 afin de ramener à 3% du PIB le déficit public, actuellement de 32%. Le gouvernement aura fort à faire pour vendre ce plan auprès d'une population à bout de patience. Selon la presse, la potion amère à venir comprend de nouvelles réductions des allocations chômage et familiales ainsi que de nouvelles suppressions d'emplois publics. Brisant un tabou, le gouvernement devrait de plus toucher au salaire minimum. L'aide à l'Irlande «est justifiée afin de de sauvegarder la stabilité financière de l'UE et de la zone euro», ont déclaré dans un communiqué les ministres des Finances de la zone euro et de toute l'UE, dimanche soir en acceptant la demande d'aide formulée par Dublin. Après plus d'une semaine de démentis et de tergiversations, l'Irlande va ainsi devenir le deuxième pays de la zone euro à bénéficier cette année d'un soutien, après la Grèce au printemps dernier. Le FMI s'est dit prêt à apporter sa contribution par le biais d'un prêt sur plusieurs années. Entre 80 et 90 milliards d'euros d'aide<br style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; padding-top: 0px; padding-right: 0px; padding-bottom: 0px; padding-left: 0px; font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; "> Lundi à Londres, le ministre britannique des Finances, George Osborne, a indiqué que le Royaume-Uni allait fournir à l'Irlande un prêt bilatéral d'environ 7 milliards de livres, soit 8 milliards d'euros, dans le cadre de l'ffort international. La Suède, également non membre de la zone euro, envisage un prêt bilatéral de 530 millions à 1,06 milliard d'euros à l'Irlande, selon le ministre suédois des Finances, Anders Borg. Le montant total du plan de sauvetage international n'est pas encore connu. Le gouvernement irlandais a indiqué que «quelques semaines» seraient nécessaires afin de parachever les détails de l'aide. Des experts de l'UE et du FMI se trouvent déjà depuis jeudi à Dublin afin d'en étudier les modalités techniques. Des sources diplomatiques ont cependant indiqué que la somme serait comprise entre 80 et 90 milliards d'euros. La Grèce a obtenu un prêt de 110 milliards d'euros sur trois ans, étant alors dans l'impossibilité d'emprunter à des taux d'intérêt abordables pour refinancer sa dette. L'objectif est similaire pour l'Irlande à cette différence près qu'il s'agit cette fois principalement d'aider les banques irlandaises en crise, que Dublin a déjà dû renflouer à hauteur de 50 milliards d'euros environ, faisant exploser son déficit public. Il s'agit aussi d'éviter une contagion à d'autres pays aux finances publiques fragiles de l'Union monétaire, comme le Portugal ou l'Espagne, via la hausse des taux d'emprunts obligataires. La décision d'un plan d'aide à l'Irlande faisait progresser l'euro, lundi matin. (Source AFP)
  18. Prime pour acte de vigilance prévue dans la réglementation sur la rémunération... (j'ai eu cette prime... - pour découverte de boîte chaude sur un train de marchandise - incendie sur un wagon de marchandises au passage devant mon poste - Présence d'un gamin de 12 ans sur un tampon à l'arrière d'un train de voyageurs...) dans le temps il y avait la "Citation à l'ordre de la région" et aussi la "Citation à l'ordre de la SNCF"
  19. Je n'ose croire que ces voix ne soient que celles d'anciens conducteurs de la SNCF qui après avoir pris leur retraite... ... ...
  20. La Direction pourrait les mettre à l'accueil... des jeunes embauchés ...
  21. Libération 19 novembre 2010 Il est désormais interdit de boycotter La Chancellerie a eu cette idée extraordinaire selon laquelle tout appel au boycott des produits d’un pays n’était qu’une «provocation publique à la discrimination envers une nation»... Par BENOIST HUREL Secrétaire général adjoint du Syndicat de la magistrature On a les victoires qu’on peut : Michèle Alliot-Marie a, il y a quelques mois, par une simple circulaire, commis un attentat juridique d’une rare violence contre l’un des moyens les plus anciens et les plus efficaces de la contestation des Etats par les sociétés civiles, à savoir le boycott. Le 12 février, la Chancellerie a eu cette idée extraordinaire selon laquelle tout appel au boycott des produits d’un pays n’était qu’une «provocation publique à la discrimination envers une nation», punie d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. Le ministère demande aux procureurs de la République d’assurer une répression «ferme et cohérente» de ces agissements. Soyons justes : la paternité de cette brillante initiative revient au procureur général de Paris qui avait, dans son rapport de politique pénale 2009, suggéré que «les faits de boycott ou de provocation au boycott peuvent s’analyser, selon les espèces, soit en une provocation à la discrimination, soit en une discrimination ayant pour effet d’entraver l’exercice d’une activité économique». On peut rappeler les actions de ce type dans l’histoire : boycott du Royaume-Uni en 1930 initié par Gandhi contre la colonisation, boycott de l’Afrique du Sud dans les années 70 par les militants antiapartheid, boycott, à la même époque, par la communauté homosexuelle américaine d’une marque de bière qui refusait d’embaucher les gays ou, plus récemment, boycott des produits chinois par les soutiens de la cause tibétaine et des produits israéliens par les militants palestiniens… Pour l’ex-garde des Sceaux, il ne s’agit pas là d’entreprises de protestation et d’émancipation, souhaitables en démocratie, mais d’associations de malfaiteurs en vue d’attenter à la bonne marche du commerce, donc du monde. La notion de discrimination ne peut s’entendre que d’une différence de traitement n’obéissant à aucun but légitime. Une action collective qui viserait à ne pas consommer de produits d’une entreprise parce qu’elle licencie ou délocalise sa production, ou d’un Etat parce qu’il maltraite ses minorités ne peut être qualifiée de discriminatoire, sauf à ôter aux consommateurs leur seul pouvoir, celui de ne pas de consommer n’importe quoi et n’importe comment. Que l’on se rassure : les Etats qui décideraient d’imposer un embargo à un pays étranger n’encourront pas les foudres de la loi pénale… L’instrumentalisation d’un texte qui visait à combattre le racisme, le nationalisme et le sexisme est inadmissible, surtout lorsqu’elle vise à faire taire l’engagement citoyen. La circulaire en question, qui a su convaincre au moins un tribunal, constitue donc, pour la société civile, une régression d’une ampleur peu commune. Cette provocation s’est pour l’instant heurtée à un mur de silence. La pénalisation de la contestation est toujours une mauvaise nouvelle pour la démocratie. L’absence de contestation de la pénalisation, lorsque celle-ci ne répond à aucun autre objectif que celui de museler les peuples, n’en est pas une meilleure. http://www.liberation.fr/politiques/01012303092-il-est-desormais-interdit-de-boycotter
  22. Après la Grèce ...L'Irlande et ensuite ? Comprendre la crise financière irlandaise et qui va payer... Plan de sauvetage à l'Irlande : la potion est amère http://humanite.fr/2...st-amère-458264 Déficit social européen et baisse du dollar à la source de la crise irlandaise http://humanite.fr/18_11_2010-déficit-social-européen-et-baisse-du-dollar-à-la-source-de-la-crise-irlandaise-458066
  23. La Direction SNCF est condamnée à payer les frais du procès devant le TGI mais elle devra aussi payer l'étude engagée par le CHSCT (dont elle est membre avec pour son représentant le rôle de Président...Il faut assumer...) ceci dit il faut relativiser les choses Estimons le coût de l'étude à 10.000 euros Pour un établissement disons de 250 conducteurs = 40 euros par conducteur pour se pencher sérieusement, scientifiquement et humainement sur leurs conditions de travail, de vie, de santé et de sécurité... (et on pourra considérer qu'une étude faite dans un lieu géographique X pourra avoir un intérêt pour tous les autres conducteurs de trains de France...) La Direction SNCF fait réaliser quasi quotidiennement des dizaines d'études tant en interne qu'en externe dont le cheminot Lambda n'entendra jamais parler... Des dizaines d'organismes se penchent sur le cas de la SNCF et par voie de conséquence sur les cheminots... Il est donc normal que le Représentants du Personnel puissent recourir à des expertises pour étudier les retombées d'une nouvelle technologie ou d'un nouveau processus de travail sur leurs mandants...
  24. Nous pourrions peut être profiter de ta présence pour que tu nous mettes les résultats des élections professionnelles chez ECR sur ce fil... Avec nos remerciements anticipés.
  25. Bravo aux collègues. Heureux que cela se termine bien dans les deux cas. Je pense que ces histoires sont suffisamment éloquentes en elles-mêmes pour faire prendre conscience des risques et des dangers...
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