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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Où on reparle du juge Courroye Hadopi : « Il y a un an, j'ai été licencié par TF1 » http://eco.rue89.com/2010/07/28/hadopi-il-y-a-un-an-j-ai-ete-licencie-par-tf1-160269
  2. Sauf qu'aujourd'hui en 2010 la compréhension des problématiques et des stratégies intervient de plus en plus rapidement grâce à la diffusion des informations et documents à partir du moment où on veut bien aller les chercher et les trouver ( sans parler des fuites de plus en plus nombreuses et dans tous les domaines...). A l'opposé ces mêmes moyens de diffusions (médias, internet...) sont de plus en plus utilisés pour propager des rumeurs, fausses informations, amalgames et servent d'outils de propagande et de propagation ... Rien n'est blanc, rien n'est noir...
  3. Mode second degré...Ouverture Enfin une bonne nouvelle... Bon les Femmes sont plus discrètes, Elles n'étalent pas leurs exploits. Mode second degré...Fermeture Un homme banni de Facebook après avoir couché avec 300 utilisatrices Un homme a été banni de Facebook après s'être vanté d'avoir couché avec 300 utilisatrices du site de réseau social. Il explique même que grâce aux sites de socialisation en général, il aurait fait l'amour avec 1.500 femmes. Clive Worth explique ses exploits dans un livre, A Serial Shagger's Guide to Online Dating. A soixante ans, l'homme explique avoir couché avec 1.500 femmes grâce aux sites de socialisation, et notamment 300 utilisatrices du site Facebook. Une révélation que le site de Mark Zuckerberg n'a pas vraiment appréciée. Ainsi, pour cette raison, Clive Worth a été banni du site. Mais ce dernier ne s'est pas avoué vaincu, décidant alors de créer un nouveau compte sous un pseudonyme féminin, Carol Peters. L'homme a d'ailleurs été banni de plusieurs sites dont ceux dédiés à la rencontre Match.com et DatingDirect.
  4. Vidéo d'un individu reconduit vers Dakar dans un avion d'Air France: http://www.lepost.fr/article/2010/07/26/2164464_video-d-un-sans-papiers-reconduit-vers-dakar-c-est-un-delinquant-qui-a-ete-expulse.html http://www.lepost.fr/article/2010/07/24/2162750_les-insupportables-images-d-une-expulsion-ordinaire-entre-violence-et-cris.html Je vous conseille de lire l'intégralité du premier article ci-dessus avant éventuellement de regarder la vidéo
  5. Bon Anniversaire à Gomen et à ceux du jour... 7 membre(s) fête(nt) son/leur anniversaire aujourd'hui gomen (27), loco67 (31), Pe@ce (33), André 07 (64), iberia (27), roderickusher (38), R1181 (21)
  6. Succès story... Histoire à succès... Toujours plus... Les scénaristes sont à donf... Un testament x fois modifié Un projet de donation qui tournerait peut être au faux en écriture Une milliardaire interviewé à son domicile par la police l'Etat du pâtrimoine de la milliardaire rendu public Les 5 enquêtes de l'affaire Woerth Un gestionnaire de fortune qui se mélange les pinceaux dans la calculette De nouvelles révalations dans l'embauche de la femme de celui qui fut Ministre du Budget de la République Nouvelle renconte Woerth / De maistre mise à jour perquisition à la Salpétrière dans des associations qui figuraient sur le testatment de la Vieille Dame qui a toujours toute sa tête... Question simple : Mme Bettencourt a-t-elle un ou plusieurs comptes bancaires en France ... Ont-ils été saisis par la police ? Rien de plus simple de connaître avec exactitude les mouvements de fond et retraits en espèces réalisés sur ces comptes... ? http://www.acabe.fr/...s-bancaires.htm http://droit-finance...er.php3#banques A partir du lien suivant ... suivre la piste... http://www.lemonde.f...032_823448.html ou de celui-ci http://www.marianne2...ts_a195607.html
  7. La Guerre... Afghanistan : ce que disent les documents de WikiLeaks http://www.rue89.com/2010/07/26/afghanistan-que-revelent-les-documents-de-wikileaks-159943
  8. Liliane Bettencourt a modifié son testament, selon son avocat L'avocat de Liliane Bettencourt s'est élevé contre la récente saisie des dispositions testamentaires de la milliardaire, assurant que ces documents ne sont de toute façon plus valables. Des perquisitions ont été effectuées la semaine dernière à l'étude du notaire de l'héritière de L'Oréal et dans la banque où ce dernier dispose d'un coffre, à la demande de la juge Isabelle Prévost-Desprez. La magistrate enquête sur un éventuel abus de faiblesse exercé par le photographe François-Marie Banier aux dépens de la milliardaire. Dans un communiqué, Me Georges Kiejman affirme que "les documents saisis ne tiennent pas compte des dernières dispositions testamentaires prises par Madame Bettencourt et dont elle est parfaitement en droit de se réserver le secret." Il dénonce la "prétendue mission" menée par Isabelle Prévost-Desprez, qui, selon lui, "viole arbitrairement l'intimité de Madame Bettencourt" en allant "bien au-delà de sa saisine." L'avocat rappelle avoir interjeté appel, au nom de sa cliente, de la décision de la magistrate de se saisir de l'affaire et précise que la cour de Versailles doit se prononcer le 17 août. Selon des enregistrements clandestins à l'origine de la saga politico-financière qui a commencé en juin, le légataire universel était en mars 2010 François-Marie Banier mais ce dernier demandait l'annulation de cet acte. "Il a envie de sortir de ça de manière à ce qu'on ne puisse jamais prétendre...", disait le notaire à Liliane Bettencourt, suggérant de remplacer François-Marie Banier par la Fondation Bettencourt-Schueller et l'institut Pasteur. De son lieu de villégiature en Espagne, la milliardaire a publié vendredi l'état de son patrimoine, qui s'élève à 15,6 milliards d'euros, dont 14,5 milliards représentant sa participation de 30% au capital de L'Oréal, ainsi que l'organisation de sa succession. Elle précise que son ou ses légataires universels disposeraient d'un peu moins de 8% de sa fortune, contre plus de 92% pour sa fille et ses deux petits-fils, uniquement après sa mort. Françoise Meyers-Bettencourt, fille unique de la milliardaire, a engagé des poursuites pour "abus de faiblesse" contre François-Marie Banier, qui aurait bénéficié d'un milliard d'euros de dons de l'héritière de L'Oréal. Gérard Bon, édité par Sophie Louet
  9. Pétrole, sucre, céréales, café, or... Tout est bon pour faire du blé... http://www.jdf.com/matieres-premieres/2010/07/26/02004-20100726ARTJDF00005-la-meteo-fait-grimper-le-ble.php
  10. Liliane Bettencourt entendue comme témoin par la police Oui ... mais dans ses appartements... L'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt était entendue lundi comme témoin par la Brigade financière dans l'enquête portant notamment sur une éventuelle fraude fiscale, a-t-on appris auprès de son avocat Georges Kiejman. L'avocat a précisé à Reuters dans un message qu'il n'assistait pas à l'audition. Elle se déroule au domicile de la milliardaire à Neuilly (Hauts-de-Seine), a précisé à Reuters Marie-Christine Daubigney, procureur adjoint de Nanterre (Hauts-de-Seine). "C'est la seule disposition particulière", a dit la magistrate. Liliane Bettencourt est âgée de 87 ans. La magistrate a précisé que l'interrogatoire portait sur le contenu des enregistrements clandestins de ses conversations réalisés par un employé, dont celles portant sur la fraude fiscale présumée et l'embauche par son gestionnaire de fortune de Florence Woerth, épouse d'Eric Woerth, en 2007. Les policiers pourraient aussi la questionner sur les très importants retraits en espèces opérés sur deux comptes français. "C'est une possibilité", a dit le procureur adjoint. L'ex-comptable de Liliane Bettencourt Claire Thibout a évoqué des dons à des hommes politiques. Thierry Lévêque, édité par Sophie Louet
  11. Une demande de retrait d'argent en espèces de 500.000 euros pour s'acheter une p'tite bague... Une petite recherche sur le net ... Particuliers Pour les particuliers qui n'exercent pas de profession commerciale, les paiements en espèces sont autorisés pour toute transaction dont le montant n'excède pas 3 000 euros TTC. Au-delà, le paiement par chèque barré d'avance, virement bancaire ou postal, carte de paiement ou de crédit est obligatoire. Toutefois, le paiement d'un acompte en espèces est possible dans la limite de 460 euros (art. L. 112-8 du code monétaire et financier) Art. 1649 quater B du Code général des impôts. Le non respect de cette règle peut entraîner une amende pouvant atteindre 15 000 euros (art 1 749 du Code général des impôts). En cas de paiement en billets et pièces, il appartient au débiteur de faire l'appoint (article L 112-5 du Code monétaire et financier). Commerçants Les commerçants doivent payer par chèque lorsque le montant du règlement dépasse la somme de 1 100 euros (article L. 112-6-I du Code monétaire et financier). Ils ne peuvent verser d'acomptes en espèces. sauf pour le paiement des salaires dans les conditions ci-dessous. Ne sont pas concernés les artisans et professions libérales qui restent soumis à la limite des 3 000 euros. L'article 11 du règlement CE n° 974/98 du 3 mai 1998 précise que "À l'exception de l'autorité émettrice et des personnes spécifiquement désignées par la législation nationale de l'État membre émetteur, nul n'est tenu d'accepter plus de cinquante pièces lors d'un seul paiement". Paiement des salaires L'article L. 112-6 du code monétaire et financier autorise la perception de son salaire en espèces lorsqu'il est inférieur à 1 500 euros (montant fixé par décret n° 85-1073 du 07 octobre 1985 modifié - article 1er) Source : Dgccrf-Minefe Donc résumons... Selon les art. L. 112-8 du code monétaire et financier et 1649 quater B du Code général des impôts, pour les particuliers, les paiements en espèces sont autorisés pour toute transaction dont le montant n'excède pas 3 000 euros TTC. Si, comme le prétend P.de Maistre, L.Bettencourt souhaitait simplement s'acheter une bague avec les 500 000 euros qu'elle voulait retirer, c'est qu'elle envisageait d'être en infraction avec ces deux lois. A noter que le commerçant qui aurait accepté un tel paiement aurait été, lui aussi en infraction. Le seul avantage de ce type de paiement aurait été de ne pas avoir a déclarer le bien acheté au fisc.. .et de cela, le gestionnaire de fortune n'a pas l'air de s'indigner.... A moins que L.Bettencourt n'ait envisagé de faire 166 achats d'un montant de 3000 euros? Une bague pour chaque doigt quoi...
  12. Une interview de 3 pages bigrement intéressante...même si le titre de l'article ne me semble pas bien approprié au contenu... Marie Choquet, directrice de recherche à l'Inserm "L'image du jeune fait peur aux adultes" LE MONDE MAGAZINE | 25.07.10 http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/07/25/l-image-du-jeune-fait-peur-aux-adultes_1391202_3224.html
  13. Philosophie de comptoir...philosophie sur l'écran... La tentation Jean-François Kahn : arrêter son blog parce que l'on n'aime pas la France que révèle le Net Sur Le Post http://www.jeanfrancoiskahn.com/http://www.jeanfrancoiskahn.com/Que-voulait-etre-ce-blog_a194.html La semaine passée, lassé de lire l'inévitable flot de réactions haineuses, stupides, immatures, violentes qu'engendraient ses écrits de blogueur, Jean-François Kahn a jeté l'éponge. Jusqu'à nouvel ordre, il ne bloguera plus, fatigué qu'il est de devoir endurer la prose de ceux qu'il appelle lui même les «dynamiteurs, pollueurs, obsédés et allumés». Je confesse qu'hier, à la lecture des réactions du billet consacré aux images de la torture ordinaire,banalisée, acceptée que l'on pratique dans la France de 2010 lors des inadmissibles expulsions d'êtres humains en état de faiblesse, j'ai éprouvé la même lassitude que Kahn face au torrent de boue réactif déversé par les mêmes «dynamiteurs, pollueurs, obsédés et allumés». Usé, épuisé de constater les étalages de la bêtise et de la méchanceté, les ravages de l'ignorance et de l'inculture, le blogueur à très grosse audience finit par se dire que décidément, c'est peine perdue. Depuis quelques mois, je diagnostique à travers Internet, l'avilissement de l'esprit démocratique français. Ce café du commerce virtuel éloigne, sépare, divise bien plus qu'il ne rapproche, rassemble, unit. Les «dynamiteurs, pollueurs, obsédés et allumés » sont-ils majoritaires ? Je ne le sais pas. Mais ils sont nombreux, si nombreux, inlassables, intarissables, se recrutent dans tous les courants de pensée politique, littéraire, social, médiatique, philosophique, ils sont habités d'une telle haine (à commencer par la haine de soi) que tout être doué d'un peu de raison ne peut que leur rendre les armes. On ne dira jamais assez combien la disparition des bistrots français en tant qu'espace public de débats ouverts à tous, ce qu'ils furent durant deux siècles, à la ville comme à la campagne, est le symptôme du désastre démocratique national. Si vous ne voyez pas le rapport, tant pis pour vous, car je n'ai pas envie de me lancer dans une démonstration d'envergure. Quand j'étais enfant (petit souvenir personnel) des membres de ma famille tenaient un bistrot, à l'ombre du clocher, dans une petit bourg de campagne (où Clouzot tourna le Corbeau et quelques scènes des Diaboliques). En 1969, tout gamin, j'ai ainsi assisté dans cet endroit à des débats passionnés relatifs au référendum sur la réforme du Sénat et des Régions, finalement perdu par de Gaulle. C'est mon premier souvenir politique. Ça s'engueulait sec entre le placide quincailler qui défendait « le grand Charles », le directeur de la succursale de la Banque populaire, qui trouvait que Giscard avait eu raison de dire « oui mais » et finalement « non » , le cantonnier « coco » pour qui dix ans ça suffisait, le notaire qui venait de temps en temps et qui estimait Alain Poher pour son sa modération et le jeune de service à cheveux longs qui détestait tout le monde et que tout le monde traitait de « feignant ». Tout le monde connaissait tout le monde. Pas de pseudos, pas d'injures anonymes. C'était la vie. Et surtout, il n'y avait pas de haine. On pouvait se détester, se fâcher, se faire la gueule, mais il arrivait toujours un moment où le 51 et tant d'autres breuvages oubliés (la suze, le picon bière, le fernet branca, le viandox), le tiercé, le 421 ou la belote réconciliaient tout le monde. Il existait entre ces gens, dont beaucoup avaient connu l'Occupation (et pour certains les tranchées de 14-18), le sentiment partagé que tout cela, au fond, n'était pas si grave, qu'on en avait vu d'autres, qu'on se remet de tout et y compris du pire, qu'il y a des choses plus essentielles dans la vie et que finalement, c'était une grande chance, trente ans après juin 40, de pouvoir s'engueuler librement au bistrot question politique. Ils savaient tous que la couleur de la vie n'est ni noire, ni blanche, mais gris claire ou gris foncé. Ils étaient fatalistes et optimistes, « mélange d'anarchiste et de conservateur » dans des proportions qui resteront toujours à déterminer. Ils possédaient le goût de la vie, le goût des autres, malgré tout. Ces gens étaient authentiquement français. Ce nouveau café du commerce qu'est Internet révèle le déclin politique général de la France d'aujourd'hui. Tout y blanc ou noir. Tout est prétexte à anathème, excommunication, exclusion. On ne débat pas en se disant que tout bien considéré, tout est relatif, incertain, éphémère, mouvant, on injurie, on insulte, on terrorise, on menace, on "trolle"... Finissent seuls par s'imposer, comme dans la vie publique, les «dynamiteurs, pollueurs, obsédés et allumés ». Internet est le terrible miroir de cette France de demain qui émerge, entre sarkozysme déraciné, téléréalité pipolisée, dévalorisation de la vie publique, inculture générale, immaturité politique collective, déshumanisation progressive. Être blogueur aujourd'hui, c'est être confronté à ce nouveau monde. Comme je comprends ce que disait Claude Levi-Strauss à la fin de sa vie lorsqu'il disait : « Je m'apprête à quitter un monde que je n'aime pas ».
  14. Chez ces gens là Monsieur, on ne sait même pas ce que c'est qu'une carte bleue ou un carnet de chèques, encore moins un virement bancaire... Affaire Bettencourt: Patrice de Maistre a bien rencontré Eric Woerth http://www.20minutes.fr/article/586309/Societe-Affaire-Bettencourt-Patrice-de-Maistre-a-bien-rencontre-Eric-Woerth.php L'avocat du gestionnaire de la fortune Bettencourt confirme l'information sortie samedi. Mais dément catégoriquement qu'une enveloppe a été remise au trésorier de l'UMP... L'avocat de Patrice de Maistre a affirmé dimanche que le gestionnaire de la fortune de Liliane Bettencourt avait bien rencontré Eric Woerth en janvier 2007, mais que son client n'avait remis aucune enveloppe d'argent liquide au trésorier de l'UMP. Me Pascal Wilhelm a confirmé à l'AFP les informations publiées samedi par Marianne, selon lesquelles un rendez-vous s'était tenu dans un café le 19 janvier 2007 à 8h30 avec Eric Woerth, précédé la veille par un entretien avec Liliane Bettencourt et l'ex-comptable Claire Thibout. «Mais lorsque Mme Thibout dit que ce rendez-vous aurait servi à remettre une enveloppe à M. Woerth, c'est complètement faux», a assuré l'avocat du gestionnaire de fortune. Financer la campagne de Sarkozy? Pour Me Wilhelm, les accusations de Claire Thibout, qui affirme avoir donné le 18 janvier une enveloppe contenant 50.000 euros d'argent liquide à Patrice de Maistre pour qu'il la remette le lendemain à Eric Woerth afin de financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, ne résistent pas à l'examen des carnets de compte de la comptable. >> Retrouvez notre dossier sur l'affaire Bettencourt par ici Selon l'avocat, les carnets de Claire Thibout montrent qu'elle aurait effectué un retrait bancaire de 50.000 euros le 19 janvier 2007, jour de la rencontre Maistre-Woerth. «Il est donc impossible qu'elle ait pu les remettre la veille à M. de Maistre, ni le jour même, les banques étant fermées à 8h30», assure-t-il. La crédibilité de Claire Thibout en question Interrogé sur l'objet de la rencontre Maistre-Woerth, Me Wilhelm a indiqué ne disposer d'aucun élément à ce sujet. Il s'insurge contre «les mensonges et les contre-vérités assénés par Mme Thibout et son avocat», et a annoncé qu'il déposerait dans la semaine «des plaintes contre plusieurs personnes pour faux témoignage et subornation de témoin». Mercredi, Le Canard Enchaîné avait fragilisé la position de l'ex-comptable en révélant qu'elle avait touché lors de son licenciement 400.000 euros de la part de Françoise Meyers-Bettencourt, qui est en conflit ouvert avec sa mère Liliane. Woerth n’a rien demandé pour sa femme... enfin presque Dans un entretien au Journal du Dimanche, Patrice de Maistre affirme par ailleurs qu'Eric Woerth lui a «soumis l'idée» début 2007 de rencontrer son épouse Florence afin «de voir avec elle l'évolution de sa carrière», mais que le ministre ne lui a pas demandé de l'embaucher. Patrice de Maistre assure enfin qu'il ne figure pas sur la liste des 3.000 évadés fiscaux en Suisse révélée l'été dernier par Eric Woerth, alors ministre du Budget. «Je n'ai jamais eu le moindre compte HSBC en Suisse ni ailleurs. S'il y a un de Maistre sur cette liste, ce n'est pas ‘Patrice’», déclare-t-il, démentant une information du Point. «Tout cela relève du fantasme» Dans le même entretien au JDD, Patrice de Maistre déclare également que le retrait de 500.000 euros que la banque Dexia a refusé à Liliane Bettencourt en décembre 2006 s'explique par un «train de vie extraordinairement élevé». Il cite au passage l'exemple d'une bague à 400.000 euros. Le gestionnaire de la fortune de Liliane Bettencourt réfute catégoriquement que cette demande d'argent ait pu être liée à un financement de la future campagne présidentielle de 2007: «tout cela relève du fantasme». «La maison Bettencourt affiche un train de vie extraordinairement élevé», souligne Patrice de Maistre. Il relate un épisode au cours duquel l'ex-comptable Claire Thibout a refusé 400.000 euros à l’héritière de l’Oréal. Pour Noël «Mme Bettencourt souhaitait simplement s'acheter une bague», explique Patrice de Maistre, qui remarque que le «retrait important» refusé par Dexia «semble intervenir à quelques jours de Noël». L'hebdomadaire Marianne paru samedi a révélé que la banque Dexia, où l'ex-comptable de Liliane Bettencourt a retiré à sa demande 100.000 euros en espèces quatre mois avant la présidentielle de 2007, avait refusé au préalable un retrait de 500.000 euros. «Devant l'énormité d'un tel retrait, et craignant sans doute d'avoir à se justifier devant Tracfin, l'organisme chargé de la lutte contre les mouvements illicites de capitaux, les responsables de la banque (...) ont refusé de lui accorder une telle somme», poursuit l'hebdomadaire, qui s'interroge sur la destination de cet argent.
  15. Général motors Strasbourg...où on en apprend un peu plus... Le Point Site GM à Strasbourg: la décision de rachat dans les mains de General Motors La voie semblait désormais libre pour un rachat par General Motors Company du site de GM à Strasbourg après la signature vendredi d'un accord par trois syndicats et la direction, mais le refus de de la CGT de parapher pourrait néanmoins handicaper le projet de reprise. La CFDT, largement majoritaire parmi les 1.150 salariés, ainsi que FO et la CFTC ont signé un accord de reprise qui préserve l'emploi pour trois ans en contrepartie d'une diminution de 10% des coûts salariaux pour rendre l'usine de boîte de vitesse compétitive avec un autre site au Mexique. Les délégués de la CGT, deuxième syndicat sur le site, ont boudé la cérémonie de signature ne voulant pas se rendre complice selon eux d'un "recul social", en approuvant un document qui demande des sacrifices importants aux salariés. En cas de reprise par GMC, détenue à 60% par l'Etat fédéral américain, les salariés devront en effet accepter une réduction des RTT de 16 à 10 jours ainsi qu'un gel des salaires sur deux ans et de l'intéressement jusqu'en 2013. L'accord de reprise avait été approuvé lundi par plus de deux tiers des 1.105 salariés lors d'une consultation interne où seule la CGT avait appelé à voter contre un tel rachat pour l'euro symbolique. Jeudi, le comité d'entreprise (CE) avait donné son indispensable feu vert au projet de reprise. Vendredi, la direction du site s'est toutefois déclarée "déçue" et inquiète" ne se voulant "pas persuadée" que GMC aille au bout de son projet. Dans son offre de reprise, General Motors Company "a formellement demandé que les nouveaux accords soient signés par tous les délégués syndicaux", a rappelé un représentant de la direction du site alsacien. "Cette condition n¹est pas remplie et GM Strasbourg en informera dès vendredi après-midi General Motors Company qui aura à se prononcer sur le maintien de son offre", a-t-il ajouté. Il a expliqué à l'AFP que l'usine de Strasbourg fabrique annuellement 270.000 boîtes de vitesse, à part quasi égales pour BMW et General Motors. La production est destinée aux marchés américain, chinois et australien et "sa localisation en Europe n'est donc pas forcément plus attractive qu'au Mexique". L'usine alsacienne, vaisseau-amiral de l'immense zone industrielle du port du Rhin, était encore il y a dix ans l'un des plus gros sites industriels en Alsace avec près de 3.000 employés. Au fil des années et des plans de départ volontaires, ses effectifs ont fondu. Avec la déroute du géant américain, l'usine a été placée en 2008 sous le contrôle de MLC, chargée de céder les actifs de GM. Malgré de nombreux contacts, celle-ci n'a pas trouvé repreneur à ce jour et pourrait donc prochainement retomber dans la nouvelle entité de GM. Les salariés qui partiront pour deux semaines en congé lundi prochain, espéraient majoritairement vendredi la conclusion d'un accord qui permette de pérenniser le site. Vendredi vers 15 heures "des salariés" ont brièvement quitté leurs ateliers pour "invectiver les délégués de la CGT et les pousser à changer d'avis", a affirmé à l'AFP Jean Marc Ruhland, représentant de la CFDT. L'humanité General Motors : 8 délégués CGT bloqués dans leur local par des salariés Huit délégués CGT de GM Strasbourg étaient bloqués vendredi en fin d'après-midi par une cinquantaine de salariés mécontents que le syndicat ait refusé de signer l'accord de reprise du site alsacien par General Motors Company, a-t-on appris de source syndicale. Les délégués, qui souhaitaient quitter le site, ont d'abord été bloqués vers 15h au niveau de la sortie avant de se réfugier dans leur local où ils sont bloqués depuis environ "trois quarts d'heure", a indiqué à l'AFP Roland Robert, leader de la CGT à GM Strasbourg, deuxième syndicat dans l'entreprise après la CFDT, confirmant une information de RTL. "Il y a des bousculades entre nous et certains salariés", a-t-il expliqué. La cinquantaine de salariés encore présents sont majoritairement des cadres "envoyés par la direction" pour "nous obliger à signer", a-t-il affirmé, dénonçant des "méthodes de voyous". "Nous ne signerons pas" l'accord de reprise paraphé un peu plus tôt par la CFDT, la CFTC et FO, a renchéri son collègue Renald Jund. L'inspectrice du travail ainsi que des policiers sont également sur place,a-t-il ajouté.
  16. N ème épisode... Blance comme Neige ...au soleil Patrice de Maistre s'explique http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Patrice-de-Maistre-s-explique/ ...mais ne dit rien... qu'on ne savait déjà...
  17. Marée noire et pollution le long des côtes africaines (Niger ... http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2464.php ) Marée noire et pollution le long des côtes chinoises...( http://fr.news.yahoo...-i-d79e08a.html )
  18. Le prochain 11 tricolore sera composé exclusivement de joueurs amateurs qui auront à leur charge personnelle l'intégralité de leurs dépenses y compris la paire de chaussettes de rechange... Un Poulpe ça n'aurait pas onze tentacules... (j'ai pas dit testicules....)
  19. Ben c'est vrai aussi ... En 2002 , 52% des électeurs ont placé Notre Bon Prince Sarko à la Présidence de la République... l... es autres devraient (savoir) la fermer . Point barre. Quoi ? ...70% des Français ne font pas confiance à Sarko ? Quoi... Qu'est-ce que vous dites ? Où est le problème ?
  20. Et si la Démocratie restait à réinventer... La «République irréprochable» de Sarkozy n’est pas pour demain Par PAUL CASSIA Professeur à l’école de droit de la Sorbonne (Paris-I) Candidat à l’élection présidentielle, Nicolas Sarkozy s’était engagé à rendre la République irréprochable. L’importante révision constitutionnelle adoptée le 23 juillet 2008 devait permettre d’atteindre cet objectif sur le terrain juridique. Mais, si elle comporte des éléments bienvenus, comme par exemple l’obligation faite au gouvernement de présenter une étude d’impact lors de la présentation d’un projet de loi, la révision, pour l’essentiel, a conduit au mieux à un statu quo, au pire à un recul. Le Congrès. La nouvelle possibilité reconnue au président de la République de s’exprimer devant le Parlement réuni en congrès à Versailles n’a été utilisée qu’à une seule occasion, le 22 juin 2009, au demeurant fort onéreuse pour les finances de l’Etat. Elle a offert le spectacle déplorable de parlementaires contraints à écouter le président de la République discourant en majesté, et quittant les lieux à l’issue de son propos sans qu’il soit permis de débattre avec lui. En dépit de la manière dont on l’a présenté, ce «discours du Trône» n’est de nature à engager ni la responsabilité intellectuelle, ni la responsabilité morale du président de la République. Nominations. Le droit de regard des parlementaires sur le pouvoir de nomination à des emplois publics par le président de la République relève du leurre ou de la supercherie. Il faut que plus des trois cinquièmes des membres des commissions compétentes de chaque assemblée s’opposent au choix présidentiel pour que celui-ci ne soit pas retenu. Peut-on sérieusement considérer que l’opposition participe au contrôle des nominations, le veto étant subordonné à l’agrément de la majorité ? Droits de l’opposition. Le mal dénommé «droit de tirage», permet à chaque groupe de l’opposition, une fois par session, de demander la création d’une commission d’enquête… à condition que la majorité parlementaire le veuille bien ! Fin 2009, celle-ci avait déjà réussi le tour de force d’éviter la création, à la demande des députés socialistes, d’une commission d’enquête sur les sondages commandés et financés par l’Elysée. Une nouvelle partie de poker menteur est en cours autour d’une éventuelle commission d’enquête sur l’affaire «Woerth-Bettencourt» souhaitée par les députés socialistes. Le président de l’Assemblée nationale l’a estimée recevable début juillet avant que - quelle surprise - le bureau de l’Assemblée nationale renvoie sa décision à septembre. Parachute doré. Désormais, les parlementaires accédant à une fonction gouvernementale peuvent, lorsqu’ils la quittent, retrouver leur fauteuil au Palais-Bourbon, comme sous la IVe République. Il n’est pas indifférent que le secrétaire général de l’UMP et ancien ministre du Travail ait été le premier bénéficiaire de cette disposition. En juillet 2010, un secrétaire d’Etat jugé indigne d’exercer ses fonctions ministérielles pour être soupçonné d’avoir utilisé l’argent public à des fins personnelles est en mesure de retrouver malgré cela sa fonction de représentant du peuple français… Le défenseur des droits. Existe-t-il une intention plus louable que celle tendant à créer un défenseur des droits, sur le modèle de l’ombudsman nordique ? Sauf qu’en pratique, cette création s’accompagnera, sous le prétexte d’éviter les «doublons», de la suppression probable, à court ou moyen terme, d’institutions aussi indispensables que le médiateur de la République, le contrôleur général des lieux de privation des libertés, la Commission nationale de déontologie et de sécurité, le défenseur des enfants… Comment croire qu’une seule et même personne parviendra à assumer une tâche déjà si péniblement et insuffisamment accomplie par les actuelles autorités indépendantes ? Référendum d’initiative populaire. Inutile de s’attarder sur une disposition bien mal nommée, désormais prévue à l’article 11 de la Constitution française. Outre que ce texte nécessite une loi organique dont l’adoption n’est même pas envisagée, sa mise en œuvre pratique serait si compliquée et resterait à ce point sous le contrôle des parlementaires de bout en bout, qu’elle ne pourrait qu’engendrer déceptions et frustrations dans le corps électoral. Saisine du conseil constitutionnel. L’article 61-1 de la Constitution reconnaît désormais à toute personne intéressée la possiblité de contester une disposition législative au regard des droits et libertés contenus dans la Constitution. Pour l’instant, il a surtout débouché sur une mésentente majeure entre la Cour de cassation d’une part, et le Conseil constitutionnel et le Conseil d’Etat de l’autre. Cette usine à gaz contentieuse n’aurait pas dû être instituée sans que le Conseil constitutionnel, autrement composé, ait été transformé en Cour constitutionnelle au sein de laquelle n’auraient pu siéger des parlementaires ou les anciens présidents de la République. Au demeurant, même sans l’article 61-1, les juridictions françaises, qui peuvent depuis plusieurs décennies vérifier si une loi est compatible avec un traité international, auraient fini par se reconnaître compétentes pour vérifier la conformité des lois à la Constitution. On ne voit donc toujours pas poindre l’horizon de la «République irréprochable». D’autres mesures auraient pu parvenir à cette fin, dont voici quelques exemples : interdire tout cumul des mandats ; pour les parlementaires, leur interdire en outre d’exercer une fonction privée, telle celle d’avocat, députés et sénateurs disposant déjà d’une tribune suffisamment médiatique ; interdire aux membres du gouvernement de détenir un mandat électoral, afin qu’ils puissent se concentrer sur une tâche à elle seule hors du commun ; assurer la pleine indépendance de la justice, soit en «fonctionnarisant» le parquet et en redonnant toute sa place au juge d’instruction, soit en supprimant ce dernier et en coupant le cordon ombilical qui lie les parquetiers au ministère de la justice et aux conseillers de la présidence de la République, comme l’illustre une nouvelle fois hélas l’affaire «Woerth-Bettencourt». A ces conditions seulement, le régime républicain pourra retrouver l’exigence morale qu’il semble avoir perdue de vue, et arracher la collectivité des citoyens à la désolation ou à l’indifférence face à ceux qui nous gouvernement.
  21. Des représentants CGT "sequestrés" dans leurs locaux... Incidents à GM Strasbourg après la signature de l'accord Gilbert Reilhac La signature d'un accord de reprise de l'ex-usine General Motors de Strasbourg a provoqué vendredi des incidents sur le site, une partie des salariés se retournant contre la CGT. Trois des quatre syndicats, dont la CFDT, majoritaire, ont signé l'accord sur une réduction des coûts de 10% après une ultime concession de la direction mais la CGT a campé sur son refus de parapher le projet, accusant la direction de vouloir acheter la "paix sociale". General Motors, qui prévoit de racheter son ancienne usine de boîtes de vitesses automatiques pour un euro symbolique, garantit aux 1.150 salariés le même plan social en cas de revente du site que dans l'hypothèse d'une liquidation d'ici 2013. Mais l'annonce de la reprise du site par General Motors pourrait être remise en cause par le refus de signer de la CGT qui a déclenché un mouvement de colère. Selon la CGT, certains de ses représentants ont été séquestrés dans l'usine. "La direction a envoyé ses sbires pour séquestrer les élus de la CGT et les obliger à signer", a rapporté Menouba Arbouche, déléguée CGT qui n'était plus présente sur le site au moment des faits. Jean-Marc Ruhland, secrétaire du comité d'entreprise et de la CFDT, a évoqué au contraire un mouvement spontané d'environ 400 personnes. "A 14h30, tous les salariés de l'entreprise, bureaux, cadres et gens des ateliers se sont massés devant les locaux de la CGT et ont crié des slogans 'CGT démission'", a-t-il expliqué. "En 35 ans d'entreprise, c'est la première fois que je vois des salariés arrêter le travail pour s'en prendre à une organisation syndicale", a-t-il ajouté. La police a été appelée sur les lieux. LE MOINS MAUVAIS ACCORD POSSIBLE? Les trois syndicats signataires, CFDT, FO et CFTC, estiment avoir obtenu le moins mauvais accord possible pour assurer la pérennité du site. Le personnel, consulté par référendum en début de semaine, a approuvé à une majorité de 70% le projet qui prévoit un gel des salaires pendant deux ans, un renoncement à l'intéressement durant trois années et la suppression de six des seize jours de RTT contre la promesse du groupe de poursuivre la fabrication de boîtes de vitesses automatiques jusqu'en 2020. "On a désormais un maximum de garanties. On a fait notre boulot", a dit Thierry Stachel, délégué syndical de la CFTC. Mais les concessions de dernière minute n'ont pas fait bouger la CGT qui avait bénéficié d'un courant de sympathie et suscité des débrayages dans l'usine en début de semaine quand la direction souhaitait durcir les termes de l'accord. "La direction nous a toujours dit qu'elle ne pouvait pas garantir la pérennité du site", a dit son secrétaire, Roland Robert, pour qui le constructeur cherche seulement "la paix sociale". La direction française a rappelé dans un communiqué que le groupe de Detroit souhaitait la signature des quatre syndicats, afin d'avoir la garantie que l'accord ne serait pas dénoncé en cas de renversement de majorité au comité d'entreprise. "Cette condition n'est donc pas remplie", écrit la direction dans un communiqué. "Ce sera à General Motors Company de se prononcer sur le maintien de son offre" Selon le projet d'accord, les investissements pour de nouveaux produits ne seraient lancés qu'à partir de 2013. Si GM décidait à cette date de fermer ou de vendre son usine, les salariés bénéficieraient du plan social déjà négocié lors de précédentes vagues de suppressions d'emplois et se verraient rembourser les efforts salariaux consentis dans le cadre de l'accord. Le site alsacien, qui avait été mis en vente en 2008 par General Motors, fait aujourd'hui partie de Motors Liquidation Company, la société qui gère les actifs en déshérence de l'ex-numéro un mondial de l'automobile après sa mise en faillite pendant quarante jours en 2009. Édité par Gérard Bon
  22. UMP : soupçons de fraudes massives chez les Jeunes pop' http://www.rue89.com/2010/07/23/ump-soupcons-de-fraudes-massives-chez-les-jeunes-pop-159709 Même entre eux, ça se frite...
  23. Et pendant ce temps... ça sent l'arnaque à plein nez... Accord signé chez General Motors à Strasbourg Trois des syndicats de l'ex-usine General Motors de Strasbourg, dont la CFDT, majoritaire, ont signé vendredi l'accord sur une réduction des coûts de 10% après une ultime concession de la direction, a-t-on appris de source syndicale. General Motors, qui prévoit de racheter son ancienne usine de boîtes de vitesses automatiques pour un euro symbolique, garantit aux 1.150 salariés le même plan social en cas de revente du site que dans l'hypothèse d'une liquidation d'ici 2013. "On a désormais un maximum de garanties. On a fait notre boulot", a dit à Reuters Thierry Stachel, délégué syndical de la CFTC qui a signé l'accord avec FO et la CFDT. La CGT a en revanche campé sur son refus. "La direction nous a toujours dit qu'elle ne pouvait pas garantir la pérennité du site", a dit son secrétaire, Roland Robert, pour qui le constructeur cherche seulement "la paix sociale". Ce refus laisse planer une incertitude sur la décision finale du groupe de Detroit, General Motors ayant dit souhaiter la signature des quatre syndicats. L'accord prévoit un gel des salaires pendant deux ans, un renoncement à l'intéressement durant trois années et la suppression de six des seize jours de RTT contre la promesse du groupe de poursuivre la fabrication de boîtes de vitesses automatiques sur le site jusqu'en 2020. Les investissements pour de nouveaux produits ne seraient toutefois lancés qu'à partir de 2013. Si GM décidait à cette date de fermer ou de vendre son usine, les salariés bénéficieraient du plan social déjà négocié lors de précédentes vagues de suppressions d'emplois et se verraient rembourser les efforts salariaux consentis dans le cadre de l'accord. Le personnel, consulté par référendum en début de semaine, a approuvé le projet à une majorité de 70%. Le site alsacien, qui avait été mis en vente en 2008 par General Motors, fait aujourd'hui partie de Motors Liquidation Company, la société qui gère les actifs en déshérence de l'ex-numéro un mondial de l'automobile après sa mise en faillite pendant quarante jours en 2009. Gilbert Reilhac, édité par Gérard Bon
  24. ça se passe comme ça dans la finance.... totalement déconnecté des réalités... A rapprocher du boulot de Mme Woerth pour la Dame Bettencourt ... 1 smic toutes les minutes dans son porte monnaie... Il faut faire fructifier les fonds... Le spéculateur «Chocolate Finger» fait flamber le cacao Le Journal des Finances JDF http://www.jdf.com/m...er-le-cacao.php
  25. Et moi qui ai pissé je ne sais combien de fois contre des wagons, locos et autres poteaux... (non non jamais contre un poteau caténaire...) Jusqu'où notre pays va-t-il tomber...? Lyon. Pipi d'enfant sanctionné : la mairie souhaite classer l'affaire 23 juillet 2010 à 08h54 Le Télégramme La police municipale de Lyon a infligé une contravention à une fillette pour "miction sur la voie publique". Eléonore, 3 ans et demi, urinait sous un arbre, raconte Le Progrès (édition papier). Son père a immédiatement contesté la sanction. La municipalité souhaite désormais classer l'affaire dans un souci d'apaisement. La scène se déroule dans le parc de la Tête d'Or à Lyon. Un père se promène avec sa fille quand celle-ci est prise d'une envie pressante. Lui, se déplace avec des béquilles suite à une opération chirurgicale récente. Il n'a pas le temps de la conduire aux toilettes. Alors l'enfant se résout à faire pipi contre arbre. "Je ne supporte pas ce genre de comportement" Une équipe de la police municipale de Lyon passe par là à vélo. "Je ne supporte pas ce genre de comportement", déclare l'un des agents. Le père de famille rétorque : "moi je ne supporte pas une telle agressivité pour un simple pipi d'enfant". Il tente d'expliquer sa position, avance son handicap passager et la présence d'un camion devant les toilettes comme explications. Rien n'y fait. Sous un arbre ou face à un restaurant ? Le policier dresse une contravention de troisième classe pour "miction sur la voie publique". Pour un simple pipi de jeune fille, cachée sous un arbre, un peu dur. Mais la mairie de Lyon, interrogée par l'AFP, précise que la scène se serait déroulée en face d'un restaurant et non en pleine nature ce qui expliquerait la réponse donnée par ses agents. La mairie recule Le père, accessoirement maître de conférence en droit public, a contesté cette contravention. Il pourrait être amené à s'expliquer devant le tribunal de police et se voir infliger une amende allant de 38 à 480 €. Mais la mairie de Lyon devant l'emballement médiatique souhaite classer l'affaire. La balle est dans le camp du ministère public, qui décidera ou pas, de l'opportunité de poursuites éventuelles.
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