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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Dom Le Trappeur a répondu à zobos situé dans DB Cargo France (ex ECR : Euro Cargo Rail)
Ouai ben moi j'ai laissé passer un privé en retard et je l'ai mis devant un TER direct... et ben le con il m'a bouffé ma B.A. de la journée... Le TER s'est pris 5 minutes tellement l'autre il a été rapide à comprendre la manoeuvre et évidemment silence radio sur la toile quand on appelle Monsieur le Conducteur du Train(Train) de l'Entreprise Ferroviaire Privée... Le prochain coup, il se prendra une bonne tôle et il viendra ici sur le forum pour encore gueuler qu'on l'a mis en retard exprès... -
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Dom Le Trappeur a répondu à zobos situé dans DB Cargo France (ex ECR : Euro Cargo Rail)
Ah parce que tu fais un amalgame, une collusion entre ces actes et le mouvement revendicatif... Un peu comme si celui (le crétin pour reprendre ton expression) qui fait flamber une voiture sur un parking lambda, était responsable de la crise financière qui secoue les bourses, les banques, les fonds de pension... -
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Dom Le Trappeur a répondu à zobos situé dans DB Cargo France (ex ECR : Euro Cargo Rail)
Donc ça nous fait quelques pétards... rien de nouveau sous le soleil ou la lune... y'en avait déjà bien avant ta naissance... et pour le reste de tes affirmations ? Oui j'ai remis la phrases en gros caractères parceque c'est toujours trop simple de balancer des affirmations qui font croire à un "état de guerre civile" alors que nous n'avons sûrement à faire qu'à quelques actes isolés et ponctuels. Mais je suppose que l'objectif recherché c'est une nouvelle fois de faire passer les grévistes pour des odieux et méchants terroristes ... -
Le projet de loi de modification du RH077 est sorti ...
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Le projet de loi de modification du RH077 est sorti avant hier soir (05/11/2008). RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du Territoire NOR : […] DECRET modifiant le décret n°99-1161 du 29 décembre 1999 relatif à la durée du travail du personnel de la Société nationale des chemins de fer français Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre d'Etat, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire, Vu la directive 2004/49 CE du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 concernant la sécurité des chemins de fer communautaires et modifiant la directive 95/18 / CE du Conseil concernant les licences des entreprises ferroviaires, ainsi que la directive 2001/14/CE du Parlement européen et du Conseil du 26 février 2001 concernant la répartition des capacités d'infrastructure ferroviaire, la tarification de l'infrastructure ferroviaire et la certification en matière de sécurité ; Vu la directive 2005/47/CE du Conseil du 18 juillet 2005 concernant l’accord entre la Communauté européenne du rail (CER) et la Fédération européenne des travailleurs des transports (ETF) sur certains aspects des conditions d’utilisation des travailleurs mobiles effectuant des services d’interopérabilité transfrontalière dans le secteur ferroviaire ; Vu l'acte dit loi du 3 octobre 1940 relatif au régime du travail des agents des chemins de fer, notamment son article 1er ; Vu la loi d'orientation des transports intérieurs n°82-1153 du 30 décembre 1982 modifiée, notamment ses articles 9 à 11 ; Vu le décret n°99-1161 du 29 décembre 1999 modifié relatif à la durée du travail du personnel de la Société nationale des chemins de fer français ; Vu l'avis de la Commission nationale mixte en date du 12 novembre 2008, DECRETE Article 1er L'article 1er du décret du 29 décembre 1999 susvisé est ainsi modifié : 1° Les mots : « sur le territoire métropolitain » sont supprimés. 2° Il est inséré, après les mots : « Société nationale des chemins de fer français (SNCF) », les mots : « situés sur le territoire métropolitain ». Article 2 L'article 5 du décret du 29 décembre 1999 susvisé est ainsi complété : « 7. personnel roulant effectuant des services d'interopérabilité transfrontalière: personnel roulant affecté, pour une durée supérieure à une heure au cours d'une journée de travail, à des services transfrontaliers pour lesquels toute entreprise ferroviaire doit disposer d'au moins deux certificats de sécurité au sens de l'article 10 de la directive 2004/49/CE du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 concernant la sécurité des chemins de fer communautaires et modifiant la directive 95/18/CE du Conseil concernant la licence des entreprises ferroviaires, ainsi que la directive 2001/14/CE du Parlement européen et du Conseil du 26 février 2001 concernant la répartition des capacités d'infrastructure ferroviaire, la tarification de l'infrastructure ferroviaire et la certification en matière de sécurité. Est exclu de de cette définition, le personnel roulant assurant un service de transport de voyageurs transfrontalier local et régional ou assurant un service de transport de fret transfrontalier ne dépassant pas quinze kilomètres au-delà de la frontière. 8. temps de conduite : durée d’une activité programmée durant laquelle le conducteur est responsable de la conduite d’un engin de traction. Il inclut les interruptions programmées quand le conducteur reste responsable de la conduite de l'engin de traction. » Article 3 L'article 10 du décret du 29 décembre 1999 susvisé est ainsi complété : « 7. Les dispositions du présent article s'appliquent sous réserve des dispositions particulières prévues à l'article 11 bis du présent décret applicables au personnel roulant effectuant des services d’interopérabilité transfrontalière visé au 7 de l'article 5 du présent décret. » Article 4 L'article 11 du décret du 29 décembre 1999 susvisé est ainsi complété : « 4. Les dispositions du présent article s'appliquent sous réserve des dispositions particulières prévues à l'article 11 bis du présent décret applicables au personnel roulant effectuant des services d’interopérabilité transfrontalière visé au 7 de l'article 5 du présent décret. » Article 5 Après l'article 11 du décret du 29 décembre 1999 susvisé, il est inséré un article 11 bis ainsi rédigé : « 1. Les dispositions du présent article s'appliquent au personnel visé au 7 de l'article 5. 2. Quand la durée journalière du travail est supérieure à six heures, le conducteur ainsi que le personnel d’accompagnement d’un train bénéficie, en tout état de cause, d'une pause d’au moins trente minutes assurée pendant la journée de travail. Quand la durée journalière du travail est supérieure à huit heures, le conducteur bénéficie, en tout état de cause, d'une pause d’au moins quarante-cinq minutes assurée pendant la journée de travail. La coupure telle que prévue à l'article 10 et la pause repas telle que prévue à l'article 11 constituent la pause prévue au présent article. Les dispositions du présent paragraphe ne s'appliquent pas aux équipages composés de plusieurs conducteurs. 3.La durée journalière du temps de conduite ne peut être supérieure à neuf heures. Elle ne peut être supérieure à huit heures si elle comporte au moins trois heures durant la période nocturne définie au 3 de l'article 5, sans préjudice des dispositions du point 2 du a) du 2 de l'article 49. Dans tous les cas, la durée de conduite ne peut être supérieure à quatre-vingts heures par période de deux semaines calendaires consécutives, comptées du lundi 0 heure au dimanche 24 heures. » Article 6 Au début du premier alinéa de l'article 12 du décret du 29 décembre 1999 susvisé, sont insérés les mots : « A l'exception du personnel visé au 7 de l'article 5, soumis aux dispositions particulières de l'article 11 bis, ». Article 7 Le 2 de l'article 49 du décret du 29 décembre 1999 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « 2. Par ailleurs, pour l’activité du transport de fret, le chef d'établissement est habilité, en accord avec les agents concernés, à apporter à certains roulements de service, tableaux de service ou tableaux de roulement, les modifications suivantes : a) pour le personnel roulant 1) Par dérogation au 2 de l’article 7, la période de référence pour le calcul de la durée du travail effectif peut être portée à quatre grandes périodes de travail consécutives ; 2) Par dérogation au 3 de l'article 7, la durée du travail effectif d'une journée de service considérée isolément peut être portée à un maximum de dix heures. Toutefois cette durée ne peut excéder neuf heures trente si la journée comprend plus d'une heure trente dans la période nocturne définie à l'article 5 ; dans ce cas, le temps de conduite est limité à sept heures trente ; 3) Par dérogation au 1 de l'article 8, l'amplitude d'une journée de travail considérée isolément peut être portée à un maximum de douze heures ; 4) Par dérogation au 2 de l’article 8, la durée moyenne de l’amplitude journalière calculée sur un semestre civil peut être portée à un maximum de dix heures trente ; 5) Par dérogation au 4 de l’article 16, le nombre de repos périodiques doubles, triples le cas échéant, peut être réduit à un minimum de quarante-huit par an. Seize de ces repos périodiques doivent être placés sur un samedi et un dimanche consécutifs ou sur un dimanche et un lundi consécutifs ; 6) Par dérogation au 6 de l'article 16, les repos périodiques peuvent commencer au plus tard à 0 heure la première nuit et finir au plus tôt à minuit la dernière nuit. En cas de nécessités d'exploitation non prévisibles et non programmées, d'attribution tardive de sillons, de situations dégradées, les horaires de début et de fin des repos périodiques peuvent être respectivement retardés et avancés dans la limite d'une heure, sous réserve qu'un repos compensateur d'une durée équivalente soit attribué à l'agent avant la fin de la journée suivante. La présente dérogation n'est pas applicable aux repos périodiques simples attribués un dimanche ; 7) Par dérogation au 5 de l’article 17, les repos compensateurs au titre des paragraphes 1 et 4 de l'article 17, sont soit accordés en fonction des possibilités du service aux agents qui en font la demande, soit rémunérés. Après la fin du semestre civil, les repos compensateurs qui n’auront pu être attribués sont, dans tous les cas, rémunérés. b) pour le personnel sédentaire 1) Par dérogation au 5 de l’article 25, le délai dans lequel les agents concernés sont prévenus de la révision du programme établi en cas de circonstances exceptionnelles et imprévues peut être réduit en-deçà de dix jours calendaires, sans que ce délai puisse être inférieur à quarante-huit heures ; 2) Par dérogation au 1 de l'article 26, la durée du travail effectif d'une journée de service considérée isolément peut être portée à un maximum de dix heures. Cette dérogation n'est pas applicable lorsque la journée comprend plus d'une heure trente dans la période nocturne définie à l'article 5 ; 3) Par dérogation au 2 de l'article 26, la durée minimale du travail effectif prévue pour une journée de service peut être ramenée à quatre heures ; 4) Par dérogation à l'article 28, l'amplitude peut être portée à douze heures et à un maximum de treize heures une fois par grande période de travail ; 5) Par dérogation au V de l’article 32, le nombre de repos périodiques doubles, triples le cas échéant, des agents relevant de l’un des articles 32-II et 32-III peut être réduit à un minimum de quarante-huit par an. Seize de ces repos périodiques doivent être placés sur un samedi et un dimanche consécutifs ou sur un dimanche et un lundi consécutifs ; 6) Par dérogation à l’article 34, le nombre de journées de service ou de journées considérées comme telles que comporte la grande période de travail peut être réduit à un minimum de deux, dans la limite d'au plus deux grandes périodes de travail par semestre civil ; 7) Par dérogation au 2 de l’article 37, la durée maximale de travail effectif d’une journée comportant un trajet pour se rendre sur le lieu de déplacement ou en revenir peut être portée à dix heures trente dans une amplitude maximum de treize heures, si l’agent n’assure pas de remplacement. L’amplitude d’une journée de déplacement isolée, lorsque l’agent est tributaire de moyens de transport public, peut être portée à quatorze heures ; 8) Par dérogation au 3 de l’article 38, l’amplitude, en cas de remplacement avec déplacement, peut être portée à un maximum de quatorze heures ; 9) Par dérogation au 5 de l’article 38, le repos périodique qui doit être placé sur un samedi et un dimanche consécutifs, peut être placé sur un samedi et un dimanche consécutifs ou sur un dimanche et un lundi consécutifs ; 10) Par dérogation au 1 de l’article 44, le décalage d’une journée entière de service par rapport à une autre peut être augmenté au-delà de quatre heures, dans la limite de douze heures ; 11) Par dérogation au 5 de l'article 44, les coupures de l'agent de conduite assurant un service de navette, de remonte, de manoeuvres ou de dépôt peuvent être prises en-dehors de la résidence d'emploi. Les membres du comité du travail concerné sont informés de ces dérogations. La mise en oeuvre des dérogations prévues au présent article s'accompagne de contreparties notamment financières définies par accord d’entreprise ou, à défaut, par décision unilatérale de l’entreprise. » Article 8 Au 3 de l'article 49 du décret du 29 décembre 1999 susvisé, les mots « des paragraphes 1 et 2 » sont remplacés par les mots « du paragraphe 1 ». Article 9 Le ministre d'Etat, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire et le secrétaire d'Etat chargé des transports sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le [ ] Par le Premier ministre : FRANÇOIS FILLON Le ministre d'Etat, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire JEAN-LOUIS BORLOO Le secrétaire d'Etat chargé des transports, DOMINIQUE BUSSEREAU -
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Dom Le Trappeur a répondu à zobos situé dans DB Cargo France (ex ECR : Euro Cargo Rail)
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Tiens Mistral, histoire de souffler sur les braises une petite dépêche AFP SNCF: grève bien suivie des conducteurs, trafic perturbé Céline SERRAT Le trafic SNCF a été perturbé jeudi par une grève suivie par environ 43% des conducteurs selon la direction, et plus de 55% selon les syndicats, pour protester contre un assouplissement des conditions de travail dans le fret visant selon la SNCF à "être compétitif" face au privé. Le taux de grévistes a donné lieu à une querelle de chiffres inhabituelle dans l'entreprise, la direction avançant finalement un taux de conducteurs grévistes de 43%, la CGT l'établissant à 55% et Sud à plus de 57%. Selon la SNCF, le trafic a été conforme aux prévisions, et même un peu moins perturbé que prévu en Ile de France. En général, au moins un train sur deux a circulé sur l'ensemble des réseaux TGV, TER, Corail et banlieue parisienne. Le préavis de grève allait jusqu'à vendredi 08H00. Depuis la loi sur le service minimum, qui oblige les grévistes à se déclarer 48 heures à l'avance, la SNCF établit un plan de transports précis pour les jours de grève. "Avec seulement deux organisations qui appelaient à la grève, celle-ci est réussie", a estimé Sud-Rail, en qualifiant ce mouvement de "dernier avertissement avant le 12 novembre". Ce jour là, une commission paritaire (SNCF, syndicats, Etat) doit se pencher sur le projet de réforme des conditions de travail des conducteurs du fret. La CGT a demandé le report de cette réunion. Les modifications souhaitées par la direction concernent notamment le nombre maximal d'heures de conduite consécutives, le nombre de nuits de conduite d'affilée et la durée des repos. Une négociation à ce sujet a capoté ce printemps, à la suite de quoi la SNCF a lancé un appel à des volontaires parmi les conducteurs, qui seraient 800 à accepter les nouvelles conditions. La SNCF compte plus de 16.000 conducteurs, dont un peu plus de 4.000 sont affectés au fret. Les syndicats CGT et Sud, mais aussi la Fgaac (2e syndicat chez les conducteurs) et la CFDT qui n'avaient pas appelé à la grève, sont opposés aux changements envisagés, mettant en avant la santé des agents de conduite et la sécurité des circulations. "La direction veut allonger le temps maximal de conduite de nuit, de 6 heures actuellement à au moins 7 heures trente", a cité à titre d'exemple Bruno Duchemin, secrétaire général de la Fgaac. "Sept heures trente de conduite sans pause nous semble au delà de la limite physiologique des agents et dangereux pour la sécurité", a-t-il commenté. "On a des droits sociaux qui ne sont pas les mêmes que ceux du privé, il ne s'agit pas de les bazarder et de tout flanquer par dessus bord", a déclaré sur France Inter le PDG de la SNCF, Guillaume Pepy. "Mais il s'agit de faire en sorte que les cheminots SNCF soient aussi efficaces et compétitifs que les cheminots du privés". Le marché du fret est ouvert à la concurrence depuis 2003 pour l'international et depuis 2006 pour le trafic national, et le redressement de la branche fret SNCF, déficitaire, est un des objectifs de la SNCF. Pour Didier Le Reste (CGT), le problème du fret, ce n'est pas les conditions des conducteurs, mais la stratégie de la SNCF. La SNCF "ne résiste pas à la concurrence, elle la favorise" en abandonnant sciemment des parts de marchés, a-t-il estimé. Du côté politique, Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France (MPF), a qualifié la grève de "totalement irresponsable, dans un "contexte de récession". Le Parti communiste a lui estimé que la "politique de déréglementation de Guillaume Pépy" aboutira à "la dégradation des conditions de travail des cheminots et (...) un affaiblissement du service public".
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Pauvre de nous Vilains cheminots, vilains conducteurs, vilains syndicalistes... (et tous dans le même sac, même Vinces y'a pas de raison de l'oublier...) Heureusement Sarko va sauver la France et l'Europe (enfin ... en un an et quelques mois, il n'y est toujours pas parvenu...) heureusement son copain Obama va sauver le monde...et la planète réunis... (après Bush, c'est vrai qu'il va avoir du boulot) et puis y'a toujours plus malheureux que nous pensez donc ces pauvres banquiers et traders...
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Dom Le Trappeur a répondu à zobos situé dans DB Cargo France (ex ECR : Euro Cargo Rail)
Tu peux fournir des éléments de preuve ? -
ALLOCATION DE FIN DE CARRIERE Si vous bénéficiez d'une pension SNCF à jouissance immédiate et si, à la date de la cessation de vos fonctions, vous étiez affilié (e) à la Caisse de Prévoyance, cette Caisse vous versera, en même temps que votre première trimestrialité de pension, une allocation de fin de carrière. Le montant de l'allocation de fin de carrière s'élève à 1/12 ème de votre dernière rémunération annuelle brute, augmentée le cas échéant, du montant des prestations familiales à échéance mensuelle, lorsqu'elles sont versées par la SNCF. Source : guide du pensionné (Edition 2002) Rémunération annuelle brute : Traitement de base Indemnité de Résidence Valeur Moyenne Théorique de la Prime de Travail (en bas sur votre bande de paie) Gratification de vacances Gratfification exceptionnelle Exploitation
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Nouveau syndicat SAR : c'est quoi l'histoire ?
Dom Le Trappeur a répondu à assouan situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Crise financière: les 8 organisations syndicale se retrouveront le 24 novembre La CFDT, la CFE-CGC, la CFTC, la CGT, FO, la FSU, Solidaires et l'UNSA, qui se sont réunies mercredi au siège de la CGT à Montreuil pour discuter de la politique du gouvernement, de la crise financière et des conséquences sur les salariés, ont décidé de se revoir le 24 novembre, sans décider dans l'immédiat d'une grève ou d'une manifestation. Dans un communiqué commun, les organisations syndicales soulignent qu'elles "mesurent la gravité de la situation économique et sociale et le risque qu'on fasse payer aux salariés, demandeurs d'emploi et retraités, les conséquences de la crise en particulier en terme d'emplois, de salaires et de précarité". "Devant l'inquiétude, l'indignation, voire l'exaspération des salariés, elles estiment de leur responsabilité d'engager un travail commun pour construire des revendications à adresser aux pouvoirs publics et au patronat" et "affirment que la mobilisation des salariés est un impératif", précise le communiqué, en notant que "plusieurs propositions sont en débat" sur la forme de cette mobilisation. Les organisations syndicales soulignent aussi qu'elles "condamnent toute politique de déréglementation et de dérégulation économique et sociale" et qu'elles "interpellent le gouvernement et le patronat pour qu'ils prennent la mesure de la situation". Interrogé par l'Associated Press, Gérard Labrune, secrétaire général de la CFE-CGC, s'est félicité du fait que les organisations syndicales aient décidé de "travailler ensemble sur un cahier revendicatif" tout en observant qu'il n'y avait "pas un consensus général sur les modes de mobilisation". AP -
Probléme caténaire sur la LGV A à Marcoussis
Dom Le Trappeur a répondu à CRL COOL situé dans Actualité ferroviaire générale
TGV Atlantique: un jeu stupide sans doute à l'origine des perturbations sur le trafic samedi dernier Une ou plusieurs personnes se seraient amusées à tirer sur un lampadaire de la SNCF samedi dernier près de Marcoussis, provoquant d'importantes perturbations sur le trafic des TGV Atlantique, a-t-on appris mercredi auprès de la gendarmerie. Selon les premiers éléments de l'enquête confiée à la Brigade de recherches (BR) de Palaiseau et à la Section de recherches (SR) de Versailles, six étuis de cartouches ont été trouvés à proximité d'un lampadaire touché à deux reprises par des tirs effectués à 70 mètres de distance. L'un d'entre eux a ricoché et entraîné la rupture d'un caténaire. Les enquêteurs écartent d'ores et déjà la piste de chasseurs. En revanche, ils privilégient l'hypothèse de personnes ayant voulu faire un carton pour s'amuser sur les installations de la SNCF. Des impacts d'autres tirs plus anciens auraient notamment été retrouvés sur un panneau indicateur voisin. Les gendarmes continuent leur enquête de voisinage après avoir effectué des prélèvements à l'endroit d'où les tirs sont partis. Ils ont aussi consulté le fichier des armes à feu répertoriées par les Préfectures. La rupture de caténaire avait provoqué samedi 1er novembre en fin de journée de très importantes perturbations sur le réseau TGV Atlantique en direction ou en provenance de Paris-Montparnasse. Une cinquantaine de TGV avaient été fortement retardés ou annulés, plusieurs milliers de passagers se retrouvant bloqués en gare ou dans les trains. Le trafic n'a totalement repris que le dimanche matin aux environs de 6h. Estimant son préjudice à 400.000 euros, la SNCF, qui a remboursé les billets de nombreux voyageurs, a porté plainte. AP 5/11/2008 -
Préavis de grève des agents de conduite...
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Il faudrait déjà que 100% des cheminots aient connaissance du RH077 (la réglementation du travail) le comprennent ( c'est pas gagné) le fassent appliquer et l'appliquent (deux choses différentes) Concernant "les accords locaux" : ce sont surtout des applications locales d'un texte national prenant en compte des spécificités (métiers, situations géographiques, conditions climatiques, situations individuelles, etc...) Dans les établissements où il existe des accord locaux ça n'empêche pas la direction de vouloir peser sur l'application du RH077 localement sur d'autres aspects... -
Présidentielle américaine 4 novembre 2008
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
Il n'y a qu'une seule race humaine sur la planète Terre... Après il y aura des origines ethniques, historiques ou géographiques ... -
Préavis de grève des agents de conduite...
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
L'unité syndicale se formera-t-elle face à la crise actuelle ? Les huit principaux syndicats CGT, CFDT,FO,CFTC, CGC, UNSA, Solidaires (SUD) et FSU se rencontrent ce matin à Montreuil au siège de la CGT pour se concerter sur la situation et tenter de se mettre d'accord sur une date et une forme d'action commune afin que les salariés se mobilisent pour ne pas payer les pots cassés de la crise financière et économique actuelle. -
Le nombre de ménages peinant à payer leur loyer a bondi de 30% en quatre ans Le nombre de ménages ayant des difficultés à payer leur loyer a augmenté de 30% entre 2002 et 2006, a indiqué l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), mercredi dans un communiqué. Selon l'Insee, 1,789 million de ménages ont affirmé avoir des difficultés à régler leurs loyers ou leurs charges en 2006 contre 1,372 million quatre ans plus tôt. L'Insee précise en revanche ne disposer d'aucun chiffre du nombre de loyers impayés sur cette période. La semaine dernière, la Fondation Abbé Pierre avait indiqué que plus de 500.000 ménages présentaient des impayés de loyer de plus de 2 mois, soit une augmentation de plus de 96% entre 2002 et 2006 dans le parc privé et de plus de 58% dans le parc public, en affirmant s'appuyer sur des chiffres Insee. Selon l'Insee, "l'accroissement du nombre d'impayés constaté entre les enquêtes logement 2002 et 2006 n'est pas interprétable, le protocole de questionnement ayant été modifié d'une enquête à l'autre". De mémoire il doit y avoir environ 24 millions de foyers en France.
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Présidentielle américaine 4 novembre 2008
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
infogaphie résultats sur yahoo http://news.yahoo.com/election/2008/dashboard/ -
Et pendant ce temps là... L'Assemblée vote le budget Sécu 2009 et polémique sur les retraites Béatrix BACONNIER-MARTIN L'Assemblée nationale a adopté mardi le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2009, qui tente de contenir le déficit à 8,6 mds d'euros, et autorise les salariés à travailler jusqu'à 70 ans, mesure très contestée par la gauche et les syndicats. Approuvé par la quasi totalité de la majorité, rejeté par l'opposition, le texte a donné lieu à une intense controverse avec le vote, à l'initiative de Denis Jacquat (UMP), d'une disposition autorisant un salarié à travailler jusqu'à 70 ans. Pour la droite, cette mesure, basée sur le volontariat, offre aux salariés la liberté de travailler plus longtemps, mais la gauche dénonce une première brèche dans le système de retraite à 60 ans. Dans son projet initial, le gouvernement avait prévu l'interdiction, pour les employeurs, de mettre un salarié d'office à la retraite à partir de 65 ans, sans même prévoir un plafonnement d'âge. "Certains ont craint que les entreprises soient obligées de faire travailler les salariés jusqu'à 120 ans", a déclaré à l'AFP M. Jacquat. "Le seul moyen restait le licenciement", a ajouté Benoist Apparu (UMP). "Si on n'avait pas mis d'âge, cela passait inaperçu alors que la mesure était plus dure", a-t-il noté. Mais, pour Jean Leonetti (UMP), "l'inscription d'une barre (d'âge) est anxiogène". Après les syndicats, la gauche a mené l'offensive, le PS jugeant "particulièrement choquant" que "Nicolas Sarkozy se serve de la crise actuelle" pour "remettre en cause les droits des salariés". Dénonçant une "provocation", le groupe PS a de nouveau demandé mardi au gouvernement de "retirer l'amendement" et décidé de voter contre le budget. La polémique a rebondi dans l'hémicycle. "Ce texte ne comporte aucune obligation" pour les salariés, a fait valoir Eric Woerth (Budget). "Ces mesures ne remettent pas en cause l'âge de la retraite (...) Si c'est pour cette raison que le PS appelle à ne pas voter le texte, c'est vraiment qu'il fallait trouver un prétexte", a-t-il lancé. Pierre Méhaignerie (UMP) a fait part de sa "surprise, inquiétude, et stupéfaction" face à la "caricature" faite par l'opposition. "Laisser croire que l'âge de la retraite est relevé à 70 ans est indigne de la vie d'un Parlement", a-t-il dit. "Nous avons mis autant d'attention aux hommes et aux femmes qui veulent partir avant 60 ans qu'à ceux qui ne veulent pas avoir la retraite-couperet à 65 ans", a-t-il soutenu. Mais Jacqueline Fraysse (PCF) a accusé la majorité d'"avoir posé la première pierre du passage de la retraite à 70 ans, comme si ce sujet ne méritait pas un grand débat public". Pour Martine Billard (Verts) "sous couvert de volontariat, il s'agit bien de repousser l'âge de la retraite à taux plein de 65 ans à 70 ans". Autre disposition votée, à l'instigation de Jacques Myard (UMP), la possibilité, pour les pilotes, les stewards et les hôtesses, de poursuivre leur activité jusqu'à 65 ans fait aussi débat. Les syndicats d'Air-France qui, y sont opposés, menacent de faire grève lors de son examen par le Sénat, le 12 novembre. Avec le budget 2009, le gouvernement entend par ailleurs poursuivre "l'effort de redressement" de la Sécu, en faisant des économies, des transferts de ressources et en créant de nouvelles recettes, comme la taxe sur les complémentaires santé et le "forfait social" de 2% à la charge des employeurs. Mais le gouvernement a obtenu de sa majorité qu'elle revienne sur l'extension de ce forfait aux parachutes dorés, aux stock-options et aux actions gratuites, décidée en commission.
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ça marche pour ceux qui boivent le vin de messe au zinc du bistrot du coin ? lotrela
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Présidentielle américaine 4 novembre 2008
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
44ème Président des Etats-Unis : Barack Obama... Mais est-ce que ça changera vraiment quelque chose sur le fond de la politique US ...? (ça me rappelle Mitterand - Giscard...) Sur la forme : c'est déjà gagné, c'est sûr... -
Dieu va-t-il abandonné notre très cher Président ? Travail dominical: critiques de l'archevêque de Paris, Mgr Vingt-Trois Mgr André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence des évêques de France, a ouvert mardi l'assemblée plénière des évêques avec une vibrante critique du travail dominical. "Gagner plus doit-il devenir le principal objectif de l'existence?", a-t-il demandé rappelant que pour les chrétiens, le dimanche est le jour du Seigneur mais aussi le temps de la vie familiale. "Si les dispositions législatives généralisent le champ du travail dominical, les dommages humains et sociaux qui en découleraient seraient sans commune mesure avec le coût économique qui peut en résulter", a insisté Mgr Vingt-Trois. "Ce serait une mesure supplémentaire dans la déstructuration de notre vie collective qui ne toucherait pas seulement les chrétiens", a-t-il ajouté. Dans son discours d'ouverture, il est également revenu sur le succès du récent voyage du pape en France qui a "montré aux observateurs attentifs et impartiaux que l'image donnée trop souvent d'une Eglise en décadence et sans avenir ne correspond pas à la réalité". Au cours de leur assemblée plénière, qui les réunit jusqu'à dimanche, les évêques doivent discuter de bioéthique, de "visibilité" de l'église dans une société de moins en moins pratiquante et du devenir des lieux de culte. Le discours d'ouverture du cardinal Vingt-Trois montre toutefois que le temporel aura aussi sa place dans leurs discussions. Il a en effet évoqué assez longuement la crise économique, regrettant au passage que les "préoccupations de l'équilibre économique mondial aient éclipsé" les travaux du synode qui vient de se tenir à Rome. Il s'est également interrogé sur le partage des richesses et l'écologie.
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Présidentielle américaine 4 novembre 2008
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Présidentielle américaine: Obama l'emporte dans deux petits hameaux du New Hampshire Les électeurs de Dixville Notch et Hart's Location, deux minuscules hameaux reculés du New Hampshire dans le nord-est des Etats-Unis, ont été les premiers Américains à voter peu après minuit et les résultats sont déjà connus. Et le gagnant est Barack Obama. Et à Dixville Notch, le candidat démocrate l'emporte par 15 voix contre six à son adversaire républicain John McCain. Le candidat indépendant Ralph Nader n'a recueilli aucune voix. En 2004, alors qu'il se présentait pour son deuxième et dernier mandat, Bush s'était imposé à Dixville Notch. Rick Erwin, le secrétaire général de la municipalité ne cache pas sa fierté en soulignant que le taux de participation a été de 100%. A Hart's Location, les électeurs ont "massivement voté" pour Obama qui obtient 17 voix contre 10 à McCain et deux voix à Ron Paul, un parlementaire qui n'avait pas obtenu l'investiture républicain. Comme Dixville Notch, Ralph Nader est reparti bredouille. Depuis 1948, dans ces deux hameaux du New Hampshire, le scrutin est traditionnellement organisé mardi à 0h00, soit au moins huit heures avant le reste du pays. Ces deux hameaux, en quête de notoriété, profitent en effet d'une loi de l'Etat qui autorise les communautés peu peuplées de clore le scrutin plus tôt que l'heure légale si tous les électeurs inscrits ont voté. AP -
Contrat de performance entre l'Etat et RFF
Dom Le Trappeur a répondu à www.webtrains.net situé dans Actualité ferroviaire générale
AFP : L'Etat va investir 13 milliards pour la rénovation du réseau ferroviaire Le site de RFF http://www.rff.fr/pages/accueil.asp L'Etat va investir treize milliards d'euros d'ici 2015 pour moderniser le réseau ferroviaire, annonce lundi Réseau ferré de France, qui a signé un "contrat de performance" avec les pouvoirs publics. Depuis plusieurs mois, de nombreux rapports, dont un de la Cour des Comptes paru en avril, avaient pointé du doigt le manque de moyens pour l'entretien des installations ferroviaires, provoquant régulièrement des incidents et des retards dans le trafic des trains. Ce contrat de performance, sur la période 2008-2012, signé en la présence de plusieurs ministres (Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, Christine Lagarde, ministre de l'Economie, Eric Woerth, ministre du Budget, Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat chargé des Transports) demande à RFF de respecter 33 engagements, concernant l'amélioration du réseau, les normes environnementales, mais aussi de performance. Des objectifs sont fixés en terme de chiffre d'affaires (4 milliards d'euros dès 2011) et de résultat net (500 millions d'euros), pour cette entreprise fortement endettée depuis sa création en 1997. Selon l'engagement n°7, RFF devra renouveler "3.940km de voies et 1.430 appareils de voie pour 7,3 milliards d'euros" d'ici 2012, et "6.420km de voies et 2.420 appareils de voie" pour 13 milliards d'euros pour la période 2008-2015, soit une moyenne de 800km de voies par an. En 2007, RFF en avait rénové 534km. RFF devra cependant limiter "la progression des charges d'infrastructure" à 2% et "développer ses recettes commerciales jusqu'à couvrir 60% du coût complet du réseau" en 2012 (contre 48% aujourd'hui), ce qui signifiera une augmentation des tarifs du fret, ouvert depuis 2006 à la concurrence. Un programme de "valorisation foncière et immobilière" des terrains appartenant à RFF est également prévu pour participer au financement du plan de rénovation. AP