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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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la fgaac écartée par sud et la cgt chez naviland cargo
Dom Le Trappeur a répondu à tom situé dans Naviland Cargo
Non Adepte de l'Union des salariés L'Union fait la Force -
sans compter les abstentionnistes...
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Lu ce matin dans la presse : tous les grands syndicats américains soutiennent la candidature d'Obama l'AFL-CIO met 200 millions de dollars pour soutenir sa campagne électorale...
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la fgaac écartée par sud et la cgt chez naviland cargo
Dom Le Trappeur a répondu à tom situé dans Naviland Cargo
Si il n'y avait qu'un seul syndicat regroupant 100% des salariés on ne se poserait pas ce genre de problème... -
Sincères pensées à la mémoire de Jean. Courage à toute la famille et à tous les amis. Amitiés.
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Olivier Besancenot avait été mis sur table d'écoute... C'est maintenant le ... Mystère autour du matériel électronique dans la voiture de Bernard Thibault Par Sylvain PEUCHMAURD EVRY (AFP) - Le mystère restait entier jeudi après la découverte la veille de matériel électronique à bord de la voiture de fonction du secrétaire général de la CGT Bernard Thibault, tandis que l'enquête préliminaire ouverte par le parquet d'Evry se poursuivait dans la discrétion. Dans l'attente des résultats des analyses du laboratoire de la police scientifique de Paris, le procureur de la République d'Evry, Jean-François Pascal, avait évoqué mercredi l'hypothèse de matériel d'"écoute" ou de "localisation". Jeudi à la mi-journée, ces résultats n'étaient pas connus. Dans ses déclarations à la police, le leader cégétiste a affirmé avoir découvert avec ses "accompagnateurs" la présence d'une "carte informatique" dissimulée dans une enceinte à l'arrière de sa voiture de fonction, et des diodes sur le plancher de celle-ci, selon une source judiciaire. Il s'agit d'une carte réseau, a expliqué jeudi une source proche du dossier. Sur le sol du garage se trouvaient un tournevis et un morceau de fil noir dénudé à ses deux extrémités, a-t-on précisé de source judiciaire. La porte du garage et le portail, habituellement verrouillés, étaient ouverts, sans que les serrures ne portent de traces d'effraction, a-t-on précisé de même source. Selon le procureur de la République d'Evry, une partie de l'installation se serait trouvée à l'intérieur du véhicule, l'autre à l'extérieur. Là où les personnes qui opéraient sur le véhicule ont manifestement été dérangées, a-t-il ajouté. Selon le procureur, qui a confié l'enquête au SRPJ de Versailles, M. Thibault a déposé plainte mercredi après-midi "pour violation de domicile" auprès du commissariat de la commune de l'Essonne où il réside. C'est la CGT qui avait annoncé dans un communiqué mercredi l'intrusion et la découverte de matériel électronique dans la voiture de fonction de son responsable. Ce matériel "n'était manifestement pas visible et rien n'était fait pour le rendre visible mais nous l'avons trouvé quand même", avait déclaré M. Thibault mercredi soir sur France Info, précisant que les auteurs avaient "laissé quelques traces". Le dirigeant syndical souhaite désormais obtenir "plus d'explications sur les raisons, les motifs, voire les auteurs". "Je me dis que ce matériel, dans cette voiture, n'y est pas venu complètement par hasard (...) Ce n'est pas une voiture parmi d'autres et c'est sans doute pas Bernard Thibault mais peut-être plus le responsable syndical" qui est visé, avait-il également déclaré le même jour sur Europe 1. Le secrétaire d'Etat à l'emploi Laurent Wauquiez a qualifié jeudi cette découverte d'"extrêmement désagréable". "Bernard Thibault a aussi des tensions en interne, des tensions avec les autres autour. C'est quelqu'un qui n'est pas en rondeur, mais je crois que ça fait aussi sa force et en tout cas, le respect qu'il m'a inspiré dans les discussions", a ajouté le secrétaire d'Etat. "Je trouve qu'il a un parcours qui force le respect", a-t-il affirmé. En février 2006, M. Thibault avait trouvé devant la porte de son domicile une tête de cochon transpercée d'un poignard, sans élément permettant d'identifier les motifs du ou des auteurs d'un tel acte.
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Bon Anniversaire Mister NICOPASTA...
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une convention collective ferroviaire de haut niveau
Dom Le Trappeur a répondu à ASCT situé dans Actualité ferroviaire générale
http://www.cheminotcgt.fr/new_site/accueil...ntiel_actu.html Tu cliques sur négociations CCN dans la colonne de gauche (je ne sais plus si c'est Antoine ou Pepe ou un autre qui nous avait fourni le lien... -
6,5 % de grevistes !
Dom Le Trappeur a répondu à stephenn73 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Et en plus elles ne sont pas elles-mêmes d'accord avec les 4 autres qui ne sont elles-mêmes pas d'accord entre-elles et une 9ème joue les abonnées absentes... Le 17 journée d'action CGT CFDT SUD FSU (peut être FO) Allez comprendre... -
La grève autrement ?
Dom Le Trappeur a répondu à le-negociateur situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Avec la déclaration préalable 48h avant la prise de service et la possibilité pour l'entreprise de modifier l'utilisation des personnel à J-24h grève de 59 minutes à la PS sans toucher la circulation des trains est possible SI le service s'organise en conséquence pour faire assurer la PS de l'agent gréviste par un autre agent... Après faudrait regarder de près la légalité de la chose. Mais je ne crois pas que le Service (donc la dDirection) joue le jeu... En plus je vous dis pas la surcharge de travail au niveau des services de commande du personnel... Mais ça vaut peut être le coup d'essayer... Comme quoi une loi (le service minimum...) peourrait se retourner contre ses auteurs... Ceci dit on se fait emmancher quand même de 59 minutes de retenues de salaire... -
La grève autrement ?
Dom Le Trappeur a répondu à le-negociateur situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Ô ! parfois ça roule mieux Les jours de Grève que les jours de service normal... -
6,5 % de grevistes !
Dom Le Trappeur a répondu à stephenn73 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Et un historique du temps de travail :sur France 2 http://info.france2.fr/dossiers/france/43815074-fr.php 35 heures: 10 ans, seulement ? AFP/PASCAL GUYOT Toujours au centre des débats politiques, les 35 heures fêtent les dix ans de la première loi Aubry C’est en effet en 1998 que l’Assemblée, passée à gauche après la dissolution de 1997, vote le texte du ministre du travail du gouvernement Jospin, instituant les 35 heures (loi du 13 juin 98). Une première loi -suivie d’une seconde- dont les conséquences sont toujours âprement discutées. Retour sur une conquête sociale dans l’œil du cyclone. Les 35 heures au centre du débat Les 35 heures ont été le symbole des années Jospin. Résultat, la droite en a fait l'épouvantail absolu. Depuis son retour au pouvoir, en 2002, les 35 heures ont été présentées, par cette dernière, comme la cause de tous les maux de l’économie française. Mais aucun gouvernement n'a mis en cause la référence à cette durée du travail, qualifiée d'"acquis social" par Sarkozy, s’attaquant uniquement aux heures supplémentaires (à l’exception, notable, de la journée dite de solidarité qui impose une journée de travail supplémentaire). Depuis l’arrivée de Nicolas Sarkozy au pouvoir, qui avait mis "la valeur travail" en avant, le discours sur les 35 heures n’a cessé d’évoluer. Entre acquis social intouchable et réforme présentée comme indispensable, le gouvernement semblait hésiter jusqu’à ces derniers jours. En janvier, le chef de l'Etat avait suscité un tollé en souhaitant que 2008 marque la fin des 35 heures, il avait, le lendemain, accusé l'opposition de le « caricaturer » : « Je veux augmenter le nombre d'heures supplémentaires, donc je veux garder une durée légale du travail. Ce n'est quand même pas difficile à comprendre », avait-il plaidé. Aujourd'hui, le gouvernement entend faire voter un texte sur cette question Intitulé "projet de loi portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail", le texte, qui a mis en fureur la CFDT (son secrétaire générale affirme avoir "le sentiment d'avoir été trompé" par le ministre du Travail), doit faciliter la renégociation, entreprise par entreprise, de nombreuses modalités du temps de travail. "Le gouvernement veut donner plus d'espace à la négociation d'entreprise ou de branche sur le sujet du contingent comme, plus généralement, sur celui de l'aménagement du temps de travail", indique le projet. Selon le projet de loi, il sera possible, sous réserve d'accord, de dépasser le quota légal d'heures supplémentaires, dans les limites du raisonnable pour la santé publique (10 heures par jour, 48 heures hebdomadaire -plafond légal européen- et au moins un jour de repos par semaine). Il sera aussi possible de proposer aux salariés de travailler sur la base d'un forfait en heures sur l'année, formule plus souple que l'annualisation, et concernant actuellement les cadres et les VRP. Elle sera ouverte aux "salariés disposant d'une réelle autonomie dans l'organisation de leur emploi du temps". Bref un texte, qui selon ses détracteurs risque de mettre à bas l'édifice des 35 heures dans de nombreuses entreprises. Petite histoire du temps de travail En France, au XVIIe siècle, il y avait 164 jours chômés dans l’année. Les corporations imposaient alors des règles qui permettaient de nombreuses périodes durant lesquelles le travail (mot venant du latin tripalium, torture) salarié était proscrit : absence le dimanche et le lundi suivant la paye, nombreuses pauses quotidiennes, travail à temps partiel pendant les récoltes, restriction du travail des enfants, etc. À la fin du XVIIIe siècle( et donc de la Révolution), les employeurs, qui avaient acquis, grâce aux lois "libérales" d’Allarde et le Chapelier (1791), la possibilité de fixer la durée du travail, ont accru les horaires et employé des enfants plus jeunes en supprimant les contraintes imposées par les corporations. La révolution industrielle battait son plein et le temps de travail est l’enjeu de luttes sociales récurrentes en raison d'une libéralisation progressive des règles qui a conduit à accroître considérablement la durée du travail des salariés. Au XIXe siècle, le temps de présence des ouvriers sur leur lieu de travail était de l’ordre de 4 500 heures par an (soit 15 à 16 heures par jour, 6 jours par semaine). Une durée plus importante que celle des agriculteurs des sociétés traditionnelles, estimée entre 1800 et 2000 heures. La durée du travail a néanmoins diminué régulièrement tout au long du XIXè siècle, au fil des luttes sociales. La loi de 1841 a limité le travail des enfants de moins de 12 ans dans les industries mécanisées à huit heures. Elle est cependant restée très peu appliquée pendant une longue période. Ce n’est qu’en 1906 que le repos hebdomadaire a été définitivement institué. La journée de 8 heures et la semaine de 48 heures, tempérées par de nombreuses dérogations, se sont imposées en 1919, tandis que les 40 heures hebdomadaires et les deux semaines de congés payés ont été instituées en 1936. quatrième et cinquième semaines de congés payés sont respectivement imposées, par voie légale, en 1956, 1963 et 1982. Enfin, la durée légale du travail a été fixée à 35 heures dans (presque) toutes les entreprises en 2002. Cette histoire n'est pas franco-française puisque des luttes sur cette question ont eu lieu dans tous les pays industriels (En 1842, Lord Ashley fait interdire le travail des femmes et des enfants de moins de dix ans au fond des mines de Grande-Bretagne. La fête du Travail, célébrée mondialement le 1er mai commémore les morts liés à une grève en 1889 à Chicago pour travailler 8 heures par jour). Durée du travail : un argument politique... Dans la mémoire française, la durée du travail occupe une place importante et fait depuis longtemps l’objet de débats politiques. Sans remonter plus loin, en 1936, le Front populaire de Léon Blum institue les 40 heures. "Depuis plus d'un siècle, toute l'histoire de l'industrie, c'est la diminution continue du temps de travail associée à l'élévation constante de la production, de même que la diminution continue des prix de revient associée à l'élévation continue des salaires. Cela peut sembler un double paradoxe à première vue. Et cependant, depuis qu'il y a une grande industrie dans le monde, ces deux phénomènes contradictoires en apparence et qui ont couvert le ministère public de stupéfaction, se sont produits simultanément, parallèlement, et peut-être, mon Dieu ! en y réfléchissant, sont-ils même fonction l'un de l'autre", se défendait Léon Blum sur la loi des 40 heures alors qu'il était poursuivi, devant la Cour de Riom, par la justice du Maréchal Pétain pourfendeur de cette avancée. En 1981, les premières années Mitterrand fixèrent la durée hebdomadaire du travail à 39 heures. Des conquêtes sociales auxquelles s'ajoutèrent des avancées sur la durée des congés (payés). 1998 vît donc l’arrivée des 35 heures dans une France fortement marquée par le chômage et la revendication sur le partage du travail. Revendication qui avait déjà conduit le gouvernement précédent (Juppé) à voter une loi sur la réduction du temps de travail (Loi Robien, 11 juin 1996). En France, la durée annuelle du travail est passée de 2024 heures en 1960 à 1 434 heures en 2005. Le passage aux 35 heures y a accentué le rythme de diminution de la durée du travail par rapport à nos principaux partenaires. Entre 1998 et 2004 la durée annuelle moyenne du travail de l’ensemble des salariés a diminué au rythme annuel de 1 % en France, contre 0,1 % aux États-Unis, 0,2 % en Espagne, 0,4 % au Royaume-Uni et 0,9 % en Allemagne. ...contrairement aux autre pays La durée moyenne hebdomadaire du travail des salariés à temps plein est passée passée en France de 40,7 à 35,7 heures entre 1980 et 2006. Les chiffres montrent que le temps de travail des salariés à temps plein a diminué par paliers sur cette période. En clair, c'est le vote des Français qui a provoqué les deux fortes baisses du temps de travail observées en 1981 et en 1998-2002. Ce sont en effet des lois promises et annoncées par la gauche qui ont été mises en oeuvre : le passage à 39 heures en 1981 et à 35 heures sur la période 1998-2002. Ce volontarisme politique, assez rare dans le monde, donne à la structure du travail en France une particularité: les comparaisons montrent que si la durée moyenne annuelle du travail est plus élevée en France qu’en Allemagne ou qu’aux Pays-Bas, les observateurs notent que le temps partiel y est relativement peu développé par rapport à ces deux pays. Selon Eurostat, la durée hebdomadaire du travail en 2007 de l’ensemble des actifs était de 37 heures en France, pour 37,3 heures dans l’Europe des Quinze. C’est presque une heure de plus qu’en Allemagne (36,2 heures), une heure et demie de plus qu’au Danemark (35,5 heures) et dans les pays nordiques, et presque cinq heures de plus qu’aux Pays-Bas (32,2 heures). La durée hebdomadaire du travail est également plus élevée en France qu’au Royaume-Uni où, après avoir fortement baissé, elle s’établit à 35,8 heures et surtout qu’aux Etats-Unis (33,7 heures). En France, le taux de temps partiel est de 17 %, il s’élève à 33 % en Allemagne et à 46 % aux Pays-Bas. Les partisans de la baisse du temps de travail trouvent dans ces chiffres la preuve que tous les pays ont d'une façon ou d'une autre mené une réduction de la durée du travail. Les exemples étrangers montrant, pour eux, que la réduction du temps de travail s'est faite de façon moins concertée. Les observateurs notent que, en France, la baisse de la durée du travail s’est accompagnée d’un accroissement des heures supplémentaires. 35 heures: quel bilan ? Catastrophe pour les uns, aubaine pour les autres, le débat sur le temps de travail, sur sa limitation, sur les heures supplémentaires est loin d'être réglé tant la nature des arguments peut s'opposer, selon qu'on soit dans le champ politique, social, économique ou sociétal. »L'impact des 35 heures sur l'emploi a été examiné sous tous les angles. Ils convergent pour évaluer à 400 000 emplois environ leur effet net dans le secteur concurrentiel (hors hôpitaux et collectivités locales), comme le confirment des enquêtes de la Dares et de l'Insee. Les données macroéconomiques confirment ces résultats. La France a connu un véritable boom de l'emploi entre 1999 et 2000 (au moment où la réduction du temps de travail s'est faite) jamais connu dans l'histoire économique de notre pays, loin de là, même pendant les périodes de forte croissance. Ce boom ne peut s'expliquer autrement que par un effet décisif des 35 heures et des emplois-jeunes », écrivait Martine Aubry dans Alternatives Economiques en 2004. "Les créations d'emplois entre 1997 et 2002 ont été neuf fois supérieures à celles des vingt-cinq années précédentes (48 000 par an) et trois à quatre fois supérieures à celles des Trente Glorieuses (120 000 par an entre 1955 et 1973). La conjoncture internationale n'explique pas le caractère hors normes de cette accélération. En effet, les créations d'emplois ont été plus importantes que dans les autres pays européens, soumis à une même conjoncture: selon Eurostat, le taux de création d'emplois entre 1999 et 2001 a été de 50 % plus élevé en France que dans les autres pays européens (2,5 % par an, contre 1,6 %). Alors que la France en créait deux fois moins auparavant: 0,4 % en France entre 1995 et 1997, contre 0,8 % en moyenne dans les autres pays européens. De plus, les 400 000 emplois créés par les 35 heures ne comprennent pas les emplois indirects créés dans les secteurs du sport, des loisirs et du tourisme, par exemple. Certains les chiffrent de 40 000 à 50 000 emplois", ajoutait-elle. A ces chiffres les partisans des 35 heures ajoutent des arguments d'ordres économiques (réorganisation de la production amenée par les négociations instituant les 35 heures et gains de productivité), sociaux (confort de vie entraîné par la réduction du temps de travail), sociétaux (boom des naissances depuis 1998 ?)... Dans l'autre camp, les arguments ne manquent pas non plus. A commencer par l'argument politique qui consiste à dire que si les socialistes ont perdu en 2002 et 2007, les 35 heures n'y sont peut-être pas pour rien. Un argument qu'a su exploiter Nicolas Sarkozy lors de sa campagne avec son "travailler plus pour gagner plus" puisque l'une des conséquences de l'aménagement des 35 heures était la modération salariale. Mais la principale critique est d'ordre économique: «L'idée la plus fausse en France, ça a été l'idée du partage du temps de travail. Le partage du temps de travail, c'est une erreur économique doublée d'un scandale social», a affirmé le président Sarkozy lors d'un déplacement en province consacré à l'emploi des seniors. «La vérité, c'est que plus il y a de gens qui travaillent, plus on crée de richesses, plus il y a de croissance et plus il y a de travail pour tout le monde» Les autres arguments sont essentiellement d'ordre économiques (destruction d'emplois, selon certains; compétitivité internationale) ou liés à la baisse du chômage (coût de la main d'oeuvre, souplesse de la production). Ce n'est pas ici que ce débat sera tranché. Pour ce faire une idée sur les arguments opposés, voir les textes en liens. -
6,5 % de grevistes !
Dom Le Trappeur a répondu à stephenn73 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Une petite louche du matin le RH n'a qu'à bien se tenir... Article de presse Ouest France http://www.ouestfrance-emploi.com/actu_tem...amines_1615.htm Temps de travail : 2 textes européens examinés Pourra-t-on travailler 78 heures ? Les ministres européens planchent, ce lundi, sur l'aménagement du temps de travail. Deux textes européens seront examinés aujourd'hui à Luxembourg. L'un sur le temps de travail, l'autre sur les intérimaires. Temps de travail : un recul ? La proposition - débattue depuis six ans - modifie une directive de 1993 sur deux points. Elle crée d'abord un « temps de travail inactif ». Les heures de garde très utilisées dans les hôpitaux, maisons de retraite ou sociétés de gardiennage... ne seraient ainsi plus décomptées comme temps effectif de travail. Sauf si une loi ou si les partenaires sociaux au niveau national décident le contraire. Second point : la possibilité pour un salarié de travailler au-delà de la limite maximale de travail (48 heures par semaine) sera plus encadrée. Les patrons peuvent négocier au cas par cas des dérogations avec leurs employés. Dans certains cas bien définis, les Européens pourront travailler jusqu'à 78 heures par semaine. Intérim : on avance ? Il n'y a pas jusqu'ici de législation au plan européen sur les intérimaires. Le texte prévoit un principe d'égalité, déjà inscrit dans la loi en France. Un intérimaire a les mêmes droits que le travailleur permanent qu'il remplace. Avantage : il met tous les États membres et tous les travailleurs à égalité. Ces textes pourraient être adoptés séparément. En les regroupant, le compromis est plus facile. Certains États cèdent sur le premier texte, d'autres sur le second. L'enjeu de la bataille ? Les Britanniques étaient jusqu'ici opposés à une législation sévère sur l'intérim. Comme syndicats et patrons viennent de signer Outre-Manche un accord anticipant le texte européen, leur opposition tombe. En revanche, sur le temps de travail, le Royaume-Uni, allié à l'Allemagne et à d'autres États, ne sont pas décidés à céder, face au camp emmené par la France et l'Espagne, qui entend limiter les dérogations à la durée du travail... C'est un paradoxe ! À Bruxelles, Xavier Bertrand européen est plus « social » qu'à Paris... Les deux textes à l'étude définissent des exigences minimales, sans empêcher des règles nationales plus protectrices (semaine de 35 heures en France). Nicolas GROS-VERHEYDE, Ouest-France -
ça hurle déjà dans les hôpitaux avec la question des gardes et astreintes des médecins
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6,5 % de grevistes !
Dom Le Trappeur a répondu à stephenn73 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
93,5 de non grévistes si tu préfères. (si on en croit la stat de la direction : à priori ils n'ont pas fait rouler beaucoup de trains...Je plaisante, tapez pas) Alors une question pour relancer ce débat fort intéressant mais il ne faudrait pas que ce soit toujours les mêmes qui causent, le topic est ouvert à tous... Pourquoi 93,5% de cheminots ont préféré ne pas faire grève ? -
Devenir Cheminot (cas spécifique)
Dom Le Trappeur a répondu à molpy situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
Au commercial : agent sono. tu pourrais nous lire quelques belles pages pour élever le niveau culturel de la population (cheminots, voyageurs ...) je plaisante... Poses toi la question: qu'est-ce que tu voudrais faire comme métier à la sncf : il doit y en avoir près de 200 différents... -
6,5 % de grevistes !
Dom Le Trappeur a répondu à stephenn73 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Ben moi même les dépités UMP n'en reviennent pas... -
6,5 % de grevistes !
Dom Le Trappeur a répondu à stephenn73 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Si il y a des rouges et des jaunes (sans compter les roses, les bleus, les verts, les oranges et j'en passe) Si il ya des pour et des contre : il ne peut y avoir de pensée unique. Que ce serait triste une pensée unique sans vous, sans les autres et sans moi bien entendu... lotrela -
La grève autrement ?
Dom Le Trappeur a répondu à le-negociateur situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Tu envoies les voyageurs mécontents dans le bureau du manager... -
6,5 % de grevistes !
Dom Le Trappeur a répondu à stephenn73 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
35 heures: dialogue de sourds entre les députés UMP et les partenaires sociaux Par Emmanuel Georges Picot AP - PARIS - Les députés UMP prennent le relais du gouvernement dans le conflit sur les 35 heures. Les dirigeants de la CGT, de la CFDT, du MEDEF et de la CGPME sont venus défendre mardi devant les députés de la majorité leur position commune, remise en cause par l'avant-projet de loi du gouvernement. Les parlementaires UMP ont affiché, à quelques exceptions près, leur "solidarité" avec le gouvernement. Cette réunion inédite entre le groupe majoritaire et Bernard Thibault (CGT), François Chérèque (CFDT), Laurence Parisot (MEDEF) et un représentant de la CGPME, prévue de longue date, s'est tenue dans un contexte social tendu par la décision du gouvernement de passer outre l'accord signé en avril par plusieurs organisations sur la représentativité et les 35 heures. L'article 17 de ce texte signé en avril prévoyait la possibilité de négocier le temps de travail dans les entreprises sur la base du contingent d'heures supplémentaires et "à titre expérimental". Mais dans son avant-projet de loi, qui sera présenté mercredi à la Commission nationale de la négociation collective (CNNC) et le 18 juin en conseil des ministres, le gouvernement autorise les entreprises à déroger par des accords majoritaires à la durée légale du travail. Les signataires, qui s'estiment trahis par le ministre du Travail Xavier Bertrand, ont donc demandé aux députés, qui examineront le texte en juillet, de respecter leur accord. "On vous demande simplement de nous respecter", a déclaré François Chérèque. Le secrétaire général de la CFDT a proposé aux députés de donner aux partenaires sociaux un délai de six mois supplémentaires pour trouver un accord satisfaisant. Au nom de la CGT, Bernard Thibault a brandi la menace de "conflits très importants" si le projet de loi est voté en l'état. "Ce texte de loi remet à plat tous les accords sur le temps de travail à l'échéance du 31 décembre 2009. C'est la première fois qu'un projet de loi nous annonce la date d'un futur conflit important de portée nationale", a ironisé le dirigeant syndical. "Attention à ne pas briser un élan nouveau dans les rapports sociaux en France, élan qui peut être porteur de réformes fondamentales", a averti Laurence Parisot (MEDEF). Ces appels n'ont pas été entendus par la majorité du groupe. Lors de la réunion, des députés UMP ont rappelé les engagements de campagne de Nicolas Sarkozy pour "sortir du carcan des 35 heures imposées". "On a un calendrier politique et une feuille de route depuis la présidentielle", a fait valoir Marc-Philippe Daubresse, selon un témoin. "Nous sommes totalement solidaires de la démarche du gouvernement. Il y a urgence à avancer", a répondu Jean-François Copé. Le président du groupe UMP a défendu la position du gouvernement sur les accords d'entreprise, "une avancée très importante" et "tout à fait nécessaire". Jean-François Copé a écarté la suggestion de M. Chérèque d'un délai supplémentaire de six mois, affirmant qu'il "faut avancer" sur la question. Le président du groupe UMP s'est néanmoins dit prêt à poursuivre le dialogue. Il a proposé une autre réunion pour la fin juin-début juillet, avant l'examen du projet de loi par les députés. Cette fin de non-recevoir a satisfait le gouvernement. "Nous sommes les uns et les autres en phase, chacun prenant clairement ses responsabilités", s'est réjoui Xavier Bertrand lors des questions au gouvernement. Bernard Thibault a déploré "l'approche politicienne" des députés UMP. "Il est clair pour nous qu'il faut travailler plus que jamais à une forte mobilisation le 17 juin prochain", a conclu le leader de la CGT. La CFDT et la CGT ont appelé à des manifestations ce jour-là, mais les autres syndicats ne se sont pas associés à cet appel. Les arguments des partenaires sociaux ont quand même ébranlé certains députés UMP. "Thibault est moderne par rapport au groupe UMP", ironisait le villepiniste François Goulard. "Le gouvernement et le groupe sont en train de casser quelque chose d'extrêmement positif". La gauche a observé cette rencontre en spectatrice. "Pour établir des relations de confiance, M. Bertrand a une grosse pente à remonter. Je ne suis pas certain que cela change quoi que ce soit", a estimé Arnaud Montebourg (PS). AP -
6,5 % de grevistes !
Dom Le Trappeur a répondu à stephenn73 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
La vie continue... Il y a une vie après la grève (et avant la suivante )... 35H : dialogue de sourds entre partenaires sociaux et députés UMP Par Claudine RENAUD PARIS (AFP) - Les députés UMP ont fermé la porte mardi à toute concession sur le projet de réforme du temps de travail, malgré un front patronal et syndical dénonçant une "démarche inacceptable", un texte "gravissime", "qui casse le nouvel élan" du dialogue social. Le groupe UMP a longuement reçu mardi les signataires de la position commune du 9 avril sur la représentativité (CGT, CFDT, Medef, CGPME). Mais, "même si les députés ont été attentifs, on n'est pas à la veille d'une initiative de nature à nous faire renoncer à la mobilisation du 17 juin", a averti le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault. Le projet de loi, couplé avec la réforme de la représentativité syndicale, doit faciliter la renégociation, entreprise par entreprise, de nombreuses modalités du temps de travail. Dénonçant un texte "gravissime" et une "méthode malhonnête" qui "modifie autoritairement plus de 60 articles du code du travail", la CGT a jeté ses cheminots dans la bataille en déposant un préavis national de grève à la SNCF le 17, tombant le deuxième jour des épreuves du baccalauréat. (sic) Côté CFDT, le divorce est également consommé, François Chérèque ayant "le sentiment d'avoir été trompé". "Le Premier ministre et le ministre du Travail nous ont tendu un espèce de piège, c'est-à-dire négocier sur le temps de travail ce qu'on a fait, et après, ils profitent de cette négociation pour faire autre chose. C'est une démarche qui n'est pas acceptable", a-t-il dit. La présidente du Medef, Laurence Parisot n'a pas été la moins virulente pour critiquer, non pas les 35 heures, mais la méthode du gouvernement consistant à aller plus loin que les partenaires sociaux dans la déréglementation du temps de travail. Cela "pourrait être une victoire à la Pyrrhus", c'est-à-dire trop chèrement obtenue, a-t-elle tenté d'expliquer à ses interlocuteurs de la majorité présidentielle. "Ce que Mme Parisot conteste, ce n'est pas le fond, mais la méthode, car cela renie la négociation qu'on a eue ensemble", a analysé Michel Donnedu (CGT). Après l'audition, le président du groupe UMP, Jean-François Copé a balayé la proposition de la CFDT de rénégocier encore une fois sur le temps de travail, quitte selon François Chérèque, à boucler en six mois et à ce que les députés fassent ensuite "ce qu'ils veulent si on n'arrive pas à un accord". "Nous ne sommes pas dans cette logique. Le gouvernement a pris la décision de lier les questions" de la représentativité syndicale et de la réforme du temps de travail "et nous suivons le gouvernement", a dit M. Copé, estimant qu'il y avait "urgence à avancer". Xavier Bertrand lui a fait écho, estimant que "nous sommes les uns et les autres en phase, chacun prenant ses responsabilités". Insensible aux critiques des socialistes qui accusent le gouvernement de "malmener le dialogue social" et de "laisser les salariés sans protection à part la limite maximale de 48 heures", M. Bertrand a minimisé les tensions avec les syndicats, rappelant qu'on lui avait déjà dit ça au moment de la réforme des régimes spéciaux à l'automne 2007. Le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer (UMP) a estimé pour sa part que "le temps de la négociation s'est déroulé" et qu'"on ne peut pas repousser" l'examen de la réforme. Toutefois, selon la porte-parole de l'UMP Chantal Brunel, "la réunion a ébranlé le groupe" et "voir Parisot et Thibault sur la même ligne dénoncer le +passage en force+ du gouvernement a déstabilisé certains députés UMP". -
Va pas être content notre très "Cher" Président Bon se rattrapera sur le taux de chômeurs... Hausse de 10% du nombre de tués sur les routes en mai PARIS (AFP) - Le nombre de tués sur les routes a augmenté de 10,4% en mai 2008 par rapport au même mois de 2007, ce qui porte à 382 le nombre de personnes décédées, soit 36 de plus qu'en mai 2007, a annoncé mardi Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie chargé de la sécurité routière. Dans le même temps cependant, le nombre des blessés a baissé de 19,7% (6.969 en mai 2008 contre 8.682 en mai 2007), et celui des blessés hospitalisés de 15,3% (2.767 contre 3.265 l'an dernier), selon les chiffres provisoires de la sécurité routière rendus publics par M. Borloo, Dominique Bussereau (Transports) et Cécile Petit, déléguée interministérielle à la sécurité routière dans un communiqué. Les accidents ont baissé de 8,6%. La période a été marquée cette année par des week-ends de fort trafic, par des accidents dramatiques concernant les transports collectifs et par de très graves infractions au code de la route qui ont été à l'origine d'accidents concentrant un grand nombre de personnes tuées, note le ministère. "Trop de drames ont encore brisé des vies et endeuillé des familles, au mois de mai sur les routes de France. Je veux rappeler avec force que ce terrible constat n'est pas une fatalité. Chacun, en adoptant un comportement responsable en toutes circonstances, a les moyens de lutter contre la violence routière", a déclaré M. Borloo. Ceci étant soyez prudent vous qui prenez la route, levez le pied et respectez le code de la route...
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6,5 % de grevistes !
Dom Le Trappeur a répondu à stephenn73 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Petit exemple de ce qu'on fait dire aux chiffres 1200 postes de travail avec 6,5% ça donne : 78 grévistes 78 grévistes sur 500 agents prenant leur service dans la période du préavis sans double compte ça donne 15,6% Pas de quoi pavoiser non plus cela veut simplement dire que la mobilisation est à ce niveau là... Bien évidemment si je rapporte ce chiffre aux seuls agents de la filière transport travaillant dans les postes d'aiguillages, concernés par le Fret...