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Et si les négociations permettent de déboucher sur un accord parceque tout le monde gouvernement, direction et OS ont fait un effort pour parvenir à un texte sur lequel toutes les parties appossent leurs signatures parceque justement pour avoir 30% de représentativité (et éviter que 50% puissent s'opposer à un accord signés par des minoritaires) il faut faire un effort pour obtenir un compromis ... A l'heure actuelle la direction présente un texte et recherche à avoir au moins une signature (sur 9 car le syndicat des Cadres supérieurs compte pour 1) : ça lui suffit ... mais est-ce normal ? Et en conséquence qu'en pensent réellement les cheminots ? Le vrai problème qui est posé c'est aujourd'hui celui du regroupement syndical car la division pèse sur l'ensemble des salariés et est même un véritable reopoussoir. Il suffit de lire les débats sur ce forum. Je rappelle qu'il doit y avoir entre 15 et 20% de cheminots syndiqués...dans 8 syndicats différents. En France au plan national on parle de 6 à 9%... mais manifestement cette situation a l'air de vous satisfaire et permet à chacun de défendre son (très) petit carré...
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La grève autrement ?
Dom Le Trappeur a répondu à le-negociateur situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Travailler plus ... mais gratuitement... C'est notre très "cher" Président qui va être content... Que nous ayons à rechercher de nouvelles formes d'action OK surtout côté médiatiques pour faire face au déluge idéologique UMP-Sarkoziste qui nous envahit quotidiennement, mais en même temps regardons de plus près la situation réelle des actions dans l'entreprise : - combien de journées de grève dans l'entreprise à tous les niveaux - combien de journées de grève au total - quelle moyenne jour par agent ? Les voyageurs eux mettent dans le même paquet les grèves, les retards, les incidents, le manque d'infos etc... mais aussi leur fatigue quotidienne celle du boulot, des trajets et de la vie tout court... -
Congé sabbathique Agecif : formation... congés sans solde...
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Je rappelerai que dans le privé il faut travailler 200h au smic pour avoir un trimestre validé donc 800h par an = 4 trimestres (maximum annuel) Combien d'heure de travail pour un cheminot payé au smic ? Bon c'est vrai que la pension sera calculée sur la base du salaire liquidable donc 800h annuelles au smic... mais avec un nombre de trimestres maximum par exemple travail de 18 ans à 60 ans : 42 ans x 4 trimestres = 168 trimestres... à 200h et vous êtes à taux plein... Vous avez dit égalité ?
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Tu peux nous fournir le texte de l'accord avec les signatures ? A ma connaissance il n'y a aucun texte signé par les OS à ce jour sur la question des retraites. Par contre il y a des textes issus des tables rondes etc...avec les résultats concédés par la sncf et le gouvernement mais cela ne veut pas dire que chacune des OS soit d'accord avec et encore moins qu'elle signerait un accord...
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Ne pas confondre le niveau de mobilisation ddes cheminots dans l'action et le niveau du trafic ... Ne pas oublier l'obligation de déclaration 48h à l'avance (ADEC ASCT et postes d'aiguillage) Il y a encore beaucoup d'incompréhension derrière cette question et tout autant certains se retranchent derrière cette obligation (ah je ne savais pas..., c'est trop compliqué...) qui permet à l'entreprise d'affecter les personnels non grévistes aux prévisions de trafic ... donc automatiquement de relever le niveau du trafic. Mais concernant le niveau de trafic il faudrait donner tous les éléments comme par exemple le niveau du trafic fret or là il n'y a pas de déclaration préalable... De plus comme il a été dit sur différents posts depuis plusieurs années : la direction manipule les chiffres ainsi pour une grève carrée (1 période de grève - entre Prise de service et fin de service - dans le cadre d'un préavis jour A 20h jour C 8h) pour un établissement comme le mien la statistiquesporte sur 1200 postes de travail alors que l'effectif total est de 800 cheminots et que seuls 550 travaillent dans le cadre du préavis...Ceci dit soyons clair et honnête la mobilisation ne sera pas très importantepour la journée du 10 en fonction à la fois de la division syndicale, de l'effet Dividende, d'une fatigue intellectuelle assez large sur la situation dans l'entreprise, d'une faible information diffuséesur les chantiers. donc une grève autour de 15% chiffres sncf, 30% chiffres OS (je prends les paris) Personnellement on est parti sur une grève carrée mais les extrémistes de sud vont faire 48h...pour le plaisir...
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Communiqué de Presse de la Fédération CGT des cheminots09 juin 2008 11h00 Je le mets ici car on ne peut plus posté de documents en ce moment (problème sur le forum) Mouvement social contre La réorganisation de l’activité Fret SNCF A partir du 09 juin 2008 – 20 h 00 De QUOI S’AGIT –IL ? Un certain nombre d’observateurs s’interrogent sur la lisibilité de la grève lancée par trois organisations syndicales de cheminots contre le dépeçage de FRET SNCF et ses conséquences industrielles, économiques et sociales. Les manœuvres de diversion, les moyens colossaux mis par la direction de la SNCF dans une nouvelle campagne de désinformation qui, argument suprême, parle d’une grève politique, font donc leur œuvre. Après avoir engagé une énième réorganisation de l’activité Fret (Plan Véron) entre 2004 et 2006, qualifiée d’échec par la direction SNCF elle-même, cette dernière pousse une autre restructuration depuis 2007 qui épouse la même philosophie libérale que la précédente à savoir : * Contraction de l’appareil de production (fermetures de 250 gares Fret aux wagons isolés, de triages, suppressions de dessertes…) ; * Réduction de milliers d’emplois ; * Transfert sur route (ou à la concurrence ferroviaire privée) de nombreux trafics y compris de matières dangereuses (gaz…). Cette réorganisation qui s’apparente à un véritable saccage de l’activité Fret conduit à ce qu’une partie du territoire ne soit plus irriguée par le rail pour transporter les marchandises. BONJOUR LE « GRENELLE DE L’ENVIRONNEMENT »! En privilégiant le seul modèle économique (recherche de l’équilibre financier par le bas, rentabilité financière à tout prix…), la direction de la SNCF fait le contraire que ce qu’ont fait les chemins de fer allemands (Deutsche Bahn) pendant dix ans qui ont réinvesti dans les métiers de cheminots et ont modernisé leur appareil de production. La CGT bataille depuis de longs mois contre la stratégie industrielle de Fret SNCF décidée unilatéralement et imposée à marche forcée par la technocratie. Cela a donné lieu à de nombreux mouvements revendicatifs dans l’entreprise et à des initiatives publiques depuis de longs mois. C’est d’ailleurs sur l’insistance de la CGT que le dossier Fret a été porté par le grand mouvement social de l’automne 2007 à la SNCF. PERSONNE NE PEUT ÊTRE SURPRIS AUJOURD’HUI DE LA POSITION DE LA CGT car le NOYAU DUR de la réorganisation de Fret demeure bien la structuration de l’entreprise avec la création d’entités (Famille…) autonomes, indépendantes qui préfigurent l’éclatement de l’ENTREPRISE PUBLIQUE INTEGREE et la casse du STATUT des cheminots, garant de l’égalité de traitement et de la cohésion sociale. VOILA L’ENJEU ! Cela explique en partie pourquoi le Président de la SCNF a rompu les négociations en annulant la Table Ronde du 29 mai 2008. Face à la pression revendicative Guillaume PEPY a été contraint de « lever le stylo » pour reprendre ses propres termes sur la réglementation du travail. Cela a suffi à endormir quelques organisations syndicales qui ont fait le choix d’accompagner les politiques libérales de la Direction SNCF et du gouvernement. On ne nous fera pas prendre des vessies pour des lanternes ! Guillaume PEPY pose déjà la question « Quand se remet-on autour de la table pour (uniquement) charcuter la réglementation du travail ? ». Par contre G.PEPY ne veut surtout pas que les organisations syndicales se mêlent de stratégie industrielle, donc du NOYAU DUR de sa politique qui empile restructurations sur réorganisations dont la plupart sont contestées par les personnels. A la CGT, nous sommes pour le développement et le redressement durable de l’activité Fret sans démanteler l’entreprise intégrée, ni baisser les conditions sociales des cheminots. Nous avons pour ce faire nombre de propositions que nous souhaitons mettre au centre de véritables négociations. Nous considérons que nous devons entre autres maintenir la multi activités (Fret et voyageurs) dans nombre d’Unités de Production (Traction) et d’Unités Opérationnelles (Exploitation). Cela pour permettre souplesse et réactivité à la production Fret. En ce sens, nous nous opposons à l’éclatement des filières, à la casse des métiers, à la rigidification de l’organisation du travail, à la déréglementation du travail et au dumping social que porte en son sein cette réorganisation de l’activité Fret. La Direction de la SNCF avec ses relais syndicaux et autres, tente de faire croire que la réforme du Fret est retirée et qu’il n’y a plus de motif pour la mobilisation sociale ! C’est une VERITABLE IMPOSTURE, MYSTIFICATION !!! Oui, les cheminots du domaine Traction et de l’Exploitation qui sont aujourd’hui touchés de plein fouet par la réorganisation du Fret ont des raisons revendicatives valables pour se mobiliser par la grève à partir du 09 juin 20H. PS : Les syndicats CGT des cheminots ont distribué la semaine dernière et ce jour, une adresse aux usagers de la SNCF sur les raisons du mouvement de grève
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SNCF: trois syndicats sur huit appellent à une grève reconductible à partir de mardi AP - PARIS - Trois fédérations de cheminots sur huit (CGT, FO et Sud-Rail) appellent à un mouvement de grève reconductible à la SNCF à partir de mardi pour dénoncer les conditions de restructuration du fret dont elles craignent le démantèlement. Le mouvement devait commencer ce lundi à partir de 20h. Selon la direction, cette grève devrait entraîner des perturbations limitées avec, mardi, pour la banlieue parisienne (Transilien) un train toutes les quinze à trente minutes pour la plupart des liaisons et un trafic normal sur les lignes A et E du RER. Pour les grandes lignes, trois trains sur quatre circuleront pour les TGV Atlantique et Sud-Est et seulement un sur deux pour les TGV de province à province. Aucun TGV ne devrait circuler entre Strasbourg et Rennes ainsi qu'entre Strasbourg et Bordeaux. Pour les Corail, un train sur trois sera assuré pour les liaisons nationales, et un sur deux pour les Corail Intercités. Le trafic devrait être normal pour les TGV Est Européen et Nord et pour les liaisons Eurostar, Thalys, Alleo et Lyria. Lundi, la direction expliquait n'avoir "aucune visibilité" sur la suite du mouvement au-delà de la journée de mardi. On précisait de source syndicale que les cheminots décideront dès mardi après-midi des suites à donner, lors d'assemblées générales dans les dépôts "en fonction du niveau de mobilisation et des réponses apportées par la direction". "Cette grève tombe mal (...) à une période où le carburant est cher", a regretté le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau dimanche sur France Inter. Il a souhaité que "les syndicats qui sont attachés à leur entreprise ne cassent pas la dynamique du succès du transport ferroviaire dans notre pays". "Il faut faire la réforme du fret parce qu'on voit bien avec le coût des carburants qu'on a besoin de modes de transport alternatifs et complémentaires à la route", a-t-il expliqué, avant de rappeler que la réforme que souhaite mener à bien le président de la SNCF Guillaume Pepy figure "dans la lettre de mission que lui a signée" Nicolas Sarkozy. Ce mot d'ordre de grève a été lancé le 23 mai par les trois organisations syndicales -représentant à elles seules 67% des personnels selon les dernières élections internes- qui souhaitaient le ralliement d'autres fédérations, sans succès. La CGC s'était, dès le départ, tenue à l'écart de ce projet de mouvement. La CFDT, la CFTC, l'UNSA-Cheminots et la Fédération générale autonome des agents de conduite (FGAAC) de leur côté ont été reçues le 4 juin par la direction, suite à une demande de concertation immédiate dans le cadre du dispositif interne d'alarme sociale et de prévention des conflits. Les quatre organisations syndicales disent avoir obtenu des mesures salariales pour les cheminots. Quant aux négociations sur l'évolution de la réglementation du travail des cheminots dans le cadre de la restructuration du fret, elles sont aujourd'hui bloquées et la direction assure qu'elle ne compte pas passer en force. Mais les syndicats qui appellent à la grève s'inquiètent de ce blocage. AP
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vespasienne ==>> déesses
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Amendes absurdes et règlements saugrenus ?
Dom Le Trappeur a répondu à fabrice situé dans Actualité ferroviaire générale
Ce serait encore plus absurde, non? Le problème c'est surtout que les acteurs (voyageurs, éventuellement contrôleuse, direction...) sont dépassés par la médiatisation de l'affaire (scoop, affaire insolite, les acteurs -un rpof de sciences avec ses escargots, la sncf et un réglement...) Cette médiatisation : ça ne vous renvoie pas à une autre affaire en cours, une histoire de mariage annulée et il y en a bien d'autres quasiment tous les jours sur la planète... un scoop et on passe à autre chose Après nous on en fait nos choux gras sur ce forum et sur bien d'autres...avec toutes les différences qui nous caractérisnt (filière, métiers, idées, positions diverses...) -
La restucturation du Fret et des autres "familles", l'avenir de la Traction, du Matériel et de l'Equipement ou de l'infra (CCR, intégration à RFF ?) sont loin d'être abandonnées...comme celles des Bureaux administratifs, la restructuratuion des directions centrales et régionales... Voir également le journal des cadres supérieurs UFCM-cgt sur le Fret (dans le sous-forum documents)...
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La Chanson du Dimanche (histoire d'en remettre une couche sur l'un des aspects positifs du net...) La pêche les Amis... http://www.lachansondudimanche.com/
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SNCF: grève reconductible à partir de 20H00 mais seuls trois syndicats engagés Par Anne-Pascale REBOUL AFP - Lundi 9 juin, PARIS (AFP) - Les deux premiers syndicats de la SNCF, CGT et Sud-Rail, ainsi que FO, ont lancé des préavis de grève reconductibles à partir de lundi 20H00 contre la réorganisation du fret, sur fond de division entre deux fronts syndicaux et d'incertitude sur les intentions de la direction. Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT-cheminots, le premier syndicat, a déjà regretté que "les conditions ne soient pas réunies pour une mobilisation d'ampleur". Son prolongement jusqu'au 17 juin, journée d'action interprofessionnelle sur les retraites et le temps de travail à l'appel des confédérations CGT et CFDT, est incertain. Néanmoins, le trafic sera perturbé mardi, a indiqué la SNCF dimanche, surtout sur les lignes Corail (un train sur deux) et Transilien (un sur deux). Les TGV devraient fonctionner normalement, sauf le TGV Atlantique (3 sur 4), sud-est (3 sur 4), et province-province (1 sur 2). Les préavis de la CGT et de FO (6e syndicat) couvrent les seuls cheminots de la traction (conduite) et de l'exploitation (circulation et gestion des trafics), ceux susceptibles de perturber le plus le trafic. Le préavis de Sud-Rail concerne lui "tous les personnels de la SNCF", qui doivent se sentir concernés, selon le syndicat, par les menaces de "démantèlement de l'entreprise". CGT-cheminots, Sud-Rail et FO, qui représentent 62% du personnel SNCF, ont concentré la grève sur la question du fret (transport de marchandises), en arrière-plan ces derniers mois de plusieurs mobilisations. Ils contestent les choix industriels de la direction, qui, selon eux, "abandonne sciemment" des trafics et ne répond pas aux enjeux du Grenelle de l'environnement. La SNCF a lancé en 2007 un énième plan de redressement du transport de marchandises, axé sur les flux importants. Surtout, les syndicats s'insurgent contre ses conséquences sociales, notamment sur la réglementation du travail (heures de travail, conduite de nuit, repos...) que la direction veut assouplir pour faire face aux concurrents privés. Ils alertent sur les dangers pour la sécurité et les 6.000 suppressions d'emplois redoutées d'ici fin 2010 sur les quelque 20.000 actuellement dans la branche fret. La création d'une "famille fret" aux conditions sociales spécifiques est considérée comme le "cheval de Troie", selon le mot de la CGT, avant un "éclatement" de la SNCF, en dépit des assurances de la direction. Tous les syndicats de l'entreprise publique nourrissent ces craintes mais quatre d'entre eux (Unsa, CFDT, CFTC, Fgaac), de tendance réformiste, estiment avoir obtenu suffisamment de garanties pour ne pas engager une grève coûteuse. Le directeur des Ressources humaines François Nogué leur a certifié que la réglementation du travail "reste en l'état tant que nous ne reprendrons pas un cycle de négociations dans des conditions plus favorables". Le président de la SNCF Guillaume Pepy avait surpris les syndicats en leur annonçant le 23 mai qu'il ne voulait pas aller "à l'épreuve de force", puis en annulant une ultime table ronde de négociations. Dimanche, le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau a estimé sur France Inter que cette grève "tombe mal à une période où le carburant est cher et où on a besoin d'utiliser d'autres moyens de transport alternatifs". "Cela tombe mal parce qu'on a, dans l'esprit du Grenelle de l'environnement, la volonté de développer beaucoup le transport de fret et que chaque fois que la SNCF ne circule pas, ce sont les entreprises privées (...) qui prennent des parts de marché", a-t-il fait valoir. Sacré Bertrand ! pas à une incohérence près...
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Pour ne pas froisser les 4 OS qui se sont engagées sur cette question lors de la DCI... Le terme "dividende" n'est pas neutre puisque dans les infos de la direction le dividende de 200 euros (soit 32 Millions d'euros +14 ME de charges sociales) est mis en parallèle avec le dividende de 132 ME versés à l'Etat sur le résulktat net de la SNCF en 2007 (environ 1 Milliard d'euros d'excédent) Il renvoie bien entendu aux résultats du travail des cheminots et surtout à une forte attente en matière d'augmentatioon de salaire et de pouvoir d'achat.
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un dividende... ça mérite qu'on réfléchisse à la question...non Au fait c'est quoi un dividende, ça renvoi à quoi : la participation, l'actionnariat ? ça débouchera sur quoi ? C'est pas les 200 euros qui posent problème, personne ne crache dessus mais c'est sur le fond qu'il nous faut des informations ? Pour l'instant je n'ai pas vu grand monde tenter d'apporter des éclaircissements sur "un dividende, c'est quoi ?"
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Tu nous mettras les textes avec les signatures ça nous intéresse... Parceque pour l'instant si on a à peu près le bilan des négiociations retraites je n'ai pas encore vu un seul texte officiel... Ceci dit il faudrait aussi rappeler que dans les négociations il y avait des représentants du pourvoir UMP et la direction SNCF...C'est fou ce qu'on les oublie ceux là... Idem pour le fret, les salaires, les 35h etc...
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Tout en haut ils surnomment les Conducteurs de "P...E...C..." Si tu veux la traduction, je dirai qu'il y a ici des âmes sensibles que celà pourrait heurter Quand aux cadres ceux qui sont visés ce sont surtout "les managers décideurs", en d'autres temps ils étaient appelés les "patrons"... les "tauliers"... les "technocrates"...
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Administrateur de ton ordinateur mais pas du forum... (cliques sur Mon assistant en haut à droite de la page...) Il y a eu quelques problèmes effectivement pour les envois de pièces jointes ces derniers jours. Voir Katamiaw ou un modérateur ...
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Carla BRUNI raconte son histoire d'amour avec Sarko
Dom Le Trappeur a répondu à Noisette situé dans Brin de causette
Moscovici à propos de Carla Bruni: cesser la "confusion vie privée vie publique" PARIS (AFP) - Le député PS du Doubs Pierre Moscovici a accusé dimanche Nicolas Sarkozy de confondre vie publique et vie privée, et estime que la présence médiatique actuelle de son épouse Carla Bruni fait "sans aucun doute" partie d'une opération de reconquête de l'opinion par le chef de l'Etat. A la question "Est-ce que ce qui se passe actuellement autour de Carla Bruni relève d'une opération très sophistiquée de l'Elysée ?", posée lors du "Forum" de Radio J, M. Moscovici a répondu: "Je considère que depuis que Nicolas Sarkozy est président de la République, cette confusion permanente entre la vie publique et la vie privée est quelque chose qui est dommageable pour la fonction présidentielle, dommageable pour la vie politique française." "On a droit à une certaine forme de discrétion et de pudeur", a ajouté l'ancien ministre des Affaires européennes. L'épouse du président est cette semaine à la "une" du Point (La Présidente), et du Journal du Dimanche (L'effet Carla), auquel elle a fait des "confidences". Elle est également longuement interviewée dans un livre paru jeudi, intitulé "Carla et Nicolas, la véritable histoire" (Yves Azéroual et Valérie Benaïm). Carla Bruni-Sarkozy, qui accompagnait son époux le 27 mai au Marché de Rungis, est photographiée dans Le Point assise au bureau présidentiel. Un cliché qui fait dire à M. Moscovici qu'on "mélange tout". "Je me suis dit qu'on croyait rêver, parce que la personne que les Français ont élu, c'est Nicolas Sarkozy, pas Carla Bruni. On mélange tout, on marche sur la tête, le public, le privé, tout est confondu et c'est pas comme çà qu'on dirige un grand pays", a-t-il déclaré. Cette présence médiatique fait "sans aucun doute" partie de "l'opération reconquête" de l'opinion menée par l'Elysée face aux mauvais scores du président dans les sondages, estime M. Moscovici. Selon un sondage Ifop paru dimanche dans le JDD, 68% des personnes sondées se sont dites satisfaites du fait que Carla Bruni-Sarkozy soit la Première dame de France, contre 26% se déclarant mécontentes, et 6% ne se prononçant pas. 57% approuvent qu'elle poursuive sa carrière artistique. -
un handicapé frole la mort
Dom Le Trappeur a répondu à CHRIS 13 situé dans Actualité ferroviaire générale
Coincé à un passage à niveau, un handicapé rampe sur la voie pour éviter le train AP - GRENOBLE - Un handicapé dont les roues du fauteuil roulant s'étaient coincées entre les rails d'un passage à niveau de Chambéry (Savoie) a réussi, in extremis, samedi matin à se dégager en se jetant à terre avant l'arrivée de la rame qui a pulvérisé son fauteuil, rapporte dimanche le quotidien régional "Le Dauphiné Libéré". "Ma roue avant était bloquée entre les rails, j'ai appelé à l'aide mais personne n'est venu", a raconté à l'Associated Press Sahli Messikh, 60 ans, qui quotidiennement traverse ces voies pour se rendre en ville. "J'ai vu le train arriver alors j'ai sauté et roulé sur les cailloux", poursuit le sexagénaire, pensionnaire d'un foyer Sonacotra proche. Incapable de se tenir debout, il n'a eu alors d'autre choix que de se mettre à ramper sur le ballast pour échapper à la motrice. Laquelle, arrivant quelques secondes après, a broyé son fauteuil resté prisonnier des voies. "C'est un vrai miracle", estimait dimanche Pierre Hardel, pompier à Chambéry, joint par l'AP, qui a raccompagné en ambulance le handicapé indemne mais très choqué à son domicile. Sahli Messikh hésitait dimanche matin à déposer plainte auprès du commissariat de Chambéry pour non-assistance à personne en danger. Selon lui, des automobilistes auraient assisté à la scène sans faire le moindre geste pour lui venir en aide et sans même descendre de leur voiture. "Je les ai appelés pour venir me sauver, ils n'ont pas bougé. C'est des salauds", estime le handicapé. Cet accident survient moins d'une semaine après celui d'Allinges (Haute-Savoie) où un TER a percuté un car scolaire, tuant sept collégiens âgés de 11 à 14 ans. AP