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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Prendre quelques minutes pour lire ce document ici : http://www.cheminots.net/forum/index.php?a...ost&id=9701
  2. Une belle prise en écharpe semble-t-il ? ça date de quand exactement ?
  3. Si quelqu'un est doué en informatique (et en géographie) peut-il nous trouver une vue aérienne du PN pour situer les lieux et nous faire une copie d'écran . Merci d'avance
  4. Les CDD ne peuvent être utilisés que pour assurer des remplacements ponctuels de salariés absents (maternité, maladie, congés sabbathiques...) ou assurer des surcharges de travail ponctuel. Mais dans bien des cas la SNCF a les moyens d'assurer par elle même ce type de situation par exemple par des salariés détachés d'une région sur une autre... Maintenant reste à savoir si effectivement un personnel est capable d'assumer la charge de travail du poste et disponible. Pour moi vu le niveau cadre et sûrement la mission qui va avec il doit y avoir sous rémunération : donc à vérifier : la qualification du poste à remplacer et aller faire un tour sur le fil de discussion qui traite de la rémunération à la sncf pour se faire une idée. ici : http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...st&p=179854 Ceci dit il faudra également regarder la réglementation sur les contractuels et les spécificités pour les CDD et dans ton cas les spécificités légales sur l'utilisation des personnels par le biai des entreprises d'intérim si c'est le cas. Bon courage
  5. Bonjour S'il te plaît : Peux-tu éviter les abréviations pour que tout le monde comprenne de quoi tu parles. Merci d'avance.
  6. J'ai parcouru pas mal de site d'informations et regarder les actualités sur plusieurs chaines. Il semble possible - en restant extrèmement prudent - de faire l'hypothèse d'après les sources d'informations , témoignages recueillis par les journalistes, déclarations des officiels (sncf rff enquêteurs...) que le conducteur soit passé au niveau du poste de pilotage de son autocar, juste avant le déclenchement du feu rouge et de la sonnerie (peut être une question de "seconde" voir moins) donc avant l'abaissement de la barrière de sa file de circulation devant lui sur sa droite que les barrières se soient abaissées alors qu'il abordait le PN sûrement à très faible allure. Plusieurs témoins déclarent avoir entendu la barrière heurtée le toit du car Ensuite quelle a pu être sa réaction en entendant la sonnerie et voyant la barrière de l'autre côté du PN se baisser ... La route semblait être mouillée et glissante certains témoins parlent de tentative d'avancer et de reculer... Pour la question de la télésurveillance du PN il y a un flou entre la présence de caméras et donc une vidéo ou s'il s'agit "d'enregistreur" du fonctionnement technique du PN ?
  7. CDD = contractuel... ??? Vu le niveau : cadre, contrôle de gestion, membre du comité de Direction il me semble que celui qui te recrute devrait t'informer du contenu du contrat sous tous ses aspects et que tu devrais pouvoir recevoir un projet de contrat et en négociier les termes, non ? sans parler de ton niveau (diplômes) ni de ton expérience passée avant ton recrutement. 3000 euros mensuels bruts pour un niveau cadre : étonnant !
  8. Rappelons d'abord que nous sommes confrontés à une attaque d'envergure du gouvernement Sarkosy-fillon et de la direction sncf sous les ordres du Ministres des Transports : retraites salaires et pensions emplois et conditions de travail (réglementation du travail) restructuration de l'entreprise avec ouverture à la concurrence du fret et éclatement de l'entreprise nationale (volonté de créer une entité Fret à l'image de ce que fut le sernam...) Statut pour ne citer que quelques sujets. Il y a d'abord la stratégie de la direction et sa décision d'annuler une table ronde sur le FRET tout en déclarant poursuivre ses objectifs de restructuration du Fret Il y a là des choses incompréhensibles dans la stratégie des différentes organisations syndicales mais ce n'est pas propre à la sncf puisque une intersyndicale confédérale vient également d'éclater au plan national sur la question des retraites. On est donc loin d'une réelle volonté d'unité syndicale et d'un véritable "tous ensemble". Sur le même sujet ce que j'ai trouvé sur le sujet http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=13543&hl=
  9. Dépêchje de presse 21h30 Un TER percute un car scolaire en Haute-Savoie: 7 collégiens tués ALLINGES (AFP) - Au moins 7 collégiens ont été tués et 25 personnes blessées, dont trois grièvement, dans une collision survenue lundi entre un TER et un car scolaire à un passage à niveau à Allinges (Haute-Savoie), le plus grave accident de transport d'enfants depuis celui de Beaune en 1982. Le président Nicolas Sarkozy se rendra mardi matin à Allinges "où il se recueillera à la chapelle ardente", a annoncé lundi soir l'Elysée dans un communiqué. L'accident s'est produit peu avant 14H00 au lieu-dit Mésinges, à Allinges, dans des circonstances encore mal établies et alors que le train roulait à 90 km/heure. Le TER assurant la liaison entre Evian-lès-Bains et Genève a percuté le car scolaire transportant 56 personnes, dont 50 élèves de 5ème du collège de Margencel (Haute-Savoie) et six adultes (cinq accompagnateurs et le chauffeur). Les collégiens se rendaient à la cité médiévale d'Yvoire (Haute-Savoie) dans le cadre d'une classe d'histoire et géographie, a précisé la préfecture. Selon une automobiliste témoin de l'accident, le car "s'est engagé sur un passage à niveau quand les barrières étaient en train de se fermer". "Il est resté coincé par les barrières et le train l'a coupé en deux. J'ai tout vu", a déclaré cette automobiliste au micro de France-Bleu Pays de Savoie. Le dernier bilan fourni peu avant 20H00 par la préfecture de Haute-Savoie faisait état de sept morts et 25 blessés, dont trois collégiens grièvement atteints. Les chauffeurs du TER et du car, indemnes mais "très choqués", ont été entendus par les enquêteurs, a indiqué la gendarmerie. On leur a fait une expertise toxicologique, dont les résultats seront connus dans quelques jours. Le sous-préfet de Thonon-les-Bains s'est rendu sur les lieux de l'accident et le plan ORSEC a été déclenché. Une cellule de crise a été mise en place à la préfecture. Selon les premiers contrôles des dispositifs de télésurveillance électronique, le passage à niveau a "apparemment fonctionné normalement", a assuré le secrétaire d'Etat aux transports, Dominique Bussereau, qui s'est rendu sur place, aux côtés notamment du ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie. Seule l'enquête permettra de connaître les circonstances précises de l'accident, a déclaré M. Bussereau ajoutant qu'une équipe d'experts serait dépêchée "dans les prochains jours". Mme Alliot-Marie a annoncé l'ouverture d'une enquête administrative parallèlement à une enquête judiciaire. C'est le plus grave accident de car transportant des enfants depuis celui survenu en juillet 1982 sur l'autoroute A6 à Beaune (Côte-d'Or), qui avait fait 46 morts. Depuis l'Elysée, où il prononçait un discours sur la réforme de l'Education, le président Sarkozy a dit avoir "une pensée pour les victimes" de ce "très grave accident". "Chacun d'entre nous pense aux enfants, aux adultes, aux victimes quelles qu'elles soient", a déclaré le chef de l'Etat. "Incontestablement, il y a un problème de responsabilité du conducteur", a estimé pour sa part le Premier ministre, François Fillon, lors d'une émission politique sur internet, en souhaitant "un effort supplémentaire" pour la sécurité du transport des enfants. Une cellule psychologique a été mise en place et la préfecture de Haute-Savoie a ouvert un numéro vert à la disposition des familles des victimes qui peuvent appeler le 04 50 33 61 33.
  10. Six morts dans une collision train/bus en Haute-Savoie Reuters - Paris - 17h30 - Une collision lundi entre un train express régional (TER) et un bus de transport scolaire sur un passage à niveau a fait six morts, dont cinq enfants et quatre blessés graves à Allinges (Haute-Savoie), près de Thonon-les Bains, a annoncé la préfecture Les pompiers parlent en outre de quatorze blessés légers. Les plans Orsec et "blanc" pour la mobilisation des secours et des hôpitaux ont été déclenchés, un poste médical avancé a été installé sur place, précise-t-elle. Une centaine de personnes sont mobilisées. Selon les premières constatations, le fonctionnement du passage à niveau ne serait pas en cause, laisse entendre RFF. Le car semble avoir calé alors qu'il était engagé en début d'après-midi sur le passage à niveau, au lieu-dit de Mésinges, et n'aurait eu le temps ni de redémarrer, ni d'ouvrir les portes, a dit à Reuters un porte-parole de RFF. Il a été percuté par le train régional qui effectuait la liaison entre Evian-les-Bains et Genève, et circulait à environ 100 km/h. Une automobiliste interrogée sur France info, témoin des faits, a affirmé que le conducteur du bus s'était engagé sur le passage alors que la signalisation lumineuse automatique était au rouge. "Le train arrivait et a coupé le bus en deux. Les clignotants rouges étaient déjà allumés avant que j'arrive et il s'est engagé quand même quand les barrières étaient en train de se fermer", a-t-elle raconté. Le but transportait 50 élèves d'une classe de 5ème du collège de Margencel, dans le Chablais, qui partaient visiter le site historique d'Yvoire, encadrés par cinq accompagnateurs. Le conducteur du bus et celui du train sont indemnes, dit RFF. Une cellule d'écoute psychologique a été mise en place dans le collège, selon le ministère de l'Education. LE PLUS GRAVE ACCIDENT DEPUIS TRENTE ANS Il s'agirait de l'accident le plus grave survenu à un passage à niveau depuis une trentaine d'années. Le réseau français, le plus dense d'Europe, compte 20.000 passages à niveau, dont 400 jugés à risque en raison du trafic, mais celui impliqué dans l'accident n'y figurait pas, précise RFF. Une enquête interne va être ouverte à la SNCF et à RFF pour déterminer avec précision les causes de l'accident, ont précisé les porte-parole des sociétés. Une enquête judiciaire va aussi être confiée à la gendarmerie. Le ministre de l'Education Xavier Darcos s'est entretenu par téléphone avec le principal du collège. La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie et le secrétaire aux Transports Dominique Bussereau étaient attendus sur place en fin d'après-midi, dit la préfecture, ainsi que le directeur de la SNCF Guillaume Pépy et Hubert du Mesnil, son homologue de RFF. Le président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer, élu UMP de Haute-Savoie, a annulé des obligations pour quitter Paris et se rendre immédiatement sur les lieux, a-t-on appris dans son entourage. Nicolas Sarkozy a exprimé son émotion avant un discours devant des responsables de l'Education réunis à l'Elysée. "Chacun d'entre nous pense aux enfants, aux adultes, aux victimes, quelles qu'elles soient. On ne peut malheureusement rien faire d'autre que d'espérer qu'il y aura le moins de victimes possible", a-t-il dit. Service France
  11. Sur le site de Libération L'accident mortel entre un TER et un autocar scolaire ne serait pas dû à un défaut technique Six enfants ont été tués et quatre autres grièvement blessés dans une collision entre un train régional et un autocar scolaire à Mésinges en Haute-Savoie. Liberation.fr avec source AFP LIBERATION.FR : lundi 2 juin 2008 Un TER est entré en collision avec un car scolaire lundi en début d'après-midi à Mésinges (Haute-Savoie), provoquant la mort de six enfants et faisant 14 blessés, dont quatre graves, a-t-on appris auprès de la préfecture. L'accident s'est produit peu avant 14 heures entre un TER faisant la liaison entre Annemasse et Thonon-les-Bains et un car qui transportait une cinquantaine d'enfants, du collège Margencel à Thonon-les-Bains (74). «Six enfants sont décédés, il y a quatre blessés graves et 14 blessés légers», a déclaré à l'AFP un responsable de la préfecture. Le car, appartenant à la société de transports Philippe transportait 50 élèves de 5ème et six adultes. Ils étaient partis visiter la ville d' Yvoire (74) dans le cadre d'une sortie de classe d'histoire. «Le chauffeur est indemne mais il est complètement bouleversé», indique-t-on chez Philippe. A priori, l'accident ne serait pas dû à un défaut technique. «Les relevés des écrans de contrôle de ce passage à niveau, qui était télésurveillé, nous indiquent que tout aurait fonctionné normalement jusqu'au moment de l'accident", a indiqué à l'AFP une responsable de la SNCF. Dans la commune de Mésinges, les habitants sont sous le choc. La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, et le ministre des Transports, Dominique Bussereau, se sont rendus sur place. Nicolas Sarkozy a dit avoir "une pensée pour les victimes" en préambule de son discours sur la réforme de l'Education. Le plan ORSEC a été déclenché. Une cellule de crise a été mise en place en préfecture.
  12. Restez prudents sur les conditions dans lesquelles s'est déroulé l'accident. Il y a plein d'hypothèses et il faut des éléments et témoignages plus fiables et plus précis pour déterminer la réalité des évènements. Moi ce qui me choque surtout c'est qu'il existe un système technique électronique qui permet en cas de constatations d'un obstacle sur un PN dont les barrières s'abaissent ou sont fermées d'alerter les conducteurs de trains (soit par fermeture d'un signal soit par déclenchement d'une alerte radio). Quand il s'agit de protéger des valeurs ou des bijoux, ils le trouvent bien le pognon ...
  13. Collision meurtrière entre un train et un bus en Haute-Savoie Reuters - 16h20 - PARIS (Reuters) - Une collision entre un train express régional (TER) et un bus de transport scolaire sur un passage à niveau a fait au moins six morts à Mésinges (Haute-Savoie), près de Thonon-les Bains, apprend-on auprès des pompiers. L'accident a fait en outre six blessés graves selon Réseau ferré de France (RFF), 15 blessés selon la gendarmerie. Les pompiers parlent de quatre blessés graves et de quatorze blessés légers. Le car semble avoir calé alors qu'il était engagé sur le passage à niveau au lieu-dit de Mésinges, sur la commune d'Allinges, et n'aurait pu ni redémarrer, ni ouvrir les portes, a dit à Reuters un porte-parole de RFF. Il a été percuté par le train régional qui effectuait la liaison entre Evian-les-Bains et Genève et circulait à environ 100 km/h. Le but transportait 50 élèves du collège de Margencel, dans le Chablais, qui partaient visiter le site historique d'Yvoire, encadrés par cinq accompagnateurs. Le conducteur du bus et celui du train sont indemnes, dit RFF. De très importants moyens de secours ont été acheminés sur place, a-t-on ajouté. Une cellule de crise a été constituée à la préfecture du département. Une centaine de pompiers et de personnels du Samu sont sur place. LE PLUS GRAVE ACIDENT Il s'agirait de l'accident le plus grave survenu à un passage à niveau depuis une trentaine d'années. Le réseau français, le plus dense d'Europe, compte 20.000 passages à niveau, dont 400 jugés à risque en raison du trafic, mais celui impliqué dans l'accident n'y figurait pas, précise RFF. Une enquête interne va être ouverte à la SNCF et à RFF pour déterminer avec précision les causes de l'accident, ont précisé les porte-parole des sociétés. Une enquête judiciaire va aussi être confiée à la gendarmerie. Le ministre de l'Education Xavier Darcos s'est entretenu par téléphone avec le principal du collège, où une cellule d'écoute psychologique a été mise en place.
  14. Charcutage et redécoupage en vue voir les journaux du jour...
  15. Le marché de l'Energie Energie: faible hausse du nombre de foyers ayant choisi un fournisseur alternatif PARIS (AFP) - Le nombre de foyers ayant choisi un fournisseur "alternatif" d'électricité ou de gaz a progressé au premier trimestre, neuf mois après l'ouverture à la concurrence, a indiqué lundi la Commission de régulation de l'énergie (CRE), même s'ils restent peu nombreux à faire ce choix. A la fin du premier trimestre, 112.000 foyers, sur un total de 29,5 millions, ont choisi un fournisseur "alternatif" d'électricité (autre qu'EDF et fournissant de l'énergie à prix libres, c'est à dire non réglementés, ndlr) contre 31.000 au 31 décembre. Pour le gaz, 128.000 foyers, sur 11 millions, avaient choisi un fournisseur "alternatif" (autre que GDF) contre 54.000 au 31 décembre, précise l'Observatoire des marchés de la CRE dans un communiqué. "Petit à petit, la concurrence s'installe, parce que les gens savent mieux qu'ils peuvent choisir" un autre fournisseur qu'EDF et GDF, seuls à proposer de l'électricité et du gaz à prix réglementés (fixés par l'Etat), a estimé Patricia de Suzzoni, directrice du marché et du service public à la CRE, interrogée par l'AFP. "Il est aussi possible que l'adoption d'une loi qui permet aux ménages ayant choisi de l'électricité à prix libre de revenir sur leur choix ait donné aux gens l'envie de tester le marché", a-t-elle ajouté. Depuis l'ouverture totale du marché européen de l'énergie le 1er juillet 2007, les ménages peuvent choisir leur fournisseur d'énergie parmi des offres à prix réglementés ou à prix libres (de marché). Il existe actuellement six fournisseurs d'électricité "alternatifs" : Direct Energie, Electrabel (groupe Suez), Enercoop, Planet UI, Gaz de France, Poweo, et seulement trois dans le gaz: Altergaz, EDF et Poweo, rappelle la CRE. EDF propose aussi de l'électricité à prix libres et GDF du gaz mais l'immense majorité de leurs clients disposent de tarifs réglementés. A l'occasion des déménagements, ménages ou entreprises sont peu nombreux à choisir une offre à prix libre dans l'électricité (3%) mais davantage (23%) dans le gaz. Sur le marché des entreprises, ouvert à la concurrence il y a près de quatre ans, "il n'y a plus l'engouement des premières années" si bien que le nombre d'entreprises qui ont choisi un fournisseur "alternatif" est "stable" : 342.000 pour l'électricité et 80.000 pour le gaz. EDF et GDF occupent encore "des positions significatives mais pas exclusives", selon Mme Suzzoni, puisque 7,2% des entreprises consommatrices d'électricité et 11,7% des entreprises consommatrices de gaz ont choisi un fournisseur "alternatif". En outre, l'instauration d'un tarif d'électricité spécifique aux entreprises, nommé Tartam, valable jusqu'au 30 juin 2009, "a ralenti fortement la progression du marché pour les grandes entreprises" et du marché de gros d'électricité. Le marché de gros du gaz, ouvert depuis 2005, apparaît en effet plus dynamique que celui de l'électricité, ouvert depuis 2002, avec une hausse de 55,5% des volumes échangés dans le gaz et seulement de 4,8% dans l'électricité.
  16. merci du témoignage la preuve qu'il est urgent de se pencher sur cette question de la reconnaissance des diplômes et de l'expérience de travail avnt le recrutement... On a discuté à plusieurs reprises dans des discussions sur le forum du recul de l'âge moyen d'embauche 18/20 ans dans les années 70 (sans compter les élèves mineurs (qui rentraient à 14/16 ans en apprentissage ou en formation aujourd'hui quasiment 25 ans avec de plus en plus nombreux des gens recrutés entre 25/30 ans au Cadre Permanent et sans parler des recrutements de contractuels pour ceux qui ont dépassé la limite d'âge... Les carrières vont donc considérablement se raccourcir dans l'avenir 18/55 ans = 37 ans 30/60 = 30 ans le tout calculé sur la base des 41 annuités nécessaires de cotisations pour la retraite ...voir 42, ou 45 comme le demnade le medef... au lieu des 37,5 pour les cheminots Bien sûr les années de travail cotisées avant d'entrer à la sncf compteront maintenant quelque part pour atténuer les décôtes piège à retardement...
  17. La Suisse applique le droit du sang et les 20,7% d'étrangers recensés en 2006 ne peuvent acquérir la nationalité helvétique qu'au terme d'une procédure de naturalisation très encadrée. Côté idées reçues...
  18. Y'a encore de l'espoir sur la Planète... Les Suisses refusent de durcir les naturalisations, un revers pour les populistes Par Denis ROUSSEAU AFP - GENÈVE Les Suisses ont infligé dimanche un cuisant revers à la droite populiste en refusant à 63,8% de durcir les conditions de naturalisation des étrangers et en la désavouant également dans deux autres référendums. Les électeurs ont rejeté à une très nette majorité les trois initiatives soutenues par l'Union démocratique du centre (UDC, droite populiste). Sur les 26 cantons suisses, seul le canton rural de Suisse alémanique de Schwyz (centre) a approuvé le projet de l'UDC. Les Suisses ont notamment refusé le projet de naturalisations "démocratiques", par vote direct des citoyens, selon les projections de la télévision suisse. Le résultat est cependant plus serré dans la Suisse alémanique que dans la Suisse romande francophone. Un seul canton s'est prononcé en faveur de la proposition de l'UDC, selon les résultats définitifs dépouillés dans une majorité des 26 cantons. Ce camouflet est infligé moins de six mois après que le premier parti politique suisse (29% des voix aux dernières élections législatives) eut décidé de passer dans l'opposition en raison de l'éviction du gouvernement de son leader Christoph Blocher. L'échec est d'autant plus cinglant qu'avec sa proposition de naturalisations dites "démocratiques", l'UDC enfourchait un cheval de bataille --la peur de l'étranger-- qui l'a jusqu'ici toujours emmené à la victoire. Le parti populiste proposait que les candidatures à la naturalisation puissent être approuvées --ou rejetées-- par un vote populaire dans les communes, sans recours possible, et non plus agréées par une commission ad hoc comme c'est le cas actuellement. La Suisse applique le droit du sang et les 20,7% d'étrangers recensés en 2006 ne peuvent acquérir la nationalité helvétique qu'au terme d'une procédure de naturalisation très encadrée. Il leur faut pour cela résider en Suisse depuis au moins 12 ans, être intégré à la communauté et accoutumé au mode de vie, selon les termes des autorités fédérales. En fin de campagne, face à des sondages défavorables, l'UDC avait tenté de recentrer le débat sur la criminalité des étrangers. Des placards publicitaires étaient apparus dans la presse pour dénoncer "la violence des jeunes étrangers naturalisés", en égrenant des faits divers impliquant des jeunes d'origine étrangère. "L'UDC était seule contre tous", a commenté le député Yves Nidegger pour relativiser la défaite de son parti. Le Conseil fédéral (gouvernement) et la majorité du parlement s'étaient prononcés contre l'initiative, accusée de conduire à la discrimination et à l'arbitraire. Même la ministre UDC de la police et de la justice Eveline Widmer-Schlumpf, désavouée par son parti pour avoir accepté la place du leader au gouvernement, s'était prononcée contre la naturalisation par les urnes. "Cela a encore contribué à désorienter l'électorat", a estimé M. Nidegger. L'UDC a d'ailleurs entériné la rupture dimanche avec la ministre en prononçant son exclusion, ainsi que celle de sa section cantonale, coupable d'avoir refusé de la sanctionner. Les électeurs ont également rejeté à une écrasante majorité deux autres initiatives soutenues par l'UDC. La droite populiste a été désavouée sur la proposition de loi dite "muselière" visant à interdire au gouvernement de s'exprimer dans le cadre des campagnes de référendums ou "votations" qui rythment la vie politique suisse. Les électeurs ont également rejeté un article constitutionnel favorable aux assureurs privés dans le financement du système d'assurance maladie.
  19. Oui il y a une différence en défaveur des contractuels, et encore plus à long terme avec le déroulement de carrière et l'ancienneté.
  20. "Le Statut des Relations collective entre la sncf et son personnel" (notre convention collective) prévoit entre autre que l'âge maximum pour être admis au Cadre Permanent (95% des cheminots) est de 30 ans . Quelques cas dérogatoires sont prévus comme 1 an pour un enfant...soit avant son 31ème anniversaire etc... Les 5% de cheminots restants (environ) sont recrutés comme "contractuels" c'est à dire dans les conditions sociales du régime général de sécurité sociales et ceci en CDD ou CDI. soit ils ont plus de 30 ans, soit ils de nationalité étrangère à l'Union européenne soit ils sont recrutés pour tenir un poste qui ne répond pas au critères du Cadre Permanent -garde-barrière, femmes de ménages) soit tenir un poste saisonnier pour les CDD qui sont le gros des bataillons. En clair être recruté à la sncf ne veut pas dire que tu es admis au Cadre Permanent...et donc que tu bénificieras du "Statut des Cheminots", de la Caisse de Prévoyance, de la Caisse des Retraites etc......
  21. Bon anniversaire Comme tu as 24 ans tu devrais être recruter au Cadre permnent (à faire préciser) Si tu as encore un entretien emmènes tes feuilles de paie et ton contrat de travail (demandes une feuille de situation administrative à ton employeur actuel si cela est possible avec ton ancienneté dans l'entreprise, ton grade, coefficient de salaire par rapport à la convention collective, montant de ta rémunération - dis lui que c'est pour le fisc ou les alloc familiales) , ce sera un argument... Bon courage Dom
  22. ? alors tu es contractuel régime général sécurité sociale La question d'une mutuelle se pose tout autant (remboursement en tout ou partie entre le coût réel de ta dépense médicale et la part remboursée par la sécu).
  23. Essaies de faire reconnaitre ton expérience professionnelle pour être recruté comme Attaché Technicien Att TS recrutement sur la position 13 de mémoire et régularisation sur qualification E Maîtrise. Lors de ton prochain entretien fais toi préciser ta position de rémunération PR Si 4 ou 5 : personnel exécution si 13 personnel maîtrise Question également tu as quel âge ? -30 ans Personnel cadre permanent statut cheminot (dérogation si enfant) +30 ans : contractuel en CDI régime général de sécurité social
  24. 32 ans ? recrutement Cadre Permanent (si tu as au moins deux ou trois enfants (CP maxi 30 ans et dérogation si...) ou "contractuel en CDI" C'est fou l'âge du recrutement repoussé de plus en plus tard donc carrière courte...
  25. Tu es recruté comme "attaché opérateur" (personnel exécution) en fonction de tes diplômes et placé sur une position de rémunération (4 ou 5 à vérifier) de la qualification B niveau 1 ensuite formation, tenue de poste de travail et déroulement de carrière normal d'un attaché opérateur pour être régularisé à la fin de ta formation (2 ans à vérifier) sur la qualification B-niveau 2-Position de Rémunération 7 (à vérifier) sur un grade éxécution de ta filière si tu donnes satisfaction... Bienvenue dans le monde du management moderne... Pas de négociations de salaire pour le personnel exécution, d'où l'intérêt de faire reconnaître tous ses diplômes après tu peux toujours essayer... si ça marche tu nous le dis. A l'embauche 1000 euros net hors prime Ajouter la Prime de fin d'année 900 euros à la mi-décembre mais (pour l'instant) tu auras un emploi stable et les droits et acquis des cheminots (caisse de prévoyance, caisse des retraites, statut etc...)
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