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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Dom Le Trappeur

    Chine

    Perso, je ne voudrais pas être à la place des sinistrés chinois, birmans ou de bien d'autres encore. Les images qu'on voit sont terribles comme toujours en cas de catastrophes. On pense toujours avoir vu le pire mais le pire reste à venir. Il semble y avoir une grande mobilisation en Chine pour aider les sinistrés. Pensons d'abord à ceux qui souffrent.
  2. Un poste au Ministère des transport : secrétairiat général des Agents de Conduite Autonomes... Je ressorts....
  3. Lors d'une discussion à bâtons rompus l'information suivante a été lancée : Il serait possible qu'un groupe soit formé sous la houlette de RFF en y filialisant une partie de la SNCF et du goupe SNCF et ce en raison de l'existence des excédents financiers sncf qui ne pourraient être reversés à l'Etat pour des raisons juridiques (lesquelles ? je ne sais pas) par contre RFF pourrait bénéficier des dividendes liés aux résultats de la SNCF et à ceux du groupe SNCF... De plus cette structure permettrait de rattacher RFF et SNCF du point de vue juridique, économique et financier... Je suis fort sceptique mais vu les déclaratiions des uns et des autres (Président RFF, Seguin, Bussereau et la stratégie annoncée à la tête de la SNCF (FRET, regroupement des activités Voyageur, infra etc... Plus rien ne m'étonnerait à présent...
  4. Le même avenir que l'infra quoi : filiale de RFF ?
  5. Fais un tour sur les fils de discussions consacrés à ECR et Veolia...
  6. L'autre fil sur les CCR http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...mp;#entry182891 As-tu une vue d'ensemble du poste de travail pour la photo parceque je penche pour une technique type PRS Je pense que pour les CCR l'objectif c'est de commander des zones géographiques à distance et non de télécommander des postes... y compris de dernière génération... Un petit PIPC c'est 4 écrans informatiques, quelques UC , un clavier et une souris... le tout connecté à une salle technique SES Il suffit d'un réseau et hop on peut déplacer le tout à 150km et on vide la pièce... Pas de reprise en commande locale... D'ailleurs le projet CCR concerne la zone dense de circulation sur le réseau structurant: 90% du trafic sur 14.000 km de lignes 1425 postes (600 à enclenchements mécaniques ou électromécaniques t^pes Saxby, EMU,MU, serrures 600 électriques à relais PRS PRG PRMI 300 postes informatiques et à commande centralisée PRCI PIPC PAI PRSI... 16000 aiguilles sur VP dont 12.000 motorisées et 40.000 signaux périmètre non CCR : le reste du réseau 15.000 km de lignes 600 postes , 10% du trafic réduction de l'organisation de 3 niveaux actuellement CNO-COGC-Postes à 2 CNO- salle CCR renforcement du pouvoir de supervission et de coordination du CNO La salle CCR est dégraoupée en plusieurs serceturs circulations A titre d'exemple selon les études : bourgogne franche comté : 15 secteurs circulation batiment de 3000 m2 investissement 400 Millions d'euros productivité -60% des effectifs (postes et COGC-CRO) productivité 11 Millions d'euros de gains annuel sur les seuls effectifs infra
  7. C'est pas la crise pour tout le monde ou les fins de mois ne sont pas les mêmes pour tous... Un nu de Lucian Freud bat le record de vente pour un artiste vivant NEW YORK (AFP) - Un nu du peintre britannique d'origine allemande Lucian Freud a été adjugé mardi soir près de 34 millions de dollars aux enchères d'art contemporain chez Christie's, battant le record des ventes pour un artiste vivant, ont annoncé les porte-parole du marchand d'art. Le précédent record de ce genre était détenu par l'artiste américain Jeff Koons pour une oeuvre qui avait atteint 23 millions de dollars à l'automne dernier à New York. "Benefits supervisor sleeping", une toile peinte par le petit-fils de Sigmund Freud en 1995 et représentant une femme, Sue Tilley, surnommée "Big Sue" en raison de ses formes imposantes, affalée sur un canapé, était désigné d'avance comme le grand gagnant de cette vente de printemps chez Christie's. Depuis des semaines, Sue Tilley est interviewée par tous les medias américains, du New York Times à la radio publique NPR (National Public Radio), où elle a raconté avoir été payée une quarantaine de dollars pour poser mais avoir beaucoup apprécié l'expérience. Christie's a annoncé avoir réalisé 348 millions de dollars mardi aux enchères de printemps, démentant pour la deuxième semaine consécutive, après les ventes impressionnistes de la semaine dernière, les rumeurs de crise sur le marché de l'art aux Etats-Unis. 95 % des lots (57 oeuvres étaient proposées) ont été vendus, pour 70 % à des collectionneurs américains, 26 % à des Européens et 4 % à des Asiatiques, a précisé au cours d'un point de presse Britt Corvy, un des organisateurs des ventes d'art contemporain chez Christie's. 35 % des oeuvres ont été vendues au-dessus de leur estimation, et 11 % en-dessous, a-t-il précisé. Parmi les autres lots, une toile de Mark Rothko de 1952 a été adjugée un peu plus de 50 millions de dollars à un acheteur anonyme, provoquant des applaudissements dans la salle. Plusieurs Andy Warhol se sont bien vendus, notamment un "Double Marlon", représentant l'acteur américain Marlon Brando à moto (daté 1966), une sérigraphie sur toile adjugée un peu plus de 32 millions de dollars. La déception est venue d'un triptyque de Francis Bacon, "Etudes pour un auto-portrait", 1976, qui était estimé entre 25 et 35 millions de dollars et qui a été adjugé 28.041.000 dollars, commission comprise.
  8. CITATION(ouragan @ 13/05/2008 19:08) tract_CGT_VCF.pdf08_05_13_Communique_de_presse__Courrier___Bussereau.pdf Il a du succès ce tract, il a été au moins posté trois fois sur le forum par des membres de la fgaac...HiHiHi... koiquesse
  9. Et la mobilisation contre les OGM reste forte...
  10. Communiqué de l'AFP : Psychodrame à l'UMP Rejet texte OGM: nouveau gros couac dans la majorité, Copé en difficulté Par Frédéric DUMOULIN PARIS (AFP) - Le rejet, momentané, du projet de loi sur les OGM constitue, après toute une série de couacs, un nouveau coup dur pour la majorité et met en difficulté le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Jean-François Copé, qui est déjà critiqué jusqu'à l'Elysée. La motion de procédure PCF a été votée à une seule voix de majorité, signe que les députés UMP n'étaient pas assez nombreux dans l'hémicycle. Le groupe avait pourtant promis, à la mi-journée, d'être "mobilisé" sur le texte. Après ce coup de tonnerre, alors que la gauche exultait, les députés de droite et le secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement, Roger Karoutchi, affichaient une mine déconfite. Ils ont tenté de faire contre mauvaise fortune bon coeur en annonçant aussitôt que le texte reprendrait son cours au plus vite et serait définitivement voté dans les prochaines semaines. Cette nouvelle tension dans la majorité intervient moins d'une semaine après le rappel à l'ordre lancé par Nicolas Sarkozy aux députés UMP qu'il recevait à l'occasion du premier anniversaire de sa victoire. Sitôt le texte rejeté, la chasse au coupable a commencé et de nombreux regards se tournaient vers M. Copé, accusé de ne pas mobiliser suffisamment ses troupes. "On va tous vous trancher la gorge", a ainsi lancé, dans un sourire figé, un ministre à l'un des proches de M. Copé dans les couloirs de l'Assemblée. Selon plusieurs sources, M. Sarkozy et François Fillon ont aussitôt téléphoné à M. Copé pour "lui passer un savon". "Il y a quand même un problème de gestion du groupe", a déclaré à l'AFP une source gouvernementale. "Si Sarkozy peut se débarrasser de Copé à cette occasion, il n'hésitera pas", a estimé une autre source. Selon Le Canard Enchaîné, M. Copé avait déjà beaucoup agacé le chef de l'Etat, fin avril, en déclarant qu'il n'existait pas de majorité au sein du groupe UMP pour voter, en l'état, le texte sur la réforme des institutions. A l'automne, l'Elysée n'avait pas non plus apprécié plusieurs "manquements" de la majorité sur les tests ADN, le financement du Nouveau Centre ou encore pendant les débats sur le projet de loi Sécu. M. Copé avait toutefois réussi à redresser la barre en se faisant accepter par ses troupes au départ critiques et en s'imposant comme l'un des hommes forts de la majorité. Le texte sur les OGM réussit décidément mal à la majorité. En première lecture, les déclarations de Nathalie Kosciusko-Morizet (Ecologie), accusant son ministre de tutelle, Jean-Louis Borloo, et M. Copé de "lâcheté", avaient entraîné un psychodrame au Palais Bourbon. Alors que son entourage semblait abattu, M. Copé a lancé: "j'assume mes responsabilités. Les blâmes, j'y suis habitué. La définition de +tenir son groupe+ est beaucoup plus complexe que certains ne le pensent". "C'est une manoeuvre de l'opposition, même si j'ai bien compris qu'elle était de bonne guerre", a-t-il déclaré à l'AFP. "Les derniers décomptes faisaient état de 105 députés présents à droite et 75 à gauche. Nous n'étions donc pas inquiets. On ne comprend pas comment on arrive à ce résultat", a-t-on avancé dans l'entourage de M. Copé avant d'ajouter: "c'est la preuve que le groupe UMP est vraiment très divisé sur les OGM". Cette passe d'armes gauche-droite tombe au plus mal à une semaine du débat sur la réforme constitutionnelle, qui nécessite un consensus ou du moins la neutralité bienveillante de la gauche.
  11. La création d'une nouvelle Entreprise Ferroviaire (Privée...?) uniquement pour les tractionnaires ? Je sors...
  12. Rejet surprise du texte OGM: revers cinglant pour Sarkozy et sa majorité Par Souk CHANTHALANGSY PARIS (AFP) - Le gouvernement de Nicolas Sarkozy et sa majorité ont subi mardi un revers cinglant à l'Assemblée avec le rejet inattendu du texte sur les OGM, sur un point de procédure, avec une seule voix d'écart, par les députés alors que tous s'attendaient à un vote définitif sans encombre. Un coup de tonnerre a secoué l'hémicycle juste avant 18H00, alors que les députés votaient, dans une indifférence quasi-générale, sur la question préalable plaidée avec fougue par le député PCF André Chassaigne, à l'occasion de la deuxième lecture de ce texte très controversé. Ni le ministre, Jean-Louis Borloo (Ecologie), ni sa secrétaire d'Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet, ni le rapporteur, Antoine Herth (UMP), n'avaient voulu s'exprimer au sujet de la motion PCF, laissant la parole à l'orateur UMP Marc Laffineur. L'annonce du vote de la motion de procédure par 136 voix contre 135 a douché la droite, tandis que les élus de gauche exultaient et applaudissaient durant plusieurs minutes. Le leader altermondialiste José Bové était debout dans les tribunes du public. Des cris de joie montaient des abords du Palais-Bourbon, où étaient rassemblés des centaines de manifestants anti-OGM, après un "pique-nique sans OGM" sur l'esplanade des Invalides. Le Premier ministre, François Fillon, a très vite annoncé la convocation de la Commission mixte paritaire (CMP composée de sept sénateurs et sept députés, majoritairement de droite) pour soumettre à nouveau le texte "au vote des deux chambres". Le PS a aussitôt réclamé une audience à Nicolas Sarkozy pour demander que le gouvernement ne "passe pas en force" en représentant le même texte. Le ministre Roger Karoutchi (Parlement) a déclaré en soirée à l'AFP que la CMP se réunirait "mercredi après-midi". Le vote des conclusions de cette CMP dans chacune des deux assemblées, synonyme d'adoption définitive du texte, devrait intervenir "dans les semaines à venir", "bien avant fin juin, si possible même avant fin mai", a-t-il précisé. Le dernier texte, rejeté via une motion de procédure, était la proposition de loi sur le PACS le 9 octobre 1998. En raison de son origine parlementaire, la gauche "plurielle" de l'époque avait dû présenter un autre texte. Mardi, à l'ouverture des débats, rien ne laissait présager une telle issue. "Ce texte est fidèle aux engagements du Grenelle malgré tout ce que j'ai pu entendre dire (...) Nous disposons d'un cadre juridique d'une totale cohérence", s'était réjoui Jean-Louis Borloo. La gauche poursuivait sa stratégie pour "que ce débat ne passe pas inaperçu" et que ce texte "néfaste" ne soit adopté "en catimini". Après le rejet d'une première motion de procédure PS (exception d'irrecevabilité), c'est André Chassaigne (PCF) qui a défendu, avec succès, "la question préalable". M. Chassaigne s'était déjà fait connaître en faisant adopter en première lecture un amendement -salué comme une "victoire" par la gauche et les anti-OGM- stipulant que "les OGM ne peuvent être cultivés, commercialisés ou utilisés que dans le respect de l'environnement et de la santé publique, des structures agricoles, des écosystèmes locaux et des filières de production et commerciales qualifiées +sans OGM+ et en toute transparence". Le texte OGM compte parmi ses mesures phare les règles de "coexistence" entre cultures OGM et sans-OGM et l'institution d'un "délit de fauchage".
  13. On avait le premier communiqué depuis un moment mais peut être sur un autre fil concernant Veolia...
  14. Pourquoi et en quoi la position du (des) syndicats CGT de Montauban et Toulouse qui ont été les premiers à communiquer sur cet incident sécurité (une dérive de 3000m) serait inconfortable. Informer et communiquer était nécessaire et il fallait bien que quelqu'un le fit... D'ailleurs a-t-on vu un communiqué officiel de Veolia, de la sncf, de rff, du spsf, du ministère des transports (ou de l'Ump...Je rigole là, voir l'affaire de l'AFP sur les communiqués ...) Les éléments apportés par les différents documents (articles de presse, documents Véolia, rapport BEATT, articles la vie du Rail...) mis en ligne sur ce fil de discussion confirment bien l'incident et les différents éléments émis,les hypothèses émises sur le forum. Pour l'instant manifestement la cause de l'incident reste inconnue. On peut s'attendre effectivement à une longue procédure d'expertise. mais ça n'enlèvera rien au fait qu'un train était parti en dérive et que la chance était avec nous... Autre chose est l'opinion et les arguments syndicaux mais là cela relève de la liberté d'opinion et de la "propagande". Mais ce qui est valable pour les syndicats CGT locaux est également valable pour le syndicat CGT de Veolia, le syndicat sud-rail (qui n'a pas fait non plus dans la dentelle) ou le syndicat fgaac (qui lui ne se mouille pas trop dans son communiqué) A chacun sa stratégie et à chacun d'apprécier la stratégie des uns ou des autres (ce que j'ai fais aussi soi dit en passant)
  15. Où on voit mieux les choses se mettre en place : Projet de loi Dati sur la protection des sources: texte "particulièrement insuffisant", selon le SNJ PARIS (AFP) - Le Syndicat national des journalistes (SNJ), premier syndicat de la profession, a jugé lundi "particulièrement insuffisant" le projet de loi Dati sur la protection du secret des sources des journalistes qui doit être examiné jeudi par l'Assemblée natinonale. "Si le texte actuel n'est pas très sérieusement amendé, ses dispositions seront plus dangereuses qu'utiles", a estimé le SNJ dans un communiqué publié lundi. Selon lui, "les dérogations au principe de protection du secret des sources sont très insuffisamment encadrées et très imprécises dans leur formulation." Le syndicat rappelle aux députés "qu'il ne demande pas la protection des journalistes mais la protection de leurs sources. A ce titre, ce sont, en plus des journalistes, tous les porteurs de ce secret qui doivent bénéficier de la même protection ainsi que tous les lieux où les journalistes exercent leur profession et pas seulement leur entreprise et/ou leur domicile", estime-t-il. Le SNJ estime par ailleurs qu'une nouvelle définition de la profession de journaliste, déjà définie dans le Code du travail et réglée par la Commission de la carte d'identité des journalistes professionnels, "doit disparaître de ce texte où elle n'a rien à faire." Les députés examinent jeudi le projet de loi Dati sur la protection du secret des sources des journalistes, auquel ils veulent apporter des garanties supplémentaires, jugées très insuffisantes par la profession. ************************ Le SNJ-CGT dénonce un "harcèlement" contre les médias et en particulier l'AFP PARIS (AFP) - Le syndicat de journalistes SNJ-CGT a "dénoncé" lundi "le harcèlement" dont sont victimes selon lui "les médias et en particulier l'Agence France-Presse", et a appelé "l'ensemble de la profession à réagir" contre "ces manoeuvres d'intimidation". "Devant les difficultés que connaît le pouvoir actuel dans les sondages, les penseurs en cour au sommet de l'Etat voudraient transformer les médias en simples courroies de transmission du gouvernement et du parti majoritaire auprès de l'opinion publique", estime le SNJ-CGT dans un communiqué. La ministre de la Culture, Christine Albanel, "voudrait transformer" l'AFP en "agence de communication pour diffuser des communiqués partisans", affirme le syndicat. Dans une interview au Journal du Dimanche, Mme Albanel avait déclaré que l'AFP "n'est pas une machine à reproduire des communiqués", tout en suggérant une formule qui permettrait la diffusion des textes des partis et syndicats via l'agence. Mme Albanel "ne peut pas à la fois dire que l'agence n'est pas +une machine à reproduire des communiqués+ et affirmer le contraire peu après", souligne le SNJ-CGT. Le syndicat estime par ailleurs que le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, qui a reproché à l'AFP de ne pas avoir relayé un communiqué de son parti sur Ségolène Royal, "devrait balayer devant sa porte avant de donner des leçons aux journalistes de l'AFP". Le SNJ-CGT relève que ces "attaques réitérées" contre l'AFP interviennent au moment où l'agence "renégocie son Contrat d'objectifs et de moyens pour les 5 ans à venir". Elles sont "d'autant plus inquiétantes qu'elles font suite à des déclarations, par voie de presse du PDG de l'agence et à des propositions du parti au pouvoir pour privatiser l'AFP" et "casser le statut de 1957 qui assure à la rédaction de l'agence son indépendance rédactionnelle", ajoute le syndicat. *********************************** Reporters sans frontières "s'inquiète" des accusations de membres de la majorité contre la presse PARIS - AP Reporters sans frontières (RSF) a déclaré lundi dans un communiqué s'inquiéter "des propos de certains membres de la majorité gouvernementale qui ont accusé la presse française de 'manque de neutralité'". La ministre de la Culture et de la Communication Christine Albanel, rappelle RSF, "a appelé l'Agence France-Presse (AFP) à créer un service spécial pour diffuser à l'état brut les communiqués des groupements politiques et des syndicats. Ces déclarations interviennent quelques jours après les critiques émises par le président français Nicolas Sarkozy à l'encontre de certains médias, les accusant de jouer le rôle de l'opposition". Pour l'organisation de défense de la liberté de la presse, la proposition de Mme Albanel est "inquiétante et ressemble à un déni du journalisme dans la mesure où les médias ne seraient plus que des tableaux d'affichage pour le gouvernement, les partis politiques ou encore les syndicats". C'est "également une défiance par rapport aux journalistes que le gouvernement et la majorité parlementaire ne pensent pas capables de juger de l'intérêt d'une information. Dans un pays démocratique, un communiqué officiel ne tient pas lieu d'information", souligne RSF. AP
  16. ma gie ==>ronde controleursncf
  17. Vers l'Unicité syndicale ?
  18. Merci pour ta réponse, les infos et le reportage photos... quelques liens Notons le logo sncf http://www.groupevfli.com/ http://www.groupevfli.com/metier/index.html http://www.groupevfli.com/groupe/elements-cles.html
  19. Besancenot (LCR) invité de Michel Drucker à "Vivement dimanche" Par Thierry MASURE AFP - PARIS (AFP) - En militant politique chevronné qu'il est, Olivier Besancenot déjoue le piège du vedettariat dans l'émission de Michel Drucker "Vivement dimanche" diffusée le 11 mai, avec un revers à la médaille: une difficulté à sortir de la novlangue révolutionnaire. Le passage du porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) à l'émission de divertissement de Michel Drucker fait figure d'événement. Il "tient des propos qu'on entend rarement à la télévision", relève Claude Sérillon, l'un de ses interlocuteurs dans cette émission enregistrée mercredi. Avec la bienveillance de la presse de droite. A celui qui refuse toute alliance avec le PS, le quotidien Le Figaro a accordé une pleine page vendredi. La fraction minoritaire de la LCR a paradoxalement contribué à mettre en relief cet inédit audiovisuel: la participation de Besancenot aboutit à personnaliser et "dépolitiser le débat public", avait accusé son chef de file Christian Picquet. De fait, la popularité du postier de Neuilly-sur-Seine est sans commune mesure avec son matelas électoral: un peu plus de 4% des voix à l'élection présidentielle de 2007 et celle de 2002, mais une cote personnelle (61% de bonnes opinions) qui tutoie celle de Bertrand Delanoë (64%), voire de Ségolène Royal (71%) chez les sympathisants de gauche. Le jeune leader - 30 ans le mois dernier - se défend de céder à la "starisation". "La représentation médiatique, j'y ai toujours pas pris goût", répond-il, assis sur les canapés rouges de "Vivement dimanche". De sa femme et de son fils de 4 ans et demi, on ne saura donc rien. Tout juste des images en accéléré du postier jouant au football avec ses "potes" et du club de boxe qu'il fréquente assidûment - avec un Besancenot sans les gants en la circonstance. Entre des chansons de Jean Ferrat, Bernard Lavilliers et du groupe Zebda, dont les engagements à gauche sont connus, et une autre de Charles Aznavour, le responsable trotskiste est là pour "s'adresser à des millions de personnes" et exposer ses "engagements", "donner la parole à ceux qui ne l'ont pas d'habitude". Les témoins ont été soigneusement choisis: deux femmes syndicalistes, l'une de l'ex-fabricant de stylos Reynolds à Valence, aujourd'hui disparu, l'autre d'une entreprise métallurgique de la région lilloise, font un récit brut de décoffrage du vécu ouvrier. Le public paraît acquis à la la cause du p'tit gars de Levallois-Perret, venu au militantisme politique à 14 ans à peine par l'entremise d'un professeur d'allemand trotskiste. La députée PRG Christiane Taubira vient témoigner de la sympathie à son égard d'une partie de la gauche. "S'il te plaît, continue à parler!", l'adjure-t-elle. Besancenot "revendique pour (sa) génération un gros doute". Mais ce sont surtout ses révoltes et certitudes qu'on entend, mâtinées parfois d'ambiguïtés comme sur la question de la prise du pouvoir par la force. L'important, c'est que "les masses, les exploités, les opprimés fassent irruption sur la scène publique", élude-t-il.
  20. "...oui pour moi c'est claire, mais je ne conprend pas la difference sur la mutuelle et d'autre chose, mais je n'est pas le choix pour les differences... La Caisse de Prévoyance couvre une partie importante de tes dépenses de santé (visite chez le médecin de secteur sncf, médicaments...) mais il peut te rester une part non prise en charge par la caisse de Prévoyance - dans le cas du libre choix du médecin (la Caisse rembourse 75%) - en cas d'hospitalisation (forfait journalier) - pour la dentition, les lunettes etc... Donc pour couvrir cette différence il te faut une mutuelle (il y en a plusieurs chez les cheminots). A noter qu'il existe un accord entre la Caisse de Prévoyance et les Mutuelles : les remboursements part mutuelle sont effectués en général directement par la Caisse de Prévoyance ce qui nous simplifie la vie... Egalement important si le conjoint ne travaille pas ou n'a pas sa propre mutuelle, pour les enfants (ce qu'on appelle les ayants-droits) qui sont pris en charge au tarif sécurité sociale même si c'est la Caise de Prévoyance qui règle les remboursements si les ayants-droits sont rattachés à l'agent) Ensuite c'est un jeu de facture entre la Caisse de Prévoyance et la Sécurité Sociale.
  21. Suite... Albanel veut que l'AFP diffuse les communiqués des partis et des syndicats, les journalistes s'insurgent AP - PARIS - En pleine polémique autour des critiques que Nicolas Sarkozy aurait émises contre certains médias, la ministre de la Culture Christine Albanel suggère dans "Le Journal du dimanche" que l'Agence France Presse (AFP) pourrait diffuser l'intégralité des communiqués de presse des partis et des organisations syndicales. La société des journalistes de l'AFP s'insurge contre l'idée, estimant qu'"on n'est plus dans le domaine du journalisme". Selon le "JDD", le principe de ce "service supplémentaire" de l'AFP est inclus dans le projet de loi autorisant les journalistes à ne pas divulguer leurs sources, que Mme Albanel et la ministre de la Justice Rachida Dati présenteront à l'Assemblée nationale la semaine prochaine. La ministre de la Culture juge que les partis et syndicats pourraient ainsi exprimer "plus largement et de façon totalement neutre leurs points de vue". Ces communiqués apparaîtraient "sur un espace spécifique et facilement accessible, selon des modalités à préciser et à organiser", précise-t-elle, avant d'ajouter qu'elle soumettra cette idée au directeur de l'AFP vendredi. Christine Albanel assure toutefois que ce "service" ne se substituerait "en aucun cas au travail de rédaction et d'éditorialisation des journalistes de l'AFP sur les sujets politiques ou sociaux quand ils le jugent nécessaires et pertinents". Christophe Beaudufe, représentant de la Société des journalistes (SDJ) de l'AFP, s'est élevé contre un mélange des genres. "Notre travail de journaliste, c'est de faire une information vérifiée, recoupée et remise dans son contexte", a-t-il rappelé sur France-Info, on "ne publie jamais un communiqué, on traite un communiqué". Pour ce journaliste, l'idée de Mme Albanel est "un peu curieuse et pas très pratique car il y aurait des centaines de communiqués". "Créons une boîte aux lettres géante où tout le monde viendra mettre ses communiqués, et on verra bien ce qu'il en ressortira", suggère-t-il, "mais on n'est plus dans le domaine du journalisme". Interrogée sur les relations tendues entre le président de la République et les médias après qu'il a accusé certains titres de "s'attribuer la fonction d'opposition", Christine Albanel rappelle que c'est Nicolas Sarkozy qui "avait pris l'engagement d'inscrire le principe de la protection des sources des journalistes dans la loi" quand il n'était encore que candidat. "Comme tout un chacun, le président a le droit de réagir à certaines critiques, notamment lorsqu'elles sont systématiques, qu'elles le ciblent, qu'elles sont violentes et récurrentes", estime-t-elle. "Cela étant, ce n'est pas contradictoire avec son profond attachement à la liberté de la presse". Selon "Le Parisien/Aujourd'hui en France" de jeudi, Nicolas Sarkozy a accusé la presse lors d'une réunion de l'UMP de ne pas avoir donné assez d'écho à la récente condamnation de Ségolène Royal dans l'affaire de ses ex-collaboratrices parlementaires. Il aurait également mis en cause "L'Express", "Marianne", l'AFP et le "Journal du Dimanche", les accusant de "s'attribuer la fonction d'opposition". Quant à l'opposition, elle se plaint de la surexposition de l'UMP. Les socialistes sont "inaudibles" car ils sont "au pain sec et à l'eau médiatiques", estime Arnaud Montebourg, dans le "JDD". "Aujourd'hui, l'expression en faveur de l'UMP, président de la République et collaborateurs compris, a augmenté de 256 % sur TF1 et 196 % sur France 2", selon le député PS de Saône-et-Loire, qui cite des chiffres du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). L'élu accuse par ailleurs "le sarkozisme" de "s'attaque® à tous les contre-pouvoirs: juges, avocats et journalistes". AP
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