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SNCF.com un site sécurisé ?
Dom Le Trappeur a répondu à km315 situé dans Actualité ferroviaire générale
C'est un peu comme pour la liberté de la presse (auto-plus) ou pour le nucléaire : petite fuite et grands effets... :blush: -
SNCF.com un site sécurisé ?
Dom Le Trappeur a répondu à km315 situé dans Actualité ferroviaire générale
La SNCF assure protéger les données bancaires de ses clients ZDNet.fr - Vendredi 18 juillet, 18h51 La SNCF s'insurge conte un récent article du Canard Enchaîné mettant en cause la fiabilité de son système d'information qui ne protégerait pas assez les données de sa clientèle internet, dont les informations bancaires. « L'ensemble des transactions sont sécurisées sur le site voyages-sncf.com (...) Aucune faille n'a jamais été détectée sur ce système de paiement », assure la société. « Les données personnelles des clients (adresses postales, courriels, etc.) sont protégées par deux niveaux de firewalls (pare-feu) provenant de deux éditeurs différents. » Sept scénarios catastrophes En fait, les serveurs hébergeant ces données sont situés dans une zone réseau non accessible depuis internet et situés dans des locaux hautement sécurisés, poursuit la SNCF. Les firewalls eux-mêmes sont « contrôlés par des sondes qui analysent le trafic du site en permanence et bloquent tout risque potentiel ». Et des audits sont pratiqués régulièrement par des prestataires externes experts en sécurité. Le journal satirique citait une note interne présentant « sept scénarios catastrophes », allant de la panne sèche du système d'information de la SNCF jusqu'à la « fraude massive ». Les experts en sécurité ayant rédigé cette note estimaient que « les infrastructures de la SNCF n'offrent pas de services assurant la confidentialité des échanges [de données] et des stockages », assure le Canard. La SNCF répond que cette note « envisageait à titre préventif une série de scénarios extrêmes » purement théoriques, et qu'il ne « s'agissait pas d'un rapport établi en raison d'une situation d'urgence -
Il y a sur le forum au moins deux fils de discussions où on peut se permettre pas mal de chose y compris des avis "politiques, religieux, philosophiques, économiques, sociaux..." Encore Une Petite Du Karcher Nain http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...ic=6999&hl= Les échos Du Zinc De La Rotonde ., les infos qui ne sont que ici . http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...ic=5728&hl= et il me semble que personne ne s'en prive sans parler des innombrables discussions qui partant d'un sujet dérivent allègrement en "diverses polémiques" de tous ordres. Dans le cas des messages disparus, il s'agissait - de l'apparition d'un nouvel inscrit qui s'annonce de lui-même carrément "anti-cheminot" (sous-entendu : faignéants, grévistes et j'en passe......) - qui dès son premier message relayait une fois de plus le spam anti-cheminot, anti-sncf bien connu (alors qu'il y a déjà des discussion sur le sujet sur le forum) - qui faisait de la pub à un livre à sortir là annoncé carrément anti-cheminot... - et qui sur un autre fil s'en prenait aux cheminots au travers des EVS Eléments Variables de Solde sans avancer un seul argument... ça fait beaucoup en 3 messages et deux pseudos... et il est revenu une nouvelle fois sous un 3ème pseudo... que j'ai personnellement signalé aux modos dès son apparition. Pour moi, les modérateurs ont fait le ménage, tout simplement...
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Un journaliste d'Auto Plus mis en examen pour un article PARIS (Reuters) - Un journaliste d'Auto Plus a été mis en examen jeudi dans une affaire concernant un article sur un projet de Renault, qui a suscité l'indignation dans les milieux de la presse, ont annoncé la direction du magazine et l'organisation Reporters sans frontières (RSF). Bruno Thomas est poursuivi pour "recel d'abus de confiance, contrefaçon, recel de contrefaçon, complicité de corruption, révélation de secret de fabrique, recel de secret de fabrique". Après deux jours et deux nuits en garde à vue à la police judiciaire de Versailles, un traitement sans précédent dans une affaire de presse, il s'est vu notifier ces charges par un juge d'instruction, qui l'a placé en outre sous contrôle judiciaire. Il a interdiction de communiquer avec les personnels de Renault et leurs fournisseurs. La procédure a été ouverte en août 2007 après une plainte contre "X" du constructeur automobile, qui réagissait à la publication le mois précédent de photos et d'informations sur un projet de modèle Twingo. Le journaliste se voit reprocher d'avoir édité ou reproduit des écrits ou des dessins et diffusé l'oeuvre de Renault ainsi qu'un secret de fabrication. L'utilisation du chef de corruption montre que la justice soupçonne que l'obtention de ces informations a été rémunérée. Selon le Figaro, les documents publiés par Auto Plus auraient été achetés 12.000 à 15.000 euros à l'unité. Un employé de Renault, qui serait la source du journaliste, a été mis en examen la semaine dernière. Laurent Chiapello, directeur de la rédaction d'Auto Plus, a réagi via RSF a la mise en examen en qualifiant "d'irréalistes" les chefs de poursuite. "Il va falloir que l'on s'entende bien pour savoir ce qu'est le journalisme en France", dit-il. Dans un communiqué, le syndicat FO-Journalistes estime que la France s'est mise "hors la loi" au regard du droit international, notamment de la jurisprudence de la Cour des droits de l'homme. "Cette mise en examen (...) met gravement en cause le liberté d'information et le droit d'informer", dit-il. Lors d'une perquisition de plus de huit heures au magazine mercredi, la police a saisi des disques durs d'ordinateurs, des documents, des photos et a copié des courriers électroniques. L'ensemble des syndicats et organisations de journalistes et de presse ont protesté contre ce qu'ils voient comme une attaque contre le droit à la protection du secret des sources, sans lequel, disent-ils, l'exercice du métier de journaliste est impossible. Renault assure qu'il ne voulait pas viser la presse mais ses salariés qui divulguent des secrets de fabrication. L'affaire semble souligner les limites d'un projet de loi, qui doit être examiné en deuxième lecture à la rentrée au Sénat. Il interdit en théorie toute perquisition dans une entreprise de presse ou au domicile d'un journaliste. Des exceptions sont prévues dans les cas d'"impératif prépondérant d'intérêt public", notion jugée vague par les organisations de presse. Thierry Lévêque, édité par Gilles Trequesser
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Forêt amazonienne ==>> poumons de la Planète
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La France comptait 13,2% de pauvres en 2006, selon l'Insee PARIS (Reuters) - En 2006, 7,9 millions de personnes vivaient en dessous du seuil de pauvreté en France avec un niveau de vie inférieur à 880 euros par mois, selon une étude de l'Insee. Les personnes pauvres représentaient ainsi 13,2% de la population de la métropole, un taux pratiquement stable par rapport à 2005 et inférieur à la moyenne européenne. Conformément à la norme européenne, le seuil de pauvreté correspond à 60% du niveau de vie médian - seuil au-dessus duquel se situe une moitié de la population, l'autre étant en dessous. Ce seuil était de 1.740 euros en 2006 en France, ou 17.600 euros par an, en hausse de 1,7% par rapport à 2005 en euros constants. L'enquête montre que la pauvreté touche 30% des familles monoparentales - essentiellement constituées d'une mère et de ses enfants - et qu'elle est plus forte dans les villes de plus de 20.000 habitants, hors agglomération parisienne. Elle établit que l'ensemble des actifs, constitué des personnes ayant un emploi et des chômeurs, avaient un niveau de vie moyen comparable à celui des retraités (21.760 euros et 21.540 euros respectivement) en 2006. Mais au sein des actifs, le niveau de vie moyen d'un chômeur est inférieur de 35% à celui d'un actif qui a un emploi. Selon l'Insee, en 2006 les 10% de personnes les plus modestes de la population avaient un niveau de vie inférieur à 9.720 euros annuels (dont près de 42% provenaient de transferts sociaux) alors que les 10% plus aisées avaient au moins 33.190 euros, soit 3,4 fois plus. TAUX DE PAUVRETÉ DE 16% DANS L'UE Le taux de pauvreté était de 13,1% en 2005. "L'évolution de 0,1 point entre 2005 et 2006 ne peut pas être considérée comme significative compte tenu de la marge d'incertitude de plus ou moins 0,5 point qui affecte ce taux", souligne l'Insee, dont l'étude s'appuie sur les déclarations fiscales et exclut les personnes sans domicile. Au 1er janvier 2006, le plafond du Revenu minimum d'insertion (RMI) pour une personne seule était de 433 euros par mois et de 650 euros pour une personne seule avec un enfant ou un couple sans enfant, rappelle l'Insee dans son étude. Le niveau de vie est égal au revenu disponible du ménage divisé par le nombre d'unités de consommation (une unité au premier adulte du ménage, 0,5 aux autres personnes de 14 ans et plus, 0,3 aux enfants de moins de 14 ans). Ainsi, un ménage de deux personnes ayant un revenu deux fois supérieur à celui d'une personne vivant seule aura un meilleur niveau de vie, en raison des "économies d'échelle" - par exemple l'achat d'équipement pour la maison - que lui procure la vie en couple. Le champ retenu pour l'étude de l'Insee est celui des ménages ordinaires en France métropolitaine, dont la personne de référence n'est pas étudiante et dont le revenu déclaré est positif ou nul. Il exclut donc les personnes en institution ainsi que les sans-domicile qui sont les plus en difficulté, précise l'étude intitulée "Les niveaux de vie en 2006". Selon Eurostat, l'agence de statistiques de l'Union européenne, le taux de pauvreté était de 16% dans l'UE à 25 en 2006. Le taux le plus élevé, 23%, était en Lettonie, et le plus bas, 10%, en République tchèque et aux Pays-Bas. Véronique Tison, édité par Gilles Trequesser
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ébène ==>> bois exotiques
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tableaux ==>> noirs
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http://www.zigonet.com/video/where-the-hel...tar_art771.html Il fait le tour du monde en dansant Excellent lapleunicheuse
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Entre Mandela Le Géant et les autres un gouffre...
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Un Géant... Mandela dénonce inégalités et pauvreté en Afrique du Sud, le jour de ses 90 ans QUNU (AFP) - L'ancien président sud-africain Nelson Mandela a dénoncé vendredi les inégalités sociales et déploré que son pays soit "en proie à la pauvreté", dans un message lancé à l'occasion de son 90e anniversaire. "Il y a beaucoup de riches en Afrique du Sud et qui pourraient partager leurs richesses avec ceux qui n'ont pas eu la chance de sortir de la pauvreté", a déclaré le héros de la lutte anti-apartheid, dans une interview à un pool de presse. "Notre peuple est en proie à la pauvreté. Si vous êtes pauvres, vous avez peu de chances de vivre longtemps", a-t-il ajouté. L'Afrique du Sud est la première puissance économique du continent mais 43% de ses 48 millions d'habitants vivent sous le seuil de pauvreté et les inégalités de revenus ne cessent de s'accroître. Le Prix Nobel de la Paix (1993) fête vendredi en famille son 90e anniversaire dans le village de Qunu (sud-est) où il a passé une partie de son enfance. Il s'est dit "honoré" par les messages parvenus du monde entier pour lui souhaiter un joyeux anniversaire. "Nous sommes honorés de votre volonté de souhaiter une joyeux anniversaire à un vieil homme à la retraite, qui n'a plus ni pouvoir ni influence", a-t-il déclaré dans un message diffusé par la radio publique SAFM. "Nous faisons la fête et je vous remercie de vous joindre à moi pour ces célébrations", a ajouté le héros de la lutte anti-apartheid, qui a passé 27 ans dans les prisons du régime raciste. Nelson Mandela fête ses 90 ans ainsi que ses 10 ans de mariage avec Graça Machel, la veuve de l'ancien président mozambicain Samora Machel. Son entourage souhaite l'épargner après des semaines d'activités intenses, marquées notamment par un voyage à Londres pour un concert géant au profit de la lutte contre le sida. Depuis plusieurs jours, les hommages abondent du monde entier et couvrent l'éventail du spectre politique, témoignant de sa popularité. L'ancien président Bill Clinton a loué "la puissance de son exemple". Dans le domaine sportif, le président de la Fifa, Stepp Blatter, a rendu hommage à cette "icône de l'humanité" qui a contribué à obtenir l'organisation de la coupe du monde de football 2010 pour son pays. Son rival d'antan, le dernier président de l'apartheid, Frederick de Klerk a salué "l'un des plus grands hommes du 20e siècle".
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France : deux chiens meurent de façon suspecte sur une plage des Côtes-d'Armor Hillion, France – Deux chiens sont morts asphyxiés sur une plage envahie chaque année par les algues vertes. Selon le quotidien Ouest France, les deux animaux, laissés en liberté une vingtaine de minutes par leur propriétaire, ont été retrouvés inanimés, les muqueuses bleues, sur un tas d’algues vertes. Les corps des deux animaux ont été confiés à une clinique vétérinaire dont les premières conclusions laissent penser à une asphyxie due à un gaz de nature inconnue. Le doute persiste quant à la possibilité que ce gaz soit issu de la putréfaction des algues vertes, trouvées en quantité importante sur la plage de la Grandville à Hillion. Il faudra attendre les résultats d’autopsie pour établir avec certitude la cause de la mort des deux animaux. Leur propriétaire a déposé une plainte contre X.
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Les signataires en rouge Les non-signataires en bleu ça va en surprendre plus d'un, je sens... Fait à PARIS, le 06 juin 2008 La Société Nationale des Chemins de Fer Français Le Directeur des ressources humaines F. NOGUE La Fédération Nationale des Travailleurs, Cadres et Techniciens des Chemins de fer Français (C.G.T.) Thierry NIER Signature accompagnée de réserves La Fédération des Cheminots CFDT (C .F.D.T.) La Fédération Syndicaliste Force Ouvrière des Cheminots (CGT-FO) La Fédération CFTC des Cheminots (C.F.T.C.) Philippe GONCALVES Dominique CITERNE La Fédération des Syndicats de Travailleurs du Rail Solidaires, Unitaires et Démocratiques (SUD-RAIL) L’Union Nationale des Syndicats Autonomes Fédération des Cheminots et Personnels des Activités Annexes (UNSA – Fédération des Cheminots) Jean-Daniel BIGARNE Syndicat National CFE-CGC de la SNCF (CFE – CGC) G. BLANC La Fédération Générale Autonome des Agents de Conduite, Faisant fonctions et assimilés des Chemins de fer (F.G.A.A.C.) Serge BONNAUD Le Syndicat National des Cadres Supérieurs des Chemins de fer (S.N.C.S.) Eric BLERVACQUE
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[Grenelle de l'Environnement] - Sujet Officiel
Dom Le Trappeur a répondu à laconi situé dans Brin de causette
Sur l'Internaute dossiers lignes nouvelles à construire d'ici 2020 dans le cadre du Grenelle de l'Environnement http://www.linternaute.com/actualite/grand...-ici-2020.shtml -
Marchandages et petits arrangements... Réforme des institutions : la gauche, Bayrou et des élus UMP dénoncent des "pressions" de Sarkozy Par Frédéric DUMOULIN PARIS (AFP) - La gauche, François Bayrou et des députés UMP dénoncent des "pressions" et "marchandages" de l'exécutif, en particulier de Nicolas Sarkozy, pour faire basculer lundi les hésitants ou les récalcitrants dans le camp du oui au Congrès sur la réforme des institutions. Nombreux coups de fil de conseillers de l'Elysée -notamment de Claude Guéant- à des députés UMP, convocation de certains par le chef de l'Etat lui-même, appels insistants, ressentis comme des menaces, d'Alain Marleix (Collectivités), en charge du redécoupage électoral... plusieurs élus résolus à voter non, ou tentés de le faire, ont affirmé à l'AFP être "harcelés". De fait, une certaine fébrilité règne depuis plusieurs jours dans les allées du pouvoir tant l'issue du vote est incertaine. Le scrutin devrait se jouer à quelques voix, peut-être moins de cinq, situation totalement inédite pour un Congrès. "Il y a des débauchages et des médiocrités dont on avait perdu l'habitude. On nous dit qu'il faut revaloriser le Parlement, or on fait des pressions inacceptables. Des députés ont été convaincus de changer de vote en étant achetés ou contre la promesse d'un maroquin", a déclaré à l'AFP le député chiraquien Henri Cuq, opposé à la réforme. "Que le président du groupe UMP (Jean-François Copé) nous appelle, c'est son rôle. Mais le président de l'Assemblée (Bernard Accoyer) fait des pressions directes ou indirectes, Nicolas Sarkozy convoque des députés dans son bureau et s'arroge le droit de modifier le règlement de l'Assemblée" sur le seuil de constitution d'un groupe parlementaire, a-t-il dit. "On m'a appelé pour me dire +ne t'inquiète pas, Marleix va s'arranger pour ta circonscription+", raconte un député UMP qui se dit soumis "à une pression d'enfer". En vain : il maintient son vote négatif. Philippe Folliot (app NC), toujours hésitant, assure ne pas avoir eu droit à un tel traitement: "ce serait le meilleur moyen de me faire voter contre !". "Il est temps que cessent ces pressions, ces chantages, cette frénésie de marchandages, qui prennent une ampleur jamais vue", a lancé jeudi le porte-parole du PS, Julien Dray. Indigné, François Bayrou (MoDem) accuse certains hommes politiques de se conduire comme "des marchands de paillassons". Que M. Sarkozy "aille jusqu'à négocier lui-même, pour obtenir quelques voix, des nominations, ou bien l'arrangement d'affaires, ou bien le fait que l'on pourra faire un groupe parlementaire avec 10, 12 ou 15 députés, tout cela, ce sont des marchandages qui ne sont pas dignes", a-t-il lâché. Une allusion à la cour pressante dont sont l'objet les élus PRG de la part de l'exécutif, en vue du Congrès. Il n'y a pas de contrepartie, c'est un vote de "conviction", a rétorqué le patron du PRG Jean-Michel Baylet. Certaines persifleurs assurent aussi que Jack Lang (PS) voterait oui contre la promesse d'être nommé "défenseur" des citoyens, poste créé par la réforme. "C'est honteux, je ne suis candidat à rien !", réplique l'intéressé. Dans le camp du non, des élus de gauche évoquent aussi des pressions de la direction du PS, notamment sur les investitures, afin que pas une voix ne manque pour faire échec au chef de l'Etat. "Des pressions ? Il y en a eu en réalité très peu. A quatre mois du Congrès du PS, ce n'est même pas la peine. Celui qui sort du bois et vote oui sait bien qu'il est mort", affirme une source PS.
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Des précisions intéressantes ... Remous autour de l'indemnisation record accordée à Bernard Tapie PARIS (Reuters) - L'indemnisation record de 285 millions d'euros accordée à Bernard Tapie par un tribunal arbitral, qui pourrait atteindre après une autre audience 400 millions, suscite l'indignation et les interrogations de François Bayrou et du Parti communiste. L'ancien candidat centriste à la présidentielle a demandé la constitution d'une commission d'enquête parlementaire. Il estime que Bernard Tapie a bénéficié de l'appui de Nicolas Sarkozy. "Chaque fois que Nicolas Sarkozy a été, soit au ministère des Finances, soit à la présidence de la République, comme par hasard des protections se sont déclenchées au profit de Bernard Tapie, lequel lui-même s'est enrôlé toujours sous ses bannières", a dit François Bayrou sur RTL. Le groupe communiste du Sénat estime que l'opération "concernant un ancien ministre, homme médiatique et politique, soutien affiché de l'ancien président de la République, est révélatrice des pratiques politiques actuelles". La décision définitive rendue par le tribunal arbitral de trois personnalités, dont l'ex-président du Conseil constitutionnel Pierre Mazeaud, visait un litige sur la vente du groupe Adidas par une filiale du Crédit lyonnais en 1993. Bernard Tapie avait pris le contrôle majoritaire d'Adidas en 1990, mais son entrée au gouvernement l'avait amené à céder ses parts en 1993 pour l'équivalent de 318 millions d'euros, grâce à un mandat de vente confié à la Société de banque occidentale (SBDO), filiale du Crédit lyonnais. On sait aujourd'hui que l'acheteur d'Adidas, un groupe d'entrepreneurs, était contrôlé en sous-main par la SDBO, grâce à un montage financier clandestin "offshore". Les parts d'Adidas ont été revendues en décembre 1994 à l'homme d'affaires Robert-Louis Dreyfus pour l'équivalent de 708 millions d'euros. Ce dernier les a ensuite valorisées en bourse en novembre 1995 pour 1,067 milliard d'euros. NOUVELLE AUDIENCE LE 24 JUILLET Ce montage est sanctionné par le tribunal arbitral qui estime que la banque a manqué à ses obligations de "loyauté", ce qui explique à ses yeux l'indemnisation de 240 millions d'euros. Le reste, 45 millions d'euros, indemnise le "préjudice moral" de Bernard Tapie, caractérisé, dit la décision publiée dans Le Monde, par "la violente campagne conduite par la banque, nourrie d'agissements graves". Cette décision est intervenue après l'abandon par le Consortium de réalisation (CDR), structure d'Etat chargée de gérer le passif du Crédit lyonnais, d'une voie judiciaire qui avait abouti pour elle à un succès en octobre 2006. A cette date, la Cour de cassation, plus haute instance judiciaire française, avait annulé un arrêt de la cour d'appel de Paris accordant 135 millions d'euros à Bernard Tapie. L'affaire aurait dû être rejugée par une autre cour d'appel, avec un sort incertain pour l'homme d'affaires. Le CDR pouvait se prévaloir de la décision de la Cour de cassation estimant que le Crédit lyonnais ne pouvait être "obligé par un contrat auquel il n'était pas partie", car il concernait sa filiale SDBO, "personne morale distincte". "On a voulu mettre en place des arbitres pour éviter la décision de justice dont on savait qu'elle serait défavorable à Bernard Tapie", a estimé François Bayrou. Le 24 juillet, jeudi prochain, le même tribunal arbitral devra dire jusqu'à quel niveau la somme de 240 millions d'euros sera augmentée des intérêts courant depuis 1994, ce qui pourrait faire monter l'indemnisation à 400 millions d'euros. Bernard Tapie a parallèlement une lourde ardoise fiscale depuis les années 90, qui s'augmente aussi d'intérêts. Il estime le solde en sa faveur à une vingtaine de millions d'euros. D'autres évaluations vont jusqu'à 80 millions. Emprisonné en 1997 pour un match de football truqué entre Valenciennes et l'Olympique de Marseille, qu'il présidait, condamné dans d'autres affaires, Bernard Tapie, ancien ministre de la Ville de François Mitterrand devenu comédien et animateur de radio, a soutenu Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle. Thierry Lévêque, édité par Gilles Trequesser
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Le modèle américain si cher à notre très cher Président de la République... Etats-Unis : l'inefficacité du système de santé entraîne 101.000 morts prématurées par an WASHINGTON (AFP) - L'inefficacité du système de santé américain, pourtant plus coûteux que celui d'autres grands pays industrialisés, fait que les Etats-Unis enregistrent jusqu'à 101.000 décès prématurés annuels de plus qu'ils ne le devraient, selon une étude publiée jeudi. "Les Etats-Unis dépensent pour la santé deux fois plus par tête d'habitant que les autres grands pays industrialisés, et les coûts continuent à augmenter plus vite que les revenus", souligne l'organisation privée Commonwealth Fund foundation. Utilisant un système de notation sur 100 points, avec pour critères 37 catégories telles que l'accès au soins et la qualité des soins, les Etats-Unis arrivent à une note de 65 points, deux de moins qu'en 2006, ce qui les place à la 19e place parmi les pays industrialisés quand il s'agit de prévenir des décès prématurés dus à des crises cardiaques. Jusqu'à 101.000 personnes de moins mourraient de façon prématurée aux Etats-Unis si le pays avait un taux de mortalité équivalent à celui de la France ou du Japon, selon le rapport. En 2007, 75 millions d'Américains appartenant à la population active étaient soit non assurés ou insuffisamment assurés, alors qu'ils n'étaient que 61 millions en 2003, selon le rapport. En outre les délais pour obtenir un rendez-vous ont augmenté: "en 2007, comme en 2005, moins de la moitié des adultes souffrant d'un problème de santé ont pu obtenir un rendez-vous rapidement". Enfin les procédures administratives ne sont guère meilleures: seulement 28% des médecins américains utilisent des archives électroniques, contre près de 100% dans d'autres pays industrialisés.
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Les facilités de circulation taxées par l'URSSAF
Dom Le Trappeur a répondu à AIA AIA situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Air France : les syndicats mobilisés pour préserver leurs billets d'avion bradés Par Sandrine PITTALUGA AFP -PARIS (AFP) - Sans appeler à la grève, les syndicats d'Air France se mobilisent pour sauver les billets d'avion à prix très réduits dont bénéficient les 70.000 salariés du groupe, remis en cause par la volonté des Urssaf de les taxer. "C'est le sujet central des discussions dans toute l'entreprise", indique à l'AFP David Ricatte, délégué CGT, pour qui la compagnie est au "bord du chaos social". Ces billets sont "un acquis datant de 1949, ancré dans la mémoire collective, quelque chose de culturel et identitaire", relève-t-il. Depuis fin juin, une intersyndicale, comprenant la plupart des nombreux syndicats de la compagnie, s'est regroupée pour tenter de conserver le système des billets "GP" (gratuité partielle). Les réductions peuvent atteindre 50%, pour les billets dits "R1" réservables à l'avance, et jusqu'à 70% pour les "R2", attribués en fonction des places encore disponibles. Conjoint, enfants, parents et beaux-parents profitent de ces "avantages en nature" auxquels s'ajoutent quatre allers-retours à prix réduits par an destinés à toute autre personne choisie par le salarié. Pour les Urssaf, chargées de récolter les cotisations de sécurité sociale, ces "GP" doivent être soumis à cotisations et imposition sur le revenu, car les rabais vont au-delà du seuil accepté de 30% par rapport au prix public le plus bas pratiqué dans l'année. EDF et GDF, qui offrent aussi des tarifs préférentiels à leurs salariés, appliquent ce règlement, mais pas la SNCF qui ne semble pas pour autant inquiétée par l'organisme collecteur, selon ces entreprises. Air France avait jusqu'à présent échappé à toute sanction. Depuis fin 2007, elle est menacée d'un redressement à terme si elle ne se conforme pas au Code de la Sécurité sociale. La direction se refuse à tout commentaire sur le sujet. "La direction est dans un embarras épouvantable: à titre individuel parce qu'elle utilise des billets et à titre collectif parce qu'elle sait que le sujet est ultra sensible", analyse Monique Rabussier, élue CFDT. La direction s'oriente vers une augmentation des billets "R1", peut-être dès "cet hiver", ce qui ne passe pas du tout auprès des salariés, la CFDT allant jusqu'à prévoir le départ de certains cadres, notamment les plus jeunes. "Il y a de la grogne à tous les niveaux de l'entreprise, c'est vraiment très chaud! C'est nous qui disons aux salariés: ne vous mettez pas en grève!", dit Mme Rabussier. "Ce sont les syndicats qui calment le jeu, mais il suffit d'une étincelle", confirme un membre de la délégation UMP au transport aérien qui a écrit au secrétaire d'Etat chargé des Transports, Dominique Bussereau sur le sujet. La section fret de FO a lancé une grève d'un jour mardi --sans incidence sur le trafic, selon la direction-- contre l'avis du bureau central du syndicat. FO estime aussi que "l'appel à la grève n'est pas encore d'actualité". "Il ne faut pas faire n'importe quoi (et) cibler Air France parce que ce serait suicidaire de se priver de son soutien face au pouvoir public", argumente M. Ricatte (CGT). L'intersyndicale, qui a rencontré la direction à plusieurs reprises, vient d'alerter le gouvernement dans un courrier adressé à plusieurs ministres. De sources syndicales, on s'étonne de la sévérité "soudaine" des Urssaf après des années de tolérance. Un "bras de fer en sous main entre le gouvernement et la direction d'Air France" est évoqué et l'hypothèse que Jean-Cyril Spinetta, souvent présenté comme un patron de gauche, soit visé n'est pas exclue. -
La décision du tribunal arbitral favorable à Bernard Tapie est une "opération d'intoxication", selon François Bayrou AP -PARIS - François Bayrou s'en est à nouveau pris violemment jeudi à la décision du tribunal arbitral qui a condamné le Consortium de réalisation (CDR) gérant le passif du Crédit Lyonnais, à verser 285 millions d'euros à Bernard Tapie. Le président du Mouvement Démocrate a évoqué sur RTL "une opération d'intoxication", prise "sans décision de justice", ajoutant que "cette somme ce n'est pas le Crédit Lyonnais qui va la payer, (...) c'est le contribuable". Pour François Bayrou cette décision est scandaleuse car la somme allouée à l'ancien homme d'affaires "représente la totalité de tous les salaires annuels des 15.000 postes d'enseignants français qui vont être supprimés l'année prochaine" ou "l'effacement de déficit de l'hôpital public en France". "On a voulu mettre en place des arbitres qui sont des personnes privées, d'ailleurs lourdement dédommagées, (...) pour éviter la décision de justice dont on savait qu'elle serait défavorable à Bernard Tapie", a-t-il assuré. "Il y a toujours eu des aventuriers qui jouent avec les banques et avec le fisc pour essayer de faire fortune, c'est la responsabilité de l'Etat de l'empêcher" a expliqué M. Bayrou, qui "n'en veut pas personnellement" à l'ancien président de l'OM. "On donne 45 millions d'euros à Tapie pour préjudice moral, et il suffit de regarder le pedigree de Tapie, comme on dit pour les chevaux, pour avoir une idée de ce que moral en l'occurrence signifie" alors qu'en comparaison pour "une personne victime du cancer de l'amiante on donne 45.000 euros", s'est-il insurgé. "Il y a eu des protections au plus haut niveau", a indiqué le député des Pyrénées-Atlantiques, soulignant que Bernard Tapie avait soutenu Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle. M. Bayrou a rappelé que Bernard Tapie "n'a pas des dettes à cause de cette affaire Adidas", mais "en raison d'affaires multiples et antérieures : l'affaire du Phocéa, l'affaire Testud, des fraudes fiscales pour lesquelles il a été condamné par millions et millions d'euros". Le fondateur du MoDem a déclaré que Bernard Tapie "va avec cette somme être parmi les grandes fortunes françaises et pendant ce temps les pauvres gens on les conduit au désespoir et on les pressure". M. Bayrou a réclamé enfin "une commission d'enquête parlementaire (...) qui accepte d'aller regarder quel est l'enchaînement de décisions qui a conduit à écarte la justice et à la remplacer dans des conditions aussi controversées par des arbitres entre guillemets". AP
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Voir également les liens ci-dessous http://www.cgt.fr/spip.php?rubrique38 https://www.cfdt.fr/searchEnginePublic.do?s...E9sentativit%E9 http://www.fo-cheminots.com/publications/r...dical-3388.html?
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Il pourra toujours y avoir des petites OS mais pour qu'un accord ssocial signé avec une direction d'entreprise soit valable il faudra que la ou les OS qui signe représente au moins 30% des salariés aux élections précédentes et/ou que cet accord ne soit pas dénoncé par une ou plusieurs OS représentants au moins 50% des salariés. Il faudra donc que dans le cadre des négocitations Direction et OS recherche la voie d'un réel accord. Nous avons tous en mémoire et c'est encore d'actualité en ce moment des exemples sur cette question. Jusqu'à présent il suffisait qu'une OS même représentant 2 ou 3 % du personnel paraphe un texte pour que celui-ci soit valide Une loi de 2002/2003 (de mémoire) a entériné le droit d'opposition (mais cela reste un droit d'opposition ce qui n'est positif pour personne surtout pour les salariés. On a le même type de principe sur les accords dans les co-propriétés ou logements sociaux sociaux où il faut une majorité d'opposants pour s'opposer à une décision du syndic sauf que lors d'un vote les abstentionnistes sont considérés comme ayant voté pour... Sur le fond n'en demeure pas moins que restent posées deux réalités incontournables - le faible taux de syndicalisation (6/7% au niveau national pour les salariés actifs - la division syndicale tant au niveau national qu'au niveau des branches ou des entreprises) Ceci étant le tract de la CFTC ci-dessus prouve que l'intox et la propagande n'ont pas disparu : chacun retient que ce qu'il veut bien retenir.
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Un tract de la cftc... disons même un scoop... helpsoso 2008_07_16_cftc_Tract.pdf
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Retraites: le gouvernement confirme à la CNAV l'allongement de la durée de cotisations AP -PARIS - Le gouvernement a confirmé à la commission de législation de la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV) l'allongement progressif de la durée de cotisations pour bénéficier d'une retraite à taux plein, qui passera de 40 à 41 ans entre 2009 et 2012 à raison d'un trimestre par an, a-t-on appris mercredi auprès de la CGT. "Le gouvernement vient de notifier à la CNAV l'allongement d'un trimestre par an de la durée de cotisations exigée à compter de 2009 pour bénéficier du taux plein", déclare la CGT dans un communiqué diffusé mercredi. La confédération siège dans les instances de la Caisse au même titre que l'ensemble des partenaires sociaux. La commission de législation de la CNAV est une émanation de son conseil d'administration. Les syndicats sont tous opposés à ce passage à 41 ans dans les conditions actuelles. A compter du 1er janvier 2009, la durée de cotisations sera de "161 trimestres pour les assurés nés en 1949, 162 trimestres pour ceux nés en 1950, 163 trimestres pour ceux nés en 1951 et 164 trimestres pour ceux nés en 1952". La CGT estime que "le gouvernement confirme son passage en force et refuse toujours l'engagement de la moindre négociation sur la durée de cotisations, les minima de pensions et l'équilibre financier des régimes, tel que cela était prévu dans la loi d'août 2003". "Il choisit la période des vacances pour faire passer la mesure contestée", ajoute la CGT selon laquelle "la CNAV n'a même pas eu la possibilité de délibérer sur la mesure". La CGT "renouvelle sa totale opposition à l'allongement de la durée de cotisations qui, socialement injuste, ne résout pas les problèmes de financement des régimes". AP
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Ainsi va la France sous Nicolas 1er Sans-papiers: 741 régularisations recensées par la CGT et Droits Devant PARIS (AFP) - La CGT et l'association Droits Devant ont annoncé mercredi avoir enregistré 741 régularisations de travailleurs sans-papiers sur les 1.500 dossiers qu'elles ont parrainés depuis le début d'un mouvement de grève coordonné en Ile-de-France il y a trois mois. Le ministère de l'Immigration n'a pas donné de nouveaux chiffres depuis la fin mai, où il avait annoncé environ 250 régularisations sur un millier de dossiers reçus. "On a à cette heure-ci 741 régularisations. C'est totalement inédit, certains disent historique", s'est réjouie la secrétaire confédérale CGT Francine Blanche lors d'une conférence de presse devant le restaurant parisien "Chez Papa" (Xe), un des premiers en grève où trois sans-papiers sur 39 restent à régulariser. "Le 20 mai, on avait 63 régularisations. Ca signifie qu'on en a eu près de 700 en deux mois", a souligné le porte-parole de Droits Devant, Jean-Claude Amara. "Il reste 31 grévistes de la première vague qui ne sont pas régularisés parce qu'il y a des difficultés entres les préfectures qui se renvoient les dossiers, notamment en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne", a affirmé Mme Blanche. "La priorité des priorités, c'est de terminer les dossiers de la première vague, dans les jours qui viennent", a-t-elle ajouté. La préfecture de Seine-Saint-Denis, jointe par l'AFP, a estimé à 181 le nombre de sans-papiers régularisés ou en voie de l'être, sur 498 dossiers déposés à ses guichets ou, dans la majorité des cas, réorientés par d'autres préfectures. Elle n'a pas précisé combien de dossiers ont été examinés sur les 428 reçus. Le mouvement de grève a été déclenché le 15 avril, avec le dépôt de 600 dossiers de demandes de régularisation en une semaine dans cinq préfectures de région parisienne, avant d'atteindre le millier début mai, selon la CGT. Une deuxième vague a été lancée le 20 mai. En province, 227 dossiers ont été déposés en préfecture des Alpes-Maritimes. D'autres sont en préparation dans une "dizaine de départements" dont l'Isère, les Bouches-du-Rhône ou la Haute-Corse. "On a absolument besoin de critères harmonisés qui permettent de banaliser la régularisation par le travail sur tout le territoire", a souligné Mme Blanche. La CGT fait toujours état de cas "compliqués" dans les secteurs de l'aide à la personne et de l'intérim. Seules six femmes travaillant dans l'aide à domicile ont ainsi été régularisées, sur 90 dossiers déposés. D'autres syndicats ont rejoint le mouvement. L'union syndicale Solidaires occupe ainsi depuis mercredi avec une dizaine de sans-papiers un chantier de consolidation de carrières souterraines à Arcueil (Val-de-Marne).