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Le Web des Cheminots

Skognissen

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Tout ce qui a été posté par Skognissen

  1. Ce qui me dérange dans cette histoire, c'est justement parfois les détails fournis par les médias sur des installations sensibles. Il faut faire extrêmement attention en dévoilant des informations qui pourraient donner des idées à des malades en mal de sensationnel. J'ai peur d'une recrudescence d'incident plus ou moins grave qui s'ils n'auront ,espérons le, pas la gravité de cet accident, pourraient compliquer la tache des cheminots.
  2. Franchement, le sang froid et le sérieux des responsables de la SNCF a été admirable. Je pense que les explications fournies (même si elle nous laisse, (nous public concerné) sur notre fin ont été de nature a calmer le jeu. Je pense qu'on peut leur rendre hommage alors que tant de bêtises ont pu être dites ailleurs. Que les responsable de RFF se soient tenus sur leur réserve alors qu'ils sont parfaitement inconnus aux yeux de la plupart (contrairement à G. Pepy) me semble avoir été une bonne chose.
  3. Sans me vanter, je suis assez pointu dans pas mal de domaines, aussi j'ai souvent les poils qui se hérissent quand j'entends les pseudo-experts de tout poil et les journalistes qui ont oublié qu'ils sont là pour informer, enquêter, vérifier ... Et quand en plus, la télé publique suit la pente savonneuse qu'ont tracée les télés commerciales, alors j'avoue que j'ai mal.
  4. Je me désabonne de ce sujet qui me passionne. Je compte bien le suivre régulièrement plusieurs fois par jours, mais ça fait beaucoup de mails d'avertissements dans ma boite aux lettres. Et je souscris totalement à l'importance de la réserve et de la modération dans nos propos alors que nombres d'invités proche de l'accident nous suivre. Nous devons être exemplaires, informatifs et vulgariser nos connaissances, refuser les amalgames faciles et souligner que le train reste l'un des moyens les plus surs pour transporter des personnes et des marchandises.
  5. Nous sommes en Europe, il n'y a rien de choquant dans l'intervention d'une entreprise étrangère équipée. Ce n'est pas le genre d'engins qu'on est amené (heureusement) à utiliser tous les jours. Nos Canadair interviennent régulièrement dans e reste de l'Europe sans que cela ne choque personne. Ne cherchons pas des poux là où il n'y a qu'une coopération heureuse de moyens dans une heure grave. Concernant les trolls qui viennent sur ce forum pour semer ici la discorde (ceux que la modération tente de chasser), ça fait aussi parti de la nature humaine, dans ce qu'elle a de plus détestable. Malheureusement vous en chassé un et il revient par la cuvette des chiottes ! Ils se complaisent dans ce genre de discours de caniveau et ils ne faut surtout pas les nourrir.
  6. Adc 01 au sujet de Willy Collin : Oui maintenant tout le monde se prétend expert en tout. Les journalistes ne se donnent même plus la peine de relativiser les réactions de chacun en fonction de leurs intérêts (légitimes ou non). Tout le monde a un mot à dire et il n'y a plus de hiérarchisation de la parole, de l'information.
  7. A quoi bon se faire du mal à écouter encore les infos télé ? I l n'y a rien à en attendre que de l'écoeurement. Ce ne sont que les vautours en mal de scoops, à la recherche de boucs émissaires (tous désignés à la vindicte populaire). Respect pour les victimes, les familles. Pour les services de secours. Respect également pour l'ensemble de la profession touchée dans son coeur (je n'en fait pas partie) et qui montre son professionnalisme ainsi qu'àla direction qui se montre digne et à la hauteur des évènement.
  8. Que pouvons nous espérer de média à la recherche de sensationnel et qui se moque bien de l'information ? La recherche de boucs émissaires est devenu un sport national. Il ne faut pas confondre l'état actuel du réseau et les problèmes de sécurité des circulations au risque de faire passer les cheminots pour des incompétents et de dangereux apprenti sorciers avec la vie des passager. La sécurité a toujours été la priorité des cheminots et personne ne peut remettre en doute ce postulat !! Il faut rappeler très fort, le dire autour de nous. A ce jour, les cheminots et la direction se montre à la hauteur de la catastrophe et du malheur ! Encore une pensée pour les victimes et leurs familles, pour les services de secours et pour l'ensemble de la profession (dont je ne fais pas partie)
  9. Merci pour ta participation 232S003 Et j'attends ta visite à Lyon pour prendre un café avec toi
  10. Ae 8/14: Je pense que tu m'as mal compris ou alors je me suis mal exprimé. Je ne voulais pas faire de critique, même si c'est humain (je crois) d'espérer intéresser le plus de monde et de partager des informations. C'est vrai que je participe moins aux autres topics, en grande partie par manque de temps et aussi parce que en temps que simple passionné, je n'ai pas autant d'informations à partager que vous, sauf sur ce domaine précis. Maintenant si l'occasion se présente, je ne manquerais pas de participer un peu plus, moi également. Et je ne prends pas ça non plus comme une critique mais comme une suggestion logique Maintenant, je vais te faire plaisir ton information m'intéresse et je vais chercher dans les jours prochains les cotes de ce peugeot que je puisse le représenter. Tu ne m'en voudras pas si la plaque d'immatriculation porte ton pseudo Ça aurait été dommage de passer à côté de ce renseignement alors pour ton aide, l'ami
  11. hehe, je connais très bien cette photo, c'est moi qui l'ai prise le 28 avril (photo P1010163.JPG pour l'original) Maintenant quand je vois les documents (de toute natures) qui ressortent sur les forums, ceux que j'ai pu me procurer ou ceux que l'on m'envoie, je me dis qu'il y a encore des trésors cachés insoupçonnés qui dorment dans les greniers, les brocantes et les tiroirs de la grande maison. effectivement les bureaux préfabriqués sont beaucoup plus récent. Cependant je ne saurais dire s'ils datent des années 2000 ou de la décennie précédente. Et pour le réservoir près du vérin et de la centrale, il devrait quand même faire dans les 6 cm de haut en HO, je pense, ce qui n'est pas une paille Y'a pas que ses dimensions qui m'intéressent mais aussi son usage. D'ailleurs quelqu'un pourrait il m'expliquer ce qui se passait dans cette mystérieuse centrale de compression ?
  12. Pour ma part je pense que tout est utile pour retracer la vie d'un dépôt : les circulations, les affectations comme l'histoire des bâtiments. Mais aussi les anecdotes des cheminots qui y ont travaillé. Cela dit, la représentation en Ho, n'est pas une finalité en soi même si ça reste un de mes objectifs. Ma modélisation en 3D permettra aussi de naviguer dans le temps, ce que ne permettra jamais un modèle à l'échelle. C'est un témoignage. Et je sais bien que se sont les locos plus que les bâtiments qui ont été photographiées. Une raison de plus pour que quelqu'un s'y attèle, lol
  13. Pour en revenir à ma précédente intervention, si quelqu'un à une idée de la date d'installation des cheminée de l'Atelier, je suis preneur !! Nous savons aussi par les plans que tant le vérin que la centrale de compression avait une voie de sortie. Par contre, à ce jour, je n'ai aucune information sur les installations de la centrale (implantation et usage). Je sais seulement qu'un réservoir accolé au bâtiment du vérin était présent dans les années 70, 80, peut être avant ... ? Ce réservoir ressemblait beaucoup à celui qui se trouve aujourd'hui du côté de la sortie Nord Est de la Rotonde. J'aimerai aussi avoir votre avis sur la teinte des murs. Aujourd'hui le gris est de mise. Pourtant sur les photos couleur anciennes, le revêtement semblait plus chaud, tendant vers l'ocre plus ou moins foncé. J'en appelle à vos souvenirs. Je serais vraiment ravi si mes lecteurs ici, sur le Web des cheminot, pouvait participer un peu plus. Un peu à l'image de ceux de Loco-Revue. Ce n'est pas un concours mais je suis sûr que beaucoup d'entre vous ont des choses à raconter sur la Mouche. C'est votre participation qui donne de un sens à ce sujet, autant qu'une 231 ou une 6500 donnait vie à la rotonde ...
  14. Début de la mise en place de la centrale de compression. Par contre, sur les plans les plus précis, il s'avère que le bâtiment du vérin (couleur brique) n'est pas un parfait parallélépipède. La face avant est moins large que la face en contact avec le mur de la rotonde. Seules des mesures complexes sur place me permettront de définir son volume exact. Les rares photos anciennes de l'atelier montre la présence "ancienne" des conduits en allu. En tout cas, disons qu'ils étaient présents dans les années 80. Celui de gauche semble être connecté à une chaudière et confirme son usage de chauffage du bâtiment. Le conduit se prolonge à l'intérieur de la rotonde pour alimenter visiblement les locaux du vérin hydraulique. Par contre on note que la partie droite n'est pas (n'était pas) reliée. Je n'ai pas remarqué la présence d'une seconde chaudière sur ce coté de l'atelier. Les photos IGN de 1984 et 1978 ne sont pas assez précise pour attester de la présence des cheminées "allu". Par contre elles sont clairement absentes sur celle de 1972 ainsi que sur la photo des 4 plaques datant des années 50.
  15. Y'avait du mouvement (et de la fumée!!!) à l'époque. Organiser les entrées / sorties d'un tel complexe devait être un sacré métier
  16. La suite. Je vais laisser de côté dans un premier temps la partie correspondant aux anciens bureaux et reprendre par le Sud puis modéliser le mur Est. En effet la partie centrale a un léger décalage latéral que je dois encore estimer d'après les photos et les plans.
  17. Voilà je continue ma modélisation même s'il me faudra modifier/préciser les dimensions. Afin de faciliter le repérage, je vais intégrer les volumes des accessoires présents aujourd'hui. Ici, le grillage de séparation du chemin d'accès à la rotonde. Mais il y a aussi par exemple la cuve pour l'huile hydraulique sans doute installer lors de l'affectation de l'atelier à l'entretien des draisines, le conduit d'aération en aluminium, lui aussi récent. Les rares photos de l'intérieur m'aideront à peaufiner la représentation mais j'en appelle aussi aux souvenirs des cheminots. Dans un second temps, je devrais rationaliser la modélisation provisoire qui n'est pour l'instant qu'un "bricolage" me permettant la mise en place des volumes.
  18. Si la structure des murs de l'atelier est relativement simple, sa représentation en 3D est plus complexe. Les différentes modifications successives font de chaque groupe de fenêtres un cas particulier. L'encombrement du site et les points de repères souvent masqués (surtout au sol) vont rendre ardue la prise de mesure et une vision globale de ces murs. Actuellement, je suis obligé d'imaginer des cotes tout en respectant au mieux l'idée. Je dois trouver des astuces comme considérer les murs comme une succession de "briques" élémentaires et de décomposer chacune d'elle en un mille-feuille. Je teste différentes options :
  19. Le plan ci-dessus est simplifié, il ne fait pas ressortir l'intégralité des évolutions intervenues. Il sert juste de trame à ma description. Comme pour la rotonde, la chronologie des événements n'est pas totalement sûr même si grosso modo, je ne dois pas commettre d'erreurs majeures. Je n'ai de toute façon pas encore analysé l'ensemble des documents en ma possession, ni lu toute la biographie concernant cette partie du dépôt. Comme d'habitude, il n'est pas toujours facile de distingué les modifications projetées des réalisations effectives. Par exemple certains de mes plans font ressortir une surélévation de l'atelier à 9 mètres alors que l'état réel la met à environ 10 mètres (avec la création d'une double série d'ouverture en partie haute). Il est difficile (mais pas impossible) de concevoir cette étape intermédiaire qui n'aurait été que très provisoire. Dans un premier temps, une série de bâtiments annexes ont été construits pour répondre aux besoins de plus en plus importants du dépôt et aussi à l'évolution rapide des techniques. On peut noter parmi ceux-ci une forge le long du mur ouest de l'atelier (amené à disparaître lors de la construction des extensions bétonnées des années 20). Un tour sur fosse à l'est approximativement à la hauteur des bureaux. Le bâtiment sera conservé et affecté ultérieurement à une autre utilisation. Chaque rotonde se verra affublée d'un vérin hydraulique. Une chaudière fixe sera installée le long de la rotonde nord pour le nettoyage des locomotives (bâtiment détruit lors de la construction des extensions bétonnées). Enfin on notera la centrale de compression et l'installation de gaz le long de la rotonde sud. La centrale de compression fut par la suite transférée dans les extensions des années 20. Ces extensions furent construite au nord est de l'atelier pour accueillir la chaudronnerie, la chaudière pour le lavage et la forge, au sud ouest pour la soudure et l'outillage de précision. Enfin une petite extensions de la rotonde nord entre l'atelier et le vérin hydraulique accueillit la centrale de compression. La disposition des installations dans les extensions ont évolué dans le temps avec entre autres l'installation de certains bureaux en complément de ceux qui prirent place dans l'extension du sud est de la rotonde nord auparavant utilisée pour certaines opérations de levage léger (stalle P). La surélévation de l'atelier (après les destruction de la seconde guerre mondiale ?) fut dictée par la nécessité d'installer des systèmes de levage plus puissants et performants. Elle est concomitante à priori avec la destruction des bureaux centraux et la réunion des atelier nord et sud. Ces portiques de manutentions entrainèrent la construction d'imposants piliers internes qui en soutenaient le chemin de roulement. Un des portiques a, me semble-t-il été déposé. Je retrouverais une photo correspondante et son copyright. Ces différents changement affectèrent l'organisation des fenêtres et des ouvertures de l'atelier. Par exemple de larges ouvertures furent créés lors de la constructions des extensions. Ouvertures qui furent en partie comblées ultérieurement. Concernant la toiture. Il est a noté qu'elle été dépourvue d'ouverture zénithale à l'origine. Ce qui devait rendre l'atelier particulièrement sombre, surtout après la construction des extensions latérales qui occultèrent bon nombre des fenêtres. La charpente en bois est assez simple. Enfin la porte d'accès à la rotonde (voie 4) et sa découpe laisse supposer qu'une partie de la voie correspondante sous l'atelier a possiblement été sous caténaire (à confirmer ?)
  20. Cher MC76, le manque de chance, c'est bien le problème de toute ma vie, arghhhhhhhhhhhhhhhhh
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